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Le blog d'Yves Daoudal - Page 1338

  • Les suites de la politique Sarkozy en Libye

    Fides :

    « Il faut que la communauté internationale prenne en considération sérieusement le problème de la stabilité de la Libye parce que les groupes armés actifs au nord du Mali se réfugient dans le sud de la Libye avant de retourner dans notre pays pour y accomplir des attaques mortelles », déclare à l’Agence Fides le Père Edmond Dembele, secrétaire de la Conférence épiscopale du Mali où, le 3 octobre, 9 casques bleus nigérians de la Mission de l’ONU sur place, la MINUSMA, ont perdu la vie dans un attentat revendiqué par le Mouvement pour l'unicité et la djihad en Afrique de l'Ouest (MUJAO). Ce dernier est l’un des groupes armés chassés des villes du nord du Mali par les troupes françaises de l’opération Serval. « Ces groupes se sont réfugiés dans les pays limitrophes, surtout en Libye » explique le Père Dembele. « Donc, tant que le sud de la Libye ne sera pas stabilisé, les pays limitrophes, tels que le Mali et le Niger, subiront des attentats » déclare le prêtre qui ajoute : « Au Mali, nombreux sont ceux qui pensent qu’une autre raison du dynamisme renouvelé des groupes armés dans le nord du pays dérive de la réduction de l’engagement militaire de la France sur zone. La force Serval a été remplacée par la force Barkhane, qui est moins engagée sur le terrain que la précédente. L’armée malienne se limite depuis mai à contrôler les grandes villes du nord, telles que Tombouctou et Gao, mais a abandonné les villes secondaires. »

  • Sous la coupe de Boko Haram

    News.va :

    185 églises incendiées et plus de 190.000 personnes contraintes à l’évacuation : tel est le bilan des violences perpétrées par Boko Haram au cours des deux derniers mois dans le Diocèse de Maiduguri, dont le territoire d’étend sur les Etats de Borno, Yobe et sur une partie de l’Etat d’Adamawa, dans le nord du Nigeria. C’est ce qu’indique le Directeur des Communications sociales du Diocèse, le Père Gideon Obasogie.

    Au cours de ces deux derniers mois, 11 villes situées sur le territoire du Diocèse sont tombées entre les mains de Boko Haram. « Il y a trente jours, les communautés catholiques de Gulak, Shuwa, Michika, Bazza et d’autres encore ont été saccagées par de cruelles attaques des terroristes de Boko Haram », affirme le Directeur des Communications sociales. « Gwoza et Magadali sont sous le contrôle despotique et tyrannique des terroristes depuis 60 jours » souligne le Père Obasogie. « Nos prêtres ont dû évacuer alors que les habitants, qui devaient célébrer l’indépendance en tant que nation libre, pleurent leurs morts et sont réduits à l’état d’évacués. Où est dès lors la liberté », se demande le prêtre.

    Le Père Obasogie décrit les conditions terribles dans lesquelles sont contraints à vivre les évacués, accueillis chez des parents et amis – parfois par groupes de 60 à 70 personnes – ou dans des structures improvisées à Maiduguri, Mubi, Yola, Uba, Gombe, Biu et Damaturu. La pensée des évacués va à ceux qui ne sont pas parvenus à s’enfuir, personnes âgées ou malades mais aussi jeunes. Les femmes sont victimes de violences sexuelles alors que se répand la pratique de décapitation des otages de la part des terroristes, comme cela a été le cas pour un pilote militaire capturé après s’être parachuté de son avion abattu par Boko Haram le 11 septembre.

    Aujourd’hui, 7 octobre, s’est ouvert à Niamey, capitale du Niger, un sommet régional pour la lutte contre Boko Haram, qui menace actuellement également les pays limitrophes, ainsi que le démontre la mort de 7 personnes dans le nord du Cameroun, tuées par une roquette tirée par les intégristes musulmans.

