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Antiracisme - Page 37

  • L’aboutissement de la « diversité »...

    Un sergent d’origine indo-pakistanaise de la police londonienne s’est insurgé contre le fait que « Steve », la mascotte de la police, soit un blond aux yeux bleus, qui ne reflète donc pas la « diversité », tant en matière raciale que sexuelle.

    Le responsable de la police, Ian Blair, a ordonné la création d’une nouvelle mascotte, pour que les policiers d’origine indo-pakistanaise, et aussi les « policières », ne se sentent pas « isolés ».

    Selon le Daily Telegraph qui rapporte l’affaire, la nouvelle mascotte s’appellera Sunita et sera une femme policier indienne...

  • Le club Averroès pas content

    Dans son rapport annuel, le club Averroès dénonce le fait que selon lui la place des « minorités visibles » dans les médias est « globalement restée figée au cours de l’année » 2007.

    Selon le club, « une des grandes chaînes hertziennes historiques » constate elle-même qu’elle a des pratiques discriminatoires en matière de recrutement, de salaires ou de promotion. Mais c’est pareil sur toutes les grandes chaînes, dit le président du club, Amirouche Laïdi, et la situation est « plus grave » encore (sic) dans les nouvelles chaînes gratuites de la TNT... Sauf à Direct 8, où quatre animateurs sur vingt sont « issus de la diversité ».

    En ce qui concerne la radio (pour les minorités audibles ?), Averroès donne des bons points à Radio France, RTL et RMC, mais critique les stations destinées aux jeunes, où « il n’y a pas d’animateurs issus de la diversité ».

    En conclusion, le club Averroès souhaite un renforcement du rôle du CSA dans la promotion de la « diversité » et lui demande de tenir compte de l’engagement en ce sens des éditeurs dans les futurs appels à candidature des radios numériques, des télévisions HD et sur mobile.

    Pour éviter toute connotation racialiste (alors qu’il s’agit bien de cela), on doit parler des « issus de la diversité ». Il en résulte que les blancs ne font donc pas partie de la diversité...

  • « Colorer » la fonction publique

    Le ministre de la Fonction publique Eric Woerth et la secrétaire d’Etat chargée de la politique de la Ville Fadela Amara se sont rendus dans un lycée d’Epinay-sur-Seine signataire d’une convention ZEP avec Sciences Po, puis à la préfecture de Bobigny où ils ont rencontré des jeunes bénéficiaires du dispositif Pacte qui permet d’intégrer la fonction publique sans passer de concours. C’est la République des passe-droits, au nom de la discrimination positive.

    Ils ont indiqué qu’ils souhaitaient « ouvrir, diversifier et colorer » la fonction publique.

    Et ça, si ce n’est pas du racisme...

  • Les zozos de l’arche

    On ne sait pas tout sur l’affaire de « l’arche de Zoé », loin de là, notamment en ce qui concerne les dessous de la position tchadienne (s’il y en a). Toutefois il semble bien qu’il s’agisse d’une affaire d’enlèvement d’enfants. Il ne s’agissait pas de sauver des orphelins mourants du Darfour : la majorité d’entre eux, sinon tous, sont tchadiens, beaucoup ne sont manifestement pas orphelins (et selon les spécialistes de la région il n’y a pas d’orphelins dans des familles qui sont des tribus), on leur avait mis des pansements et sous ces pansements on n’a trouvé aucune pathologie. L’ONG, dont on dit que son siège social est en Australie, se targuait de faux soutiens, et Médecins du monde a dû aller devant la justice pour faire retirer son logo. Les documents tchadiens montrent que le Tchad avait autorisé l’atterrissage d’un avion immatriculé en Islande, avec équipage espagnol, pour une évacuation sanitaire d’enfants organisée par « Children Rescue » (l’Arche de Zoé ne s’est jamais présentée sous son nom au Tchad), et c’est un avion immatriculé aux Antilles qui est arrivé... Enfin, l’ambiguïté était totale sur le fait de savoir s’il s’agissait de faire accueillir provisoirement des enfants, pour raison humanitaire (par des familles qui ont dépensé des milliers d’euros pour cela), ou s’il s’agissait d’adoption (illégale). Même l’avocat de l’association (eh oui c’est encore Gilbert Collard...) n’en sait rien...

    Cette affaire montre l’anarchie qui règne dans le monde tentaculaire des ONG. Si Rama Yade se montre combattive contre cette opération « illégale et irresponsable », on peut se demander pourquoi elle est montée seule au créneau (de façon assez remarquable, d’ailleurs). Certes, Nicolas Sarkozy a fini par lui apporter son soutien, mais on attend toujours que le ministre en titre, Bernard Kouchner, s’exprime. Or celui-ci porte une part de responsabilité dans la dérive qui conduit à de telles aberrations. C’est lui le théoricien de « l’ingérence humanitaire », qui donne le droit, ou donne l’impression que n’importe qui a le droit, de faire n’importe quoi dans le tiers monde, sous couvert de « bons » sentiments.

    D’autre part, cette affaire est liée aussi au déboussolement moral des Français. On avorte à tour de bras, il y a un « droit à l’avortement » qui permet de tuer légalement plus de 200.000 enfants par an, et dans le même temps il y a les couples qui veulent absolument avoir un enfant, qui font valoir le « droit à l’enfant », et qui sont prêts à tout pour en trouver un, n’importe où, d’autant qu’il est très difficile d’adopter des enfants français, ce qui est une autre aberration. A cela s’ajoute l’idéologie dominante de l’antiracisme, de la discrimination positive, de l’accueil sans frein des immigrés, du soutien aux clandestins, qui finit par imposer l’idée qu’il est très vertueux d’adopter illégalement des enfants africains dont on ne sait rien. La frontière avec les réseaux d’achat et de vente d’enfants du tiers monde devient ténue. Avec l’affaire de l’Arche de Zoé », il semble qu’elle s’efface. Car, au départ, l’intention de l’association était probablement d’arracher des enfants à la misère et à la guerre, et à l’arrivée il s’agit d’une opération d’immigration illégale destinée à fournir des enfants à des familles qui les achètent...

