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Culture de mort - Page 149

  • Parachever le génocide des trisomiques

    Le Comité consultatif national d'éthique approuve le dépistage prénatal de la trisomie 21 par simple prélèvement sanguin sur la mère.

    Pour le CCNE, c’est un progrès.

    C’est en effet un progrès de la culture de mort.

  • Encore un bébé dans un congélateur

    A Moirans, dans l’Isère. La mère est assistante maternelle…


    Addendum

    Je n'avais pas osé le dire tout de suite, mais c'est confirmé (avant le procès, commme ça on gagne du temps) : il s'agit d'une "bonne mère de famille" qui a fait un "déni de grossesse".

  • C’est ça la politique…

    Le député-maire UMP de Nice Christian Estrosi, qui a voté contre le projet de loi, serait néanmoins « ravi de célébrer le premier mariage gay ».

  • La destruction du mariage a été adoptée

    L'Assemblée nationale a adopté en deuxième lecture le projet de loi Taubira par 331 voix contre 225.

    Les députés de l’UMP ont aussitôt déposé un recours devant le Conseil constitutionnel.

    Ce recours est suspensif.

    La France n’est donc pas (encore) « le 14e pays à autoriser le mariage homosexuel ».

  • Le peuple face à la dictature médiatique

    Je n’avais jamais vu jusqu’ici une telle mobilisation médiatique contre le sentiment populaire. Il y avait eu de telles mobilisations, mais seulement contre le Front national, plus précisément contre Jean-Marie Le Pen. Et encore, pas à ce point. Pas à ce point de délire. Car je n’avais jamais vu jusqu’ici le monde médiatique, ses lobbies et ses égéries, abandonner à ce point l’usage de la raison pour se livrer à des attaques aussi grotesques que celles qui avaient cours dans les démocraties populaires. Les centaines de milliers de manifestants, pour la plupart apolitiques, sont couramment traités de nazis, leurs manifestations sont celles de « la pire homophobie », etc. Bien entendu ce sont des séditieux qui ne respectent ni la démocratie ni le Parlement ni la République, etc.

    Toutes les déclarations successives du Gazeur en chef de la place Beauvau (il y en a plusieurs par jour) sont également des décalques des déclarations des dirigeants des démocraties populaires, notamment à la veille de la chute du Rideau de fer. En beaucoup plus absurdes. Parce que ceux-là défendaient un système qui s’écroulait, et que celui-ci se pose en porte-parole d’une poignée de sodomistes subversifs qui veulent dynamiter l’ordre naturel (lorsque la grande majorité des homosexuels veulent juste qu’on leur fiche la paix).

    Et le mensonge fleurit de la façon la plus éhontée sous toutes ses formes, avec manipulation non seulement des chiffres mais des images.

    Et hier on nous montrait les deux manifestations comme si elles étaient équivalentes, avec sur les photos le même nombre de manifestants, alors qu’il y avait 15 ou 20 fois plus de personnes contre le sabotage du mariage, et qu’il ne s’agissait que d’une manifestation parmi d’autres, une sorte de manifestation intermédiaire entre deux grandes manifestations et sur fond de « veilles » permanentes et de comités d’accueils de ministres… Alors que les partisans de la loi Taubira sont évidemment incapables de réunir plus de quelques milliers de personnes tous les trois mois, malgré leurs énormes et gigantesques soutiens, confirmant ainsi qu'ils sont ultra-minoritaires.

    Ce que l’on voit clairement, c’est le peuple de France face au petit monde médiatique et à ses lobbies, face à une dictature agrippée  de façon de plus en plus hystérique à ses leviers de commande politico-médiatiques et policiers.

    Chaque fois que l’un des représentants de la dictature dénonce la terrifiante « homophobie » des Français qui osent manifester contre un projet de loi d’égalité, il montre qu’il vit dans un autre monde, qu’il est un membre de la nomenklatura coupée du peuple. Qu’il aille donc, seulement une fois, dans un bistrot de province à l’heure de l’apéro… Là il verra ce qu’est, non pas l’homophobie, mais le bon sens populaire.

    Et c’est précisément à une insurrection du bon sens que l’on assiste. Le bon sens qui dit, qui a toujours dit depuis l’origine du monde, que le mariage c’est entre un homme et une femme pour avoir des enfants, et que c’est sacré parce que c’est le fondement même de la société, de toute société humaine.

    On ne peut que souhaiter la poursuite, l’amplification, et la victoire de cette insurrection.

  • Menteurs jusqu’au bout

    Le 27 mars, un communiqué de la préfecture de police de Paris, amplement répercuté par les agences de presse, faisait savoir que les photos et vidéos de la police sur la manifestation du 24 mars étaient à la disposition de tout journaliste intéressé, et qu’ainsi serait mis fin à la polémique sur les chiffres, car ces documents prouvent bien qu’il y avait 300.000 manifestants, pas un de plus.