  • Syrie : un franciscain et une vingtaine de chrétiens enlevés

    Le père franciscain Hanna Jallouf, curé de la paroisse latine de Knayeh en Syrie, a été enlevé par des jihadistes du Front al-Nosrah (Al Qaïda). Avec lui ont été enlevés une vingtaine de jeunes gens et de jeunes filles. Les religieuses franciscaines qui se trouvaient dans le couvent où a eu lieu l’enlèvement ont pu fuir et se réfugier dans des maisons du village.

    Le communiqué de la Custodie de Terre Sainte s’achève par une invitation à prier pour le curé et ses paroissiens enlevés « ainsi que pour les autres victimes de cette guerre tragique et insensée ».

  • La Pravda du synode

    François a décidé que le synode se déroulerait à huis clos. On n’aura donc aucune des interventions des cardinaux. On n’aura que ce que voudra bien dire le Vatican, essentiellement un communiqué par jour, anonyme, censé synthétiser les débats, et ne donnant aucun nom. On se croirait revenu à la Pravda d’autrefois. En URSS.

    Les communiqués sont évidemment rédigés par des gens qui obéissent à la stratégie du pape. Hélas, les deux premiers paraissent confirmer que François a l’intention de passer en force pour imposer la ligne Kasper, que l’on reconnaît immédiatement.

    Extraits du premier communiqué :

    "L'Eglise doit œuvrer par attraction, avec amitié envers le monde. Face aux couples en crise, à l'instar de Dieu, elle doit être compréhensive et miséricordieuse, et envisager la question sous le profil d'une justice respectueuse du dessein divin. Certes, le mariage demeure un sacrement indissoluble. La vérité étant le Christ et non un ensemble le règles, il convient de maintenir les principes tout en adaptant les formes. La nouveauté dans la continuité, ainsi que le disait Benoît XVI. Si le Synode ne met pas en discussion la doctrine, il réfléchit sur la pastorale, sur le discernement spirituel nécessaire à l'application de la doctrine face aux problèmes de la famille. La miséricorde n'élimine pas les commandements, elle en est la clef herméneutique."

    "On a convenu de la nécessité d'aborder avec respect certains cas, telles les unions libres marquées du sceau de l'amour et de la fidélité, qui présentent des éléments de sanctification et de vérité."

    Extrait du deuxième communiqué :

    "L'enseignement de l'Eglise doit être plus incisif et ne pas se limiter à des interdits. Comme Jésus, elle doit se faire proche des personnes. En agissant ainsi il sera possible de réduire la fracture entre doctrine et pratique, entre enseignement ecclésial et vie familiale. Il n'est pas question de choisir entre doctrine et miséricorde mais de développer une pastorale éclairée, encourageant des familles en crise qui souvent ne ne sentent plus appartenir à l'Eglise. Face aux couples en difficulté et aux divorcés remariés, l'Eglise soit présenter la vérité et non point un jugement. Avec compréhension, elle doit convaincre les intéressés à suivre la vérité, à suivre l'Eglise qui dit la vérité. C'est la miséricorde qui soigne et accompagne, d'autant que les familles en crise n'attendent pas des solutions pastorales rapides. Elles ne veulent pas être de simples statistiques mais se sentir comprises et aimées. Il faut accorder plus d'espace à la logique sacramentale qu'à la logique juridique. Pour ce qui est de l'Eucharistie aux divorcés remariés, il a été réaffirmé qu'il ne s'agit pas du sacrement des parfaits mais de qui chemine."

  • Notre Dame du Rosaire

    Voulant faire apprécier sa grâce et confondre la sagesse humaine, Dieu daigna prendre chair d’une femme, mais d’une vierge, afin de restituer la ressemblance par un semblable, de guérir le contraire par un contraire, d’arracher l’épine vénéneuse et d’effacer, avec une souveraine puissance, la cédule du péché. Eve a été l’épine, en blessant, et Marie, la rose, en gagnant l’affection de tous. Eve a été l’épine inoculant la mort à tous, et Marie la rose qui nous a tous guéris. Marie fut une rose blanche par la virginité, et rouge par la charité ; blanche par la chasteté de son corps, rouge par la ferveur de son esprit ; blanche en recherchant la vertu, rouge en foulant aux pieds les vices ; blanche par la pureté des affections, rouge par la mortification de la chair ; blanche en aimant Dieu, rouge en compatissant au prochain.

