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  • Un triste petit plat de lentilles

    La fiancée du plus âgé des petits-fils de la reine Elizabeth II a quitté l’Eglise catholique pour devenir anglicane, afin qu'il n'ait pas à renoncer à son droit de succession à la Couronne britannique, a annoncé un porte-parole du palais de Buckingham.

    Peter Phillips, 30 ans, fils de la princesse Anne et de son premier mari Mark Phillips, pourra ainsi conserver son… 11e rang dans l'ordre de succession au trône, quand il épousera Autumn Kelly, 31 ans, une Canadienne consultante en management, le 17 mai à Windsor.

  • Le Mont Saint-Michel : 1.300 ans

    Revêtu d'une chasuble blanche brodée de fils d'or et coiffé de la calotte rouge des cardinaux, l'archevêque de Paris, Mgr Vingt-Trois, a lancé hier, par une messe solennelle en ce jour de l’Ascension, les célébrations du 1.300e anniversaire du Mont-Saint-Michel. Car c’est en 708 que l'évêque Aubert, inspiré par des apparitions de l'archange, décide de construire un sanctuaire sur le Mont Tombe. Cette premère église sera consacrée en 709.

    « Le 13e centenaire du Mont, c'est le signe de la continuité de la présence chrétienne en ce lieu de prière monastique qui a repris il y a quelques dizaines d'années et qui continue aujourd'hui. C'est le signe de la fécondité de la foi à travers la beauté du monument », a-t-il déclaré à la presse. (Cinq frères et cinq soeurs de la Fraternité monastique de Jérusalem sont installés en permanence à l'abbaye qui domine le Mont.)

    Accompagné de huit évêques et de plusieurs dizaines de prêtres, l'archevêque de Paris a commencé la journée de célébration par un office religieux au pied du Mont. Sous un soleil radieux, ils ont ensuite gravi en chantant les 365 marches conduisant à l'abbaye. « Quel signe plus providentiel que d'ouvrir ce 13e centenaire le jour de la fête de l'Ascension, puisque celui qui contemple le Mont Saint-Michel voit combien il est un signe entre le ciel et la terre ? a déclaré Mgr Vingt-Trois en ouvrant la messe. Car aussi bien quiconque s'approche du Mont peut voir de ses yeux simplement ouverts comment il unit et la terre et la mer et le ciel : il se dresse comme un signe de la vocation que Dieu lance à tous les hommes de partager sa propre vie. C'est le sens de cette fête de l'Ascension quand le Christ ressuscité rejoint le sein du Père et entraîne avec lui l'humanité tout entière dont il est devenu l'un des membres à part entière. »

    Dans sa belle homélie, il a dit notamment :

    « Regardez cette image à partir de la base : à la fois harmonieuse mais large, solide dans son grès, plantée en terre et en mer, résistante au flux et au reflux, profondément enracinée, comme scellée au sol lui-même. Image de notre existence elle-même, plongée tout entière et comme collée aux contraintes, aux espérances et aux souffrances de cette vie. Quand nos yeux s'élèvent, nous voyons peu à peu se rétrécir ce monticule pour devenir une simple flèche dressée dans le ciel dans l'élégance de sa dentelle architecturale, comme si peu à peu, de cette expérience humaine, s'était dressée comme l'essence d'une réalité moins visible à la base et qui se dégage peu à peu vers le sommet pour donner la vision de la dynamique de l'élan de l'être vers la puissance de Dieu. Oui, au sommet du Mont, nous sommes plus proches de la réalité divine à laquelle Dieu nous appelle. »

  • Solennité de saint Joseph artisan

    Le premier Joseph garda en Egypte le pain naturel. Le second Joseph garda en Egypte le pain surnaturel. Tous deux furent les hommes du mystère ; et le rêve leur dit ses secrets. Tous deux furent instruits en rêve, tous deux devinèrent les choses cachées. Penchés sur l'abîme, leurs yeux voyaient à travers les ténèbres. Voyageurs nocturnes, ils découvraient leurs routes à travers les mystères de l'ombre. Le premier Joseph vit le soleil et la lune prosternés devant lui. Le second Joseph commanda à Marie et à Jésus ; Marie et Jésus obéissaient.

    Dans quel abîme intérieur devait résider l'homme qui sentait Jésus et Marie lui obéir, l'homme à qui de tels mystères étaient familiers et à qui le silence révélait la profondeur du secret dont il était gardien. Quand il taillait ses morceaux de bois, quand il voyait l'Enfant travailler sous ses ordres, ses sentiments, creusés par cette situation inouïe, se livraient au silence qui les creusait encore ; et du fond de la profondeur où il vivait avec son travail, il avait la force de ne pas dire aux hommes : le Fils de Dieu est ici.

