Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 18

  • Une superbe nouvelle

    307182356.jpgLa Fraternité sacerdotale Saint-Pierre annonce l'ouverture d'une paroisse personnelle à Rome. Le décret d'érection de la paroisse, daté du jour de Pâques, établit qu'en conformité avec l'art. 10 du Motu Proprio Summorum Pontificum, « et après reçu la proposition du Cardinal Vicaire, le Saint-Père a décidé que dans le secteur central de Rome, dans le 1er district, dans un lieu de culte approprié, nommément : l'église de Ss. Trinità dei Pellegrini […], devrait être érigée une paroisse personnelle afin de satisfaire aux besoins pastoraux de la communauté entière des fidèles traditionnels résidents dans le dit diocèse ».

    Parmi les diocèses desservis par la Fraternité, c'est le dixième apostolat qui a été érigé en paroisse personnelle à part entière, et le premier en Europe. La Fraternité « espère que cette paroisse particulière ne servira pas seulement les paroissiens locaux mais qu’elle fournira aussi un exemple approprié de la beauté et de la solennité de la célébration de la forme extraordinaire du rite romain aux nombreux pèlerins et étudiants à Rome ».

    L'abbé Joseph Kramer a été nommé curé de la paroisse, Recteur de la vénérable Archiconfrérie de la Sainte Trinité des Pèlerins et Recteur de l'église. Son installation et la célébration de la Sainte Messe officielle d'ouverture de la paroisse auront lieu le 8 juin 2008.

    L’église de la Sainte Trinité des Pèlerins est située en plein centre historique de Rome, à cent mètres de la Place Farnèse (où se trouve l’ambassade de France). Elle fut construite au début du XVIe siècle par la Confraternité de la Très Sainte Trinité des Pèlerins sur une inspiration et sous la direction de saint Philippe Néri, avec la mission spécifique d’héberger et d’entretenir les pèlerins à Rome. Cette église s’enracine donc littéralement dans l’œuvre de saint Philippe, souvent appelé le « troisième apôtre » de la Ville Eternelle, dont la mission fut une réforme authentique ramenant les fidèles à une pratique zélée de la foi grâce aux processions, aux dévotions et à la liturgie.
    199928375.jpg

    Parmi ses trésors, on remarque particulièrement le tableau de la Sainte Trinité, au-dessus du maître-autel, œuvre de Guido Reni (auteur également des fresques de Sainte-Marie-Majeure).

    (Cliquer sur les vignettes pour voir en grand.) 

    (Merci au Salon Beige)

  • Punition ?

    Arnaud Teullé, qui au moment de l’impromptu Martinon aux municipales de Neuilly était devenu le candidat dissident de l’UMP contre le dissident Fromantin, et ex-conseiller de l’Elysée tombé en disgrâce en raison de sa rébellion, a été nommé par le Prince à l’Education nationale, directement au poste d’inspecteur de l’Académie de Paris...

    Comme punition, on a vu pire.

    Il paraît que les enseignants apprécient moyennement...

  • Le Conseil d’Etat et la mosquée de la cité U d’Antony

    Le Conseil d’Etat a rejeté hier le recours des étudiants musulmans de la résidence universitaire d’Antony contre la fermeture de leur « salle de prière » en janvier... mais il affirme leur droit à avoir un lieu de culte.

    Le Conseil d’Etat estime que le Crous « n’a porté aucune atteinte manifestement illégale aux libertés fondamentales de culte et de réunion », parce que les conditions dans lesquelles cette salle était utilisée ne permettaient pas de garantir « les moyens de veiller à sa sécurité ».

    Il ne justifie la fermeture que pour ces raisons de sécurité, et il ajoute : « En l’absence de disposition législative ou réglementaire spécifique à la pratique des cultes dans les résidences universitaires, le Crous doit respecter tant les impératifs d’ordre public que le droit de chaque étudiant à pratiquer, de manière individuelle ou collective et dans le respect de la liberté d’autrui, la religion de son choix. »

    Autrement dit, le Conseil d’Etat donne raison, sur le fond, aux musulmans, alors que jusqu’ici il était admis par tous, au nom de la « laïcité », qu’il ne pouvait pas y avoir de lieu de culte dans une résidence universitaire.

    Désormais, face à la religion dominante, on décrète que les étudiants ont droit à des lieux de culte.

    J’ai beau écouter attentivement, je n’entends pas les cris des défenseurs patentés du laïcisme...

    Il est vrai que si l’interdiction des lieux de culte dans les résidences universitaires est conforme à l’esprit de la loi de 1905, il n’y a rien dans le texte même de la loi qui puisse appuyer cette interprétation.

