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Islam - Page 224

  • La formation d'imams à l’Institut catholique

    Communiqué de Bernard Antony

    La formation confirmée d’imams par l’Institut catholique de Paris, à « des fins d’intégration républicaine » (sic) semblerait un gag surréaliste si cela ne révélait la tragique décomposition du catholicisme qui se poursuit  en bien des secteurs de l’église de France.

    Cet événement affecte en effet gravement la lisibilité du message catholique et ne peut être perçu globalement que comme l’affirmation d’un relativisme religieux au service non pas de la transmission évangélique mais d’un idéal républicain supérieur.

    Cela contribue surtout à banaliser l’implantation douce de l’islam en France qui, lorsqu’il sera numériquement plus fort, changera alors de visage.

    En attendant, on verra certainement bientôt à titre de réciprocité, des prêtres et religieux catholiques recevoir à la Mosquée de Paris une formation à la connaissance du Coran et des Hadiths.

    L’islam n’aura pas besoin du jihad pour soumettre la France. L'obligation de la viande halal déjà imposée dans bien des cantines scolaires, annonce la progressive installation, sous couverture républicaine, d’une douce dhimmitude.

    Ce dont le peuple catholique d’abord aurait besoin c’est que les successeurs du Christ et des apôtres expliquent clairement en quoi la conception de Dieu, de l’homme et de la femme et de la société enseignée par l’islam n’est pas celle du christianisme.

    Et ce que le peuple de France devrait apprendre, c’est que si l’on peut difficilement sortir du communisme, il est infiniment plus difficile de sortir de l’islam.

  • Les imams de la Catho

    Le cycle de cours « Religion, laïcité, interculturalité », à destination des futurs imams, a commencé ce mardi à l’Institut catholique de Paris. 25 étudiants sont inscrits, dont 20 suivent par ailleurs les cours de l’Institut musulman de la Mosquée de Paris : 17 garçons qui se préparent à devenir imams, et trois filles qui se préparent à devenir « aumônières »... Les cours sont financés par le ministère de l’Immigration et de l’Identité nationale, au titre des subventions à l’intégration...

  • National-islamisme

    Le Premier ministre turc Erdogan a réitéré son souhait que soit levée l’interdiction du port du voile islamique dans les universités. « Nous voulons que cette question soit résolue aussi rapidement que possible dans le cadre de la démocratie parlementaire », a-t-il précisé.

    Il y a en effet un élément nouveau. Jusqu’ici, l’AKP ne pouvait que lancer des incantations. La laïcité de l’Université est inscrite dans la Constitution. Il faut les deux tiers des voix pour modifier la Constitution , et l’AKP ne les a pas.

    Or le parti de l’Action nationaliste, qui a fait une percée aux dernières élections, a proposé de lui-même de modifier la Constitution. Avec l’Action nationaliste, la barre des deux tiers des députés est atteinte...

    Ce qui est intéressant ici est de pouvoir vérifier une fois de plus que le « nationalisme » turc est un national-islamisme.

  • Cavaliers d’Allah

    Le rappeur Abd al Malik (« serviteur du roi », Malik étant un des 99 noms d’Allah »), de son vrai nom Régis Fayette Mikano, sera fait chevalier dans l’ordre des Arts et Lettres par le ministre de la Culture Christine Albanel, dimanche à Cannes durant le Midem.

    Il a publié un livre intitulé Qu’Allah bénisse la France.

    Très « pieux » musulman, membre d’une confrérie soufie, « Abd al Malik » se dit aussi « admirateur de ceux qu'on appelle les philosophes de la déconstruction, Deleuze, Dérida, mais aussi Foucault »...

  • Les trois petits cochons retoqués

    Un éditeur britannique spécialisé dans les CD-Rom éducatifs a publié une version modernisée du célèbre conte des trois petits cochons, sous le titre Trois petits cowboys constructeurs. (Ce sont des CD-Rom interactifs qui apprennent à l’enfant à construire lui-même une histoire.)

