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Justice

  • Bon plan

    Le juge des libertés et de la détention de Lille a remis en liberté samedi sept clandestins. Parce que les étrangers placés en rétention administrative doivent disposer d’au moins un téléphone en libre accès pour 50 retenus, et que plusieurs des cabines téléphoniques du CRA de Lille-Lesquin ont été détériorées au cours des derniers mois… par les clandestins.

    On suppose que ce point de « droit » n’avait pas encore été appliqué, car sinon il y a longtemps que les cabines téléphoniques des centres de rétention seraient systématiquement cassées. En tout cas maintenant les clandestins savent ce qu’ils doivent faire pour retrouver la liberté plus tôt que prévu (puisque de toute façon la plupart sont relâchés un jour ou l’autre).

  • Justice d’exception

    Six jeunes gens de 18 à 25 ans, jugés en comparution immédiate au tribunal de Valence, ont été condamnés pour « participation à un groupement formé en vue de la préparation de violences » ou de « dégradations », à des peines de six à dix mois de prison ferme, et écroués. Ce doit être une première.

    Ces « militants de la mouvance identitaire », comme dit l’AFP, ou « activistes de l’ultra-droite », comme dit la télé, avaient manifesté samedi soir à Romans-sur-Isère suite au meurtre de Thomas par une bande de sauvages importés.

    Commentaire du Salon Beige :

    Les juges ont compris que 35 heures de travaux d’intérêt général pour avoir traîné sur 25 mètres un policier qui aura des séquelles à vie, ou du simple sursis pour avoir incendié une mairie pendant les émeutes, n’étaient pas des peines assez sévères. Ils se rattrapent donc et condamnent à de la prison ferme des militants identitaires, sans aucun casier judiciaire, pour les incidents à Romans-sur-Isère du week-end dernier.

    Le ministre de l’Intérieur a demandé hier aux services de l’Etat de faire preuve d’« une fermeté systématique afin de procéder aux interpellations dès la naissance d’un trouble ». Les troubles dont est responsable « l’ultra-droite »…

    On voit que le gouvernement a fait sienne la grossière propagande communiste telle que l’a formulée Fabien Roussel : « L’extrême droite est en train de nous mener vers l’autoroute de la guerre civile en Europe et en France, et elle le fait pied au plancher. » La différence est que si Fabien Roussel aboie, le gouvernement mord à pleines dents.

    Par ailleurs, le directeur général de la police nationale a fait savoir : « Au 13 novembre 2023, nous avons constaté 315 homicides ou tentatives d'homicide entre » trafiquants de drogue en zone police, soit une « augmentation de 57% par rapport à la même période en 2022 ». Cette violence s'étend à des « villes de taille moyenne, un peu partout sur le territoire », a-t-il ajouté. Mais puisque ce n’est pas l’ultra-droite ce n’est pas grave.

  • On en est donc déjà là

    La dictature LGBT passe à la vitesse supérieure.

    Un gamin a été arrêté, menotté, en pleine classe, par la police, dans un lycée d’Alfortville.

    Parce qu’un magistrat en avait donné l’ordre.

    Parce que le proviseur a donné l’autorisation.

    Et le gouvernement répète : « Ça a été fait en conformité avec l’accord du parquet et de l’équipe éducative. »

    Quel est le crime du gamin, qui nécessite qu’on l’arrête séance tenante, qu’on le menotte devant ses camarades, avec l’accord des magistrats et des soi-disant éducateurs ?

    C’est d’avoir publié des « messages homophobes » sur Instagram. En fait des insultes, violentes, mais hélas aujourd’hui très banales sur les réseaux sociaux.

    Des insultes qui visaient une adolescente « qui vient d’entamer une transition de genre ».

    Et voilà pourquoi il fallait l’arrêter immédiatement. Il ne s’agit pas seulement de soi-disant « homophobie », ce qui est déjà très grave aujourd’hui : il s’agit de soi-disant « transphobie », ce qui est beaucoup plus grave encore. La « transphobie » doit être combattue avec la dernière énergie.

    Dans une société normale, ce qui devrait être interdit, c’est cette monstruosité du « changement de genre » des adolescents. Le père de la fille, qui a donné l’alerte et a fait arrêter le gamin avec la complicité du parquet et de l’équipe soi-disant éducative, c’est lui qui devrait être arrêté. Ainsi que le magistrat et le proviseur complices de cette infamie.

    Mais ils sont couverts par le gouvernement. Car c’est le gouvernement de la dictature LGBT. Avec un ministre de la soi-disant Education qui est lui-même un militant LGBT. Un gouvernement qui vient de créer un fonds de soutien « pour que nos ambassades soutiennent celles et ceux qui défendent les droits des personnes LGBT+ au quotidien et partout dans le monde ». Partout dans le monde…

  • "Justice pour Adama"

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    Les juges ont prononcé un non-lieu en faveur des trois gendarmes dans l’affaire Adama Traore.

