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Islam - Page 221

  • Une critique de l'islam sur Al Jazira...

    On m'a envoyé cet extrait d'une émission d'Al Jazira. Je ne sais pas qui est cette personne qui s'exprime, mais elle manifeste un courage certain à dire ce qu'elle dit sur cette chaîne.

    L'intérêt est surtout qu'elle dit ce qu'est l'islam. Elle ne nous apprend rien, mais son témoignage devrait être diffusé partout, particulièrement en direction des non croyants qui continuent imperturbablement de croire que l'islam est une religion comme les autres. Car elle est non croyante, elle se définit comme laïque, et elle montre la différence essentielle entre l'idéologie islamique et les religions : l'islam est une idéologie de conquête de la terre entière par la violence, conformément à l'enseignement du Prophète.

    (Juste une petite précision: elle affirme que les juifs n'ont jamais détruit d'églises. Hélas ils en ont détruit en Palestine.)

    J'avais mis cette information sur mon blog ce matin, et je l'ai enlevée peu après, m'apercevant que le lien ne fonctionnait pas. Si j'en crois un commentaire, il fonctionne pour certains. Alors je le remets... (Si quelqu'un peut m'expliquer où est le problème technique, je l'en remercie. Il s'agit d'un fichier BSplayer en .wmv)

  • Fitna revient sur LiveLeak

    LiveLeak a remis Fitna en ligne...

    Explication : depuis le retrait du film, « nous avons travaillé constamment pour améliorer la sécurité » du personnel, et : « Nous ne succomberons pas à la pression visant à censurer des images légales et qui cadrent avec nos règlements. »

    On prend acte de ce sursaut de dignité. Le problème est qu’on n’a plus besoin de Liveleak pour voir Fitna...

  • Après le baptême de Magdi Cristiano Allam

    Il a été dit que le Vatican s’était « démarqué » des déclarations de Magdi Cristiano Allam sur l’islam, voire même s’était inscrit en faux contre ses déclarations. La vérité est que le P. Lombardi, dans un texte qu’il faut lire en entier, et qui est une critique, non des propos du converti, mais d’Aref Ali Nayed, écrit ceci :

    « Accueillir dans l’Eglise un nouveau croyant ne signifie pas, évidemment, que l’on adopte toutes ses idées et positions, notamment en matière politique ou sociale. Le baptême de Magdi Cristiano Allam est une bonne occasion de réaffirmer expressément ce principe fondamental. Il a le droit d’exprimer ses idées, qui restent des idées personnelles et qui, bien entendu, ne deviennent en aucune manière l’expression officielle des positions du pape ou du Saint-Siège. »

    Cela va de soi. Et Magdi Cristiano Allam l’a confirmé lui-même : « Je souscris totalement » à cette déclaration « qui fait la distinction entre mes idées personnelles (...) et la position officielle de l'Eglise ».

    On lira avec intérêt, sur le blog en français de Sandro Magister : (1) des précisions sur le converti, le texte intégral de la lettre de Magdi Cristiano Allam au directeur du Corriere della Serra, la réaction d’Aref Ali Nayed au baptême de l’ancien musulman par le pape, et la réponse du P. Lombardi ; (2) ainsi qu’un texte de Pietro De Marco, et l’analyse des derniers numéros de l’Osservatore Romano, avec notamment le commentaire sur les déclarations du roi d’Arabie saoudite. (On s’étonnera, mais c’est un détail, des paragraphes sur « Raimondo Lullo » : le traducteur ne paraît pas savoir que ce personnage a toujours été appelé Raymond Lulle en français.)

  • L’islam n’est pas violent

    Le film de Geert Wilders « assimile l’islam et la violence », et « cette position est clairement rejetée », ont fait savoir les ministres européens des Affaires étrangères réunis en Slovénie.

    Telle est donc la position officielle de l’Union européenne.

    C’est un déni de réalité, un parmi tant d’autres. On ne peut que demander humblement aux dirigeants, une fois de plus, qu’ils veuillent bien, enfin, lire le Coran.

  • Fitna la galère

    Dès hier, Liveleak a retiré le film Fitna de ses serveurs, en raison de « menaces très sérieuses sur son personnel », et « à cause de reportages mal-informés de certains médias britanniques qui pourraient directement nuire à une partie du personnel », comme on peut le lire sur l’écran qui remplace le film.

