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Culture de mort - Page 144

  • Une apologie de la GPA sur la Chaîne parlementaire

    Un « documentaire » de pure propagande en faveur des mères porteuses (enthousiaste et sans la moindre réserve) est diffusé dix fois sur la Chaîne parlementaire depuis vendredi.

    On supposait que la Chaîne parlementaire respectait les lois de la République. Il n’en est rien. La dictature du lobby homosexualiste s’impose à tous.

    Après tout, la GPA sera forcément légalisée, puisque c’est dans la logique du prétendu « mariage » homosexuel. Donc autant faire la propagande avant, ça prépare les esprits…

    C’est ainsi que dans un pays qui marche sur la tête, l’illégalité est citoyenne… (A la stricte condition d’être dans le « sens de l’histoire », bien sûr. Sinon c’est l’amende et la prison. Le procès du Dr Dor, c’est demain, 13h30 au Palais de justice de Paris, tribunal correctionnel, chambre 31.)

  • Soutien au Dr Dor

     

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    Mercredi 26 juin à 13h30, le docteur Xavier Dor, Président de SOS Tout-Petits, comparaîtra devant le tribunal correctionnel de Paris (chambre 31) au Palais de Justice (boulevard du Palais, 1er arrondissement), pour avoir :

    - prié le rosaire sur le trottoir devant l’hôpital Saint-Vincent de Paul à Paris le 2 avril 2011 ;

    - distribué des petits chaussons dans les locaux du Planning familial les 25 et 26 juin 2012.

    Ces faits ont la qualification pénale de « délit d’entrave à l’avortement » et sont passibles de deux ans d'emprisonnement et de 30.000 € d'amende.

    Il est chaudement recommandé d’aller soutenir face à la justice de la culture de mort celui qu’elle veut faire passer pour un terroriste pro-vie.

  • La Douma a adopté à l’unanimité la loi contre l’adoption d’enfants russes par des paires homosexuelles étrangères

    La chambre basse du Parlement de Russie, la Douma, a adopté aujourd’hui un texte interdisant l'adoption d'enfants russes par des paires homosexuelles étrangères prétendument « mariées », et l'adoption d'enfants russes par des étrangers célibataires vivant dans des pays ayant prétendument légalisé le « mariage » entre personnes de même sexe.

    Cette proposition de loi fait suite au propos de Vladimir Poutine contre la loi Taubira. Il avait dit que cette loi allait à l'encontre des valeurs traditionnelles de la Russie ; il avait dit ensuite qu’il n’y avait pas à sa connaissance de texte législatif russe interdisant l’adoption d’enfants russes par des paires étrangères, mais que si on lui soumettait un tel texte il le signerait.

    Les députés russes ont approuvé le texte à l’unanimité des 444 députés présents (l’effectif est de 450 députés) en troisième et dernière lecture. Il va être transmis à la chambre haute, le Conseil de la Fédération, où il sera évidemment approuvé de la même façon.

  • A Mésanger on a déjà battu en retraite

    Ça n’a pas duré longtemps. Le maire UMP de Mésanger avait déclaré au Figaro que ni lui ni aucun adjoint ne célébrerait de parodie de mariage entre personnes de même sexe.

    Dès le lendemain, il fait état au même journal de « pressions folles » qui lui font « mener une réflexion »… Une adjointe dit qu’elle « n'a pas aimé que M. Clouet nous mette devant le fait accompli, et surtout parle en notre nom », et donc qu’elle célébrera des parodies de mariage, parce que c’est la loi.

    Et un autre adjoint se dit prêt lui aussi à le faire, « même si cela heurte sa foi catholique », pour éviter au maire l’amende et la prison…

    Autrement dit cette belle âme fera par charité chrétienne ce que le christianisme réprouve… Comme c’est beau.

    Comme c’est lâche.

    Le maire d’Arcangues, quant à lui, résiste haut et fort, avec ses adjoints, comme l’indique le même article du Figaro.

