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Climat

  • "Empreinte carbone"

    Selon Le Point :

    « L’A330 présidentiel et le Falcon qui l’accompagne ont coûté 500 000 euros et généré 480 tonnes d’équivalent CO2, soit 53 ans d’empreinte carbone d’un Français. »

    Personnellement il m’importe peu que le président qui se prend pour un roi, voire pour un pharaon, dépense un demi-million pour aller voir un match de foot. On en a gaspillé beaucoup plus pour installer la dictature covidienne, et on en perd beaucoup plus en faisant la guerre à la Russie. Ce qui m’interpelle est que ces voyages aient généré 53 ans d’empreinte carbone d’un Français.

    Si cela est vrai, et si l’on considère les centaines d’avions qui circulent tout le temps, la soi-disant « empreinte carbone » de l’individu terrestre (sa production de gaz carbonique, pour parler français) est, proportionnellement, quasiment égale à zéro. Et toutes les leçons de morale qu’on nous fait en permanence à ce propos sont une imposture, c’est-à-dire une manifestation de la dictature qui cherche tous les moyens de tenir les citoyens en laisse, de les culpabiliser pour les asservir. On le savait déjà, mais là c’en est une belle illustration, une preuve manifeste.

  • Le dictateur

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    Cet inconnu rêve de rester dans l’histoire comme le Français qui aura permis de mettre en place un instrument clé de la dictature climatique.

    Il y a plusieurs mois que monte l’idée d’instaurer une dictature climatique, sur le modèle de la dictature sanitaire qui a si bien fonctionné. Le ressort étant le même : jouer sur la peur, une peur irraisonnée, ou plutôt déraisonnable, en fait complètement folle, mais martelée par les médias de façon assez assourdissante pour qu’elle soit convaincante. Après la peur du virus (qui demeure néanmoins afin d’être toujours réactivable), la peur du « réchauffement climatique anthropique », lequel exige de tout un chacun qu’il « décarbone » sa vie quotidienne. Et pour obliger le citoyen à « réduire son empreinte carbone », il faut instituer un « compte carbone » : chaque individu a un quota d’équivalent CO2, à chaque achat on lui débite la soi-disant empreinte carbone de son achat, et quand il a épuisé son quota il ne peut plus rien acheter.

    L’inconnu Jean-Marie Fiévet a donc décidé de devenir célèbre en proposant de voter le « compte carbone ». Avec l’appui de BFM, évidemment, qui nous fait savoir que dès 2019 une entreprise suédoise a imaginé, en coopération avec Mastercard, une carte de crédit qui calcule l’empreinte carbone de chaque achat, en informe le consommateur, et peut bloquer les dépenses dès qu’est atteint un « maximum de carbone »…

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  • Un défi

    Suite à une pétition « Un vote pour le climat », qui demande une fois de plus de prendre des mesures drastiques pour lutter enfin efficacement contre « les changements climatiques d’origine anthropique et leurs effets », huit scientifiques italiens publient à nouveau leur texte de 2019 « Il n’y pas d’urgence climatique », qui avait reçu de prestigieux soutiens, dont celui du prix Nobel Iva Giaever, et de 1.200 collègues. Ce texte, très bref et clair, niait le changement climatique anthropique et l’efficacité de mesures de réduction du CO2.

    On le lira ici.

    Puisque le « vote pour le climat » vise les prochaines élections italiennes, ces scientifiques lancent un défi aux signataires de la pétition : un débat sur les deux textes, dans un lieu institutionnel. Ils doivent donner leur accord avant la fin du mois, faute de quoi les scientifiques climatosceptiques considéreront que leur défi n’a pas été relevé.

    L’affaire fait du bruit en Italie, notamment parce que l’un des signataires du texte « Il n’y a pas d’urgence climatique » est le professeur de physique de l’atmosphère Franco Prodi, frère de l’ancien Premier ministre italien et ancien président de la Commission européenne, grande figure tutélaire du mondialisme européen.

  • Chronique des cinglés

    Lu sur Gènéthique :

    Howard Breen est un « éco-activiste » de 68 ans, membre du groupe Extinction Rebellion. En 2017, son médecin lui diagnostique « une éco-anxiété clinique et une dépression liée à la biosphère ». Une inquiétude liée au changement climatique qui lui cause dépression et crises de panique.

    En février 2021, Howard Breen demande l’« aide médicale à mourir », avec « le soutien de son médecin généraliste et de sa famille ». Sa demande est refusée, l’« éco-anxiété » ne figurant pas parmi les maladies « admissibles » par le programme canadien.

    En 2016, l’« aide médicale à mourir » a été autorisée par le Canada pour les patients en phase terminale. Depuis, les conditions d’accès ont été modifiées et plusieurs Canadiens sans maladie terminale ont eu recours à l’« aide médicale à mourir ».

