Propos du président de la République française au Congrès des Etats-Unis d’Amérique :
« Depuis que les Etats-Unis sont apparus sur la scène du monde, la fidélité qui lie le peuple français et le peuple américain ne s'est jamais démentie. »
« Avec ses amis, on peut avoir des divergences, on peut avoir des désaccords, on peut avoir des disputes. Mais dans la difficulté, dans l'épreuve, on est avec ses amis, on est à leurs côtés, on les soutient, on les aide.
« La grandeur de l'Amérique c'est d'avoir réussi à transformer son rêve en une espérance pour tous les hommes. »
« Je vous le dis aujourd'hui solennellement, la France restera engagée en Afghanistan aussi longtemps qu'il le faudra. »
« L'Amérique peut compter sur la France dans le combat contre le terrorisme. »
Dommage, on a raté le coche pour l’Irak, ce que semble regretter Sarkozy. Mais ce n’est peut-être pas trop tard…
Toutefois il ne veut pas envoyer tout de suite nos soldats en Iran : la perspective d'un Iran doté de l'arme nucléaire est pour la France « inacceptable », mais « il faut convaincre l'Iran de faire le choix de la coopération, du dialogue et de l'ouverture ».
Et bien sûr il a demandé aux Etats-Unis de « prendre la tête » du combat contre le réchauffement climatique…
Eh bien cette France-là, ce n’est plus la France.