    Ernest Hello

  • Un seul détail réel pour l’Etat Européiste français : son Peuple

    Communiqué du FNJ

    Le Front National de la Jeunesse fait bloc derrière son Président, Jean-Marie Le Pen et dénonce sans réserve le diktat de la pensée unique de l’establishment UMPS/PC/MODEM.

    Depuis des décennies les eunuques de la politique interdisent toutes pensées libres. La Jeunesse de la France ne veut plus être mise au bûcher de la « judeomania » et autres lobbies.

    Nous appelons tous les Enfants de France qui veulent être libres à nous rejoindre dans notre Combat le plus Sacré : celui de la libération de notre vieille Nation réduite à l’état de vassale des lois Fabius-Rocard-Gayssot et autres serviteurs des négriers de notre Peuple.

    Le véritable point de détail de l’Histoire semble être pour l’Etat Européiste qui prétend gouverner notre Nation son Peuple.

    Le projet de Constitution et son rejet par référendum en est l’exemple : le Peuple dit NON ! L’Etat considère que c’est un détail et fait admettre ce texte par l’Assemblée qui n’a plus rien de Nationale.

    Les Français réclament du pain ? Là encore détail de l’Histoire, c’est les immigrés non régularisés qui travaillent pour engraisser les patrons-voyous et l’Etat français européiste.

    Les gens qui n’ont pas d’âme n’ont qu’une idée : vous priver de la vôtre. L’âme d’un Peuple n’est pas un détail.
    Réagissons avant que notre jeunesse et donc l'avenir de notre Nation ne soit qu’un détail !

    Pour le rétablissement de la liberté, rejoignez nos rangs !

    L’AVENIR DE LA FRANCE APPARTIENT A SA JEUNESSE !

    VIVE LA LIBERTE D’EXPRESSION !

    VIVE LA LIBERTE DE PENSER !

    VIVE LA FRANCE !

    FRONT NATIONAL DE LA JEUNESSE (LIBRE !).

  • Le Pen le 1er mai

    Extraits du discours prononcé place des Pyramides


    Jeanne

    Personnage historique au parcours indiscutable, elle fut au plan spirituel Sainte et Martyre, au temporel, elle fut un grand chef de guerre et un grand chef politique. Elle parlait un français tel, qu’Alain Fournier a pu en dire que c’était du « français du Christ ». Amour du peuple, amour de la Patrie terrestre qu’elle ne sépare jamais de la Patrie céleste, légitimité, autorité du Roi, indépendance de la France, identité et sécurité des français, rassemblement des forces nationales, action vigoureuse contre l’ennemi, foi dans l’avenir, tels furent ses principes et ses objectifs. Six siècles plus tard, tels sont les nôtres !

    L’Europe

    « L’Europe » est l’unique grand dessein de la classe politique, l’alibi de son impuissance, le masque de sa lâcheté.

    La religion antiraciste

    Oui, depuis 35 ans, nous vivons sous une insupportable chape de plomb, qui prétend consacrer comme vérités officielles les points de vue de l’antiracisme militant. La religion antiraciste transforme certaines opinions en véritables blasphèmes, et ce qu’il faut bien appeler l’idéologie officielle, impitoyable et totalitaire, asservit le peuple français et consacre un véritable recul de civilisation. Non, mesdames et messieurs, la France n’est plus un pays libre, ni d’ailleurs un pays d’hommes libres. Tout le monde se couche, tout le monde s’écrase, tout le monde se tait, pour ne pas offenser les puissants, pour ne pas encourir leurs foudres. Je me fais une autre idée de l’homme, et une autre idée de ma fonction de tribun du peuple. Non, je ne plierai pas face aux oukases de l’orthodoxie officielle. Non, je ne cracherai pas à la figure de la liberté et de la vérité. Je ne fuirai pas. Je ferai face, conformément à ce que j’ai toujours été, conformément à ce que je crois juste, conformément à ce que je suis. L’homme n’est homme qu’au travers des principes qu’il se donne et des disciplines auxquelles il s’astreint.

    Assez de repentance ! Assez d’autodénigrement ! Assez de masochisme ! Nous voulons vivre libres, c’est-à-dire debout, fiers de nos anciens et de nos droits immémoriaux ! Et cette liberté, elle nous autorise à demander, à exiger, l’immigration zéro, l’insécurité zéro, la préférence nationale totale ! Pour les logements, les emplois, les aides sociales, Français premiers servis !