  • Racisme partout

    Le rapporteur spécial des Nations unies sur les formes contemporaines de racisme, discrimination, xénophobie et intolérance, Doudou Diène, dénonce le projet de loi sur l’immigration dans une interview qu’il accorde à... L’Humanité.

    Les tests ADN, dit-il, c’est un « tournant aussi grave que dangereux » : « Malgré les restrictions apportées par la suite au projet, j’estime qu’un tournant a été pris et une dérive amorcée qui pourrait aller bien plus loin. »

    L’Humanité lui demandant si l’introduction de ces tests relève d’une vision raciste de la société et de l’immigration, il répond : « Nous assistons à une instrumentalisation politique du racisme... La rhétorique raciste qui était le propre de l’extrême droite (...) fait désormais partie des programmes de certains partis politiques démocratiques en Europe et en France. » Vous avez bien lu : la rhétorique raciste fait partie du programme de l’UMP...

    Faisant allusion au discours de Nicolas Sarkozy à Dakar, il voit « une montée du racisme chez les élites intellectuelles et politiques en France ».

    Il dit aussi que la pratique de tests ADN rappelle « la pratique des nazis », et que cela « introduit une différence génétique entre pays et populations dans le cadre d’un monde pourtant globalisée ». Alors qu’il s’agit de vérifier éventuellement la filiation d’individus, sans la moindre considération de race ou d’ethnie...

    Mais comment peut-on être rapporteur spécial de l’ONU et raconter autant d’insanités ?

  • Encore une agression antisémite inventée

    La collégienne juive de 13 ans qui avait porté plainte pour avoir été agressée par trois voleurs de type maghrébin et africain en raison de sa religion (« Tu es juive, les juifs sont riches ») a reconnu qu’elle avait tout inventé. Les enquêteurs ont établi qu’elle s’était « accidentellement blessée avec un grillage ». Le « Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme » avait aussitôt médiatisé l’affaire. Il reconnaît aujourd’hui avoir « relayé un peu vite » la plainte de la gamine...

  • Un racisme pernicieux en France...

    Dans le cadre de la préparation d’un rapport pour le Conseil des droits de l’homme, une émissaire de l’ONU, Gay McDougall, a passé dix jours en France. Elle conclut sa visite en disant qu’il y a un « racisme pernicieux » qui perdure en France, où des minorités sont « piégées dans des ghettos » sans espoir de promotion sociale. Elle explique que les jeunes d’origine immigrée « se sentent discriminés et rejetés par une conception rigide de l’identité nationale française qui ne leur convient pas ».

    Tout est dit. Ils ne sont pas discriminés et rejetés par les Français de souche, mais par une conception de l’identité nationale dont ils ne veulent pas. Le « racisme », c’est l’identité nationale qui ne convient pas aux immigrés...

  • L'antiracisme par la promotion des races ?

    Le club Averroès déplore que « la couleur ne fait partie de la grande famille de la télévision ». Réagissant par un communiqué à une photographie de VSD, représentant les 50 stars de la télé, le club considère que la « diversité » est encore « trop peu présente » dans ce groupe. Il se déclare « consterné » et « demande aux chaînes plus d’engagement et de volontarisme pour renvoyer à la communauté nationale une image plus conforme de sa diversité ».

    Le club Averroès, « Observatoire de la Diversité dans les médias » (dont le site internet n’est ni fait ni à faire) regroupe nous dit-on près de 300 professionnels des médias et du spectacle. Et ils ne sont pas capables d’imposer leur « diversité » ?

    La seule diversité qui doit avoir droit de cité est celle du talent, et non celle de la couleur de peau. Ou alors il faut avoir le courage de demander des quotas : des quotas raciaux...

    L’une des vedettes du club Averroès est Rama Yade, qui a été nommée directrice adjointe des programmes de la Chaîne parlementaire alors qu’elle venait d’avoir 29 ans, avant de devenir directrice de la communication de la même chaîne. Auparavant elle travaillait à la commission des Affaires sociales du Sénat. Aujourd’hui elle est ministre. L’cône du club Averroès ne donne pas vraiment l’image d’une victime de la discrimination par la couleur...

  • Big Brother

    La semaine dernière, le préfet d’Indre-et-Loire, Paul Girod de Langlade, a été condamné à 2.000 euros d’amende pour « provocation à la discrimination raciale ». Hier, au conseil des ministres, il a été limogé.

    Son crime est d’avoir dit à propos des « gens du voyage » : « Il y en a trop sur le département. On a été trop laxistes pendant trop longtemps. Chacun sait que quand ils arrivent quelque part, il y a de la délinquance. »

    On n’a pas à se demander si c’est vrai ou non. Il est interdit de le dire, point final.

  • Le professeur « raciste » veut rencontrer Sarkozy

    Le professeur d’Epinal condamné en première instance pour « racisme » envers un élève demande une audience au président Sarkozy, a annoncé son avocat. « On est en plein procès, le président reçoit une des parties du procès, or le débat judiciaire n’est pas définitif : mon client a dix jours pour interjeter appel. » La décision de Nicolas Sarkozy de recevoir l’élève est donc « juridiquement choquante et anormale, de nature à déséquilibrer le débat judiciaire ». C’est une « violation du pouvoir judiciaire ».