    L’agence de technologie éducative, qui dépend du gouvernement, a exclu ce CD-Rom de la sélection du Bett Award, bien qu’il ait déjà obtenu un prix à l’Education Resource Award.

    La raison avancée par les « juges » est qu’ils se « préoccupent de la communauté asiatique et que le l’utilisation de porcs soulève des questions culturelles ». En clair, ce CD-Rom est « trop offensant » pour les musulmans. (Dans le vocabulaire anglais actuel, asiatique veut dire pakistanais...)

    Pour tenter de se dédouaner, l’agence ne craint pas d’ajouter que le CD-Rom risquerait aussi « de nous aliéner une partie des travailleurs (du bâtiment) ». Sic.

    Et ils s’indignent : « Est-il vrai que tous les constructeurs sont des cowboys, que les constructeurs voient leur travail anéanti par un souffle, et que les constructeurs sont comme des porcs ? »

    C’est, à ce jour, un ahurissant record d’hypocrisie de la dhimmitude.

    (source, via FD)

  • Afghanistan démocratique

    Le tribunal de la province de Balkh, en Afghanistan, a condamné à mort Perwiz Kambakhsh, 23 ans, pour avoir distribué à ses camarades d’université un article (dont il n’est pas l’auteur) « insultant pour l’islam et interprétant de manière erronée des versets du Coran ». Perwiz Kambakhsh était détenu depuis octobre sous l’inculpation de blasphème. Son procès s’est tenu à huis clos sans avocat.

  • Un terrifiant exemple de novlangue

    Le ministre britannique de l’Intérieur, Mlle Jacqui Smith, a expliqué qu’il ne fallait plus parler de terrorisme islamique, parce que ces extrémistes ont un comportement contraire à leur foi. Il faut donc parler d’« activités anti-islamiques ». Sic. Et elle a plusieurs fois employé cette expression dans son premier discours sur ce... phénomène. Tandis qu’à son ministère des responsables de la sécurité expliquent doctement que telle est en effet la nouvelle doctrine, car faire un lien entre islam et terrorisme c’est mettre de l’huile sur le feu...

    François Desouche rappelle opportunément les trois slogans du gouvernement de Big Brother : la guerre c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, l’ignorance c’est la force. En résumé, le mensonge c’est la vérité.

    D’autre part, dans une interview au Sunday Times, Jacqui Smith a déclaré qu’elle aurait peur de se promener la nuit dans les rues de Londres. On lui demande d’abord si elle se sentirait en sécurité dans le quartier « populaire » de Hackney. Elle répond : « Non, mais je crois que je ne l'ai jamais fait. Je n'aurai jamais à faire cela de toute ma vie... Je ne pense pas que les gens le font, n'est-ce-pas ? », A la même question sur les quartiers huppés de Kensington et Chelsea, elle répond : « Je ne m'y promènerais pas la nuit. J'ai la chance de ne pas avoir à le faire. »

    « Les ministres de l'Intérieur sont censés instiller la peur dans le cœur des criminels et non pas se tapir derrière les rideaux », commente le journal.

    Cela s’applique tout autant à l’invention de l’expression « activités anti-islamiques » pour désigner le terrorisme islamiste.

  • La déclaration islamophile de Nicolas Sarkozy

    Communiqué de Bernard Antony

    Nous prenons connaissance ce jour de l’intégralité du stupéfiant discours de Nicolas Sarkozy devant le conseil consultatif en Arabie Saoudite. On relève notamment les assertions suivantes :

    « D’ici partit il y a 14 siècles le grand élan de piété, de ferveur, de foi qui allait tout emporter sur son passage, qui allait convertir tant de peuples et faire naître l’une des plus grandes, des plus belles civilisations que le monde ait connue. Ici en Arabie Saoudite, ce sont les lieux les plus saints de l’Islam, vers lesquels chaque musulman dans le monde se tourne pour prier. » En effet, l’Islam allait tout emporter sur son passage ! Il allait « convertir » en ne laissant aux peuples sur lesquels il s’abattait que le choix du Jihad, ou de la dhimmitude, c'est-à-dire de la soumission ou de la guerre. Pour la plupart cela signifiait la conversion ou la mort. L ’Islam massacra partout en Orient, perpétrant notamment d’immenses génocides en Inde et en Afrique du Nord.