    S’il est un message que nous pouvons, que vous pouvez, dès ce soir, en regagnant vos fédérations, adresser à tous nos compatriotes, c’est ce message de fierté retrouvée que j’emprunterai à un personnage historique du nationalisme arabe, Gamal Abdel Nasser : « Relève la tête, mon frère, car les jours d’humiliation sont passés ! » Oui, relevez la tête, Français, les jours d’humiliation sont passés ! Vous êtes en train de reprendre possession de votre histoire ! Vous êtes en train de briser les chaînes avec lesquelles des générations de dirigeants politiques, économiques et syndicaux ont voulu entraver votre marche libre vers des lendemains de paix et de prospérité ! Vous êtes en train d’écrire à nouveau votre destin ! Vous êtes bien les héritiers de Jeanne, la plus belle des saintes qui ait été offerte à notre vénération, parce que sainte de tout un peuple, de notre peuple ! Suivons sa geste héroïque éternelle et la morale de sa vie, illuminée de sagesse divine, Combattons ! Et si Dieu le veut, pour nous aussi, la victoire nous sera accordée de surcroît.

  • L’Ascension

    En cette solennité, frères très chers, il nous faut considérer avant tout que le décret qui nous condamnait a été aujourd’hui abrogé, et abolie la sentence qui nous vouait à la corruption. Car cette même nature à qui il avait été dit : «Tu es terre, et dans la terre tu iras» (Gn 3, 19), est aujourd’hui montée au ciel. C’est en vue de cette élévation de notre chair que le bienheureux Job, parlant du Seigneur d’une manière figurée, le nomme un oiseau. Considérant que le peuple juif ne comprendrait pas le mystère de l’Ascension, Job déclare à propos du manque de foi de ce peuple : «Il n’a pas reconnu la route de l’oiseau.» (Jb 28, 7). C’est à juste titre que le Seigneur a été appelé «oiseau», puisque son corps de chair s’est élancé vers l’éther. Celui qui n’a pas cru à l’Ascension du Seigneur au ciel n’a pas reconnu la route de cet oiseau.

    C’est de la fête d’aujourd’hui que le psalmiste affirme : «Ta magnificence s’est élevée au-dessus des cieux.» (Ps 8, 2). Et encore : «Dieu est monté au milieu d’une grande joie, le Seigneur au son de la trompette.» (Ps 47, 6). Et enfin : «Montant sur les hauteurs, il a emmené en captivité notre captivité; il a offert des dons aux hommes.» (Ps 68, 19). Oui, montant sur les hauteurs, il a emmené en captivité notre captivité, puisqu’il a détruit notre corruption par la puissance de son incorruptibilité. Il a également offert des dons aux hommes : ayant envoyé du Ciel l’Esprit, il a accordé à l’un une parole de sagesse, à un autre une parole de science, à un autre le pouvoir d’opérer des miracles, à un autre le don des guérisons, à un autre la diversité des langues, à un autre l’interprétation de la parole (cf. 1 Co 12, 8-10). Il a donc bien offert des dons aux hommes.

    C’est aussi de cette glorieuse Ascension que Habacuc a dit : «Le soleil s’est élevé, et la lune s’est maintenue à sa place.» (Ha 3, 11, d’après les Septante). En effet, que désigne le prophète par le terme de soleil, sinon le Seigneur, et par le terme de lune, sinon l’Eglise? Tant que le Seigneur ne s’était pas encore élevé dans les cieux, sa sainte Eglise était paralysée par la crainte des oppositions du monde, tandis qu’après avoir été fortifiée par son Ascension, elle s’est mise à prêcher ouvertement ce qu’elle avait cru en secret. Le soleil s’est donc élevé, et la lune s’est maintenue à sa place, puisque le Seigneur ayant atteint le Ciel, l’autorité de la prédication de sa sainte Eglise s’en est accrue d’autant.

    Au sujet encore de l’Ascension, Salomon prête à cette Eglise la parole suivante : «Le voici qui vient, bondissant sur les montagnes et franchissant les collines.» (Ct 2, 8). Considérant les points saillants des grandes œuvres du Seigneur, l’Eglise dit : «Le voici qui vient, bondissant sur les montagnes.» Car le Seigneur, en venant pour nous racheter, a exécuté, si je puis dire, des bonds. Voulez-vous les connaître, ces bonds, frères très chers? Du Ciel il est venu dans un ventre, du ventre dans la crèche, de la crèche sur la croix, de la croix au sépulcre, et du sépulcre il est retourné au Ciel. Voilà les bonds que la Vérité manifestée dans la chair a accomplis en notre faveur, pour nous faire courir à sa suite, car «le Seigneur s’est élancé joyeux comme un géant pour parcourir sa voie» (Ps 19, 6), afin que nous puissions lui dire de tout notre cœur : «Entraîne-nous après toi, et nous courrons à l’odeur de tes parfums.» (Ct 1, 4)

    (Saint Grégoire le Grand)