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Antiracisme - Page 41

  • Indigne

    « Israël est profondément préoccupé par la formation d’un nouveau groupe d’extrême droite au Parlement européen. La formation d’un groupe parlementaire, dont le dénominateur commun est la xénophobie et l’antisémitisme, et dont le futur président attend d’être jugé en France pour ses remarques scandaleuses mettant en question l’existence des chambres à gaz nazies, est troublante. »

    Il y a dans ces propos au moins quatre diffamations et calomnies, et elles sont d’une particulière gravité, car elles émanent d’un gouvernement : il s’agit d’un communiqué officiel du ministère israélien des Affaires étrangères.

    On attend bien sûr une réaction indignée du Parlement européen…

  • Une idole nommée Naceri

    Samy Naceri, devenu célèbre par les films Taxi, vedette du film Indigènes, et icône de l’idéologie dominante (antiracisme, intégration, minorités visibles, etc.), a été condamné à six mois de prison ferme et 8.000 euros d’amende pour outrages et injures racistes envers des policiers. Interpellé en état d’ivresse très avancée, il avait insulté les policiers, mais surtout, après sa nuit en cellule de dégrisement, il avait réitéré ses insultes et traité l’un d’eux de « sale nègre ».

    Samy Naceri a déjà été condamné à sept reprises pour violences, outrages, conduite en état alcoolique, excès de vitesse, possession de cocaïne.

    Il comparaîtra de nouveau le 18 décembre pour avoir frappé un jeune homme dans un restaurant.

    On a les idoles qu’on peut.

  • L’affaire Vanneste, suite

    Le député UMP-CNI du Nord Christian Vanneste comparaissait hier en appel, dans le cadre de son procès pour « injure envers les homosexuels ». Il avait été condamné en première instance à 3.000 euros d’amende, à 2.000 euros de dommages et intérêts aux trois associations plaignantes (SOS Homophobie, Act-Up Paris et le Syndicat national des entreprises gays), à 1.000 euros au titre du remboursement des frais, et à la publication du jugement dans trois journaux. Interrogé par La Voix du Nord sur son opposition à la loi créant la Halde , il avait seulement rétabli la vérité sur ce qu’il avait dit à  l’Assemblée nationale : « Je n’ai pas dit que l’homosexualité était dangereuse. J’ai dit qu’elle était inférieure à l‘hétérosexualité. Si on la poussait à l’universel, ce serait dangereux pour l’humanité. »

    A l’audience, l’avocat général, Catherine Champrenault, a déclaré : « Ce sont des propos terribles qui font mal, même sous couvert de la philosophie. » Tenir ces propos est « illégal depuis le 30 décembre 2004, et d’autant plus grave de la part d’un élu. » Elle a donc demandé la confirmation du jugement de première instance.

    Cette affaire est emblématique à plus d’un titre.

    Christian Vanneste est poursuivi pour des propos tenus après le 30 décembre 2004, jour de l’entrée en vigueur de la loi créant la Halde et le délit d’injure homophobe. Or ces propos sont exactement ceux qu’il tenait à l’Assemblée nationale pendant la discussion de cette loi.

    Le simple rappel de propos légalement tenus avant décembre 2004 est illégal après décembre 2004. Quels propos ? Dire que si l’on se réfère à Kant, un comportement universalisé est moralement meilleur qu’un comportement qui ne peut être universel, et que par conséquent l’homosexualité est moralement inférieure à l’hétérosexualité, puisque si l’homosexualité était universalisée ce serait la fin de l‘humanité.

    Dire cela est une « injure », affirment le tribunal et le procureur. Par conséquent il est interdit de critiquer l’homosexualité de quelque façon que ce soit. Il est évident que, par exemple, le Catéchisme de l’Eglise catholique tombe sous le coup de la loi. Et bien entendu la Bible , etc., etc.