  • Vers un référendum sur l’avortement en Uruguay ?

    Les évêques d’Uruguay invitent les citoyens à participer, dimanche 23 juin, à un vote dont le but est de décider si un référendum doit ou non être organisé contre la loi dépénalisant l’avortement, entrée en vigueur à la fin de l’année dernière.

    Ils invitent à participer à « cet acte civique », « nouvel effort d’hommes et de femmes de bonne volonté » visant à garantir que la loi uruguayenne respecte le droit à la vie humaine à partir de la conception.

    Ce sont les évêques qui avaient proposé le recours au référendum pour abolir la loi sur l’avortement, dans une Lettre pastorale intitulée « La vida esta primero », le 3 mai dernier.

    Ils soulignent que les droits, particulièrement le droit à la vie, ne peuvent pas dépendre de majorités de circonstance, mais que les citoyens ont le choix des moyens qu’ils estiment nécessaires pour modifier la législation.

  • Les encouragements du cardinal Burke

    Le cardinal Raymond Burke, préfet du Tribunal suprême de la signature apostolique, à Famille chrétienne :

    J’ai suivi le combat des Français contre cette loi. Je peux leur dire ceci : continuez à manifester, continuez à montrer que cette loi est injuste et immorale. L’Église vous soutiendra dans ce combat pour la justice. J’encourage ainsi les prêtres et les évêques à continuer sur cette voie et manifester leur opposition dans la rue si nécessaire. C’est important qu’ils montrent l’exemple. Moi-même, il m’est arrivé de manifester, notamment à l’occasion de Marche pour la vie. Dans Evangelium vitae, Jean-Paul II fait référence à la désobéissance civile, c’est dans ce genre de cas que nous devons la pratiquer.

     

  • L’avortement aux Etats-Unis

    Les députés américains ont adopté mardi, par 228 voix contre 196, une proposition de loi interdisant l’avortement… après la 20e semaine de grossesse… sauf en cas de viol ou d’inceste.

    Selon Radio Canada, qui titrait « Charge républicaine contre l’avortement », c’est « l’un des projets de loi les plus sévères contre l’interruption volontaire de grossesse ». Sic.

    Quoique votée par la majorité des députés, cette proposition de loi n’a aucune chance d’aboutir. Car elle sera rejetée par le Sénat à majorité démocrate, et de toute façon la Maison Blanche a fait savoir que le président opposerait son veto.

    Car on doit pouvoir tranquillement massacrer les enfants dans le ventre de leurs mères, même après la 20e semaine, par empoisonnement et démembrement.

    Et rien ne doit pouvoir limiter l’industrie lucrative de l’avortement, vigoureusement soutenue par le président Obama qui, invité au dernier congrès du Planning familial, avait terminé son allocution (là comme ailleurs, mais là cela prenait un sens particulier) par : « Dieu vous bénisse »…

  • Une deuxième municipalité refuse de célébrer des parodies de mariage

    Après le maire d’Arcangues, voici celui de Mésanger, près de Nantes. Jean-Yves Clouet et ses huit adjoints refusent de célébrer une mascarade homosexuelle dans leur mairie. Bien que les deux hommes soient « excessivement gentils », dit le maire qui remarque tout de même qu’ils viennent tout juste de s’installer dans la commune, et se demande s’il n’y a pas « un peu de provocation »…

    Jean-Yves Clouet ajoute que l’Association des maires de France lui a dit qu’il n’est pas possible de déléguer à un conseiller municipal.

    Manuel Valls dit le contraire dans sa circulaire. Il rappelle que si les conseillers municipaux ne sont pas officiers d’état-civil, ils peuvent néanmoins en assumer les fonctions sur délégation du maire, si lui-même et les adjoints sont absents ou empêchés. Ce qui ne peut « présenter qu’un caractère résiduel », commentait le ministère de la Fonction publique en 1996 en réponse aux doutes d’un sénateur.