    Le parquet avait requis début juillet la clôture sans poursuites de l'information judiciaire sur la mort en juillet 2016 de ce noir de 24 ans à la suite de son interpellation par des gendarmes, un dossier érigé en « symbole des violences policières et du racisme ».

    Le symbole était bidon. Mais le clan Traore a fait la une de l’actualité pendant des années, et sa sœur Assa a été invitée dans tout le monde occidental, y compris à l’ONU, comme la grande prophétesse de la lutte contre le racisme « systémique ».

    Cinq de ses frères ont été condamnés à de la prison ferme pour divers délits.

  • La tyrannie

    Conformément au diktat du ministricule Darmanin, la préfecture de police de Paris avait interdit pas moins de 6 manifestations « d’extrême droite » hier, dont celle des… Gilets jaunes. Sic.

    L’événement n’est pas tant ce nouveau développement si prévisible de la dictature macronique (le dit Macron ne pouvant plus circuler qu’accompagné de 1.500 policiers et faisant dégager un périmètre de plus en plus important sur son passage) que l’absence de réaction des défenseurs patentés des droits les plus divers. Il est désormais acquis qu’il est normal d’interdire toute manifestation que le pouvoir étiquette « d’extrême droite ». Telle est devenue la France de la « liberté » et des « droits de l’homme ».

    Il semble que l’Ukraine du dictateur Zelensky joue son rôle dans cette anesthésie politico-médiatique. La propagande est désormais bien rôdée : en Ukraine, il suffit que quelque chose soit désigné comme « pro-russe » pour qu’il soit normal de le supprimer ou de le discriminer. Il est normal d’interdire tout parti politique que Zelensky désigne comme « pro-russe ». Il est normal de procéder au plus gigantesque autodafé de l’histoire (10 millions de livres), puisqu’il s’agit de livres écrits en langue russe. Il est normal d’interdire la langue russe qui est celle de l’immense majorité de la population (y compris de Zelensky – et s’il en était besoin son ex-principal conseiller Arestovitch vient encore de rappeler que Kiev et une ville russophone…). Il est normal d’interdire la principale Eglise du pays puisqu’il suffit de la dire « pro-russe ». En Ukraine le mot magique est « pro-russe », en France c’est « d’extrême droite ».

    Il y a eu néanmoins un juge pour contredire Darmanin et permettre les deux manifestations de l’Action française, en soulignant que la décision de la préfecture de police « porte une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté de manifester ». Mais le même tribunal a rejeté les autres recours, alors que le motif était le même.

    *

    La dictature macrodarmanesque va désormais s’étendre partout et dans tous les domaines. Ainsi la préfecture de Nantes a-t-elle interdit un concert du rappeur Millesime K à Mouzillon, et a étendu l’interdiction aux 10 communes limitrophes… Millesime K avait déjà été interdit dans le Puy-de-Dôme. Car, nous explique l’AFP, c’est un rappeur « d’extrême droite » qui est « notamment connu pour ses chansons Tricolore ou Jeanne d'Arc défendant “les Français” et demandant à ceux qui n'aiment par la France de “dégager” ». Car tricolore et Jeanne d’Arc c’est « l’extrême droite » et défendre de soi-disant “Français” entre guillemets c’est être « d’extrême droite ». (En revanche tout rappeur qui prône la conquête islamique, la haine des blancs et la mort des flics est bienvenu partout.)

    *

    La Ligue de Football professionnel avait décidé que les footballeurs devaient tous porter ce week-end des maillots floqués arc-en-ciel, en signe de participation à la « lutte contre l’homophobie », c’est-à-dire de promotion de l’idéologie LGBT. Plusieurs joueurs d’équipes de premier plan ont refusé. Et plusieurs directeurs sportifs, tout en s’inclinant devant la religion officielle, ont gémi qu’il ne fallait pas faire ça au moment des derniers matches de la saison…

    Le ministre des sports, Amélie Oudéa-Castéra, a carrément demandé aux clubs de prendre des sanctions contre les joueurs récalcitrants. Et le porte-parole du gouvernement Olivier Véran a cru nécessaire de souligner que l’homophobie n’est pas une opinion mais un délit…

    Ce qui est regrettable est que les footballeurs qui osent braver la dictature LGBT soient des musulmans. Il n’y aura évidemment aucun chrétien à le faire…

    Addendum. On me fait remarquer que Donatien Gomis, le défenseur central de Guingamp, a refusé de jouer samedi. Son prénom laisse entendre en effet qu'il est chrétien. Cela dit, il vient du Sénégal et il est toujours sénégalais, or en Afrique même les catholiques n'admettent pas l'inversion sexuelle...