    Mais Fitna se trouve désormais sur d’autres sites de partage de vidéos. Notamment Dailymotion. Et l’on félicitera le site Bivouac-ID de l’avoir sous-titré en français. C’est ici.

  • Leur Europe de tout cœur avec l’islam contre Geert Wilders

    La présidence slovène de l’Union européenne dénonce dans un communiqué le film Fitna de Geert Wilders. La présidence de l’UE « soutient pleinement » le gouvernement néerlandais. Ce film ne fait qu’« inciter à la haine », dit-elle, ajoutant : « Ce n’est pas par la violence mais par un dialogue ouvert protégé par la liberté d’expression que la compréhension mutuelle peut être approfondie et le respect mutuel établi »

    On notera une fois de plus le renversement de la réalité : c’est Geert Wilders qui incite à la haine et qui fait preuve de violence quand il donne les preuves de la haine et de la violence que contient le Coran...

    Le Conseil de l’Europe, y est allé lui aussi de son couplet, inversant lui aussi sans vergogne la réalité. Le communiqué signé par Terry Davis et Maud de Boer-Buquicchio mérite d’être lu in extenso :

    « Le film du responsable politique néerlandais Geert Wilders est une déplaisante manipulation qui exploite l’ignorance, les préjugés et la peur. Ce film est purement et simplement de la propagande politique et fait le jeu des extrémistes auxquels il donne un rôle de premier plan. Il indignera la vaste majorité des personnes de confession islamique en Europe qui rejettent la violence et acceptent nos valeurs communes.

    « En tant que Secrétaire Général et Secrétaire Générale Adjointe du Conseil de l'Europe, qui est le garant de la Convention européenne des Droits de l'Homme, nous défendons la liberté d’expression mais, en l’occurrence, nous le faisons en éprouvant beaucoup de déception et d’inquiétude. C’est un triste jour pour la démocratie européenne lorsque les principes absolument fondamentaux sur lesquels elle repose servent à propager l’intolérance et des stéréotypes profondément offensants.

    « Dans toutes les communautés, la grande majorité des citoyens européens, qu’ils soient croyants ou non, ont foi dans le dialogue, le respect mutuel et les valeurs de l’Europe. Nous appelons tous nos concitoyens européens à se joindre à nous pour rejeter cette image offensante et déformée de l’Islam. »

    On reconnaît ici les procédés habituels qui ont tant servi, par exemple contre Le Pen (« une manipulation qui exploite l’ignorance, les préjugés et la peur »). Mais c’est surtout une sorte d’hymne pathétique à la dhimmitude.

    On connaissait ce genre de prose en Orient : c’est le ton habituel des déclarations des responsables chrétiens quand il y a un problème. Parce qu’ils n’ont pas le choix. Parce qu’ils n’ont pas la liberté de faire autrement. Parce qu’ils doivent prévenir les représailles sur leurs coreligionnaires. On fait profil bas, on courbe l’échine et on dénonce le provocateur...

    Le fait que des responsables européens en soient à utiliser le même langage est une terrible illustration de leur soumission à l’islam : une soumission préventive, qui est une preuve terrifiante de la pertinence du film de Geert Wilders.

  • Fitna

    Geert Wilders avait annoncé que son film Fitna (en arabe : trouble à l’ordre public) serait diffusé avant le 1er avril. C’est fait. Boycotté par les chaînes de télévision néerlandaises, refusé par les hébergeurs d’internet, il a finalement été accepté par le site britannique d’échanges de vidéos LiveLeak. Mis en ligne hier soir (en anglais et en néerlandais), il circule désormais partout et suscite des montagnes de commentaires. Le Premier ministre néerlandais Jan Peter Balkenende s’est empressé de déclarer solennellement : « Le film amalgame islam et violence, nous rejetons cette interprétation. » Il a aussi indiqué que le parquet national enquêtait. Mais Geert Wilders s’est soigneusement employé à ce qu’il n’y ait rien d’illégal dans son film (du moins au regard de la loi néerlandaise). Par exemple, à la fin, une main tourne une page du Coran, puis, sur écran noir, on entend qu’une page est déchirée. Mais alors s’inscrit sur l’écran : « Le son que vous avez entendu était celui d’une page enlevée d’un annuaire téléphonique. Car ce n’est pas à moi, mais aux musulmans eux-mêmes, de retirer les versets de haine du Coran. »

    L’AFP reprend en titre de ses dépêches la dénonciation de Balkenende : « Un député néerlandais met sur le net un film amalgamant terrorisme et islam ».

