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Culture de mort - Page 142

  • Jean-Luc Romero dans le texte

    Dans Le Point :

    « Dans notre République, la vie n'appartient qu'au seul citoyen, personne n'a le droit de décider pour lui-même, surtout pas en fin de vie - mon corps m'appartient ! -, et la souffrance n'est pas rédemptrice. »

    Eh bien non, monsieur Romero. Même « dans notre République », la vie n’appartient pas au citoyen. Car ce n’est pas le citoyen qui s’est donné la vie. Et s’il a recours à l’euthanasie il met fin à sa vie terrestre avant terme, mais il ne peut pas décider de ne pas mourir. Donc il ne fait pas ce qu’il veut de sa vie, donc sa vie ne lui appartient pas.

    On remarquera l’emploi pervers du mot « citoyen ». Car on pourrait faire remarquer à Jean-Luc Romero que si personne n’a le droit de décider de la vie de son semblable, alors il doit être contre l’avortement. Mais il prend soin de parler de « citoyen ». Le fœtus n’est pas un citoyen…

    Il ne semble pourtant pas que Jean-Luc Romero soit pour l’avortement jusqu’à 18 ans.

    Enfin, un militant athée de la culture de mort n’est pas qualifié pour parler de souffrance rédemptrice. On lui répondra que l’histoire de l’Eglise est pleine d’exemples prouvant la valeur rédemptrice de la souffrance, pas en elle-même, certes, mais vécue en union avec le Christ crucifié – et ressuscité.

  • La culture de mort engendre toujours une caricature de démocratie

    Pour faire passer en force et en catimini la proposition de loi maçonnique (euh… des radicaux de gauche) autorisant le charcutage et la tuerie des embryons, l’Assemblée nationale a commencé l’examen du texte mercredi à 23 heures… Elle l’a poursuivi jeudi matin, avec entre 30 et 50 députés en séance, puis le gouvernement a décrété le vote bloqué : l’opposition peut continuer de défendre ses amendements, mais il n’y aura aucun vote avant le vote final. Résultat : l’hémicycle était quasiment vide. En fin de soirée, l’examen du texte était achevé… Et mardi il y aura un « vote solennel ». Sur un texte qui n’a pas pu être discuté.

  • L’avortement en Irlande

    Les députés irlandais ont adopté la nuit dernière la loi qui autorise l’avortement si la vie de la mère est en danger, par 127 voix contre 31.

    Lucinda Creigthon, ministre des Affaires européennes, a voté contre, ce qui la contraint à l’exclusion du parti au pouvoir et donc à démissionner de son poste. « On ne peut pas faire de concession sur une question de vie ou de mort », a-t-elle déclaré.

  • Une bonne nouvelle du Pérou

    La réunion plénière du Congrès du Pérou a rejeté, le 4 juillet, la proposition d’un de ses membres d’inclure les discriminations en raison de l’« orientation sexuelle » et de « l’identité de genre » parmi les circonstances aggravantes du délit de « discrimination », en soulignant au passage que le Pérou n’a jamais signé aucun traité international qui l’impose et que la Constitution péruvienne ne les reconnaît pas davantage.

    A lire sur le blog de Jeanne Smits.

     

  • Un maire qui résiste

    claude-sancey-richard-refuse-le-mariage-pour-tous-il-a-demande-en-vain-a-etre-releve-de-son-mandat-de-maire-photo-er.jpgC’est celui de Gondenans-Montby, dans le Doubs. La commune n’a pas 180 habitants, et l’on n’y connaît pas d’homosexuels, en tout cas militants, mais le maire a préféré prendre les devants. Comme il ne peut pas être question qu’il procède à une parodie de mariage entre deux personnes de même sexe, et qu’il n’est pas davantage question qu’il délègue à un adjoint le soin de procéder à une telle mascarade (il ne s’appelle pas Ponce Pilate mais Claude Sancey-Richard), il est allé voir le préfet pour être déchargé de ses fonctions. Le préfet a refusé…

    On notera d’autre part la petite manifestation organisée par le maire de Challain-la-Potherie, dans le Maine-et-Loire, qui a lu publiquement, en présence de neuf autres maires, un communiqué qui serait excellent si… madame le maire ne se déchargeait pas, sans le moindre problème de conscience (comme à Orange, Arcangues, etc.) sur un adjoint complaisant pour accomplir la mascarade exigée par les deux militants qui avaient même tenté de piéger l’Eglise.

