Le diocèse de Rodez (que dirige le sinistre évêque Fonlupt) envoie les enfants des classes de 4e des collèges « catholiques » à un « spectacle-débat » de propagande de l’idéologie du genre.
Lorsque Riposte catholique a lancé l’alerte, le 13 novembre, des parents d’élèves se sont inquiétés. Au point que les spectacles ont été annulés. A la grande fureur du lobby LGBTQI+ etc., qui a joué de ses accointances médiatiques… et a eu gain de cause auprès des lopettes de l’évêché. Les responsables de l’enseignement soi-disant catholique ont assisté à une représentation, et ils ont trouvé que c’était très bien. Donc les enfants devront subir le lavage de cerveau.
La pièce « X, Y et moi ? » était au programme du « Festival des fiertés 2017 » de Toulouse, autour de la gay pride locale. Dans le livret du festival on pouvait lire que c’était « un spectacle qui déconstruit les genres et fait vaciller les certitudes ».
Difficile d’être plus explicite…
Le « spectacle » ayant été également au programme de la « saison culturelle » de la MJC de Rodez (et de là dans les écoles du département), on lit dans le programme qu’il s’agit de montrer qu’être homme ou femme ne doit pas correspondre à une « normativité » mais au « choix d’endosser tel ou tel, comme un rôle ».
Eh bien, pour la soi-disant « direction diocésaine de l’enseignement catholique Aveyron et Lot », la représentation est « de qualité et invite à réfléchir sur l’égalité et la complémentarité hommes/femmes » et le débat « permet de s’éclairer mutuellement et participe au discernement ».
Aux dernières nouvelles, le « directeur diocésain de l’enseignement catholique Aveyron Lot », Claude Bauquis, n’aurait pas encore discerné s’il est un homme ou une femme (à cause de son prénom qui n’est pas "genré", bien sûr). En attendant, on lui conseillera, s’il ne veut pas définitivement passer pour un réactionnaire fasciste, d’écrire comme les auteurs de la pièce en écriture inclusive et de signer : « direct·eur·rice »…