    Il est en effet rarissime qu’un maire et ses nombreux adjoints soient tous empêchés en même temps…

    En fait, ce que Valls demande aux maires, c’est de mentir pour appliquer à toute force une loi qui est elle-même un mensonge. Et peut-être qu’il y a des maires qui ne veulent pas mentir.

  • Justice politique, justice terroriste

    Le tribunal correctionnel de Paris a condamné à quatre mois de prison, dont deux fermes, et 1.000 euros d’amende, un manifestant contre la destruction du mariage.

    Interpellé dans une pizzeria où il s’était réfugié, passé à tabac, mis en garde à vue pendant trois jours, il est condamné alors qu’il n’a pas commis d’infraction initiale, comme l’a prouvé son avocat (après il a refusé de se soumettre à des tests ADN).

    Le plus ahurissant, ce qui montre le caractère politique répressif de la sentence, est qu’il est placé sous mandat de dépôt, autrement dit envoyé en prison.

    On sait que les personnes condamnées à moins d’un an ne vont jamais en prison.

    Sauf si, en effet, le jugement comporte un mandat de dépôt.

    Ce qui n’arrive jamais. Parce que, encore une fois, les juges n’envoient jamais en prison des gens condamnés à de petites peines.

    Sauf... s’il s’agit de prisonniers politiques et qu’on veut faire un exemple.

    Ainsi les voyous condamnés à de brèves peines de prison vont-ils aussitôt fêter cela avec leurs potes.

    Mais Nicolas est enfermé à Fleury-Mérogis.

    Ainsi les « jeunes » qui avaient pris d’assaut le RER et dépouillé les passagers sont-ils sortis libres du tribunal, y compris ceux qui ont été condamnés à six mois fermes (ce qui est, encore une fois, simplement habituel).

    Mais Nicolas, condamné politique, est enfermé avec des condamnés qui ont fait pire que les attaquants du RER.

    Vincent Peillon a écrit un livre intitulé La Révolution française n’est pas terminée. C’est ce qu’on voit en effet. On voit déjà depuis des mois la police appliquer la loi des suspects. Et la justice de Hollande devient la justice de la Terreur.

    Pétition de soutien à Nicolas.

    Page Facebook Prisonnier politique

    Page facebook de soutien (collecte)

  • Un cauchemar LGBT

    L’Américain Walter Lee Williams a été arrêté au Mexique la nuit dernière. Il était sous mandat d’arrêt fédéral depuis avril pour « exploitation sexuelle d’enfants, voyages [en Thaïlande, Indonésie, Philippines, Polynésie, Pérou, etc.] avec intention de se livrer à des actes sexuels illicites et conduite sexuelle illicite à l’étranger », et défini comme « extrêmement dangereux ». Lundi, le FBI, qui promettait jusqu’à 100.000 $ de récompense pour des renseignements, l’avait placé dans la liste des 10 Américains les plus recherchés.

    D’après les dépêches de l’AFP ou de l’Associated Press, on n’en sait pas davantage, sinon que le prédateur est un ancien professeur de l’université de Californie du Sud. Reuters signale en passant qu’il était professeur d’anthropologie et… d’études sur le genre.

    En fait, Walter Lee Williams est, nous dit le site du lobby homosexuel Frontiers-LA, « un membre éminent de la communauté LGBT de Californie du Sud », dont l’enseignement à l’université était centré sur le « développement du genre ». Et c’est essentiellement grâce à lui que l’USC avait pu acquérir les célèbres Archives gay et lesbiennes ONE (du nom de la première organisation homosexuelle américaine, fondée en 1952), soit plus de deux millions de documents.

    C’est pourquoi, dit Frontiers-LA, « la communauté LGBT », qui s’est tellement battue contre les méchants amalgames, vit aujourd’hui « un de ses pires cauchemars »…