    Quoi qu’il en soit, les étudiants catholiques doivent s’engouffrer dans la brèche. Le Conseil d’Etat a décrété que le Crous doit respecter leur droit à pratiquer leur religion de manière collective.

    Il est de leur devoir de réclamer du Crous, dans toutes les résidences universitaires, une salle qui puisse être transformée en chapelle.

    On ose espérer qu’ils soient soutenus dans cette démarche par le clergé.

    L’action ou l’inaction dans ce domaine sera un test de l’état de dhimmitude de notre pays.

  • Sic

    Jamel Debbouze et Melissa Theuriau vont se marier aujourd’hui à l'abbaye des Vaulx de Cernay (hôtel de luxe de la vallée de Chevreuse).

    René Mémain, le maire de Cernay-la-Ville, fera expressément le déplacement pour célébrer le mariage civil.

    Suivra une cérémonie religieuse de 45 minutes, durant laquelle des textes de la Bible et du Coran seront lus, avant l’échange de serments et la bénédiction des alliances . Comme il y aurait eu un « malentendu » avec le très pipole abbé de la Morandais , Jamel Debbouze et Mélissa Theuriau ont fait appel au curé de Saint-Louis-en-l’île, le père Gérard Pelletier (Jamel habite un appartement de 300 m2 sur l’île Saint Louis).

    Les jeunes mariés et leurs invités feront la fête jusqu'au bout de la nuit après un feu d'artifice.

    Puis ils embarqueront leurs 300 invités à Marrakech dans un avion affrété pour l'occasion.

    Arrivés au Maroc, ils officialiseront leur union devant un imam.

    Et ils devraient être reçus par Mohamed VI et ses sœurs les princesses, dans l’enceinte du palais que le Roi possède dans la ville rose.

    En juillet, le Père Gérard Pelletier, qui est aussi professeur à l’Ecole Notre-Dame de Paris, prêchera une retraite « Etre disciple du Christ sur les pas de saint Paul », au Foyer de charité (Marthe Robin) de Tressaint (Côtes-d’Armor).

    Fermez le ban.

  • Les parents de sainte Thérèse

    Louis et Zélie Martin, les parents de sainte Thérèse de Lisieux, pourraient être bientôt béatifiés : c'est dans le cadre de ce procès de béatification que leurs corps devraient être exhumés très prochainement en vue d'un transfert à la crypte de la Basilique.

    Mgr Bernard Lagoutte, recteur de la basilique Sainte-Thérèse et directeur du pèlerinage de Lisieux tiendra une conférence de presse à ce sujet lundi prochain.

    Les parents de sainte Thérèse ont été proclamés « vénérables » en 1994. La congrégation pour les Causes des saints a publié un décret approuvé par Benoît XVI reconnaissant qu'ils ont vécu les vertus de foi, d'espérance et de charité de façon héroïque.

    A l'occasion du passage des reliques de sainte Thérèse à Rome en novembre dernier, le P. Antonio Sangalli avait rappelé « l'importance » de prier pour la béatification des parents de sainte Thérèse, « pour la famille aujourd'hui ».

    Une guérison présumée miraculeuse d'un nouveau-né dans la ville italienne de Monza est actuellement examinée. Son entourage avait prié les époux Martin pour cette guérison.

    Le pèlerinage de Lisieux célèbre cette année le 150e anniversaire du mariage de Louis et Zélie Martin : le 12 juillet à Alençon, lieu du mariage, et le 13 à Lisieux (« journée des familles »), en présence et sous la présidence du cardinal Saraiva Martins, préfet de la Congrégation pour la cause des Saints.

  • Le Rosaire

    Dans la soirée du 3 mai, le Pape Benoît XVI a dirigé la prière mariale du Rosaire à Sainte-Marie-Majeure, devant l'icône de la « Salus Populi Romani », en présence notamment du nouveau maire de Rome Gianni Alemanno. Extrait de son allocution :

