La Ville de Montréal a nommé pour la première fois un « commissaire à la lutte contre le racisme ». C’est évidemment une femme, « racisée » (qui semble être toutefois du genre de son sexe), qui est passée par nos universités Paris-Diderot et de Créteil avant d’opter pour le Canada où elle a obtenu un doctorat en études urbaines (sic) : Bochra Manaï.
Auteur du livre Les Maghrébins de Montréal, « coordinatrice générale » du lobby « Parole d’excluEs », elle a été porte-parole du Conseil national des Canadiens musulmans. Elle crache sur le pays qui l’a accueillie au point de déclarer que « le Québec est désormais une référence pour les suprémacistes extrémistes du monde entier », ce qui la qualifiait donc pour être embauchée par la Ville de Montréal, et indique l’orientation de son travail…
Mathieu Bocck-Côté écrit dans Le journal de Montréal :
Nous serons devant une idéologue surpayée ayant comme mandat de traduire dans les termes de la théorie du racisme systémique des phénomènes sociaux complexes qui n’ont rien à voir avec le racisme.
Elle produira des rapports censés démontrer qu’il y a du racisme partout. Elle organisera des ateliers de formation pour rééduquer les employés de l’administration municipale qui ne souscrivent pas à la théorie officielle. On peut souhaiter que les employés qui les subiront rendront public ce qu’on leur infligera.
Elle ne sera pas la seule. Il ne manque pas de fonctionnaires et d’universitaires militants qui font passer leur idéologie pour de l’expertise.
Nous sommes témoins, partout en Occident, d’un détournement conceptuel à grande échelle.
(…) Nous finançons notre colonisation mentale et notre américanisation à même nos fonds publics.