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Front national

  • Mort d’un supporter du PSG : le FN dénonce l’amalgame

    Communiqué du Front national

    Le Front National dénonce avec indignation la complicité de diffamation dont s’est rendu coupable le Procureur de la République de Paris, Jean-Claude Marin qui a affirmé, sans en être lui-même témoin, que les supporters du Paris SG impliqués dans les évènements de la Porte de Saint-Cloud criaient : « Le Pen Président, en faisant des saluts nazis ».

    Le Front National n’est impliqué en aucune manière, ni dans ces incidents, ni d’ailleurs dans ce que l’on appelle le « Kop de Boulogne. »

    Il poursuivra en Justice toute tentative d’amalgame.

  • L’irresponsable monsieur Cukierman

    Communiqué de Louis Aliot, secrétaire général du FN

    Invité par la presse, monsieur Cukierman, président du CRIJF, s’est une nouvelle fois permis de diffamer le Front National en le comparant à un club antisémite.

    Ces propos irresponsables proférés à l’encontre d’un mouvement politique légal, qui obtient à chaque élection plusieurs millions de suffrages et dont le candidat s’était hissé au second tour de la dernière élection présidentielle, dénote un profond mépris pour la démocratie et pour la souveraineté du peuple.

    Amalgamant tout et n’importe quoi, notamment le fait de pointer d’antisémite toute critique politique de l’Etat d’Israël, le président du CRIJF ne sert pas les intérêts de ceux qu’il prétend défendre.

    Le Front National rappelle qu’il a toujours reconnu l’existence de l’Etat d’Israël et s’est toujours prononcé pour sa sécurité mais rappelle aussi qu’il est libre de critiquer l’impasse dans laquelle s’est engagé l’actuel gouvernement israélien.

    Enfin, le FN demande à ses compatriotes de confession israélite de ne pas tomber dans le piège de cette association communautariste dite représentative et les engage à se ranger derrière la bannière du candidat Le Pen seul à même de lutter efficacement contre l’insécurité, l’immigration, les dérives communautaires et la décadence économique.

  • La directive Bolkestein

    Le Parlement européen a adopté hier, après trois ans de débats et de polémiques, la fameuse directive Bolkestein. Elle a été fortement amendée, mais elle demeure nuisible, comme l‘a expliqué Marine Le Pen au nom des députés européens du Front national, et dont voici le texte de l’intervention.

    Neuf mois après son adoption en 1ère lecture, le Parlement européen verrouille la directive services, dite Bolkestein, en approuvant sans amendements la position commune du Conseil. C'est une victoire de la social-démocratie ralliée à l'ultra-libéralisme économique.

    A l'exception des Services d'Intérêt généraux non marchands, rien n'échappe à la libéralisation des services ; même les services sociaux ne sont pas totalement exclus du rapport Gebhardt.

    Vous trompez nos peuples, mes chers collègues, cette directive ne fera pas disparaître le dumping social, fiscal et salarial. Des fournisseurs de services habiles et malhonnêtes continueront à jouer sur les législations nationales et à utiliser les points faibles de la directive en s'appuyant sur les directives sectorielles.

    Un exemple : plus de 100.000 travailleurs du bâtiment sont détachés en France pour des contrats ponctuels, la plupart non déclarés. Il existe un dumping social légal portant sur les charges ; en effet, le salarié détaché reste affilié au régime de sécurité sociale de son pays d'origine. En l'espèce, le droit du travail est bafoué légalement.

    Nous sommes, enfin, opposés au mécanisme évaluant les restrictions nationales à la prestation transfrontalière de services. C'est un contrôle inadmissible des Etats par la Commission et un surcroît de bureaucratie communautaire.

    Pour ces raisons, nous voterons contre le rapport Gebhardt.