    « Le Verbe s’est fait chair, » et déjà il habite en nous. Il habite dans notre mémoire, il habite dans notre pensée, car il descend jusque dans notre imagination elle-même. Comment cela, dites-vous ? En gisant sur la paille de la crèche, en reposant sur un sein virginal, en prêchant sur la montagne, en passant la nuit en prières, en se laissant suspendre à la croix et défigurer par le trépas, en se montrant « libre entre les morts » et en commandant à l’enfer ; en ressuscitant le troisième jour, en montrant à ses Apôtres, dans les traces des clous, les signes de sa victoire, enfin en s’élevant devant eux au plus haut du ciel.

    Est-ce que chacun de ces faits n’inspire pas des pensées vraies, pieuses, saintes ? Quand je les repasse dans mon esprit, c’est à Dieu que je pense, et dans ces mystères, je trouve mon Dieu. Méditer ces choses, selon moi, c’est sagesse, et, à mon jugement, c’est prudence que d’en ramener le souvenir, souvenir dont la douceur est comme l’amande du fruit produit en abondance par la verge d’Aaron, et que Marie est allée cueillir dans les hauteurs des cieux, pour le répandre sur nous à profusion. Oui, c’est bien au plus haut des cieux qu’elle est allée le prendre, et par delà les Anges, quand elle a reçu le Verbe du sein de Dieu même, pour nous enrichir. C’est dans les hauteurs et plus haut que les Anges, que Marie a reçu le Verbe, du sein même du Père.

    Cette lecture des matines de la fête d’aujourd’hui est tirée d’un sermon qui fut attribué à saint Bernard mais n’est pas de lui (premier paragraphe), et du sermon de saint Bernard sur la nativité de la Sainte Vierge, dit « l’Aqueduc ».

  • « Même pour quelqu’un comme moi »

    Pas moins de cinq candidats commissaires européens doivent passer un examen de rattrapage devant le Parlement européen. Parmi eux Pierre Moscovici, évidemment, et aussi l’Anglais, Lord Hill. Le Financial Times cite Sharon Bowles disant que si le Parlement européen rejette Lord Hill, « alors vous pouvez dire adieu au Royaume Uni dans l’UE… S’ils font cela, il sera difficile, même pour quelqu’un comme moi, de défendre l’Europe. »

    Sharon Bowles est l’ancienne présidente de la commission des Affaires économiques et monétaires du Parlement européen. Elle est député du parti libéral britannique et fait partie du groupe libéral. Bref, il n’y a pas plus européiste (version anglaise, du moins)…

    (Sur ce triste Lord Hill, voir 1, 2, 3)

  • La honte qui vient

    Le Wall Street Journal et diverses sources européennes citées par les agences de presse affirment que le budget 2015 de la France sera rejeté par la Commission européenne d’ici la fin du mois.

    Le gouvernement dément ces « rumeurs », mais elles ne viennent pas de sources fantaisistes.

    Si la Commission rejette le budget de la France, ce sera la première fois qu’elle mettra en œuvre la prérogative qui lui a été donnée par tous les Etats de l’UE en matière de contrôle des budgets nationaux.

    Non seulement la France abandonne sa souveraineté, mais elle serait le premier pays à se faire taper sur les doigts par l’autorité supranationale…

  • Espèce protégée

    Le Parlement catalan a voté une loi anti-homophobie, en faveur des LGBTQI, afin de « garantir les droits de ces personnes, éradiquer les situations de violence et de discrimination et de leur faciliter la représentation dans tous les domaines de la vie publique ». Une loi anti-discrimination et de discrimination positive.