    Nous confirmons ensemble aujourd'hui que le Rosaire n'est pas une pratique reléguée au passé, comme une prière d'un autre temps à laquelle on pense avec nostalgie. Le Rosaire connaît au contraire un nouveau printemps. C'est sans aucun doute un des signes les plus éloquents de l'amour que les jeunes générations nourrissent pour Jésus et pour sa mère Marie. Dans le monde actuel qui est si fragmenté, cette prière nous aide à placer le Christ au centre, comme le faisait la Vierge , qui méditait intérieurement tout ce qui se disait sur son Fils, et ensuite ce qu'Il faisait et disait. Quand on récite le chapelet, on revit les moments importants et significatifs de l'histoire du salut; on parcourt de nouveau les différentes étapes de la mission du Christ. Avec Marie, on tourne son cœur vers le mystère de Jésus.  On place Jésus au cœur de notre vie, de notre temps, de nos villes, à travers la contemplation et la méditation de ses saints mystères de joie, de lumière, de douleur et de gloire. Que Marie nous aide à ac! cueillir en nous la grâce qui émane de ses mystères, afin qu'à travers nous elle puisse «irriguer» la société, à partir de nos relations au quotidien, et la purifier de si nombreuses forces négatives en l'ouvrant à la nouveauté de Dieu. Le Rosaire, quand il est prié de manière authentique, non d'une manière mécanique et superficielle, mais profonde, apporte en effet la paix et la réconciliation. Il contient en lui-même la puissance qui guérit du très saint Nom de Jésus, invoqué avec foi et amour au centre de chaque Ave Maria.

  • Saint Stanislas

    Le souvenir du ministère de saint Stanislas sur le siège de Cracovie, qui dura à peine sept ans, et en particulier le souvenir de sa mort, accompagna sans cesse, au cours des siècles, l'histoire de la nation et de l'Eglise qui est en Pologne. Et dans cette mémoire collective, le saint Evêque de Cracovie resta présent comme le Patron de l'Ordre moral et de l'ordre social dans notre patrie.

    En tant qu'évêque et pasteur, il annonça à nos ancêtres la foi en Dieu, il greffa en eux, à travers le saint Baptême, la Confirmation , la Pénitence et l'Eucharistie, la puissance salvifique de la Passion et de la Résurrection de Jésus Christ. Il enseigna l'ordre moral dans la famille fondée sur le mariage sacramentel. Il enseigna l'ordre moral au sein de l'Etat, rappelant même au roi que dans son action, il devait garder à l'esprit la loi immuable de Dieu. Il défendit la liberté, qui est le droit fondamental de chaque homme et qu'aucun pouvoir, sans violer l'ordre établi par Dieu lui-même, ne peut ôter à personne sans raison. A l'aube de notre histoire, Dieu, Père des peuples et des nations, nous manifesta à travers ce saint Patron que l'ordre moral, le respect de la loi de Dieu et des justes droits de chaque homme, est la condition fondamentale de l'existence et du développement de chaque société.

    L'histoire fit également de Stanislas le Patron de l'unité nationale. Lors-qu'en 1253 arriva pour les Polonais l'heure de la canonisation du premier fils de leur terre, la Pologne vivait l'expérience douloureuse de la division en duchés régionaux. Et ce fut précisément cette canonisation qui éveilla chez les Princes de la dynastie des Piast, qui était au pouvoir, le besoin de se réunir à Cracovie, afin de partager, auprès de la tombe de saint Stanislas et sur le lieu de son martyre, la joie commune pour l'élévation de l'un de leurs compatriotes à la gloire des autels dans l'Eglise universelle. Tous virent en lui leur patron et leur intercesseur auprès de Dieu. Ils lui associèrent les espérances d'un avenir meilleur pour leur patrie. De la pieuse tradition qui rapporte que le corps de Stanislas, assassiné et découpé en morceau, se serait à nouveau recomposé, naissait l'espérance que la Pologne des Piast réussirait à surmonter la division dynastique et serait redevenue un Etat à l'unité durable. Dans la perspective de cette espérance, dès la canonisation, le saint Evêque de Cracovie fut élu comme le Patron principal de la Pologne et le Père de la Patrie.

    Ses reliques, déposées dans la cathédrale de Wawel, étaient l'objet de la vénération religieuse de la part de toute la nation. Cette vénération acquit une nouvelle signification au cours de la période des divisions, lorsque venant de l'autre côté des frontières, en particulier de la Silésie , des Polonais arrivaient ici, désirant venir auprès de ces reliques qui rappelaient le passé chrétien de la Pologne indépendante. Son martyre devint le témoignage de la maturité spirituelle de nos ancêtres et acquit une éloquence particulière dans l'histoire de la nation. Sa figure était le symbole de l'unité qui désormais était édifiée non sur la base du territoire d'un Etat indépendant, mais sur celle des valeurs éternelles et de la tradition spirituelle, qui constituaient le fondement de l'identité nationale.

