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Famille

  • 4 inscrits…

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    La MJC CLAL de Mérignac (financée par les allocations familiales, le département et la commune) organise pendant les vacances de février un « stage drag qui casse les codes », pour apprendre aux enfants à devenir drag queen.

    Des parents se sont inquiétés et ont lancé une pétition pour que cette ignominie soit abandonnée.

    La Fédération régionale des MJC de la Nouvelle Aquitaine déplore les oppositions à cette activité qui vise « à promouvoir la culture LGBTQI+, l’identité et le genre » auprès des enfants afin « d’ouvrir des possibles avec l’exigence du respect de la dignité de chacun·e ».

    Une propagande LGBT ludique ayant pour but affiché de tenter de pervertir des enfants de 11 à 15 ans, au moment de la puberté.

    Lancée il y a trois jours, la pétition a recueilli 5.600 signatures au moment où j’écris. Les inscriptions au « stage » ont été ouvertes il y a trois semaines. Hier, il y avait quatre (4) inscrits… Voilà qui en dit long sur l’intérêt suscité dans les familles par ces horreurs. Une preuve de plus qu’il s’agit d’une volonté de dictature idéologique.

    Il faut 12 inscrits d’ici le 14 février, faute de quoi le « stage » sera annulé.

    Addendum. Le stage est annulé. A la saloperie on ajoute le mensonge et l'hypocrisie:

    « Au regard de la violence des messages postés, des menaces personnelles et des appels reçus en réaction à la programmation du stage découverte de l’art drag, les membres du bureau de la MJC Clal prennent la décision de retirer l’atelier artistique de la programmation. Ceci afin de garantir la sécurité morale et physique des bénévoles, des salariés et des familles. »

  • Le crachat sur la famille

    La diversité impose qu’une beurette lesbienne devienne ministre.

    Mais elle n’impose pas que la beurette lesbienne, qui exhibait sa grossesse par PMA quand elle était secrétaire d’État à la « Biodiversité », soit nommée ministre de la Famille.

    Plus précisément à l’Enfance, à la Jeunesse et aux Familles…

    Car tel est l’exemple qu’il faut donner à l’enfance et à la jeunesse. Le mensonge contre-nature visant à faire croire que deux femmes peuvent avoir un enfant et que c’est normal et que c'est cela qui représente la famille aujourd'hui.

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  • La dictature du genre

    Le 19 janvier dernier, un couple du Montana, aux Etats-Unis, a perdu ses droits parentaux sur sa fille de 14 ans pour avoir refusé qu’elle « change de genre ». En août 2023, le « service de protection de l’enfance » a décidé que Jennifer devait devenir Leo puisqu’elle le voulait. Elle est aujourd’hui dans un foyer de « Youth Dynamics » dans le Montana où, tête rasée, elle porte un bandeau de compression des seins et des vêtements masculins. Le 19 janvier, ses parents ont officiellement perdu sa garde au profit du « service de protection de l’enfance », au moins pour six mois.

    Déjà en 2021, dans l’Indiana, des parents avaient perdu la garde de leur fils après avoir refusé qu’il se considère comme une fille.

  • En Biélorussie

    Le projet de « Concept de sécurité nationale » de Biélorussie s’occupe de questions militaires et stratégiques, mais contiendra aussi une clause sur la famille, qui est donc à juste titre considérée comme un élément de sécurité nationale.

    Le secrétaire du Conseil de sécurité, Alexander Volfovitch, déclare :

    « Nous avons renforcé le Concept avec une disposition défendant l'institution de la famille traditionnelle comme une union entre une femme et un homme selon la naissance. Cette disposition exclut les diverses constructions de genre, les opérations chirurgicales de réassignation de genre dont on fait tant de publicité en Occident, etc. »

  • L’Irlande toujours plus bas

    Le gouvernement irlandais va organiser deux référendums le 8 mars, « journée internationale des droits des femmes ».

    L’un vise à supprimer de la Constitution un article « archaïque et existe » :

    « L'État reconnaît que par leur vie au sein du foyer, les femmes apportent à l'État un soutien sans lequel le bien commun ne peut pas être atteint. » « Les mères ne doivent pas être obligées par des nécessités économiques à travailler au détriment de leurs devoirs au sein du foyer.»

    Les femmes qui restent au foyer pour élever leurs enfants n’apportent rien à l’Etat. D’ailleurs les femmes doivent travailler à l’extérieur, et doivent y être obligées pour faire survivre leur famille. (Ce qui est d'ailleurs un fait depuis longtemps.)

    L’autre référendum vise à amender un autre article pour que des protections constitutionnelles ne soient pas limitées aux seules familles maritales. Cette modification « reconnaîtrait que les familles peuvent également être fondées sur d'autres relations durables que le mariage », a déclaré le premier ministre Leo Varadkar.

    On continue méthodiquement la destruction de la famille.

  • La dictature au service de la vente d’enfants

    La préfecture de Police de Paris a interdit au Syndicat de la Famille de manifester aux abords du « salon de la parentalité et de la fertilité Wish for a baby », les 2 et 3 septembre.

    Les militants du Syndicat de la Famille (ex-Manif pour tous) ont parcouru les stands de Wish for a baby et ont noté nombre de propositions illégales. Mais l’illégalité a pignon sur rue, tandis que les défenseurs de la légalité sont interdits de manifestation…

    Voici une affiche donnant le prix des embryons, auquel doit s’ajouter le coût des tests génétiques préimplantatoires qui permettent d’éliminer les embryons défectueux…

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    Et l’on vous propose la vente de gamètes avec choix du donneur par reconnaissance faciale.