    Cela est littéralement contraire à ce qu’affirmait à l’Assemblée nationale le garde des Sceaux Dominique Perben, et qui fut déterminant pour le vote de la loi : « Ce dispositif ne remet aucunement en cause la liberté d’expression ni la possibilité pour celles ou ceux qui sont légitimement impliqués dans les débats sur les valeurs de continuer à exprimer ce qu’ils pensent sur les modes de vie, les orientations sexuelles ou sur tout autre sujet. »

    A l’inverse de ce que prétendait Perben, le procès Vanneste prouve, comme nous l’avions dit, que la loi du 30 octobre 2004 remet en cause la liberté d’expression et supprime toute possibilité de continuer à exprimer ce que l’on pense de certains modes de vie et de certaines orientations sexuelles.

    On sait que les articles sur l’homophobie avaient été ajoutés après l’affaire Nouchet, et elle fut appelée pour cela « loi Nouchet ». Du nom de cet homosexuel qui disait avoir été agressé et brûlé vif par trois homophobes dans son jardin. Cela avait provoqué une gigantesque campagne d’indignation, à laquelle avaient participé le gouvernement et le président de la République, les uns et les autres affirmant que les agresseurs seraient très sévèrement punis. L’affaire a débouché sur un non-lieu, puisque l’un des trois accusés était en prison au moment des faits, le deuxième a été mis hors de cause, et le troisième n’a jamais été retrouvé.

    C’est cette affaire pour le moins obscure qui a conduit le gouvernement et le Parlement à concocter une loi interdisant toute liberté de parole sur l’homosexualité. Ainsi fonctionne la démocratie.

    C’est ubuesque. Et Christian Vanneste le prouve d’une autre façon. Le 6 juillet 2006, il a déposé une proposition de loi visant à retirer de la loi créant la Halde les termes « orientation sexuelle ». Cette proposition, qui est cosignée par 21 députés, reprend exactement les citations du jugement de première instance qui ont valu sa condamnation. Il met ainsi en évidence l’absurdité de l’accusation : un député a le droit de contester une loi et de demander qu’elle soit modifiée ; tenir les propos qu’il a tenus n’est donc pas « d’autant plus grave qu’il s’agit d’un élu ».

    Mais le député n’a pas le droit de dire dans un journal ce qu’il écrit à l’Assemblée nationale. Telle est la situation de la liberté d’expression en France.

  • Ethic contre la Halde

    La Halde , en manque de discriminés, a lancé une gigantesque campagne de publicité pour trouver des clients. A ma connaissance, il n’y a eu qu’une réaction des méchants discriminants visés par la police de l’anti-discrimination, celle des patrons du mouvement Ethic (fondé en 1975 par Yvon Gattaz). On saluera le courage de cette association, qui ose s’en prendre à une vache sacrée, et qui peut légitimement s’appuyer sur le fondement même de son existence : développer des pratiques conformes à l’éthique dans les entreprises.

    « Il est insupportable pour les entrepreneurs qui se battent tous les jours pour créer ou maintenir des emplois, de se voir montrer du doigt, discriminés à une heure de grande écoute, et désignés aux Français comme racistes et sectaires », déclare Sophie de Menthon, la présidente d’Ethic. La campagne dans la presse, ajoute-t-elle, « explique, entre autres, et plus explicitement que le spot radio, que les portes des entreprises de France sont fermées aux salariés pour cause de discriminations incessantes et variées ». Cette campagne, qui désigne « à l’opprobre publique les entreprises de France »,  « est de nature à dissuader et décourager les nombreuses initiatives patronales qui œuvrent pour l’insertion de tous ».

  • Tombes profanées : ce n’est pas « raciste »

    Une quarantaine de tombes ont été profanées dimanche après-midi dans un cimetière de Marseille. Des stèles ont été renversées et de croix brisées. En condamnant ces profanations, Jean-Claude Gaudin a précisé qu’aucune revendication ni inscription xénophobe ou raciste n’avait été relevée. Ouf. Il n’y a donc pas de quoi s’inquiéter. « Néanmoins, dit Gaudin, ces actes de vandalisme viennent entacher gravement la mémoire des défunts et le recueillement des familles ». On apprécie le « néanmoins ».