    Le pays envisage à présent de l’autoriser en cas de maladies mentales. Ce qui devrait être mis en œuvre à compter du mois de mars 2023, mais Howard Breen ne veut pas attendre. Il a déjà soumis une deuxième demande. « Si l’on y réfléchit, l’urgence climatique dépasse tout ce que l’humanité a connu auparavant », a-t-il déclaré.

    Cela dit, l’éco-anxiété n’est actuellement pas reconnue comme une maladie mentale par l’American Psychiatric Association, dont le Canada utilise le manuel de diagnostic.

  • Dictature climatique

    Deloitte, qui est l’un des quatre plus grands cabinets d’audit et de conseil du monde a publié un rapport indiquant que le réchauffement climatique allait bénéficier à un tiers des pays, et détaillant quels étaient les pays qui allaient le plus en profiter.

    C’est une absolue évidence que le réchauffement climatique ne peut que profiter aux pays froids, et même à d’autres.

    Mais le tollé a été tel que Deloitte a retiré le rapport… Et a fait son mea culpa, et a fait pénitence :

    « La formulation malheureuse n'est pas représentative de la position générale de Deloitte sur l'impact du changement climatique. C'est pourquoi ce rapport a été retiré et n'est plus accessible au public. Deloitte pense qu'il est essentiel que tout le monde - des gouvernements aux entreprises, en passant par les ONG et les particuliers - agisse pour protéger la planète. »

  • Aveugles

    Le magazine Géo publie un article qui en dit long sur l’aveuglement idéologique des scientifiques. L’article commence par la lamentation obligatoire sur le réchauffement climatique qui est une « catastrophe planétaire ». Mais, ajoute-t-on, voilà que la fonte des glaciers permet aussi de découvrir des choses. Et en Norvège, dans un col de la montagne de Lomseggen, ce sont des centaines de choses que l’on retrouve, remontant à l’ère Viking.

    Cela a commencé en 2011, lors d’un été particulièrement chaud. Les archéologues se sont dépêchés d’entamer les fouilles avant que la neige et la glace ne recouvrent l’endroit. Puis ils sont revenus à plusieurs reprises lorsque la température le permettait.

    On ne nous dit pas que ces découvertes prouvent que du temps des Vikings il faisait encore plus « chaud » que maintenant, puisqu’on retrouve aujourd’hui ces restes sous la glace, et qu’à l’époque la route n’était pas recouverte de glace chaque année. C’est pourtant une évidence. A la limite, on pourrait penser que c’est une telle évidence qu’il est inutile de la souligner.

    Mais non. Car la grande question que se posent les archéologues (ce n’est pas une blague), c’est pourquoi cette route qu’ils ont mise au jour, cette véritable route, très fréquentée, qui conduisait à des pâturages d’altitude (sic), a été ensuite abandonnée. Ils se demandent sérieusement pourquoi elle a été abandonnée, alors qu’ils ont la réponse sous les yeux : il a fait tellement plus froid que la route est devenue impraticable jusqu’au XXIe siècle. Certains se demandent si ce ne serait pas à cause de la peste. Et pourquoi pas du coronavirus ?

    En tout cas il a fallu une énorme catastrophe pour que disparaisse la colossale activité industrielle des Vikings qui avait provoqué un réchauffement climatique plus important que celui des sociétés actuelles…

  • Hérétique

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    Cette dernière phrase se poursuivait ainsi:

    "le lobby le plus puissant parce que c’est le plus séduisant, ça génère des milliardaires. Le jour où on m’expliquera pourquoi on a choisi plus les éoliennes que les hydroliennes, j’arriverai à intégrer tout ça".

     

  • Greta est revenue !

    Elle est arrivée à Lisbonne et elle va aller à la COP 25 à Madrid (à pied ou à cheval, on ne sait pas encore) pour faire entendre « la voix des générations futures ». « Les gens sous-estiment la force des enfants en colère», dit-elle.

    Greta a retraversé l’Atlantique à la voile, sur le catamaran de la Britannique Nikki Henderson. Laquelle est allée en Amérique en avion pour conduire son bateau…

    Quelle clownerie…

  • Vaclav Klaus ? Présent !

    Vaclav Klaus est toujours là. Il participait l’été dernier à Erice, en Sicile, à une conférence sur « les urgences planétaires », comme chaque année semble-t-il. Mais cette fois son allocution a été connue et remarquée du quotidien italien La nuova Bussola. C’est à lire en français chez Benoît et moi. Extrait :

    Sans aucune nouvelle découverte scientifique, hypothèse ou théorie, sans aucune tendance démontrant des données statistiques, nous assistons à une nouvelle vague d’annonces radicales proclamant l’imminence de l’apocalypse. Nous assistons à des concessions sans précédent et incroyables faites à une militante de 16 ans par des politiciens adultes, des universitaires respectés, des journalistes normalement arrogants, des hommes d’affaires sûrs d’eux. Une petite ingénue suédoise se met à enseigner aux générations qui l’ont précédée et elles font semblant de l’accepter.

