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Islam - Page 223

  • Persécution anti-chrétienne en Algérie

    Communiqué de Bernard Antony, président de Chrétienté-Solidarité et du Pays Libre

    S’appuyant sur les textes de loi adoptés en 2006 qui punissent le « prosélytisme » chrétien de prison et de fortes amendes et interdisent de « célébrer un rite dans un lieu non reconnu par le gouvernement », le tribunal d’Oran a condamné le prêtre catholique Pierre Wallez à deux ans de prison dont un avec sursis pour avoir simplement rendu visite à des chrétiens camerounais et prié avec eux.

    Ce fait, après bien d’autres, illustre la réalité de l’intolérance antichrétienne qui règne en Algérie, allant des mesures persécutrices de l’Etat au terrorisme des islamistes.

    On attend du recteur Dalil Boubakeur de la Mosquée de Paris sous contrôle algérien et président du Conseil Français du Culte Musulman qu’il exprime sa profonde désapprobation.

    Mais la vérité, c’est que les libertés qu’il exige là où il ne domine pas encore, l’islam les refuse partout où il règne.

    On vérifie également que l’indépendance de l’Algérie n’a finalement eu pour effet que de la remettre sous la férule théocratique de la charia islamique.

    On attend avec intérêt les réactions de M. Nicolas Sarkozy, grand défenseur des libertés mais aussi laudateur à Riyad de la brillante civilisation islamique.

  • Le Ramadan chrétien

    Aux Pays-Bas, l’Eglise catholique présente le Carême comme « le Ramadan chrétien ».

    « Nous utilisons un mot musulman parce que le Ramadan est un concept mieux connu des jeunes que le Carême », explique l’initiateur de la campagne.

    Tout est dit.

     

    (Jeanne Smits précise en commentaire que les évêques ont désavoué cette campagne. Quand même...)

  • Le chef de l’Eglise anglicane favorable à la charia...

    Et voilà la perle de dhimmitude britannique du jour : l’archevêque de Canterbury, Rowan Williams, chef de l’Eglise anglicane, se prononce à la BBC pour l’instauration de la charia au Royaume Uni.

    Non, ce n’est pas une blague.

    Il appelle les Britanniques à appréhender la loi islamique avec ouverture d’esprit et « clairvoyance » : « Il est possible de trouver ce qui serait un arrangement constructif avec certains aspects de la loi islamique comme nous le faisons déjà avec des aspects d’autres lois religieuses », a-t-il affirmé, citant les tribunaux juifs orthodoxes ou le fait que les opinions anti-avortement des chrétiens sont « prises en compte par la loi ».

    Sic.

    Par exemple, ajoute-t-il, dans les conflits conjugaux, des tribunaux islamiques « sembleraient plus appropriés » que les tribunaux civils.

    Comme on lui demandait s’il jugeait nécessaire l’application de la charia pour la cohésion sociale, il a répondu : « Cela semble inévitable. Certains préceptes de la charia sont déjà reconnus dans notre société et dans notre droit, donc ce n’est pas comme si on introduisait un système étranger et concurrent. »

    Re-sic.

    Tout récemment, un évêque anglican a demandé la protection de la police après avoir reçu des menaces de mort suite à la parution d’un article dans lequel il affirmait que certains quartiers des villes britanniques étaient devenues des « zones interdites » aux non-musulmans.

    Réaction de Rowan Williams : « Notre société est fragmentée actuellement. Beaucoup de musulmans pourraient dire que certaines parties de la société britannique sont des zones interdites pour eux. »

    Re-re-sic.

    Et pour défragmenter la société, il veut des tribunaux islamiques...

    Le porte-parole de Gordon Brown a aussitôt réagi : « Le Premier ministre considère que la loi britannique doit s’appliquer dans ce pays, basée sur les valeurs britanniques. Notre position générale est que la charia ne peut justifier la violation de la loi anglaise et que les principes de la charia ne peuvent être reconnus devant un tribunal civil pour résoudre les différends contractuels. »

    Mais en ajoutant qu’il n’excluait pas qu’il soit possible « au cas par cas » d’envisager certains ajustements...

  • Le voile turc

    Le Parlement turc a adopté, à une majorité dépassant largement les deux tiers des voix, un amendement constitutionnel autorisant le port du voile à l’université.

    Le gouvernement a fait valoir que cette réforme vise à défendre les libertés individuelles des jeunes filles musulmanes, et qu’elle s’inscrit dans le processus d’adhésion à l’Union européenne...

  • Mosquée d’Annecy : le permis annulé

    Le tribunal administratif de Grenoble a annulé le permis de construite de la mosquée d’Annecy. Au motif que le permis de construire ne prévoyait « aucun local dédié au stationnement de deux roues ».

    Le permis de construire avait été suspendu, en août dernier, par un juge des référés qui avait donné raison aux riverains. Ceux-ci soulignaient qu’il n’y avait aucun parking prévu pour une mosquée devant accueillir plus de 1.000 personnes.

    Comme je le disais alors, contre les mosquées, tous les arguments sont bons, même ceux qui paraissent faibles ou futiles. La preuve.