    C’est un exemple parmi tant d’autres du mensonge « antiraciste ». Selon les lois dites antiracistes, le fait de casser des croix est bien évidemment un acte « raciste », puisque tout ce qui concerne la race, l’ethnie, la nationalité, la religion (et maintenant l’orientation sexuelle) entre dans cette catégorie. Mais en ce qui concerne la religion, cela ne fonctionne que lorsqu’il s’agit de tombes d’autres religions que la catholique…

    En fait, il y a une raison à cela, qui est implicite dans notre législation, mais est explicite dans d’autres pays : ces lois ont pour objet de protéger les minorités. Les catholiques étant majoritaires, ils ne peuvent pas prétendre à la protection de la loi…

    Comme c’est seulement implicite, il arrive que l’AGRIF, par exemple, gagne des procès. Mais la Cour de cassation, comme on vient de le voir dans une affaire de publicité blasphématoire, et comme l’AGRIF le constate également, est en train d’établir une jurisprudence qui écarte les catholiques du bénéfice de ces lois faites pour d‘autres.

  • L’irresponsable monsieur Cukierman

    Communiqué de Louis Aliot, secrétaire général du FN

    Invité par la presse, monsieur Cukierman, président du CRIJF, s’est une nouvelle fois permis de diffamer le Front National en le comparant à un club antisémite.

    Ces propos irresponsables proférés à l’encontre d’un mouvement politique légal, qui obtient à chaque élection plusieurs millions de suffrages et dont le candidat s’était hissé au second tour de la dernière élection présidentielle, dénote un profond mépris pour la démocratie et pour la souveraineté du peuple.

    Amalgamant tout et n’importe quoi, notamment le fait de pointer d’antisémite toute critique politique de l’Etat d’Israël, le président du CRIJF ne sert pas les intérêts de ceux qu’il prétend défendre.

    Le Front National rappelle qu’il a toujours reconnu l’existence de l’Etat d’Israël et s’est toujours prononcé pour sa sécurité mais rappelle aussi qu’il est libre de critiquer l’impasse dans laquelle s’est engagé l’actuel gouvernement israélien.

    Enfin, le FN demande à ses compatriotes de confession israélite de ne pas tomber dans le piège de cette association communautariste dite représentative et les engage à se ranger derrière la bannière du candidat Le Pen seul à même de lutter efficacement contre l’insécurité, l’immigration, les dérives communautaires et la décadence économique.

  • La Halde fait sa pub

    La Halde va mener, du 27 novembre au 10 décembre, une massive et coûteuse campagne de publicité (presse écrite, audiovisuel, internet, dépliant, affichage urbain, pour un total de deux millions d'euros...), pour faire connaître ses missions et comment il faut faire pour la saisir. « Notre capacité d'action est limitée si on ne nous connaît pas », explique Louis Schweitzer, et « les gens ignorent souvent qu'ils sont discriminés ». Bref, les permanents de la Halde sont au chômage technique, et il faut trouver coûte que coûte des « discriminés » pour justifier leurs salaires.

    Mais attention. Le mot « discrimination » est une marque déposée de la pensée unique, une appellation contrôlée du politiquement correct. Inutile de vous adresser à la Halde si vous êtes victime d’une discrimination avérée en tant que chrétien ou en tant que sympathisant du Front national. Le recours à la Halde est strictement réservé aux groupes protégés par la… discrimination positive.