    Il est précisé que les matériels scolaires devront prendre en compte les diverses orientations sexuelles : en clair, la propagande homosexuelle devient obligatoire à l’école.

    Naturellement, la présomption d’innocence est supprimée et la charge de la preuve est renversée : c’est celui qui est accusé d’homophobie qui doit prouver qu’il n’est pas homophobe. S’il est jugé coupable il sera condamné à une amende qui peut aller jusqu’à 14.000 €.

    Mais si vous êtes catholique on peut toujours impunément vous insulter, ainsi que l’ont copieusement été les évêques pendant les débats…

  • Ce que dit Geert Wilders au Parlement (néerlandais)

    Je ne sais pas si un jour on entendra cela au Parlement français. Je ne le crois pas, car l’élu qui oserait dire cela se ferait couper la parole et ne pourrait pas continuer. Alors qu’au Parlement néerlandais, on laisse Geert Wilders dire ce qu’il a à dire sans l’interrompre, sans le moindre murmure. Cela vaut la peine d’être souligné avant de le lire et de le voir. C’était le 2 octobre dernier, lors du débat, suivi le lendemain du vote, sur l’envoi de F16 en Irak contre l’Etat islamique (parce que dans une démocratie, non seulement on laisse s’exprimer l’opposition, mais on vote sur l’entrée en guerre).

    Madame le Président,

    L’Etat islamique est un cancer islamique ; c’est un serpent venimeux basé sur le Coran et sur la vie de Mahomet, un criminel qui, il y a 14 siècles, assassinait et décapitait, de Médine à La Mecque. Son successeur autoproclamé calife de Bagdad est maintenant aux portes de Bagdad et de Damas. Il a des fidèles partout dans le monde, y compris dans notre pays, nos villes et nos rues.

    Je le répète, Madame le Président, des gens sont décapités selon les commandements du Coran, sourate 47, verset 4 : « Quand tu rencontre les infidèles, frappe-les au cou et cause un bain de sang parmi eux. » (1)

    Et oui, Madame le Président, même les musulmans modérés ne peuvent échapper à cette violence parce que, selon le Coran et la Charia, ce sont des apostats qui doivent donc mourir.

    Madame le Président, tous les esprits naïfs qui disent que l’Etat islamique n’a rien à voir avec l’islam commettent une sérieuse erreur politiquement correcte, qu’il s’agisse d’Obama, de Cameron, de Rutte (2), de Samsom (3).

    Madame le Président, c’est une guerre qui a été déclarée contre l’Occident libre. Notre liberté, notre culture, l’avenir de notre pays et de nos enfants sont en jeu. Nous devons riposter durement, tant aux Pays-Bas que dans tout le monde occidental, et bien sûr aussi en Irak et en Syrie. C’est pourquoi mon parti soutient la décision du gouvernement d’envoyer des F16 néerlandais contre l’Etat islamique. Nous disons ; Bombardons-les ! Mais nous ne comprenons pas, Madame le Président, pourquoi nous allons bombarder en Irak et pas en Syrie. Est-ce que le gouvernement est d’accord pour que des gens soient décapités en Syrie, des femmes violées, et qu’un génocide soit commis, seulement parce qu’il n’y a pas de mandat sous droit international ? Quelle lâcheté, Madame le Président. Le gouvernement dit qu’il comprend les Etats-Unis quand ils bombardent l’Etat islamique en Syrie, mais il n’y participe pas lui-même. Compréhension, mais pas participation : quelle lâche timidité.

    Encore plus important que de combattre l’Etat islamique en Irak et en Syrie est de combattre le terrorisme islamique ici, aux Pays-Bas, dans notre pays. La sécurité des Pays-Bas doit être notre priorité numéro un. Nos concitoyens doivent être en sécurité dans les trains, pouvoir marcher tranquillement dans la rue, doivent pouvoir conduire tranquillement leurs enfants à l’école, pouvoir faire leurs courses en toute sécurité. Voilà l’enjeu. Et dans l’article 100 de sa lettre au Parlement, le gouvernement ne consacre que deux paragraphes à la sécurité nationale. Il y a même davantage d’attention aux questions d’égalité de genre et à la situation des femmes dans le monde arabe. C’est une parodie.