  • Toujours les Anglais

    Ce n’est pas toutes les semaines, c’est tous les jours qu’on peut trouver un exemple de la folie britannique en matière de dhimmitude.

    Un brancardier de l’hôpital pour enfants de Manchester a été mis à pied après avoir voulu enlever les draps qui masquaient un crucifix et une image de la Sainte Vierge dans la chapelle de l’établissement.

    Venu là pour prier, il est choqué de voir cette dissimulation. Il y avait trois musulmans dans la chapelle, dont un médecin. Il leur demande d’enlever ce qui recouvre le crucifix et l’image. Les musulmans refusent et le ton monte...

    Il est interrogé par la police pour suspicion d’agression aggravée pour cause de religion, puis relâché sans poursuites.

    Mais la direction de l’hôpital l’a renvoyé pour faute grave...

    (source, via François Desouche)

  • La folie islamo-immigrationniste anglaise

    Il ne se passe pas de semaine sans qu’on découvre de nouveaux délires britanniques. Voici ce que rapportait François Desouche ce week end.

    Le gouvernement vient d’autoriser la reconnaissance formelle des familles polygames du moment que les mariages ont eu lieu dans un pays où l’acte est légal. La décision entraîne une modification du régime des allocations : allocations logement supplémentaires, réduction des impôts locaux, etc.

    Le gouvernement vient de donner aux écoles musulmanes le pouvoir de “s’auto-inspecter” et de “s’auto-contrôler” : elles vont pouvoir nommer leurs propres inspecteurs au sein d’un corps indépendant, afin d’être plus “sensibles à l’éducation musulmane”. Cette décision est censée “promouvoir l’intégration“.

    Il faut en effet s’adapter à ce que sera bientôt le Royaume Uni : le taux de natalité des mères d’origine étrangère a augmenté de 77% alors que celui des femmes britanniques “de souche” chute. A Londres, 6 nouveaux nés sur 10 ont une mère étrangère.

  • Le combat de Bichoï Higazi

    824db7658286d03a3679e606dca06784.jpgLa Haute cour administrative d'Egypte a débouté Mohamed Ahmed Higazi, le premier Egyptien converti au christianisme à avoir osé demander à être reconnu comme chrétien sur ses papiers d’identité.

    Le tribunal a statué que Higazi n'avait pas suivi les procédures légales nécessaires, et a jugé sur le fond que « les religions monothéistes ont été envoyées par Dieu selon un ordre chronologique » et que « le fait de revenir de la religion la plus nouvelle à une plus ancienne est inhabituel » : quiconque fait un tel choix « s'éloigne du droit chemin et menace les principes, les valeurs et les préceptes de l'islam ainsi que les traditions égyptiennes ».

    Mohamed Ahmed Higazi, qui s’appelle désormais Bichoï, avait fait sa demande en août dernier. Sa femme Christine (ex-Zeinab), elle-même convertie, étant enceinte, il voulait notamment que son enfant à naître puisse être enregistré comme chrétien. L’enfant est né le 10 janvier. C’est une fille, qui s’appelle Marie. Bien que ses parents se fussent mariés à l’église, elle a été enregistrée comme musulmane, puisque son père est musulman...

    Lorsque Higazi a entrepris ses démarches, il a été l’objet d’une fatwa de l’université Al Azhar le condamnant à mort. Depuis, il vit dans la clandestinité.

    La partie du jugement sur les « procédures légales » fait allusion au fait que Higazi doit présenter un certificat de l’Eglise copte attestant de sa conversion. Mais l’Eglise refuse systématiquement de donner ce certificat. Une association égyptienne de défense des droits de l’homme avait commencé à défendre Higazi dans son combat judiciaire et a abandonné la partie à cause de ce défaut de certificat... Son premier avocat avait également jeté l’éponge, sur pression de l’Eglise copte qui ne veut pas de vagues. Telle est la réalité de la dhimmitude égyptienne : tout « prosélytisme » est strictement interdit à l’Eglise copte.

    (Higazi a choisi le prénom de Bichoï, en référence au père du désert saint Bichoï, disciple de saint Macaire. Le célèbre monastère Saint-Bichoï est une résidence du pape copte.)

  • La dhimmitude rend fou

    Une piscine municipale de Göteborg, en Suède, a été condamnée en appel pour discrimination envers deux musulmanes. La municipalité devra payer plus de 2.000 euros de dommages intérêts aux plaignantes.

    Ces deux femmes étaient venues avec leurs enfants. Elles ne se baignaient pas elles-mêmes, mais les maîtres-nageurs leur avaient demandé de changer de vêtements, conformément au règlement de la piscine, dûment affiché sur des pancartes, qui demande aux personnes fréquentant les lieux de porter un short et un tee-shirt (ce qui permet aux parents de secourir immédiatement leur enfant).

    Les maîtres-nageurs ont été contraint d’avouer devant le tribunal qu’il n’y avait rien dans le règlement concernant le port du voile (sic), et la cour a estimé

    – attention, soyez bien assis –

    que la ville n’est pas parvenue à « prouver que la requête (des maîtres-nageurs) était sans rapport avec la religion des femmes ».