  • L’avortement en Irlande

    La loi dite de "protection de la vie pendant la grossesse" a été adoptée hier en première lecture par 138 députés contre 24 et 3 abstentions.

    Mais le vote provoque des remous. 4 députés du Fine Gael, le parti au pouvoir, ont voté contre le texte. Ils ont été aussitôt exclus du parti. Un député du Sinn Fein a voté contre, ainsi que les deux tiers des députés du Fianna Fail, alors que le chef du parti votait pour.

    En seconde lecture, six autres députés du Fine Gael pourraient voter contre, dont le ministre des Affaires européennes.

    Il est à noter que la seule circonscription du pays dont les députés aient voté en majorité contre le texte est celle de Galway West (qui a 5 députés), où se trouve l’hôpital où est morte Savita Halappanavar (décès ultra-médiatisé qui est à l’origine du projet de loi).

  • Des maires ne baissent pas complètement les bras

    Le Collectif des maires pour l’enfance conteste la circulaire Valls devant le Conseil d’Etat et demande un moratoire sur les pressions et sanctions à l'encontre des officiers d'état civil.

    Quant au maire de Mésanger, il lance un appel à ses confrères pour une manifestation dimanche prochain à Paris, afin de réclamer « l’objection de conscience ».

  • La CNCDH fait dans le genre

    Dans un avis, la Commission consultative des droits de l’homme, pour « rétablir la dignité des trans » (sic), demande que l’expression « identité sexuelle » soit remplacée par « identité de genre », et reprend complètement à son compte l’idéologie du genre :

    « Consciente de la situation extrêmement précaire et des discriminations notoires dont font l'objet les personnes transidentitaires, la CNCDH s'inquiète tout d'abord de la grande vulnérabilité sociale de cette catégorie de la population, trop souvent stigmatisée.

    « Afin de remédier à cette situation hautement discriminatoire et de redonner aux personnes trans leur dignité, la CNCDH estime nécessaire une refonte de la législation française concernant l'identité de genre, comme le préconisent les institutions internationales européennes. La CNCDH,  qui ne se prononce pas ici sur le plan anthropologique mais au nom de la lutte contre toutes les formes de discrimination, demande la rectification des termes "identité sexuelle" présents dans la loi, jugeant qu'ils entraînent une confusion entre genre et détermination sexuelle et biologique. Elle propose de les remplacer par les termes d'"identité de genre". La CNCDH rappelle que s'affirmer homme ou femme n'est pas une question de choix ni de volonté, et ne relève pas d'une décision arbitraire, conjoncturelle ou fantasmatique : cette affirmation est au contraire liée à une conviction profonde, souvent ressentie depuis l'enfance, ne relevant pas d'une identification passagère mais bien de l'identité même du sujet. »

     

  • En Californie

    Une cour d’appel de Californie a levé vendredi dernier la « suspension » du « mariage » homosexuel, en vertu de la décision de la Cour suprême.

    Les zélés défenseurs de la démocratie s’en réjouissent, alors que le peuple californien avait dit clairement non, par référendum, à cette mascarade.

    Dès samedi a été remise à la Cour suprême une pétition demandant la suspension avec effet immédiat des parodies de mariage dans l’Etat.

  • Russie: les lois promulguées

    Le président russe Vladimir Poutine a promulgué dimanche la loi interdisant toute propagande homosexuelle devant des mineurs, et la loi réprimant les offenses aux sentiments religieux.