    « Sans doute, Musulmans, Juifs et Chrétiens ne croient-ils pas en Dieu de la même façon. Sans doute n’ont-ils pas la même manière de vénérer Dieu, de le prier, de le servir ; mais au fond, qui pourrait contester que c’est bien le même Dieu auquel s’adressent leurs prières ? »

    Il n’y a en effet qu’un seul Dieu mais celui que Mahomet révèle par son coran n’est pas vraiment le Dieu connu des Chrétiens ! Par exemple à quiconque n’est pas musulman, le Coran, où l’on trouve par dizaines les condamnations, les appels à la violence, à la guerre, ne promet que l’enfer (sourate 58, verset 6) !

    « L’Occident a recueilli l’héritage grec  grâce à la civilisation musulmane ». Non, Monsieur Sarkozy, vous manifestez une tragique ignorance en confondant la civilisation musulmane et l’arabité ! L’héritage grec fut en effet le legs de Byzance. Mais dans ses territoires submergés par l’Islam, ce furent essentiellement les religieux arabes chrétiens, notamment les Syriens, qui sauvèrent ce qui pouvait l’être.

    En conclusion, nous ne reprochons pas à Monsieur Sarkozy d’entretenir des relations avec les Etats arabes. Mais nous lui reprochons de sortir de son rôle de chef d’Etat en se livrant au nom de son étrange conception de la politique de civilisation à une flagrante désinformation historique. Il est très regrettable qu’il n’ait à l’évidence rien lu de l’œuvre essentielle de la grande historienne Bat Ye’Or.

    Monsieur Sarkozy s’est-il préoccupé du statut des nombreux non-musulmans en Arabie ? S’est-il soucié de l’interdiction de tout lieu de culte, juif, chrétien ou autre et de la peine de mort sanctionnant la conversion de l’Islam vers une autre religion ? Enfin, puisqu’il est si admirateur de cet Islam, que n’a-t-il demandé à en visiter ce qu’il appelle « les lieux les plus saints » ? Il ne l’a pas fait parce qu’on le lui aurait refusé, parce que seuls les musulmans peuvent séjourner à la Mecque et à Médine ! Parce qu’un non-musulman ne peut se risquer dans ces villes qu’au péril de sa vie ! C’est en effet la tolérance islamique !

  • Sarkozy à Ryad : une apologie de l’islam

    Il faut lire intégralement le discours de Nicolas Sarkozy devant le conseil consultatif d’Arabie saoudite. Au-delà des brèves citations que la presse en a faites et qui ont suscité une fois de plus l’ire des laïcistes, il s’agit d’une apologie de l’islam, ne reculant devant aucune contre-vérité historique, aucune contre-vérité religieuse.

    S'adressant à la « toute la communauté des croyants », c'est-à-dire à l'oumma, le président français commençait par une apologie du jihad des premiers temps, qualifié de « grand élan de piété » :

    « Monsieur le Président, Messieurs les Membres du Conseil, A travers vous j’adresse à toute la nation saoudienne le salut fraternel de la France. Ce salut, je veux l’adresser aussi à toute la nation arabe et à toute la communauté des croyants. Je n’oublie pas que pour tous les musulmans l’Arabie Saoudite c’est une terre sacrée où le Prophète a recueilli la parole de Dieu pour l’enseigner aux hommes. Tous les musulmans à travers le monde pensent cela de l’Arabie Saoudite. D’ici partit il y a 14 siècles le grand élan de piété, de ferveur, de foi qui allait tout emporter sur son passage, qui allait convertir tant de peuples et faire naître l’une des plus grandes, des plus belles civilisations que le monde ait connu. Ici, en Arabie Saoudite, ce sont les lieux les plus saints de l’Islam, vers lesquels chaque Musulman dans le monde se tourne pour prier. »