  • Sarkoflika

    Nicolas Sarkozy a annoncé à Alger un assouplissement des procédures de délivrance des visas de séjour en France des Algériens, ayant obtenu de l'Union européenne la suppression de la consultation préalable à la délivrance d'un visa. Cette « mesure clientéliste », constate Louis Aliot, est « un appel à une immigration supplémentaire dans une France déjà lourdement pénalisée par trente ans de politique irresponsable en la matière et un danger potentiel pour sa sécurité ».

    En faisant droit à cette revendication du gouvernement Bouteflika, Nicolas Sarkozy « flatte une nouvelle fois les sentiments ethniques ou communautaristes en espérant cyniquement en retour, l’appui de millions d’électeurs d’origine algérienne », ajoute le secrétaire général du Front national, qui stigmatise la poignée de mains « Sarkoflika-Bouteflizy ».

    De plus, le Front national « regrette que le ministre de l’intérieur ait déposé une gerbe au monument aux martyrs de la guerre d'indépendance, véritable insulte aux anciens combattants et aux civils, métropolitains, pieds-noirs ou harkis martyrisés par le FLN ».

  • La droite sectaire en action

    Le candidat de gauche a remporté dimanche la cantonale partielle de Mormant, en Seine-et-Marne, par la faute de la droite sectaire.

    La candidate du Front national, Martine Clément-Launay, qui était arrivée en troisième position au premier tour avec 18 % des voix, avait envisagé d’appeler à voter au second tour pour la candidate divers droite soutenue par l’UMP et l’UDF, à condition que ces partis s’engagent localement à faciliter l’obtention de parrainages pour Jean-Marie Le Pen. Il lui a été opposé une fin de non-recevoir méprisante. En conséquence, Martine Clément-Launay a donc appelé ses électeurs à « sanctionner cette attitude suicidaire ».

    De fait la droite, largement majoritaire avec le Front national, a perdu. En outre, il ne s’agit pas seulement d’une cantonale. Si la candidate divers droite avait été élue, la gauche perdait la majorité au conseil régional : la Seine-et -Marne basculait à droite.

    En refusant de contribuer si peu que ce soit au débat démocratique par quelques parrainages à Jean-Marie Le Pen, l’UMP et l’UDF se sont volontairement privés de prendre le contrôle d’un conseil général…

  • Bruno Gollnisch sur altermedia

    Altermedia a réalisé une grande interview audio de Bruno Gollnisch. Vox Galliae en a extrait les propos suivants : « Nous croyons encore être dans un système de liberté [...] mais il s'agit en fait d'un totalitarisme insidieux au cours duquel un certain nombre de dirigeants dévoyés essaient d'empêcher les peuples de se défendre pour revendiquer ce qui est leur droit: le droit à la défense de leur identité, le droit de décider s'ils veulent ou non de tant d'étrangers chez eux. C'est un droit des peuples de dire: "non nous sommes désolés, nous ne voulons pas autant d'étrangers autour de nous". C'est le droit de chacun de chacun de préserver sa maison, de préserver son territoire, de préserver sa patrie, de préserver son identité. Eh bien ceci est culpabilisé et on culpabilise dans tous les domaines. »

    Au sujet de la liberté d'expression, Bruno Gollnisch appelle à venir le soutenir lors de son audience au tribunal correctionnel de Lyon, les 7 et 8 novembre, 67 rue Servient, Lyon (3ème) à partir de 9h30. Il s'agit toujours de l'affaire ahurissante de ses soi-disant "propos sur les chambres à gaz".

  • Un pallier

    Depuis le début de « l’anniversaire » des émeutes de l’an dernier, célébré par les médias d’une façon qui s’apparente à de l’incitation à la violence, les autorités nous répètent chaque matin que les « incidents » de la nuit précédente sont des faits isolés qui n’ont rien à voir avec ces émeutes, que les incendies de véhicules se maintiennent dans la moyenne habituelle (plusieurs dizaines par nuit…), et le drame de Marseille est lui-même monté en épingle comme l’exemple même que tout va bien : c’est l’exception tragique qui confirme que les quartiers de Marseille sont calmes.

