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lituanie

  • Présidence lituanienne

    La Lituanie préside le Conseil européen depuis le 1er juillet. Elle a choisi un intéressant logo, où l’on voit les couleurs de son drapeau national emprisonnées dans l’Union…

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    Les dirigeants de ce pays sont de bons élèves en matière de démocratie européenne. Le peuple lituanien ne veut pas de l’euro, mais il l’aura quand même. Le ministre des Finances explique qu’il y a eu le référendum en 2003 sur l’adhésion à l’UE, ce qui comportait la perspective de la monnaie unique. « Mais bien sûr nous devons expliquer à notre peuple ; ainsi, au lieu d’un référendum, nous aurons une campagne d’information. »

  • La Lituanie présidente

    La Lituanie va présider l’UE, pour la première fois, à partir du 1er juillet.

    Le gouvernement de ce petit pays de 3 millions d’habitants ne cache pas qu’il est un peu effrayé de la tâche qui l’attend : il est censé faire aboutir, dans ses six mois de présidence, quelque 563 dossiers. Un record. Pourquoi ? Premièrement, parce que comme toute dictature bureaucratique, l’UE connaît une irrésistible inflation législative (qui à elle seule donne une idée de ce qu’elle entend par principe de subsidiarité…). Deuxièmement, parce qu’il y a les élections du Parlement européen l’an prochain, et que le Parlement actuel ne pourra travailler que trois mois en 2014 avant ces élections, et qu’il faut donc faire aboutir un maximum de dossiers avant la fin de cette année. Dont celui du budget de l’UE, qui doit être bouclé de façon à être opérationnel le 1er janvier : à lui seul il représente 75 lois différentes.

    Ce sera une présidence « bruxelloise », dit le vice-ministre des Affaires étrangères en charge de la présidence européenne. Il veut dire par là que bien entendu c’est la Commission européenne qui décide de tout. Il a néanmoins fallu que la Lituanie triple ses effectifs à Bruxelles : ils vont être 200 Lituaniens, venus des ministères de Vilnius, pour faire ce que Bruxelles leur dit de faire…

  • En Lituanie, l’avortement va revenir devant le Parlement

    Les députés lituaniens de la minorité polonaise avaient déposé une proposition de loi interdisant l’avortement sur le modèle de la loi polonaise. Le Parlement, par 46 voix contre 19 et 25 abstentions, a décidé de renvoyer la proposition en commission. Il a donc accepté d’en débattre.

    Actuellement la loi sur l’avortement en Lituanie est similaire à la loi française.

    Comme quoi on peut très bien chercher à revenir sur une loi votée, promulguée et appliquée.

  • Le Parlement lituanien ne cède pas à la dictature homofolle

    Le procureur général de Lituanie avait demandé au Parlement lituanien de lever l’immunité de deux députés qui avaient participé à la manifestation (2.000 personnes) contre la gay pride (300 participants) en mai dernier, qui avait donné lieu à quelques incidents, au cri de “A bas les homo-nazis”…).

    Les deux députés ont fait valoir auprès de la commission d’enquête parlementaire que leur action avait pour but de défendre les valeurs lituaniennes telles qu'on les trouve dans la Constitution.

    Le Parlement a voté contre la levée de leur immunité parlementaire par 56 voix contre 35.

  • Les Lituaniens protègent les enfants contre l’homosexualité

    Le parlement de Lituanie a adopté hier une loi sur la protection des mineurs qui interdit de faire toute "publicité" pour les relations homosexuelles, bisexuelles et polygames. 77 députés ont voté pour cette loi, trois y ont été opposés et quatre se sont abstenus.

    Selon ce texte, toute information faisant de la publicité pour les relations homosexuelles, bisexuelles et polygames est considérée comme ayant un effet négatif sur la santé psychique, le développement physique, intellectuel et moral des mineurs.

    Amnesty International avait condamné le projet de loi, y voyant « une institutionnalisation de l'homophobie » ainsi qu'une « atteinte au droit à la liberté d'expression et à la libre "orientation sexuelle des personnes" ».

    Les lobbies homosexuels s'insurgent contre cette loi qui interdit tout débat sur l'homosexualité dans les écoles...

    On rappelle qu'en 2008 les municipalités de Vilnius et de Kaunas avaient interdit le passage d'un "Camion de la tolérance", organisé par la Commission européenne pour lutter contre toutes les formes de discrimination, dont celle de l'orientation sexuelle. Le maire de Kaunas avait qualifié l'initiative de « festival homosexuel ».

    Bravo aux Lituaniens. On attend le retour de bâton de l'Union européenne, qui avait déjà vigoureusement protesté contre le sort fait à son "camion de la tolérance".