    Cela continuait par l’affirmation que musulmans, juifs et chrétiens prient le même Dieu, « le Dieu de la Bible , le Dieu des Evangiles, le Dieu du Coran, finalement, le Dieu unique des religions du Livre » (mais il n’y a qu’une seule religion du Livre : l’islam), ce « Dieu qui par-delà toutes les différences ne cesse de délivrer à tous les hommes un message d’humilité et d’amour, un message de paix et de fraternité, un message de tolérance et de respect ». Et que les crimes qui ont été commis au nom de la religion « n’avaient en réalité rien à voir avec elle ».

    On lit aussi que « l’Occident a recueilli l’héritage grec grâce à la civilisation musulmane » (et il va y revenir plus loin ; il ne sait pas que ce sont des chrétiens qui pour l’essentiel ont traduit les livres grecs, qui se sont ainsi transmis malgré la « civilisation musulmane »).

    Sarkozy fait l’éloge de la diversité, une « une valeur qui était à l’honneur à Alexandrie, à Constantine, à Cordoue », pour justifier la promotion de l’islam en France : « C’est une valeur que j’ai voulu faire respecter en France en créant le Conseil du Culte Musulman. C’est la valeur qui m’inspire quand je veux faciliter la construction de mosquées en France pour que les musulmans français puissent prier dans des lieux de culte décents. »

    Et voici du nouveau sur la politique de civilisation :

    « La politique de civilisation, c’est ce que font tous ceux qui œuvrent pour un Islam ouvert, un Islam qui se souvient des siècles où il était le symbole de l’ouverture d’esprit et de la tolérance, qui se souvient que ses savants traduisirent Aristote et Platon et qu’ils furent pendant des siècles, les savants de l’islam, à la pointe du progrès des sciences. La politique de civilisation, c’est ce que font tous ceux qui s’efforcent de concilier le progrès et la tradition, de faire la synthèse entre l’identité profonde de l’Islam et la modernité sans choquer la conscience des croyants. C’est ce que fait l’Arabie Saoudite sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Abdallah (...) dans le respect de l’intégrité des lieux saints de l’Islam, qui est une exigence avec laquelle le Royaume ne peut pas transiger et qui l’oblige à être pour les croyants du monde entier un modèle de piété et de fidélité à la tradition. »

    Autrement dit, Nicolas Sarkozy justifie le fait qu’il soit strictement interdit de pratiquer, même en privé, une autre religion que l’islam sur le territoire saoudien, et que la censure religieuse et politique soit absolue. Il justifie l’application rigoureuse de la sunna et de la charia. Le « modèle de piété et de fidélité à la tradition », c’est, entre autres, l’interdiction du théâtre et du cinéma, l’interdiction pour une femme de sortir seule et de conduire une voiture, c’est la police religieuse qui vérifie la longueur du voile, le strict respect de la ségrégation sexuelle, la prohibition de l’alcool, etc., pendant que les princes s’envoient en l’air avec des prostituées de luxe et en buvant du whisky dans les plus grands palaces de la planète. Vous avez dit « politique de civilisation » ?

  • Pas de grande mosquée à Barcelone

    La mairie de Barcelone a refusé d’accorder l’autorisation au Conseil islamique de Catalogne de construire une grande mosquée dans cette ville où vit la plus importante communauté musulmane d’Espagne, selon Aujourd’hui le Maroc, qui cite la presse locale. Le Conseil de la ville de Barcelone aurait donné comme motif  que « la communauté musulmane à Barcelone n’est pas unique et compte différentes tendances, comme il n’y a pas une seule communauté chrétienne ».

    Aujourd’hui le Maroc estime qu’il y a plus d’un million de musulmans en Catalogne, dont 700.000 Marocains.

    (via François Desouche)

    (Des précisions sur l'Observatoire de l'islamisation)