  • La loi antiraciste contestée. En Suisse

    Le parti de la « droite populiste » suisse UDC demande l’annulation de la loi soi-disant antiraciste (et anti-négationniste, etc.), ainsi que la dissolution de la Commission fédérale contre le racisme. « Une telle suppression pourrait réunir une majorité en l’état actuel », estime le président de l’UDC, Ueli Maurer, au regard du récent référendum sur l’immigration (68 % des voix pour une politique très restrictive, alors que toutes les autorités morales et médiatiques appelaient à voter non). L’intérêt du propos de Maurer est qu’il ne s’agit pas d’une protestation émanant d’une opposition marginale : l’homme fort de l’UDC, Christoph Blocher, est aujourd’hui ministre de la justice et de la police…

  • La Cour de cassation anticatholique

    La Cour de cassation a cassé l'arrêt de la cour d'appel de Paris qui condamnait la publicité des créateurs de mode Marithé et François Girbaud détournant de façon blasphématoire la Cène de Léonard de Vinci. Elle décrète qu'en retenant l'existence d'un trouble manifestement illicite, la cour d'appel a violé la loi sur la presse et l'article 10 de la Convention européenne des droits de l'homme, autrement dit elle a porté atteinte à la liberté d'expression : « La seule parodie de la forme donnée à la représentation de la Cène qui n'avait pas pour objectif d’outrager les fidèles de confession catholique, ni de les atteindre dans leur considération en raison de leur obédience, ne constitue pas l'injure, attaque personnelle et directe dirigée contre un groupe de personnes en raison de l'appartenance religieuse. »

    Cette publicité détournait le célèbre tableau de Léonard de Vinci en remplaçant le Christ et les apôtres par des femmes légèrement vêtues, dans des poses lascives, et un seul homme, torse nu, de dos, était embrassé par "une apôtre". Cet homme est logiquement saint Jean. Selon les "créateurs" de la publicité, il s'agissait de Marie-Madeleine. Dont on ne voit pas ce qu'"elle" vient faire là ; en fait c'était un clin d'œil au Da Vinci Code, où Dan Brown prétend que dans le tableau de Léonard saint Jean est en fait Marie-Madeleine…

    Bref, le blasphème est multiforme et appuyé. L'attaque contre les chrétiens est flagrante et insupportable, car il s'agit de l'événement fondateur du christianisme, et spécifiquement du catholicisme.

    A tel point que l'association Croyances et libertés, émanation de l'épiscopat français, qui ne se manifeste guère et qu'on ne peut pas soupçonner d'être particulièrement susceptible, avait tout de même porté plainte.

    En première instance, Le tribunal avait jugé que l'affichage de cette publicité constituait « un acte d'intrusion agressive et gratuite dans le tréfonds des consciences intimes », et que « l'injure ainsi faite aux catholiques apparaît disproportionnée au but mercantile recherché ». Il avait relevé que « la présence, dans une position non dénuée d'ambiguïté, d'un homme dos nu », parmi des femmes parodiant les attitudes de la Cène , « introduit un motif de dérision inutilement provocateur », et que « la légèreté de la scène fait par ailleurs disparaître tout le caractère tragique pourtant inhérent à l'événement inaugural de la Passion  ». Il avait donc interdit l'affichage de cette publicité « en tous lieux publics et sur tous supports ».

    La cour d'appel de Paris avait ensuite confirmé ce jugement : cette publicité litigieuse « constitue l'utilisation dévoyée, à grande échelle, d'un des principaux symboles de la religion catholique. » En conséquence, l'association Croyance et Libertés était  « bien fondée à soutenir qu'il est fait gravement injure à la foi des catholiques et que cette représentation outrageante d'un thème sacré détourné par une publicité commerciale leur cause un trouble manifestement illicite qu'il importe de faire cesser ». La cour soulignait que cette injure est « au surplus renforcée par l'incongruité de la position du seul personnage masculin, présenté dans une pose équivoque ». Qui plus est, ajoutait-elle, « le choix du mois de mars, inclus dans le carême et comprenant cette année la semaine sainte précédant Pâques, renforçait manifestement l'injure ».

    La Cour de cassation balaie tout cela, au nom de la liberté d'expression, qui permet donc d'injurier les chrétiens dans ce qu'ils vénèrent de plus sacré.

