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Ecole

  • Pap Ubu à l’école

    Ce mercredi doit être signé un protocole entre le ministère de l’Education nationale et le Secrétariat général de l’enseignement catholique destiné à favoriser la « mixité sociale » dans l’enseignement « privé catholique », faisant suite au « plan mixité » pour l’enseignement public présenté le 11 mai.

    En bref, les écoles catholiques sont trop réservées aux enfants des nantis et il faut que ça cesse. Chacun sait que c’est faux pour la plupart d’entre elles, mais l’essentiel est de continuer à taper sur ce qui reste de l’Eglise ex-catholique.

    Bien sûr cela ne concerne que l’école catholique. Ça ne concerne pas, par exemple, l’Ecole alsacienne. Celle où sont scolarisés les enfants du ministre de l’Education nationale. Où ils sont scolarisés précisément, ouvertement, explicitement, pour éviter qu’ils pâtissent de la mixité sociale…

    Le même ministre a lancé ce jour une « campagne de sensibilisation » dans les collèges et les lycées « sur l’accueil des LGBT+ à l’école ». Autrement dit une nouvelle campagne de promotion de l’idéologie de l’inversion sexuelle chez les adolescents.

    Or voici voilà que l’Ecole alsacienne a fait venir un lobby transexualiste devant les élèves de 4e… Des parents ont vigoureusement protesté contre cette « propagande » en faveur du « militantisme trans », et ont été choqués que leurs enfants soient accusés de « transphobie » parce qu’ils refusaient d’admettre qu’un homme puisse être enceint. Résultat : le lobby en question ne mettra plus les pieds à l’Ecole alsacienne. Au grand soulagement de Pap Ndiaye (mais il ne faut pas le dire).

  • Enseignement "catholique"

    Riposte catholique avait dénoncé la diffusion programmée auprès d’élèves de 6e d’un film faisant l’apologie du « changement de genre », dans un collège catholique d’Alsace. Des parents d’élèves ont protesté, et la projection a été annulée. La direction diocésaine de l’enseignement catholique a voulu « éviter les réactions disproportionnées » (sic), mais aussi : « Après réflexion, nous avons estimé que la question du genre n’avait pas valeur à être traitée par des enfants de 6e si eux-mêmes n’ont pas posé de question sur le sujet à leurs parents ».

    Car il a fallu une « réflexion » à ces dirigeants de l’enseignement catholique pour comprendre qu’ils étaient en train de faire la même chose que les pourrisseurs LGBT qui sont envoyés dans les écoles depuis longtemps maintenant (depuis Xavier Darcos et surtout Luc Chatel, ministres de Sarkozy-Fillon) pour profiter des troubles de la puberté des collégiens afin de recruter des adeptes.

    Le Parisien a relaté l’affaire, et souligné :

    La nouvelle de cette diffusion avait été relayée par l’influent site Riposte-catholique.fr, qui se présente comme un site de « réinformation catholique ». Dans une publication datée du 1er mai, ce dernier accusait le collège épiscopal de Walbourg de « mettre gravement en danger le développement psychologique des élèves en les mettant face à ce film ».

  • Chronique des pervers

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    C’est dans une classe de biologie dans une école de Cologne.

    On demande aux enfants de 11-12 ans à quel « genre social » appartiennent les personnes suivantes :

    Lea passe sa journée en tant que femme ou homme selon ce qu'elle ressent le matin. Parfois en tant que femme, parfois en tant qu'homme.

    D'aussi loin que Paul se souvienne, elle*il s'est senti comme une femme.

    Si elle*il fera ajuster chirurgicalement son sexe biologique, elle*il ne sait pas encore.

    Zeynep se sent née dans le mauvais corps. Elle*il veut se faire opérer le plus tôt possible pour enfin vivre comme un homme.

    Les élèves doivent ensuite cocher les déclarations « correctes » concernant le « genre social » :

    Le genre social n'a rien à voir avec le genre qui attire sexuellement.

    Le genre social est toujours différent du sexe biologique.

