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Culture de mort - Page 146

  • Grégor Puppinck dénonce la répression valssienne à l’ONU

    On connaît bien, désormais, les interventions de Grégor Puppinck, directeur du Centre européen pour la loi et la justice, devant la Cour européenne des droits de l’homme. Mais son organisation est également agréée par les Nations Unies. C’est ainsi que, ce 6 juin, il a dénoncé devant le Conseil des droits de l’homme de l’ONU à Genève, les « événements graves qui se produisent actuellement en France en matière de contrôles d'identités, d'arrestations et de détentions arbitraires ainsi que de violences policières ».

    Vidéo et texte ici (via le Salon Beige).

    Gégor Puppinck a lui-même participé aux manifestations, notamment celle du 24 mars, où il devait prononcer un discours, mais il fut évincé au dernier moment. Interview et texte de son discours ici.

  • Le délire du genre

    En Australie, la cour d’appel de Nouvelle-Galles du Sud annule l’obligation d’enregistrer un citoyen comme homme ou femme. On doit pouvoir être enregistré comme ni homme ni femme, si l’on décide d’être sans-genre, ce qui est le cas de la personne à l’origine de la décision.

    L'affaire a été renvoyée à un tribunal administratif qui doit statuer sur la désignation officielle de ce nouveau genre.

    Le citoyen australien a depuis 2011 la possibilité de se déclarer « neutre » sur son passeport, mais pas sur les certificats de naissance, de décès et de mariage.

  • Taubira convoque les 200 parquetiers pour un stage obligatoire de propagande LGBT

    Les magistrats des parquets étaient tous convoqués ce lundi au ministère de la Justice pour une réunion, suivie d’un stage de deux jours sur « les violences et discriminations commises à raison de l'orientation sexuelle ou de l'identité de genre ». C’est véritablement une obsession.

    L’USM, qui trouve cette réunion « parfaitement légitime dans son principe » (parce que les parquets n’ont sans doute rien de plus important à faire que de traquer les fantasmes d’homophobie), se rebiffe quand même face à l’autoritarisme de la Taubira.

    Le syndicat souligne que, comme le rappelle un projet de loi actuellement devant le Parlement, « les interlocuteurs naturels de la chancellerie sont les procureurs généraux » et non les autres magistrats des parquets, « qui n'ont pas vocation à sacrifier une partie de leur week-end pour se déplacer et être présents à Paris, un lundi matin à 9 heures ».

    En outre : « Le ton comminatoire employé par la directrice des affaires criminelles et des grâces (…) pour ordonner leur présence et imposer (de quel droit ?) leur participation à un stage de deux jours organisés dans le prolongement de cette réunion est à cet égard totalement inadmissible. Le lien hiérarchique n'implique ni autoritarisme d'un côté, ni soumission de l'autre. Le ton employé est ressenti comme une marque de mépris pour ces magistrats qui, au quotidien, tentent de faire fonctionner des parquets exsangues, surchargés de commandes et dotés de moins en moins de moyens, tant humains que matériels pour assurer leurs missions. »

    Enfin : « Nous suggérons par ailleurs que si des précisions techniques ou procédurales devaient être directement apportées aux magistrats des juridictions, elles le soient par voie dématérialisée, par le biais de visioconférences ou à l'occasion de déplacements de membres de vos services dans ces mêmes juridictions », ce qui éviterait « les dépenses somptuaires liées au déplacement de nombreux parquetiers, deux cents dans le cas d'espèce, en total décalage avec les restrictions budgétaires drastiques imposées aux juridictions ».

  • Les prétendues « dérogations »

    En France, jusqu’à présent, la recherche sur l’embryon humain est interdite. Sauf « dérogation ». Or on apprend, à la faveur des troisièmes Journées de l’Agence de la biomédecine, que depuis 2005 « plus de 70 projets de recherche sur les embryons ou les cellules souches embryonnaires ont été autorisées à titre dérogatoire».

    Et que 12 projets seulement ont été rejetés.

    Il ne s’agit donc en aucune manière de « dérogations », puisque c’est la grande majorité des projets qui est acceptée. Il s’agit simplement d’une autorisation préalable. Et d’un énorme scandale de la culture de mort.

  • SOS Homophobie a de nouveau le label Education nationale…

    Le ministère de Vincent Peillon a de nouveau donné l’agrément national au lobby homosexualiste SOS Homophobie pour qu’il puisse librement faire sa propagande homosexuelle dans les écoles.

    Le ministre de Sarkozy Luc Chatel avait déjà donné l’agrément national à SOS Homophobie en 2009, mais il avait été annulé par le tribunal administratif de Paris en novembre dernier sur plainte de la Confédération nationale des associations familiales catholiques.

    On nous rappelle que le tribunal avait rejeté le « module de sensibilisation », au motif que la « formulation de certaines des réflexions de ce document est susceptible de porter atteinte aux convictions religieuses et philosophiques tant des élèves que de leurs parents ou des enseignants ».