    Quoi qu’on pense du film, il n’y a aucun amalgame. Geert Wilders illustre des versets du Coran (texte arabe, chant du texte, traduction) par des images qui illustrent la mise en application de ces versets. Ce sont des images choc : attentats, exécutions, mutilations... En procédant ainsi, il montre que le terrorisme islamiste n’est pas une maladie de l’islam, mais découle du Coran lui-même. Il le fait de façon simple, à la limite du simplisme sans doute, mais le message est immédiatement compréhensible par tous. Et ce message est vrai.

    En cela le film est remarquable. On saura gré aussi à Geert Wilders de citer des versets qui ne font pas partie de ceux que l’on cite habituellement. : il élargit ainsi la perspective.

    On pourra regretter qu’il omette les versets sur l’obligation du jihad pour tout musulman. D’autant qu’ils auraient pu être cités de façon pertinente en contrepoint des nombreux et impressionnants extraits de prêches et autres propos sur la conquête du monde par l’islam.

    On peut regretter aussi qu’il insiste si lourdement, dans un film d’un quart d’heure, sur les menaces contre les « gays », car ce n’est vraiment pas l’essentiel. Cela dit, on sait qu’aux Pays-Bas une partie non négligeable du combat contre l’islamisation est menée par les homosexuels. Geert Wilders est donc fondé à ne pas le négliger.

    On ne peut qu’apprécier enfin les derniers mots du film : « En 1945, le nazisme a été vaincu en Europe. En 1989, le communisme a été vaincu en Europe. Maintenant, l’idéologie islamique doit être vaincue. »

  • Le Conseil de l’Europe menace Geert Wilders

    Communiqué du Conseil de l’Europe, le 12 mars

    Intervenant cet après-midi, à Londres, lors du sommet du British Council « Living Together » (Vivre ensemble), la Secrétaire Générale adjointe du Conseil de l’Europe, Maud de Boer-Buquicchio, a mis en garde contre la sortie attendue d’un film controversé sur l’islam réalisé par l’homme politique néerlandais Geert Wilders.

    « La Cour européenne des Droits de l’Homme a, par le passé, cautionné des restrictions à la liberté d’expression visant à protéger des convictions religieuses contre les injures gratuites. Il s’agissait en l’espèce d’une religion chrétienne. Je ne me prononce pas sur l’opportunité d’interdire le film de M. Wilders, mais je pense que chacun devrait avoir droit au même respect de ses convictions religieuses, qu’il soit chrétien, juif, musulman, bouddhiste ou autre », a-t-elle déclaré.

    « De surcroît, la liberté d’expression ne saurait pas être considérée comme un permis d’offenser. Au-delà du débat autour de la nécessité d’interdire ou non un film qui insulte et humilie gratuitement nos concitoyens de religion musulmane, nous pouvons assurément réfléchir à la responsabilité individuelle, politique et morale, qui est attachée à un tel acte. Lorsqu’il s’agit d’une personne qui exerce des fonctions publiques, sa responsabilité est naturellement encore plus grande », a ajouté la Secrétaire Générale adjointe.

    Commentaire

    Mme de Boer-Buquicchio fait à Geert Wilders un procès d’intention. Elle ne sait absolument pas ce qu’il y a dans son film. Elle ne peut donc en aucune manière décider qu’il « insulte et humilie gratuitement » ses « concitoyens de religion musulmane ». C’est donc elle qui insulte Geert Wilders.

    Mme de Boer-Buquicchio établit de façon arbitraire un faux parallèle entre les « injures gratuites » visant l’islam ou le christianisme.

    Une affiche représentant le Christ de façon blasphématoire est une injure envers les chrétiens. Citer le Coran et montrer les effets de ce que prescrit le Coran n’est en aucune manière une « injure gratuite ». Si l’histoire est injurieuse pour les musulmans, il ne reste qu’à falsifier l’histoire. Il faudrait que Mme de Boer-Buquicchio nous dise si c’est la voie que choisit le Conseil de l’Europe.

    (Merci à altermedia qui a attiré l’attention sur ce communiqué.

    Addendum. Je m'aperçois que François Desouche en avait fait état dès le 13 mars.))

  • Bruxelles musulmane

    Le vendredi saint, Le Figaro, faisant écho à une étude de La Libre Belgique , publiait un article intitulé : « L’islam, première religion à Bruxelles dans vingt ans. » Et même peut-être dans quinze ans, lit-on ensuite.