    Le genre social est désigné par genre ou sexe en anglais.

    Le genre social est déterminé par l'éducation.

    L'identité de genre peut également être décrite comme la perception personnelle de soi en termes de genre.

    Tout le monde n'a pas le sentiment d'appartenir au sexe qui lui a été assigné à la naissance.

    Et l’école s’appelle Hildegard de Bingen…

    *

    Les écoles élémentaires du district de Madison (Wisconsin) planchent cette semaine, la semaine entière, sur les questions d’identité de genre. Il s’agit d’enseigner aux élèves (à partir de 5 ans) à « comprendre la différence entre le genre, l'orientation sexuelle et le sexe attribué à la naissance ».

    La vidéo introductive explique : « Il y a des élèves dans nos écoles avec différentes identités de genre. Nous avons de nombreux élèves du primaire qui s'identifient comme cisgenres, transgenres, non binaires et tout le spectre des identités. Et si nous n’en parlons pas et n'enseignons pas ces différentes identités, les élèves ne se voient pas eux-mêmes et ils ne se sentent pas à leur place dans nos écoles. »

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    Ces pervers enseignent leur perversité avec un « bonhomme de neige du genre », en trois parties : la tête c’est ce que vous vous sentez et ce que vous savez que vous êtes : fille, garçon, aucun des deux. Le cœur, c’est qui vous aimez : gay, lesbienne, bisexuel, pansexuel, asexuel, hétérosexuel (mais « hétérosexuel » a disparu du tableau qu’on voit entre 5’18 et 6’02). Le bas du bonhomme de neige, c’est la « biologie » : le sexe assigné à la naissance.

    La semaine se termine par une « journée arc-en-ciel ».

  • "Laïcité"

    Il paraît que le 9 décembre c’est la « journée de la laïcité ». Le ministère « de l’Education nationale et de la Jeunesse » fait savoir qu’il y a eu en novembre 353 « signalements d’atteinte au principe de laïcité » dans les établissements scolaires. Il y en avait eu 720 en octobre, 313 en septembre.

    Mais ce ne sont pas des atteintes à la laïcité. Ce sont des agressions islamiques. Et si on ne veut pas les nommer il ne sert strictement à rien de les énumérer.

  • Tabou

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    Ainsi commence une longue dépêche de l'AFP, où à aucun moment on ne lira le mot "islam" ou "musulman".

    La "Laïcité" étant une arme de combat contre le christianisme, on fait silence sur l'ennemi quand l'ennemi n'est pas le christianisme. C'est ce ce que l'on voit tous les jours, depuis des années, chaque fois qu'il est question d'atteintes à la laïcité dans les écoles. Car il ne s'agit jamais d'attentats chrétiens. Il va de soi que ne jamais nommer l'ennemi est le meilleur gage de la défaite. Pap Ndiaye peut raconter tous les jours qu'il n'a pas la main qui tremble: il s'est coupé la main.

  • Pap et Ferry

    Depuis le 4 novembre, le ministre du décervellement national twitte la « Minute Pap », tous les vendredis. Il semble que cette magnifique initiative de communication (combien d’euros, à quel cabinet de conseil ?) n’ait pas eu un grand succès.

    Et pour un début c’est un ratage complet. Naturellement, il commence par Jules Ferry…

    « Je commencerai par Jules Ferry, ministre de l’instruction publique à la fin du 19e siècle, qui aimait sortir sa montre à 11 heures, et puis dire : “Aujourd’hui, à cette heure-là, tous les enfants de 7e sont en train d’écrire le même mot de la même dictée”. C’était une manière de souligner le caractère très centralisé du ministère de l’instruction publique. »

    C’est son prédécesseur Hippolyte Fortoul qui avait édicté un emploi du temps minutieux et qui se vantait alors, en… 1854, de savoir ce qui se passait au quart d’heure près dans les classes… de secondaire.

    Addendum. Fortoul lui-même avait été devancé. Voir les commentaires.

