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Culture de mort - Page 143

  • Le nouveau drapeau britannique

    Il flotte sur l’ambassade du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord à Paris :

    ambassade.jpg

    (C’est pour fêter la « gay pride » de demain, avec l’aval de la Reine.)

  • A l'asile !

    Communiqué de l’AGRIF

    La procureure qui a demandé la condamnation du Dr Dor à une forte amende et à une peine de prison avec sursis a ajouté son souhait de voir celui-ci vivre une thérapie*.

    Cela n’est pas de la simple ironie de mauvais goût. C’est bien évidemment l’affirmation d’une volonté de rétablissement en France des hôpitaux psychiatriques qui fonctionnaient jadis en Union Soviétique. Devant la formulation d’une pareille abomination, nous sommes évidemment totalement solidaires de l’héroïque Dr Dor, intraitable militant pacifique du respect de la vie.

    Bernard Antony

    * « Elle requiert 8 000 euros d'amende et un mois de prison avec sursis. Avant d'ajouter : "et une petite thérapie ça pourrait vous être utile". » (Métronews)

     

  • Les Femen s’écrasent devant l’islam

    Condamnées en première instance à quatre mois de prison ferme, les Femen qui avaient manifesté à Tunis, deux Françaises et une Allemande, ont exprimé leurs regrets et ont assuré qu’elles ne recommenceraient plus une telle action dans un pays musulman, puisque l’islam ne le permet pas.

    Elles ont été condamnées à quatre mois avec sursis, et libérées.

  • La « violence inouïe » du Dr Dor

    Le Dr Dor a comparu hier (pendant quatre heures) devant le tribunal correctionnel de Paris. L’avocat d’une des parties civiles a souligné que le fait de montrer des chaussons de bébé à une femme enceinte était « un acte d’une violence inouïe ».

    Le parquet a requis un mois de prison avec sursis et 8.000 euros d’amende. Non pour violence inouïe, mais pour "entrave à IVG", ce qui n’est pas moins délirant.

    Le jugement devrait être rendu le 16 septembre.

  • A propos de deux décisions de la Cour suprême

    La Cour suprême des Etats-Unis a invalidé la disposition de la loi fédérale de défense du mariage qui ne permet pas aux paires de même sexe légalement « mariées » de bénéficier des mêmes avantages que les couples mariés.

    La décision est évidemment saluée comme une victoire du lobby, mais en fait elle est simplement logique, et elle était inévitable en droit : dans la mesure où certains Etats reconnaissent le « mariage » homosexuel, il est en effet contraire à l’égalité que, dans ces Etats, les « mariés » homosexuels n’aient pas les mêmes droits que les mariés « hétérosexuels ». Car c’est de cela qu’il s’agissait : le recours émanait d’une femme qui avait dû payer des droits colossaux pour « hériter » d’une femme avec laquelle elle était légalement « mariée ».

    La Cour suprême devait aussi se prononcer sur la loi californienne interdisant le « mariage » homosexuel. Elle a décidé que les militants contre le « mariage » homosexuel qui avaient fait appel contre un jugement avalisant la loi n’avaient pas le droit de le faire. Ce qui rend donc de nouveau légal le « mariage » homosexuel en Californie.

    Dans l’un comme dans l’autre cas, la Cour suprême ne se prononce pas sur le « mariage » homosexuel, ou sur le mariage en général. Mais ses décisions vont comme par hasard dans le sens voulu par l’idéologie dominante, et le président…

  • En Russie

    Sans surprise, le Conseil de la Fédération, chambre haute du Parlement russe, a approuvé la loi interdisant la propagande homosexuelle devant les mineurs. Par 137 voix et 1 abstention. Elle a également approuvé la loi interdisant l’adoption d’enfants russes par des paires homosexuelles prétendument « mariées » ou par des célibataires de pays ayant prétendument légalisé le « mariage » entre personnes du même sexe.

    Le président Poutine n’a plus qu’à promulguer ces deux lois, ce qui ne devrait pas traîner.

  • Le grotesque pathétique des partisans de la culture de mort au Texas

    Le Sénat du Texas devait voter mardi une proposition de loi de sénateurs républicains interdisant l’avortement après 20 semaines de grossesse et obligeant les avortoirs à être de vrais centres chirurgicaux aux normes.

    C’était le dernier jour de la session. Alors une femme sénateur s’est lancée dans un discours fleuve de 11 heures destiné uniquement à empêcher le Sénat de pouvoir voter avant la fin de la session : le jour même à minuit.

    Peu avant minuit, le vice-gouverneur a fait remarquer que le discours n’avait plus rien à voir avec la proposition de loi et a décidé qu’on devait passer au vote. Mais celui-ci s’est terminé après minuit…

    Les partisans de la culture de mort (ceux qui trouvent normal de découper les bébés dans le ventre de leurs mères) crient victoire, après avoir été alertés par un tweet d’Obama en personne…

    S’ils s’imaginent que le gouverneur Rick Perry va abandonner la partie, c’est qu’ils ne le connaissent pas. Non seulement la proposition de loi pourra revenir, mais le gouverneur peut imposer une session extraordinaire…

  • Le préfet, en présence de deux ministres : "Si vous n'étiez pas curé, je vous aurais mis deux tartes !"

    Deux ministres en déplacement à Saint-Cyr au Mont d’Or. Le village est bouclé. Les gens qui sont à la Poste doivent y rester. Ceux qui sortent de l’église doivent présenter leurs papiers. Le curé se plaint auprès du préfet, qui réplique : "Si vous n'étiez pas curé, je vous aurais mis deux tartes !"

    Un épisode parmi d’autres de la dictature homosexualiste hollandienne et vallseuse.

    L’article de la presse locale.

    Un récit plus détaillé.

     

  • Tout tranquillement à Orange…

    La première parodie de mariage entre deux personnes du même sexe dans le département de Vaucluse a été célébrée à Orange, la ville dont le maire est Jacques Bompard, qui était un farouche opposant à la loi Taubira...

    C’est tout tranquillement le maire adjoint délégué aux mariages, Denis Sabon, qui a procédé à la chose…

    Ce doit être ce qu’on appelle une démocratie apaisée. Ou anesthésiée. Genre épiscopal, au fond.

    N.B. C'est ce que je soulignais le 8 octobre 2012, au moment où nombreux étaient ceux qui se félicitaient de l'apparente détermination de beaucoup de maires. Mais je ne pensais certes pas alors à Jacques Bompard...