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Ecole

  • Informer les enfants

    Les républicains de la commission de l'éducation de la Chambre des députés du Tennessee ont donné leur accord initial mardi à un projet de loi qui exigerait que les enfants des écoles publiques reçoivent des informations sur le développement du fœtus.

    La loi « Baby Olivia » prévoit qu'à partir de l'automne 2024, l'enseignement de la croissance humaine « doit inclure la présentation d'une animation de haute qualité générée par ordinateur ou d'une échographie haute définition d'une durée d'au moins trois minutes qui montre le développement du cerveau, du cœur, des organes sexuels et d'autres organes vitaux au début du développement du fœtus, comme "A la rencontre de Baby Olivia", une animation de haute qualité générée par ordinateur développée par Live Action qui montre le processus de fécondation et les étapes du développement humain à l'intérieur de l'utérus ».

    "Baby Olivia" est une vidéo d'animation qui « donne un aperçu animé et médicalement exact de la vie humaine à partir du moment de la fécondation et détaille sa croissance au fur et à mesure qu'elle passe d'un stade de développement à l'autre, en préparation de sa vie continue en dehors de l'utérus ». La vidéo a été certifiée par des gynécologues, un docteur en biologie cellulaire, et le directeur exécutif de l’American College of pediatricians.

    Face aux critiques des « libéraux » et autres gauchistes, Live Action répond : « Pourquoi les militants pro-avortement ont-ils si peur de Baby Olivia ? Parce que lorsque les élèves apprennent la réalité scientifique selon laquelle la vie commence dès la fécondation, ils se rendent compte qu'il est mal de tuer des bébés à naître. »

    Les républicains étant largement majoritaires dans les deux chambres, la proposition de loi sera sans aucun doute adoptée, et le gouverneur Bill Lee est pro-vie.

    Des projets similaires sont en cours dans cinq autres Etats, et une telle loi a déjà été promulguée dans le Dakota du Nord.

  • On en est donc déjà là

    La dictature LGBT passe à la vitesse supérieure.

    Un gamin a été arrêté, menotté, en pleine classe, par la police, dans un lycée d’Alfortville.

    Parce qu’un magistrat en avait donné l’ordre.

    Parce que le proviseur a donné l’autorisation.

    Et le gouvernement répète : « Ça a été fait en conformité avec l’accord du parquet et de l’équipe éducative. »

    Quel est le crime du gamin, qui nécessite qu’on l’arrête séance tenante, qu’on le menotte devant ses camarades, avec l’accord des magistrats et des soi-disant éducateurs ?

    C’est d’avoir publié des « messages homophobes » sur Instagram. En fait des insultes, violentes, mais hélas aujourd’hui très banales sur les réseaux sociaux.

    Des insultes qui visaient une adolescente « qui vient d’entamer une transition de genre ».

    Et voilà pourquoi il fallait l’arrêter immédiatement. Il ne s’agit pas seulement de soi-disant « homophobie », ce qui est déjà très grave aujourd’hui : il s’agit de soi-disant « transphobie », ce qui est beaucoup plus grave encore. La « transphobie » doit être combattue avec la dernière énergie.

    Dans une société normale, ce qui devrait être interdit, c’est cette monstruosité du « changement de genre » des adolescents. Le père de la fille, qui a donné l’alerte et a fait arrêter le gamin avec la complicité du parquet et de l’équipe soi-disant éducative, c’est lui qui devrait être arrêté. Ainsi que le magistrat et le proviseur complices de cette infamie.

    Mais ils sont couverts par le gouvernement. Car c’est le gouvernement de la dictature LGBT. Avec un ministre de la soi-disant Education qui est lui-même un militant LGBT. Un gouvernement qui vient de créer un fonds de soutien « pour que nos ambassades soutiennent celles et ceux qui défendent les droits des personnes LGBT+ au quotidien et partout dans le monde ». Partout dans le monde…

  • La dictature LGBT dans les écoles britanniques

    Deux adolescentes de 14 ans (assistées de leurs parents) ont écrit une longue lettre ouverte à Gillian Keegan, secrétaire d’État à l’Éducation du Royaume-Uni, pour se plaindre de la dictature LGBT qui sévit dans les écoles.

    Chère Gillian Keegan

    Alors que la publication des directives du ministère de l’éducation sur les transgenres approche à grands pas, nous, deux jeunes filles de quatorze ans scolarisées dans des établissements secondaires distincts, souhaitons apporter notre contribution au débat. Les élèves ne s’expriment pas suffisamment sur cette question, et il est essentiel d’avoir une idée de ce qu’est un environnement scolaire où les voix dissidentes sont étouffées, où les idéologies extrêmes sont présentées comme des faits, et où les filles sont blessées par les garçons dans les sports mixtes.

    Les écoles sont censées être politiquement neutres ; les différences de pensées et d’opinions devraient être encouragées et favorisées, et non réprimées et censurées. Il existe une atmosphère de peur croissante autour de ce sujet, et de nombreux élèves, dont nous faisons partie, sont effrayés à l’idée de s’exprimer ouvertement en raison de la menace d’ostracisation et d’intimidation de la part des élèves qui adoptent le dogme autoritaire de l’idéologie du genre.