  • Leur Education nationale

    Pourquoi manque-t-il des milliers d’enseignants ? En partie parce que les personnes normales ne peuvent plus être recrutées. On parlait naguère d’école normale pour désigner le lieu de formation des instituteurs, mais « normal » veut dire aujourd’hui adepte enthousiaste de toutes les idéologies de la pourriture (et adepte attentif, car elles évoluent sans cesse vers plus de radicalité woke).

    Voir ici.

    D’où la nomination d’un ministre qui va amplifier la dictature. (Quand ses propres enfants sont dans une école privée élitiste parce qu’ils ont besoin d’une « scolarité sereine »…)

  • Laïcisme pathologique

    La FSU-SNUipp 65 a écrit aux autorités de l’Education nationale de la région et va faire une alerte auprès du ministère pour une grave atteinte à la laïcité qui va avoir lieu à Lourdes.

    En effet, le syndicat a appris que des élèves des écoles laïques de Lourdes allaient participer à un concert sur l’esplanade du sanctuaire qui est un « haut lieu du catholicisme », et en outre ces élèves vont chanter l’Ave verum de Mozart, un chant pas du tout conforme à la neutralité républicaine.

    Il s’agit du concert final du festival « l’Offrande musicale », le 11 juillet prochain. Les élèves en question, qui sont en vacances, font partie du chœur qui va participer à ce concert « gratuit pour les personnes en situation de handicap ». Des enfants qui ont la chance de pouvoir chanter un chef-d’œuvre absolu sous la direction d’un des plus grands chefs d’orchestre de notre temps, Riccardo Muti.

    S’il y avait une justice en France, le syndicat FSU-SNUipp serait condamné pour harcèlement. Et ses dirigeants envoyés en hôpital psychiatrique.

  • En même temps

    Macron et Ndiaye sont allés à Marseille pour parler de l’école.

    Macron a dit que « par son parcours, par sa vie », Pap Ndiaye « dit ce à quoi je crois de l’école de la République » et « incarne ce que nous voulons faire ».

    Or Pap Ndiaye, notamment par son parcours en Amérique, est ouvertement raciste et adepte de la cancel culture, au point d’avoir participé (en France) à des réunions interdites aux blancs.

    Interrogé sur « l’épidémie » de tenues vestimentaires islamiques à l’école, Macron a répondu : « Je veux que la loi de la République s'applique. Et la loi est très claire : pour tous les élèves dans nos écoles, il n'y a pas de signes religieux, quels qu'ils soient. »

    Ce qui est diamétralement opposé aux conceptions de Pap Ndiaye.

    De toute façon, Macron a prôné une « révolution culturelle » dans l’enseignement. Il s’agit « d’inverser la pyramide » et de s’appuyer sur les enseignants pour des idées de projets : « On va donner une feuille blanche aux enseignants en leur disant : Vous allez la bâtir de manière un peu différente, vous allez bâtir des projets nouveaux pour répondre aux problèmes qui sont les vôtres. »

    Ce serait plus simple de supprimer carrément « l’école de la République », non ?

    Pauvres enfants…

  • Totalitarisme LGBTQIA+

    Le district scolaire de L’eau vive (en français), dans le Wisconsin, a organisé une séance de « formation » du personnel. Dans la troisième session, sur les classes comme « espaces sûrs », la 56e diapositive affirmait :

    "Souvenez-vous : les parents ne sont pas autorisés à connaître l’identité [de genre] de leurs enfants. Cette connaissance doit être méritée. Les enseignants ont souvent une position ambiguë sur cette situation complexe. A l’ECASD, notre priorité est de soutenir l’élève."

    Dynamitant l’autorité parentale et la vision normale de la famille, l’ECASD présente la classe comme espace sûr qui protège donc l’enfant de ses parents… afin de pouvoir endoctriner les enfants avec l’idéologie LGBT et pourrir leur vision du monde.

    L’« Eau Claire Area School District (ECASD) » a un budget de 145 millions de dollars et 11.500 élèves dans 24 écoles.

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