    Telle est donc aujourd'hui la jurisprudence, qu'il sera bien difficile de modifier après un tel arrêt.

    Il est nécessaire de préciser qu'il s'agit d'une jurisprudence spécifiquement anticatholique, et, en ce sens, dans la droite ligne du laïcisme le plus agressif.

    En effet, il est clair que seule la publicité anticatholique est permise par cet arrêt. Une publicité qui serait aussi violemment anti-juive serait lourdement condamnée pour antisémitisme. Elle est du reste, pour cette raison, quasi inimaginable. Encore plus inimaginable serait une publicité du même type, dans sa version anti-musulmane. Car l'annonceur qui s'y risquerait serait la cible d'attentats, et serait rendu responsable du déferlement de violences que cela produirait.

    La Cour de cassation est depuis quelques années en pleine dérive. On en a ici une illustration particulière.

  • Procès Gollnisch : l’exégèse du procureur

    Le procureur de la République a requis une peine de 10.000 euros à l’encontre de Bruno Gollnisch, poursuivi pour « contestation de l’existence de crime contre l’humanité par paroles », un délit susceptible d’être puni d’un an de prison. D’où le dépit de Libération : le procureur « n’a requis que 10.000 euros d’amende »…

    Le problème était de savoir ce que Bruno Gollnisch avait bien pu dire lors de sa fameuse conférence de presse. Ce que l’audience n’a pas permis de préciser, vu que les témoignages sont contradictoires et que – fait pour le moins étonnant dans une conférence de presse –, les « propos » ne furent enregistrés par aucun journaliste.

    A la fin de ces deux jours d’audience, malgré les efforts des témoins... du combat anti-FN, on n’en savait donc pas davantage qu’avant, et l’on ne pouvait pas aller au-delà de ce que Bruno Gollnisch lui-même avait toujours affirmé.

    Néanmoins, le procureur s’est livré à une exégèse qui lui permettait de demander la condamnation de Bruno Gollnisch, non sur le sens des propos tenus (ceux qui ont été tenus à l’audience, en fait), mais sur les sous-entendus. Telle est la perversité générale des lois dites antiracistes. Les juges sont conduits à débusquer des sous-entendus, des sentiments non exprimés. Ce qui est contraire au droit, mais inéluctable quand on se met à vouloir condamner non des faits, mais des sentiments (la xénophobie, par exemple, condamnée par la loi, n’est rien d’autre qu’un – mauvais – sentiment).

    Le procureur a donc déclaré : « Quand Bruno Gollnisch affirme qu’il reconnaît l’existence des chambres à gaz, mais qu’il n’est pas un spécialiste et qu’il appartient aux historiens d’en débattre, il exprime un doute. C’est une insinuation, une forme déguisée, dubitative, qui crée le doute. C’est dans ce sens que je crois que M. Gollnisch a passé la ligne jaune : tout en jonglant sur le terrain nauséabond (de l’antisémitisme), il a commis une faute, il a dérapé. » Et d’ajouter : « On retrouve bien là les vieux démons de la droite antisémite française », non sans stigmatiser la « mauvaise foi caractérisée du prévenu ». Et le fait de faire une série de déductions à partir d’a priori hostiles qui n’ont rien à voir avec les propos incriminés, ça s’appelle comment ?

    Le jugement a été mis en délibéré au 18 janvier.

    On retiendra tout de même quelque chose d’amusant, dans cette sinistre affaire de police totalitaire de la pensée. C’est le rififi entre Me Jakubowicz, avocat vedette de la Licra , et SOS Racisme.  Me Jakubowicz s’étant désisté après avoir obtenu que Bruno Gollnisch reconnaisse que la Shoah a été un crime contre l’humanité (ce qu’il n’a jamais nié), SOS Racisme s’est déclarée « extrêmement choquée » par cette attitude, qualifiant le retrait de Me Jakubowicz d’« abandon en rase campagne » et l’accusant de « torpiller » le procès…