    Lire la suite ici.

    Un autre extrait :

    Nous avons toutes deux – comme 72 % des élèves d’autres écoles du Royaume-Uni, selon Policy Exchange – suivi des cours sur l’idéologie du genre à l’école et, à chaque fois, cette idéologie a été présentée comme une vérité absolue. Dans les écoles du pays, des enfants comme nous apprennent que les filles peuvent avoir un pénis, que les humains peuvent changer de sexe, qu’il existe soixante-douze “genres”, que l'”identité de genre” est innée et immuable, bien que les directives du NHS indiquent que les enfants qui s’identifient comme “transgenres” traversent peut-être une phase. Cela doit cesser, et si les élèves doivent recevoir un enseignement sur l'”identité de genre”, celui-ci doit être présenté de manière neutre, en précisant qu’il s’agit d’un système de croyance et non d’un fait.

  • Harcèlement

    L’école catholique hors contrat victime de harcèlement étatique. Extrait d’un article de Gabrielle Cluzel :

    Dans un communiqué commun publié le 3 juin dernier, la Fondation pour l’école et la Fédération des parents d’élèves des écoles indépendantes (FPEEI) font état de « pratiques scandaleuses » : des arrivées surprises « par des portes dérobées », des « inspecteurs en surnombre : 10 pour une école de 90 élèves, par exemple », des « fouilles de cartables » et de casiers - d’élèves comme de professeurs - ainsi que des questions intrusives dépassant largement le périmètre scolaire : « Avez-vous des problèmes familiaux ? », « Parlez-vous de sexualité à la maison ? »« En parlez-vous beaucoup ? », « Supportez-vous l’uniforme ? », « Cela ne vous dérange-t-il pas de ne jamais changer d’aspect ? », « Avez-vous accès à Internet à la maison ? », « En avez-vous assez d’être cloîtrés toute la journée sans votre téléphone ? »... des interrogations qui ne manquent pas de sel, quand on sait que le ministre de l’Éducation, dans le drame du harcèlement de Lindsay, charge aujourd’hui les réseaux sociaux…

  • Pap Ubu à l’école

    Ce mercredi doit être signé un protocole entre le ministère de l’Education nationale et le Secrétariat général de l’enseignement catholique destiné à favoriser la « mixité sociale » dans l’enseignement « privé catholique », faisant suite au « plan mixité » pour l’enseignement public présenté le 11 mai.

    En bref, les écoles catholiques sont trop réservées aux enfants des nantis et il faut que ça cesse. Chacun sait que c’est faux pour la plupart d’entre elles, mais l’essentiel est de continuer à taper sur ce qui reste de l’Eglise ex-catholique.

    Bien sûr cela ne concerne que l’école catholique. Ça ne concerne pas, par exemple, l’Ecole alsacienne. Celle où sont scolarisés les enfants du ministre de l’Education nationale. Où ils sont scolarisés précisément, ouvertement, explicitement, pour éviter qu’ils pâtissent de la mixité sociale…

    Le même ministre a lancé ce jour une « campagne de sensibilisation » dans les collèges et les lycées « sur l’accueil des LGBT+ à l’école ». Autrement dit une nouvelle campagne de promotion de l’idéologie de l’inversion sexuelle chez les adolescents.

    Or voici voilà que l’Ecole alsacienne a fait venir un lobby transexualiste devant les élèves de 4e… Des parents ont vigoureusement protesté contre cette « propagande » en faveur du « militantisme trans », et ont été choqués que leurs enfants soient accusés de « transphobie » parce qu’ils refusaient d’admettre qu’un homme puisse être enceint. Résultat : le lobby en question ne mettra plus les pieds à l’Ecole alsacienne. Au grand soulagement de Pap Ndiaye (mais il ne faut pas le dire).

  • Enseignement "catholique"

    Riposte catholique avait dénoncé la diffusion programmée auprès d’élèves de 6e d’un film faisant l’apologie du « changement de genre », dans un collège catholique d’Alsace. Des parents d’élèves ont protesté, et la projection a été annulée. La direction diocésaine de l’enseignement catholique a voulu « éviter les réactions disproportionnées » (sic), mais aussi : « Après réflexion, nous avons estimé que la question du genre n’avait pas valeur à être traitée par des enfants de 6e si eux-mêmes n’ont pas posé de question sur le sujet à leurs parents ».

    Car il a fallu une « réflexion » à ces dirigeants de l’enseignement catholique pour comprendre qu’ils étaient en train de faire la même chose que les pourrisseurs LGBT qui sont envoyés dans les écoles depuis longtemps maintenant (depuis Xavier Darcos et surtout Luc Chatel, ministres de Sarkozy-Fillon) pour profiter des troubles de la puberté des collégiens afin de recruter des adeptes.