    Addendum 2. Aussitôt dit, aussitôt fait : le seul footballeur récalcitrant de Nantes, un Egyptien, va être "sanctionné financièrement".

  • Trois OQTF

    Le Salon Beige a une chronique intitulée « L’OQTF du jour » : à savoir le délit ou le crime commis ce jour – puisque c’est quasiment c’est tous les jours – par un étranger clandestin soumis à une soi-disant « obligation de quitter le territoire français ».

    Aujourd’hui, c’était un Jordanien qui a violé une femme aux urgences à l’hôpital Cochin. Le Salon Beige disait que le jeune homme faisait l’objet de deux OQTF. Mais non. Selon les dernières informations il fait l’objet de trois OQTF. Sous trois noms différents. On n'arrête pas le progrès.

    Comme il est très défavorablement connu des services de police sous 13 identités différentes, il va pouvoir encore être l’objet de plusieurs OQTF. Avant qu’on arrête de l’embêter avec ces broutilles légales qui ne servent à rien.

  • Ubu laïcard

    La cour administrative d’appel de Nantes a confirmé que la statue de saint Michel, sur la place Saint-Michel, parvis de l’église Saint-Michel, aux Sables-d’Olonne, devait être enlevée en vertu de la loi de 1905.

    Pour cela elle a nié le caractère culturel, historique, traditionnel et artistique de la statue (puisque les ronds de cuir sont spécialisés dans tous ces domaines), et a nié que le parvis soit un parvis (afin de ne pas permettre à la statue de bénéficier de l’exception concernant les parvis…).

    (Vu sur RT France)

  • Victoire laïcarde

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    Comme on pouvait le prévoir, la justice a donné raison aux laïcards vendéens : elle donne six mois à la municipalité de La Flotte-en-Ré pour retirer du domaine public la statue de la Vierge installée à un carrefour en 1983.

  • Comme en URSS

    Un étudiant de 19 ans a jeté hier un œuf sur Macron. Il a été aussitôt interpellé, et le parquet de Lyon a demandé un examen psychiatrique. Lequel a conclu à « l’abolition de son discernement ». En effet, pour jeter un œuf sur notre très auguste et très vénéré Président, il faut être fou. Le jeune homme a donc été « hospitalisé sous contrainte dans un établissement psychiatrique ».

  • Ah…

    Eric Zemmour est relaxé par la cour d’appel, alors qu’il avait été condamné à 10.000 € d’amende pour « injure publique et provocation publique à la discrimination, à la haine ou à la violence à raison d’une religion », pour des propos tenus le 28 septembre 2019 lors d’une « convention de la droite ». Des propos qui avaient été condamnés par toute la classe politico-médiatique, même par le Premier ministre, Edouard Philippe, qui les avait qualifiés de « nauséabonds ».

    Le tribunal avait dit : « En distinguant parmi les Français l’ensemble des musulmans opposés aux "Français de souche" et en les désignant, ainsi que les immigrés musulmans vivant en France, non seulement comme des criminels auteurs des attentats de 2015 mais comme d’anciens colonisés devenus colonisateurs », les propos poursuivis « constituent une exhortation, tantôt implicite tantôt explicite, à la discrimination et à la haine à l’égard de la communauté musulmane et à sa religion ».

    La chaîne LCI qui avait retransmis le discours avait reçu avec un avertissement du CSA, qui avait saisi le procureur en soulignant ce qui devait être condamné…

    Le jugement devait être publié sur les sites internet de LCI et CNews pendant une semaine, et dans Le Monde, Le Figaro et Libération.

    Or aujourd’hui voilà Zemmour relaxé par la cour d’appel. Il n’y avait donc ni injure publique ni provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence.

    Voici des extraits de ce que l’on peut dire, donc.

    « En France, comme dans toute l'Europe, tous nos problèmes sont aggravés par l'immigration, école, logement, chômage, déficits sociaux, ordre public, prisons (...) et tous nos problèmes aggravés par l'immigration sont aggravés par l'islam. C'est la double peine. »

    « Dans la rue, les femmes voilées et les hommes en djellabas sont une propagande par le fait. Une islamisation de la rue, comme les uniformes d'une armée d'occupation rappellent aux vaincus leur soumission. Au triptyque d'antan "immigration, intégration, assimilation", s'est substitué "invasion, colonisation, occupation". »

    « La question qui se pose à nous est la suivante : les jeunes Français vont-ils accepter de vivre en minorité sur la terre de leurs ancêtres ? »