    Des lycéens de toute l’Europe, y compris de mon propre pays qui, jusqu’à récemment, était resté plutôt sceptique, organisent des Fridays for future et désertent l’école. Un leader tchèque de ce mouvement a annoncé qu’il pense qu’il est « inutile d’avoir une éducation pour son avenir parce qu’il n’est pas clair si, à cause du changement climatique, il y aura un avenir ». Je crains que l’irrationalité commence à dominer le mode de pensée plus ou moins rationnel qui autrefois dominait l’histoire de l’humanité.

    Le degré actuel d’irrationalité est – en tant que phénomène social (et de masse) – sans précédent. Nous qui avons fait l’expérience du communisme, nous nous souvenons qu’écoliers, nous nous moquions du vieux slogan communiste qui disait « nous commandons au vent comment souffler et à la pluie comment tomber ». Nos maîtres, il y a 60 ou 70 ans, n’essayaient même pas de défendre ce slogan. Ils savaient très bien que c’était une idiotie, seulement de la propagande communiste. Au contraire, les enseignants d’aujourd’hui – à l’époque du politiquement correct et des méthodes antidémocratiques associées pour bloquer les points de vue « incorrects » – n’osent même pas ouvrir la bouche ou (ce qui est pire) ils commencent eux aussi à soutenir l’alarmisme climatique.

    Parfois les gens peuvent se tromper, l’histoire de la science le prouve. Mais dans le passé, la diffusion des idées et des idéologies, à la fois rationnelles et absurdes, était beaucoup plus lente. Les scientifiques et leurs compagnons de voyage n’avaient pas Internet, Facebook ou Twitter et n’étaient pas en mesure d’établir une communauté de lobbyistes aussi puissante qu’aujourd’hui. Le système politique n’a jamais été aussi ouvert aux idées irrationnelles. Nous sommes confrontés à une psychose non spontanée qui est un phénomène complètement nouveau.

  • Petit rappel

    Par quelques dizaines de scientifiques italiens dissidents (traduction Benoît et moi):

    Au cours des dernières décennies, il y a eu une thèse largement répandue selon laquelle le réchauffement de la surface de la terre d'environ 0,9°C observé depuis 1850 serait anormal et causé exclusivement par les activités humaines, en particulier par l'émission dans l'atmosphère de CO2 provenant de l'utilisation des combustibles fossiles. Telle est la thèse du réchauffement climatique anthropique promu par le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC) des Nations Unies, dont les conséquences seraient des changements environnementaux si graves qu'ils feraient craindre des dommages énormes dans un avenir proche, à moins que des mesures d'atténuation drastiques et coûteuses ne soient adoptées immédiatement. A ce propos, de nombreuses nations dans le monde ont adhéré à des programmes de réduction des émissions de dioxyde de carbone et subissent une pression, y compris par une propagande de plus en plus martelante, pour adopter des programmes toujours plus exigeants, impliquant de lourdes dépenses pour les économies des Etats individuel, et la maîtrise du climat - et donc le "salut" de la planète -, dépendrait de leur mise en œuvre.

    L'origine anthropique du réchauffement de la planète est cependant une conjecture non prouvée, déduite uniquement de certains modèles climatiques, c'est-à-dire de programmes informatiques complexes, appelés General Circulation Models. Au contraire, la littérature scientifique a de plus en plus mis en évidence l'existence d'une variabilité climatique naturelle que les modèles ne sont pas capables de reproduire. Cette variabilité naturelle explique une part importante du réchauffement climatique observé depuis 1850. La responsabilité anthropique du changement climatique observée au siècle dernier est donc exagérée de façon injustifiée et les prévisions catastrophiques ne sont pas réalistes.

    Le climat est le système le plus complexe présent sur notre planète, nous devons donc l'aborder avec des méthodes appropriées et adaptées à son niveau de complexité. Les modèles de simulation climatique ne reproduisent pas la variabilité naturelle observée du climat et, en particulier, ne reconstituent pas les périodes chaudes des 10000 dernières années. Celles-ci se sont répétées à peu près tous les mille ans et incluent la bien connue Période Chaude Médiévale (Réchauffement climatique de l'an mil), la Période Chaude Romaine (Optimum climatique romain), et de manière générale, de grandes périodes chaudes pendant l'Optimum climatique de l'Holocène. Ces périodes du passé ont même été plus chaudes que la période actuelle, bien que la concentration de CO2 ait été inférieure à la concentration actuelle, alors qu'elles sont liées aux cycles millénaires de l'activité solaire. Ces effets ne sont pas reproduits par les modèles.

    Lire la suite, avec d’importantes précisions.

    La liste des signataires est ici (à la suite du texte original).