    Mohammad est chaque année, depuis 2001, et de loin, le premier prénom donné aux garçons. 75% des musulmans se disent pratiquants. Certains quartiers sont totalement arabo-musulmans. Jean-François Bastin, devenu Abdullah Abu Abdulaziz, fondateur du parti des jeunes musulmans, déclare : « Moi je dis aux musulmans : perdez cet esprit de colonisé ! Les colons se sont fait bouter hors d’Algérie, c’est peut-être ce qui se passera ici. » Il ajoute que les immigrés en ont déjà trop fait pour s’intégrer, et que « c’est maintenant à la Belgique de s’adapter ».

    Commentant cet article, et faisant allusion au dernier éditorial de La Nef , Bernard Antony écrit : « L’islam n’est peut-être pas un ennemi n°1, pas plus que l’eau de la rivière, mais quand ça monte trop, cela s’appelle inondation. Et lorsque les flaques islamiques majoritaires et débordantes de Bruxelles, de Roubaix et autres lieux finiront par se rejoindre cela s’appellera un Kosovo. »

    L’Observatoire de l’islamisation note qu’en terme de pratique les musulmans sont déjà majoritaires à Bruxelles, et donne le lien (musulman) qui dresse la liste des 47 mosquées (bien : mosquées et centres islamiques, pas des salles de prière) déjà présentes dans la capitale belge.

  • Fitna

    Il y a plusieurs semaines, et même plusieurs mois, qu’on parle du film de Geert Wilders, intitulé Fitna (mot arabe qui désigne tout désordre public, la sédition, l’émeute, la guerre civile). Ce petit documentaire de 15 minutes, personne ne l’a vu. Mais on connaît l’auteur, un député violemment anti-musulman. Donc on craint « le pire ». A deux reprises, le gouvernement néerlandais, mort de trouille à l’idée des réactions islamistes qu’il pourrait provoquer, a demandé au député d’abandonner son projet. Mais Geert Wilders, qui dort chaque nuit dans un endroit différent et ne se déplace que sous la protection de quatre gardes du corps, n’est pas homme à se laisser intimider. Il a accusé le gouvernement de « capituler » face à l’islam, et il a réalisé son film. Il l’a proposé aux chaînes de télévision, qui l’ont toutes refusé (sans même le voir). Même pendant le temps d’antenne réservé à son parti.

    Alors il a décidé de le diffuser sur internet. Là encore, les hébergeurs se sont défilés. Il a fini pourtant par en trouver un : Network Solutions. Il a donc pu créer son site, fitnathemovie.com. Avec en page d’accueil ces simples mots : « Fitna coming soon » (bientôt : Fitna), illustrés par une couverture du Coran ornée des mots « Allahou Akbar » en calligraphie arabe.

    Mais, dimanche, tout cela avait disparu. A la place, un communiqué de Network Solutions indiquant que le site était suspendu en attendant le résultat de l’enquête pour savoir si le contenu de ce site violait les règles de la « politique d’utilisation » de l’hébergeur, lequel fait état de plaintes qu’il aurait reçues. Or il est évident que ce qu’on voyait sur le site n’était contraire à aucune règle, et que les plaintes n’ont aucun fondement en l’état actuel de la question. Il s’agit d’une censure préalable.

    Network Solutions précise que sa charte interdit toute diffamation et toute propagande haineuse, et qu’il s’engage à respecter toutes les lois locales, nationales et internationales.

    Geert Wilders affirme que son film respecte les lois néerlandaises, mais il va de soi qu’il ne respecte pas les lois d’autres pays, notamment musulmans (et sans doute pas non plus les lois françaises...). Mais Networks Solutions fait preuve d’une flagrante hypocrisie : il héberge des sites de jeux d’argent et des sites pornographiques qui contreviennent aux lois de nombreux pays.

    En vérité, c’est la critique de l’islam qui est interdite. Je n’ai guère de sympathie pour Geert Wilders, dont la critique du Coran me paraît superficielle et déficiente (c’est un livre « fasciste », dit-il...), mais on constate que le débat est interdit.

    Nous avons ici une preuve éclatante et terrifiante de la dhimmitude mondiale qui s’installe.

    (En revanche, ou plutôt en parallèle, il est tout à fait permis, et recommandé, de diffuser à la télévision, de préférence au moment de Pâques - même si l'on y a échappé semble-t-il, en France, cette année - des "documentaires" violemment anticatholiques, encensés par la critique, voire même par certaines chrétiens.)