    Le Parisien a relaté l’affaire, et souligné :

    La nouvelle de cette diffusion avait été relayée par l’influent site Riposte-catholique.fr, qui se présente comme un site de « réinformation catholique ». Dans une publication datée du 1er mai, ce dernier accusait le collège épiscopal de Walbourg de « mettre gravement en danger le développement psychologique des élèves en les mettant face à ce film ».

  • Chronique des pervers

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    C’est dans une classe de biologie dans une école de Cologne.

    On demande aux enfants de 11-12 ans à quel « genre social » appartiennent les personnes suivantes :

    Lea passe sa journée en tant que femme ou homme selon ce qu'elle ressent le matin. Parfois en tant que femme, parfois en tant qu'homme.

    D'aussi loin que Paul se souvienne, elle*il s'est senti comme une femme.

    Si elle*il fera ajuster chirurgicalement son sexe biologique, elle*il ne sait pas encore.

    Zeynep se sent née dans le mauvais corps. Elle*il veut se faire opérer le plus tôt possible pour enfin vivre comme un homme.

    Les élèves doivent ensuite cocher les déclarations « correctes » concernant le « genre social » :

    Le genre social n'a rien à voir avec le genre qui attire sexuellement.

    Le genre social est toujours différent du sexe biologique.

    Le genre social est désigné par genre ou sexe en anglais.

    Le genre social est déterminé par l'éducation.

    L'identité de genre peut également être décrite comme la perception personnelle de soi en termes de genre.

    Tout le monde n'a pas le sentiment d'appartenir au sexe qui lui a été assigné à la naissance.

    Et l’école s’appelle Hildegard de Bingen…

    *

    Les écoles élémentaires du district de Madison (Wisconsin) planchent cette semaine, la semaine entière, sur les questions d’identité de genre. Il s’agit d’enseigner aux élèves (à partir de 5 ans) à « comprendre la différence entre le genre, l'orientation sexuelle et le sexe attribué à la naissance ».

    La vidéo introductive explique : « Il y a des élèves dans nos écoles avec différentes identités de genre. Nous avons de nombreux élèves du primaire qui s'identifient comme cisgenres, transgenres, non binaires et tout le spectre des identités. Et si nous n’en parlons pas et n'enseignons pas ces différentes identités, les élèves ne se voient pas eux-mêmes et ils ne se sentent pas à leur place dans nos écoles. »

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    Ces pervers enseignent leur perversité avec un « bonhomme de neige du genre », en trois parties : la tête c’est ce que vous vous sentez et ce que vous savez que vous êtes : fille, garçon, aucun des deux. Le cœur, c’est qui vous aimez : gay, lesbienne, bisexuel, pansexuel, asexuel, hétérosexuel (mais « hétérosexuel » a disparu du tableau qu’on voit entre 5’18 et 6’02). Le bas du bonhomme de neige, c’est la « biologie » : le sexe assigné à la naissance.

    La semaine se termine par une « journée arc-en-ciel ».

  • "Laïcité"

    Il paraît que le 9 décembre c’est la « journée de la laïcité ». Le ministère « de l’Education nationale et de la Jeunesse » fait savoir qu’il y a eu en novembre 353 « signalements d’atteinte au principe de laïcité » dans les établissements scolaires. Il y en avait eu 720 en octobre, 313 en septembre.

    Mais ce ne sont pas des atteintes à la laïcité. Ce sont des agressions islamiques. Et si on ne veut pas les nommer il ne sert strictement à rien de les énumérer.

  • Tabou

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    Ainsi commence une longue dépêche de l'AFP, où à aucun moment on ne lira le mot "islam" ou "musulman".

    La "Laïcité" étant une arme de combat contre le christianisme, on fait silence sur l'ennemi quand l'ennemi n'est pas le christianisme. C'est ce ce que l'on voit tous les jours, depuis des années, chaque fois qu'il est question d'atteintes à la laïcité dans les écoles. Car il ne s'agit jamais d'attentats chrétiens. Il va de soi que ne jamais nommer l'ennemi est le meilleur gage de la défaite. Pap Ndiaye peut raconter tous les jours qu'il n'a pas la main qui tremble: il s'est coupé la main.

  • Pap et Ferry

    Depuis le 4 novembre, le ministre du décervellement national twitte la « Minute Pap », tous les vendredis. Il semble que cette magnifique initiative de communication (combien d’euros, à quel cabinet de conseil ?) n’ait pas eu un grand succès.

    Et pour un début c’est un ratage complet. Naturellement, il commence par Jules Ferry…

    « Je commencerai par Jules Ferry, ministre de l’instruction publique à la fin du 19e siècle, qui aimait sortir sa montre à 11 heures, et puis dire : “Aujourd’hui, à cette heure-là, tous les enfants de 7e sont en train d’écrire le même mot de la même dictée”. C’était une manière de souligner le caractère très centralisé du ministère de l’instruction publique. »

    C’est son prédécesseur Hippolyte Fortoul qui avait édicté un emploi du temps minutieux et qui se vantait alors, en… 1854, de savoir ce qui se passait au quart d’heure près dans les classes… de secondaire.

    Addendum. Fortoul lui-même avait été devancé. Voir les commentaires.