    Saint Stanislas fut également le Patron des luttes pour la survie de la patrie au cours de la Deuxième Guerre mondiale, dont l'issue dans notre pays coïncide avec sa fête, au mois de mai. Du haut des cieux, il participa aux épreuves de la nation, à ses souffrances et à ses espérances. A l'époque difficile de la reconstruction du pays, après la guerre, et de l'oppression par des idéologies ennemies, le pays soutenu par son intercession remportait des victoires et entreprenait des efforts visant à un renouveau social, culturel et politique. Depuis des siècles, saint Stanislas est considéré comme le protecteur de la véritable liberté et le maître d'une union créative entre la loyauté à l'égard de la patrie terrestre et la fidélité à Dieu et à sa Loi - cette synthèse qui a lieu dans l'âme des croyants.

    (Lettre de Jean-Paul II à l’archidiocèse de Cracovie et à l’Eglise qui est en Pologne, 8 mai 2003)

  • Le « fiasco » de la vidéosurveillance

    « Des milliards de livres ont été dépensés dans le matériel mais on n’a pas réfléchi à la manière dont la police allait utiliser les images et comment elles seraient présentées devant un tribunal. C’est un véritable fiasco », déclare Mike Neville, responsable du bureau des images, identifications et détections visuelles de Scotland Yard.

    Dans la décennie 1990, le ministère de l’Intérieur a consacré 78% de son budget de lutte contre la criminalité à l’installation de caméras de vidéo-surveillance. Il y en a 4,2 millions dans le pays, soit une pour 14 Britanniques. Un individu peut être filmé jusqu’à 300 fois par jour.

    Mais 3% seulement des vols sur la voie publique à Londres ont été élucidés grâce ces images.

    Les caméras n’ont guère de rôle préventif, car les malfrats pensent qu’elles ne fonctionnent pas.

    En réalité, les policiers rechignent à utiliser ces images, « parce que c’est un gros travail ».

    Cela fait penser aux systèmes américains style Echelon qui sont censés tout voir et tout connaître dans tous les genres de transmission, et qui ne servent à rien, surtout pas à savoir qui fait quoi. Il est patent, par exemple, que les Américains ne savaient rien sur l’Irak de Saddam Hussein, parce qu’ils faisaient confiance à leur technologie (ou à des margoulins comme Ahmed Chalabi) et avaient abandonné le renseignement de terrain qui est seul fiable.

    Là aussi, trop d’info tue l’info.

  • Delanoë demande l’interdiction...

    D’une manifestation.

    De la manifestation raciste et anti-française des Indigènes de la République ?

    Bien sûr que non.

    De la manifestation en mémoire de Sébastien Deyzieu.

    « Il m’apparaît déplacé qu’au lendemain du 8 mai soit autorisé un rassemblement, qui sous couvert d’honorer la mémoire d’un homme, est en réalité une manifestation faisant l’apologie du fascisme », écrit le maire de Paris au préfet de police.

    Il ne lui apparaît nullement déplacé que le jour même du 8 mai soit organisé un défilé de haine contre la France et les Français.

    M. Delanoë, vous êtes à vomir.

  • Une nouvelle manifestation de racisme anti-français

    Communiqué de Bernard Antony, président de l'AGRIF

    Les indigènes de la République appellent à une marche contre « la république raciste et coloniale » afin de célébrer, entre autres, « les résistances des peuples qui ont imposé l’abolition de l’esclavage » et la « victoire » de Diên Biên Phu.

    Il est évidemment moins risqué de marcher contre l’esclavage en France où il n’existe plus, plutôt que dans certains pays d’Afrique ou du Moyen-Orient où il n’a jamais cessé d’être pratiqué. Par ailleurs, il est révélateur que ces drôles d’indigènes célèbrent la victoire communiste de Diên Biên Phu qui a entraîné l’asservissement du peuple vietnamien dans l’enfer de l’ordre stalino-maoïste de l’oncle Hô.

    L’AGRIF dénonce cette nouvelle manifestation de racisme anti-français et rappelle qu’elle a été la première à répliquer à ces « indigènes » en poursuivant en justice leur porte parole Houria Bouteldja, pour ses propos racistes à l’encontre des « blancs » en général et des Français en particulier, qualifiés par elle de « souchiens » sur une chaîne de télévision publique en juin 2007. Le procès doit venir bientôt.

    L’AGRIF demande aux autorités françaises de condamner la nouvelle provocation raciste anti-française de ce collectif et d’interdire la manifestation du 8 mai.

    L’AGRIF appelle tous ses militants à réagir par voie de courriel ou de courriers auprès des ministères de l’intérieur, des anciens combattants et auprès du Président de la République lui-même.