    Olivier Figueras, de Présent, a donc demandé à la préfecture de police à voir les documents. Mais il s’est fait balader de poste en poste, pour finir par se retrouver bredouille.

    Voilà pourquoi il n’y a pas eu de suites médiatiques au communiqué de la préfecture. Les journaux ont répercuté la vigoureuse protestation de bonne foi de la police. Et on en est resté là. Puisque la plupart des journalistes sont hostiles à la défense du mariage, et que les autres ont été rembarrés.

    Le résultat final est donc qu’il n’est pas contesté qu’il y a eu 300.000 manifestants car les documents le prouvent…

    C’est de l’information, si l’on veut, mais plutôt du genre démocratie populaire…

  • La pilule c’est comme le vélo ?

    Quelque 26 gynécologues signent une tribune dans le British Medicine Journal, dénonçant la décision du gouvernement français de ne plus rembourser les pilules de 3e et 4e génération, en raison de leur dangerosité.

    Les autorités françaises « se sont senties obligées de réagir sous la pression », disent-ils, alors que « les données manquent ou sont controversées » (sic), ce qui « a porté préjudice à tous, spécialement aux femmes ».

    On serait plutôt tenté de penser que ça a éventuellement porté préjudice aux marchands de pilules, mais pas vraiment aux femmes qui échappent à une thromboembolie…

    Ils ajoutent : « Le surrisque de décès d'une femme prenant la pilule moderne est de 1 sur 1000, ce qui est inférieur au risque associé à des activités courantes comme le cyclisme. »

    Comparer la pilule et le vélo, faut oser…

    En outre, si les données sont controversées, ce n’est pas du tout dans le sens que ces gynécologues suggèrent, c’est au contraire qu’elles sont manifestement et gravement sous-évaluées, tandis qu’il me paraît extravagant qu’un cycliste sur mille meure à cause de son vélo…

    (Le quotidien du médecin, via Gènéthique)

  • Emblématique jusqu’au bout

    En 2006, un juge espagnol avait été harcelé et poursuivi par le lobby homosexuel parce qu’il refusait de prononcer l’adoption d’une petite fille à la « conjointe » d’une lesbienne. C’était la première fois que le cas se présentait depuis la légalisation du « mariage » des paires par le gouvernement Zapatero : il fallait donc faire un exemple. Ce juge fut désavoué y compris par le parti populaire, et finalement il écopa d’une suspension pour dix ans. Il a publié un livre, intitulé Moi, victime de la christophobie.

    On apprend aujourd’hui que les deux lesbiennes viennent de divorcer. La garde de la petite fille a été confiée à sa « mère biologique », qui est simplement sa mère.

  • Le mariage détruit en Nouvelle-Zélande

    La Nouvelle-Zélande est devenue aujourd’hui le 13e pays au monde, le premier du Pacifique, à légaliser le « mariage » homosexuel. Le projet de loi du gouvernement de droite, défendu au Parlement par une élue homosexuelle de gauche, a été adopté en troisième lecture à l’Assemblée nationale par 77 voix contre 44.

    (Qu'on ne dise pas qu'il s'agit d'un mouvement mondial inéluctable. L'Australie voisine, tout aussi moralement pourrie, a dit non en septembre dernier.)

  • Manuel Valls réinvente les "brigands"

    Ce matin, sur RTL, Manuel Valls a dénoncé les manifestations contre la destruction du mariage en ces termes :

    « Des groupuscules tentent par des actions violentes de déstabiliser la République. »

    Sic.

    « Groupuscule », ce n’est pas très joli, comme terme, surtout quand ça désigne des millions de personnes.

    Il fut un temps (mais c’était deux siècles avant que M. Valls devienne français) où l’on appelait les gens qui s’opposaient à la destruction de l’ordre naturel et religieux des « brigands ». Il suffisait d’exhiber un chapelet ou une statue de la Sainte Vierge pour être un « brigand » qui tentait de « déstabiliser la République ». Comme aujourd’hui il suffit d’avoir un tee-shirt représentant un papa, une maman et des enfants.

    Ces « brigands » étaient des « fanatiques ». Ils étaient condamnés pour « fanatisme ». Car c’est le « fanatisme » qui risquait de « déstabiliser la République ».

    Et Voltaire, ancêtre idéologique de Manuel Valls, avait expliqué pourquoi il fallait punir le fanatisme :

    « Pour qu’un gouvernement ne soit pas en droit de punir les erreurs des hommes, il est nécessaire que ces erreurs ne soient pas des crimes ; elles ne sont des crimes que quand elles troublent la société : elles troublent cette société, dès qu’elles inspirent le fanatisme ; il faut donc que les hommes commencent par n’être pas fanatiques pour mériter la tolérance. » (Traité sur la tolérance, ch. 18)

    CQFD.