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  • La CEDH s’enfonce

    Jusqu’ici la Cour européenne des droits de l’Homme, quels que soient ses défauts, dont le premier est évidemment de ne reconnaître aucune loi naturelle, jugeait selon les lois des Etats ou les règlements légaux des institutions. Ainsi ne donnait-elle pas raison à des Polonaises qui se plaignaient de ne pas pouvoir avorter, où à des invertis militants qui se plaignaient d’avoir été licenciés par une organisation ecclésiale. Mais c’est terminé. La CEDH est désormais un soldat actif du pourrissement généralisé. Elle vient de donner raison à 21 « couples » roumains de même sexe qui se plaignaient de ne pouvoir contracter aucune union légalement reconnue et de n’avoir donc aucun moyen de protéger légalement leurs relations.

    Comme en Roumanie il n’y a pas de faux mariage ni aucune reconnaissance légale de faux couples, la CEDH n’avait aucun fondement légal pour se prononcer. Elle a néanmoins édicté, de façon totalement arbitraire, sans s’appuyer sur quelque texte ou principe juridique que ce soit, que la Roumanie avait l’obligation d’assurer une reconnaissance et une protection des relations entre personnes de même sexe, bien qu’elle dispose du « pouvoir discrétionnaire quant à la forme et aux protections accordées »…

    Excellente réaction du patriarcat de l’Eglise orthodoxe roumaine :

    Le Patriarcat roumain, à l'instar des autres Églises orthodoxes, désapprouve systématiquement la promotion de l'idée du partenariat civil, ainsi que sa législation, car il représente non seulement un chevauchement inutile avec l'institution valide du mariage, mais aussi une véritable atteinte à la pleine responsabilité des deux époux, ainsi qu'une source toxique (prouvée dans d'autres sociétés) de la désintégration de l'importance et de l'autorité moralement formatrice de la famille.

    En réalité, le partenariat civil légalise la cohabitation et, au fil du temps, déresponsabilise les deux partenaires au détriment de la mère et de l'enfant, ce qui ne sert pas l'intérêt supérieur de l'enfant. Le cadre juridique qui protège le mieux "l'éducation, l'instruction et la formation des enfants" est la famille naturelle (article 48, paragraphe 1, de la Constitution roumaine).

    D'un point de vue moral, le partenariat civil est un substitut du mariage et un élément destructeur de l'ordre spirituel et moral de la société. La légalisation des partenariats civils est devenue partout où elle a été acceptée le premier pas vers la légalisation du "mariage homosexuel", elle n'est que le moyen par lequel ce "mariage" peut être réalisé.

    Accorder un statut juridique aux "couples" de même sexe en légalisant les partenariats civils s'est avéré n'être rien d'autre qu'un mouvement sournois et politiquement opportun vers l'octroi du "droit" de se marier à des personnes qui, par la nature de leurs libres choix sexuels, sont néanmoins en dehors des logiques et des objectifs fondateurs de la famille naturelle basée sur le mariage.

    L'expérience des États qui ont légalisé le mariage homosexuel est révélatrice. Cependant, le domaine du droit de la famille étant "étroitement lié aux traditions culturelles et historiques de chaque société et à ses conceptions profondes", aucun texte européen ou international ne peut obliger les Etats à créer un statut particulier pour les couples cohabitants, qu'ils soient de sexe différent ou de même sexe.

  • A la Douma

    Le Parlement russe a mis en place un groupe de travail pour le renforcement des valeurs traditionnelles, initié par Nina Ostanina, présidente de la commission pour la famille, les femmes et les enfants ; il sera présidé par la vice-présidente du Parlement Anna Kouznetsova.

    Le rôle de ce groupe de travail, qui réunit 22 députés de divers partis, sera, selon Nina Ostanina, de « s'assurer que les projets de loi en cours d'élaboration ne contredisent pas les valeurs traditionnelles de la Russie et vérifier si les normes spirituelles et morales sont respectées à la télévision, au cinéma, dans les médias, sur les réseaux sociaux et dans les établissements d'enseignement ».

    « Je suis l'auteur de la loi qui a introduit la définition des valeurs familiales traditionnelles dans le code de la famille, précise Nina Ostanina, et c'est justement la négation de ces valeurs qui doit être sanctionnée administrativement. Ou peut-être même pénalement. »

    Et Nina Ostanina, qui est co-auteur de la loi condamnant la propagande LGBT, a l’intention de revenir à la charge pour rétablir dans cette loi l’amendement, qui avait été rejeté par le gouvernement, interdisant l’idéologie du « sans enfant par choix ».

  • Répugnant

    Le rapport 2022 du Défenseur des droits de l’enfant est intitulé « La vie privée : un droit pour l’enfant ». L’expression « vie privée » veut dire vie sexuelle et choix de genre, et le droit à cette vie doit être sans limite, notamment « dans les maisons d’enfant à caractère social (MECS), dans leur structure d’accueil collective, ou dans leur appartement en hébergement diversifié ». Quand on pense qu’il y a des structures qui ne distribuent toujours pas de préservatifs… Et il y a tout un développement sur le respect des enfants soi-disant transgenres, le prénom qu’ils se choisissent, l’accès aux toilettes des filles pour les garçons qui se disent filles, etc. Les extraits afférents sont sur le Salon Beige.

  • Priorité

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    Grâce à la télévision nationale ukrainienne qui la dénonce comme une insupportable propagande russe, on découvre cette affiche ornée du nouveau blason de Kherson et qui dit :

    Notre priorité est la famille

    Capital maternel

    Réelle garantie de la Fédération de Russie

    Oblast de Kherson
    Nous sommes ensemble avec la Russie.

    Addendum. Voir le commentaire de Grog ci-dessous.