    Toutefois, ce matin, cette belle unanimité dans la minimisation des violences a été brisée. A Lyon. Par les pompiers. Qui ont tenu à faire savoir qu’une trentaine de voitures ont été incendiées dans la nuit, que les trois quarts de leurs interventions ont eu lieu à Vénissieux, où ils ont essuyé deux fois des jets de pierres, qu’ils sont également intervenus pour une dizaine de feux sur la voie publique, et surtout que cette nuit « a été agitée par rapport aux précédentes ». Mais la police n’avait rien à dire…

    Même scénario à Saint-Etienne, où les pompiers ont éteint 12 feux de voitures et ont qualifié leur activité de la nuit de « particulièrement élevée ».

    C’est l’AFP qui cite les pompiers de Lyon et de Saint-Etienne. La rédaction de la dépêche semble indiquer que l’agence s’est tournée vers les soldats du feu en constatant que la police refusait de communiquer. Cela en dit long sur ce qui se passe.

    Quand bien même il n’y aurait que les bus brûlés, cela marquerait une aggravation de la situation. Le franchissement d’un pallier. Car il ne s’agit plus de mettre le feu à des véhicules vides en stationnement, il s’agit d’actes de banditisme de grand chemin, à proprement parler de terrorisme, consistant à arrêter un véhicule de transports en commun et à l’incendier après avoir fait descendre des passagers et le conducteur traumatisés.

    « Un scénario a été élaboré, si on voit brûler un ou deux bus par jour, c’est qu’il y a une stratégie de tension, un scénario de provocation », a déclaré Jean-Marie Le Pen lors de sa conférence de presse de Tours. Et en ce qui concerne les affrontements dans les banlieues, « la police doit recevoir des ordres pour agir en état de légitime défense contre ceux qui l’attaquent, y compris par des tirs à balles réelles. Un cocktail Molotov est une arme par destination ». Mais on est loin de telles décisions, puisque, officiellement, il ne se passe rien. Ou si peu.

    A Marseille, les « jeunes » n’ont même pas fait évacuer le bus. Ils ont lancé de l’essence et ont mis le feu, sans s’occuper des passagers. C’est ainsi qu’une étudiante a été très grièvement brûlée. « La sauvagerie quotidienne franchit encore un degré », a noté Bruno Gollnisch dans un communiqué. Sauvagerie dont les responsables, ajoute le délégué général du Front national, sont certes les criminels eux-mêmes, « mais aussi les politiques qui encouragent par idéologie, ou tolèrent par lâcheté, l’irruption de nouveaux barbares, et paraissent surtout préoccupés de leur trouver des excuses ».

    On remarquera que la victime de Marseille s’appelle Mama Galledou. Elle est sénégalaise. C’est une terrible illustration de ce que répète depuis toujours le Front national : les premières victimes de l’immigration sont les immigrés eux-mêmes. Dans les zones de non-droit, les immigrés qui travaillent et respectent les lois sont victimes des bandes. Ce sont leurs voitures qui brûlent, leurs femmes et leurs filles qui ne peuvent plus sortir le soir, et souvent même dans la journée. Dans le bus de Marseille, c’est une étudiante sénégalaise qui a été horriblement brûlée. Par des « jeunes » qui ont « la haine ». La haine de tout ce qui n’est pas leur infra-monde barbare.

    En d’autres circonstances, on aurait entendu certaines ligues invoquer une circonstance aggravante de racisme. Elles se taisent. Le racisme est pourtant ici patent. Il ne s’agit sans doute pas de racisme anti-noir, mais de la haine qui s’exerce à l’égard de personnes « à raison de leur non-appartenance », pour reprendre les termes des lois antiracistes, à la « communauté » des sauvages de banlieue, espèce menacée en paroles, en fait protégée.

  • L’intégration… à l’islam

    Un exemple parmi d’autres : les subventions accordées par le Fonds de cohésion sociale de la région Lorraine.