    Madame le Président, nous devons protéger les Pays-Bas. C’est pour cela que nous avons été élus. Pour protéger nos concitoyens. Pas seulement les citoyens d’Irak et de Syrie, mais aussi et spécifiquement notre propre peuple ici aux Pays-Bas. Pourquoi est-ce que l’armée n’est pas déployée pour protéger nos gares – en uniforme naturellement et lourdement armés, évidemment. Et pourquoi est-ce que nous essayons d’arrêter les jihadistes quand ils veulent quitter notre pays ? Dimanche dernier, le ministre de la Sécurité et de la Justice annonçait fièrement que les passeports de 41 jihadistes avaient été confisqués pour qu’ils ne puissent pas se rendre en Syrie ou en Irak. Que c’est stupide ! Maintenant ils se baladent, ici, dans nos rues. Ceux qui veulent faire le jihad ailleurs, qui veulent décapiter des gens, commettre des attaques, se baladent dans nos rues à cause de la décision du ministre, aux Pays-Bas. Je le dis depuis dix ans et je le répète une nouvelle fois : fermez la frontière aux immigrants des pays islamiques. Trop c’est trop. La culture islamique de la haine n’a rien à faire ici aux Pays-Bas, et 65% des Néerlandais sont d’accord avec cela. Laissez les jihadistes quitter le pays, et ne les laissez jamais revenir. Telle est la solution. Rétablissez les contrôles aux frontières, expulsez quiconque exprime la moindre sympathie envers l’Etat islamique, enlevez-leur leur passeport néerlandais, exigez que tous ceux qui ont un passeport d’un pays islamique signent une déclaration anti-charia.

    Je dis au gouvernement : réveillez-vous ! ne vous contentez pas de discuter de l’Etat islamique, assurez-vous que les Néerlandais soient en sécurité dans nos rues et en sécurité dans les trains, et puissent faire leurs courses en sécurité. Ne protégez pas seulement les Irakiens contre l’Etat islamique, protégez les Néerlandais contre la menace terroriste islamique. Telle est votre mission, tel est votre boulot, telle est votre responsabilité. Assumez cette responsabilité, faites votre devoir.

    (1) Le verset ne parle pas littéralement d’un bain de sang. Il se poursuit ainsi : « Puis, quand vous les avez dominés… » Mais là il y a une note des autorités sunnites : « Vous les avez dominés : quand vous les aurez affaiblis par un grand nombre de morts et de blessés. » Il s’agit donc effectivement d’un bain de sang…

    (2) Marc Rutte, Premier ministre néerlandais.

    (3) Diederik Samsom, chef du parti du travail.

  • L’archevêque de toutes les religions…

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    Le nouvel archevêque de Kuala Lumpur, Mgr Julian Leow Beng Kim, a été consacré ce lundi 6 octobre.

    Voici son blason.

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    On y voit un arbre de la coexistence.

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    Il ne l’a pas inventé.

     

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    Et l’on connaît le fameux logo (qui orne nombre de voitures aux Etats-Unis et qui a été repris par des fanatiques catholiques du « dialogue interreligieux »... qui pudiquement enlèvent l’emblème satanique du point sur le i) :

    coexist_by_chima.png

    Qui finira ainsi :

    coexist.jpg

    Mais jusqu’ici aucun évêque n’avait osé le mettre dans son blason, en proclamant un relativisme total et parfaitement anti-catholique.

    Si Mgr Julian Leow Beng croit ainsi s’attirer la bienveillance des musulmans, il se trompe lourdement. Les musulmans de Malaisie ont réussi à faire interdire au journal de l’archevêché d’utiliser le mot Allah pour désigner Dieu. A plus forte raison obtiendront-ils que l’archevêque fasse cesser cette insulte à l’islam…

    (Merci à Rorate Caeli)