    On suppose donc que la formulation a été revue de façon cosmétique…

    Mais il ne faut pas oublier que le jugement du tribunal était un  jugement de fond : les interventions de SOS Homophobie dans les écoles, affirmait-il, « méconnaissent les principes de neutralité politique et philosophique, de liberté de conscience, de laïcité et du droit des parents sur l’éducation de leurs enfants ».

    Ce sera toujours le cas. Mais le climat a tellement changé ces derniers mois que le même tribunal n’affirmerait sans doute plus cela. Et la dictature homosexualiste a atteint un tel degré que la CNAFC ne se hasardera sans doute pas à réitérer son action : elle pourrait bien être condamnée pour homophobie…

  • « En croyant, qu'ils aient la vie »

    Cet intitulé est celui de la « Journée Evangelium Vitae » organisée à Rome les 15 et 16 juin prochains. Il y aura notamment une procession aux flambeaux le samedi soir (avec des groupes venant du monde entier), et le pape présidera la messe du dimanche matin pour « le peuple de la vie ».

  • En Lituanie, l’avortement va revenir devant le Parlement

    Les députés lituaniens de la minorité polonaise avaient déposé une proposition de loi interdisant l’avortement sur le modèle de la loi polonaise. Le Parlement, par 46 voix contre 19 et 25 abstentions, a décidé de renvoyer la proposition en commission. Il a donc accepté d’en débattre.

    Actuellement la loi sur l’avortement en Lituanie est similaire à la loi française.

    Comme quoi on peut très bien chercher à revenir sur une loi votée, promulguée et appliquée.

  • « Evêque, c’est par toi que je meurs »

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    Les occasions sont hélas fréquentes d’actualiser l’apostrophe de sainte Jeanne d’Arc. Comment ne pas la réitérer quand on voit cette photographie de l’archevêque de Rouen accueillant chaleureusement et tout sourire la « présidente » des fêtes de Jeanne d’Arc 2013, porte-parole marocaine et musulmane du gouvernement français, ministre des Droits des femmes et ardente militante du prétendu « mariage » homosexuel. Une autre photo (dans le diaporama ici à la fin de l’article) montre Mgr Descubes écoutant religieusement l’allocution de Najat. A quelques dizaines de mètres de la nomenklatura politico-religieuse, des chrétiens sont parqués par les forces de l’ordre sous la surveillance de CRS en tenue de combat, des chrétiens et d’autres gens normaux considérés comme des séditieux parce qu’ils disent comme l’Eglise catholique et comme le dictionnaire officiel de la République française et comme le bon sens universel qu’il ne peut y avoir de mariage qu’entre un homme et une femme.

    Demain mercredi, la même Najat Vallaud-Belkacem, ministre des droits des femmes, assistera au prétendu premier « mariage » entre deux hommes. A Montpellier. C’est elle, paraît-il, qui avait suggéré à Vincent Autin, président de l'Inter-LGBT Languedoc-Roussillon, d’inaugurer la loi, et qui sera donc la « marraine » de cette parodie de cérémonie républicaine. Ce sera demain, parce que le décret d’application a été publié aujourd’hui au Journal Officiel. Il y a des lois qui attendent des mois, voire des années, un décret d’application (et il n’est pas si rare que le décret n’arrive jamais), mais pour la loi de destruction du mariage il n’aura fallu que dix jours. C’était tellement urgent de piétiner la loi naturelle, et l’Eglise qui la défend, et les millions de Français qui refusent l’infamie.

  • Des « mariés » exemplaires

    Dans le Connecticut, une paire homosexuelle va être jugée pour viols et tortures sur enfants.

    Les deux hommes avaient déjà été arrêtés en 2011, sur l’accusation de deux enfants, mais il n’y avait pas eu de procès, faute de preuves.

    Car en outre ces deux hommes étaient cités en exemples. L’un des deux avait deux enfants, et ils en avaient adopté neuf autres. Notamment des enfants souffrants de troubles affectifs, venant de familles à problèmes. Car leur but était « d’offrir un bon foyer, avec de fortes valeurs familiales », à des enfants qui ont « un grand besoin d’amour inconditionnel ». Ils prenaient bien soin de ne pas séparer les fratries, et la thérapie consistait notamment à faire participer les enfants à l’élevage de chiots, qui est une des sources de revenus de la « famille », expliquait la presse qui ne tarissait pas d’éloges sur ces homosexuels exemplaires. Et qui n’en parle plus…

    (Via Novopress)

  • Les marches pour la vie en Pologne

    On a dénombré hier 107 marches pour la vie en Pologne. Il y en avait eu 50 l’an dernier. Cette année le thème était la défense de la famille. A Varsovie, plusieurs dizaines de Français, avec le plein soutien des organisateurs et des dizaines de milliers d'autres participants, manifestaient contre la loi Taubira.