     

    Lors de la commission permanente du 20 octobre a été votée une subvention de 1.500 euros à l’Association communautaire Maroc-Lorraine de Vandoeuvre-lès-Nancy, pour l’organisation de trois soupes de rupture du ramadan, dont l’objectif est de « permettre aux familles démunies de participer à la vie associative ». En clair, comme le souligne Françoise Grolet, représentant le Front national à la commission permanente, il s’agit de capter les populations les plus influençables de par leur précarité, au profit de la propagation de l’islam dans la région. Seul le Front national a voté contre. Françoise Grolet a dénoncé ce « détournement d’argent public au seul profit de l’accélération de l’islamisation de la Lorraine  », tandis que la soupe au lard est interdite…

     

    La commission permanente a voté d’autre part pas moins de quatre subventions (pour un total de plus de 10.000 euros) à l’ATMF (Association des Travailleurs Maghrébins de France), pour des projets intitulés « ateliers pour les femmes », « activités pour les jeunes », « médiation sociale »…

    L’objectif affiché par l’ATMF sur son site est d’« organiser la communauté maghrébine et au-delà, dans un cadre associatif propice à l’émergence d’une citoyenneté active ». Cette association, faisant, selon les dires de l’exécutif socialiste, un magnifique travail d’intégration par l’action sociale en profondeur, est au contraire, commente Françoise Grolet, le vecteur de tous les combats communautaristes et immigrationnistes. « Son engagement va des prises de position contre la loi sur le voile à l’école aux appels à pétition contre « l’immigration jetable » ou à manifestation pour les squatters de Cachan, jusqu’aux prises de position politiques contre les gouvernements du Maroc et de Tunisie… Grâce à la manne de l’argent public, l’ATMF étend son emprise sur les populations immigrées par des actions tous azimuts (cours de couture, soutien scolaire, permanences sociales, etc.) ;  le  quadrillage des banlieues par ce type d’associations signifie à chaque fois un recul de la souveraineté française. »

     

    La commission permanente a également voté une subvention de 14.000 euros à Radio Caraïb, pour la réalisation d’émissions sur « l’égalité des chances ». Sans doute pour fêter l’anniversaire des émeutes, que Radio Caraïb appelle « colères urbaines »…

  • Marine Le Pen, l’insécurité et la vraie double peine

    Invitée de i-télé, Marine Le Pen, après avoir noté que Nicolas Sarkozy est « incapable de faire régner la sécurité où que ce soit », s’est déclarée « pour une fois d’accord » avec Dominique de Villepin « pour renforcer considérablement les peines quand des policiers sont attaqués ». Et d’ajouter : « Comme d’habitude, les bonnes idées sont récupérées dans le panier du FN quelques semaines avant les élections. Ils reprennent nos positions, mais quand ils sont élus ils ne les appliquent pas. » Pour lutter contre l’insécurité, a-t-elle précisé, il faut « revoir l’ensemble des peines contre les mineurs, remettre les peines plancher, construire des prisons ». A ce propos elle a dénoncé la « double peine » : la véritable double peine, qui consiste à entasser huit prisonniers dans une cellule prévue pour quatre.

  • Louis Aliot sur Toulouse

    Dans un communiqué intitulé « Clandestins : que les élus de gauche paient ! », le secrétaire général du Front national dénonce l’opération de défense d’immigrés « sans-abri » montée à Toulouse. Constatant que « les associations et les élus de gauche contestent les lois républicaines d’une manière scandaleuse », il ajoute : « Le FN demande aux élus de gauche d’engager leur solidarité personnelle en partageant leurs indemnités avec ces familles ou mieux encore de mettre à disposition leurs résidences secondaires pour héberger ces personnes en difficulté. Ce n’est pas aux travailleurs français et aux contribuables de payer les conséquences de la désastreuse politique d’immigration menée par la gauche et par la droite depuis plus de vingt ans ! »