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Islam - Page 220

  • La fête nationale turque à Mantes-la-Jolie

    Un millier de Turcs ont célébré la fête nationale turque à... Mantes-la-Jolie, avec défilé d’hommes en costumes militaires ottomans (sabre compris), et orné de drapeaux du Milli Görüs, dont l’Observatoire de l’islamisation nous rappelle que c’est un mouvement islamiste turc (créé en... Allemagne) militant pour l'édification d'un Califat mondial, la suppression des gouvernements laïques, l’application de la charia en Europe, la pénétration de la société à tous les niveaux : associatif, caritatif, éducatif afin de séduire le plus grand nombre.

    772533361.jpgLe logo de la branche allemande du Milli Görüs montre l'Europe enchâssée dans un croissant (ce qui n’est pas sans rapport avec le timbre-poste turc officiel que j’évoquais en septembre 2006).281671700.jpg

  • La mosquée de la cité U

    Le collectif d'étudiants musulmans de la célèbre cité universitaire d'Antony (Hauts-de-Seine) a saisi le Conseil d'Etat afin d'obtenir un lieu de prière, en attendant que le Crous ne prenne une décision quant à leur salle, fermée depuis le 2 janvier, a indiqué à l'AFP leur avocat, Hasni Maati. « Cela fait quatre mois que les étudiants attendent. Ils ont misé sur le dialogue, et sont même prêts à discuter sur le principe de la laïcité », dit-il. « Mais ils vivent en ce moment une période difficile, il y a de la part des autorités une volonté d'intimidation. Il y a là atteinte à la dignité. »

    Le 2 janvier, les forces de l'ordre avaient fait évacuer la salle de prière musulmane de la plus grande résidence universitaire de France pour des motifs de « sécurité incendie et électricité ».

    Le Crous (Centre régional des oeuvres universitaires et scolaires) de Versailles avait alors précisé qu'il « ne doit pas y avoir de lieu de culte dans une résidence universitaire ».

    On apprend à cette occasion que cette « salle de prière », qui faisait de l’islam la seule religion de la cité U, était utilisée depuis une trentaine d'années par des étudiants musulmans. Dans la plus totale illégalité, puisque c’est contraire aux règles de la « laïcité à la française ».

    Mais les étudiants musulmans réclament du Conseil d’Etat le droit de continuer à bénéficier d’un lieu de culte illégal…

  • La dhimmitude à Bradford

    1457884520.jpgLa ville de Bradford a interdit cette année le défilé en honneur de saint George, patron de l’Angleterre, auquel devaient participer 1.500 enfants, parce que cela pouvait « contrarier » les musulmans.

    Réaction du député Philip Davies : « Cette journée semble avoir été supprimée par peur de voyous. C’était une occasion de choix de promouvoir l’intégration en célébrant le fait d’être anglais. La police et le conseil – que ce soit à cause du politiquement correct ou quoi que ce soit d’autre – a minablement failli. Franchement, c’est pathétique. »

    (Via François Desouche. L’article du Daily Star est orné de cette magnifique icône, copte semble-t-il. Dommage qu’il soit environné de pénibles publicités.)

    Extraits du Pacte d’Omar, qui engageait les chrétiens dans l’empire ottoman :

    (...) Nous ne ferons point paraître nos croix et nos livres sur les chemins fréquentés par les musulmans et dans leurs marchés (…) Nous n’y élèverons pas la voix en présence des musulmans. Nous ne ferons pas les processions publiques du dimanche des Rameaux et de Pâques. (...)

    S’il nous arrivait de contrevenir à quelques-uns de ces engagements dont nos personnes demeurent garantes, nous n’aurions plus droit à la dhimma  et nous serions passibles des peines réservées aux rebelles et aux séditieux.

  • Pakistan : la talibanisation en marche

    Le gouvernement de la province de la Frontière Nord-Ouest du Pakistan (Peshawar) a libéré Maulana Sufi Muhammad, chef de l’organisation interdite Tehreek-e-Nifaz-e-Shariat Muhammadi (TRISM), condamné en 2002 à dix ans de prison pour terrorisme. Le gouvernement et le chef islamiste ont conclu un accord par lequel, en échange d’un engagement de cessez-le-feu dans les régions contrôlées par ses milices, il pourra  poursuivre « son combat pour l’instauration de la charia par des moyens pacifiques ».

    Le gouvernement provincial parle de la « bonne foi » du TRISM, qui « respecte le gouvernement du Pakistan et les institutions ». Maulana Sufi Muhammad dit quant à lui que le gouvernement a pris la bonne décision, permettant de restaurer le dialogue et la paix, etc., que le TRISM n’est pas impliqué dans les attaques contre la police ou l’armée car ces attaques sont contraires à l’islam…

    Les observateurs font remarquer que la libération de Maulana Sufi Muhammad était une des conditions pour la libération de l’ambassadeur du Pakistan en Afghanistan, enlevé par les talibans en février dernier, et ouvre la voie à une talibanisation du Pakistan, commençant par les régions tribales.

    (Asianews, via e-deo) 

  • Louis Chagnon obtient enfin justice

    En 2004, Louis Chagnon était la cible d’une campagne menée par le MRAP. C’était un professeur « raciste » qui avait osé dire du mal de Mahomet dans un cours d’histoire. Il était accusé d’avoir dicté à ses élèves : « Mahomet va se transformer en voleur et en assassin (...) il va imposer sa religion par la terreur (...) il fait exécuter 600 à 900 juifs par jour ». Le texte avait été tronqué et falsifié (« par jour » avait été ajouté sur le cahier avec une autre encre...). En réalité il avait dit : « 600 à 900 juifs en une journée », comme cela a été établi, et il avait justifié son propos par le pillage des caravanes de La Mecque, ce qui avait disparu...

    Louis Chagnon avait écopé d’un blâme de l’Education nationale. Le MRAP avait alors abandonné son action, tandis que la Ligue des droits de l’homme, qui s’était également mise dans la partie, avait vu sa plainte rejetée par le parquet.

    Près de quatre ans plus tard, le tribunal administratif de Paris a annulé le blâme et condamné l’Etat à verser à Louis Chagnon 1.000 euros, ce qui est dérisoire quand on se souvient comment il fut traîné dans la boue par les médias du politiquement correct.

    Le tribunal souligne que dans l’arrêté infligeant un blâme à Louis Chagnon « la vérité historique des propos relatés n’est pas contestée », et il ajoute qu’en ce qui concerne la « provocation » celle-ci n’est pas établie.

    Mais cette vérité historique des propos relatés est soigneusement omise dans les fiches pédagogiques données aux professeurs... L’intérêt de l’affaire Chagnon est qu’elle a contribué à faire connaître cette vérité soigneusement occultée.

    Rappelons que Louis Chagnon est aujourd’hui un des principaux collaborateurs de Reconquête, où il tient notamment la « Chronique de la dhimmitude ».

  • Quatre islamophiles

    Reprenant, en préparant mon prochain éditorial de National Hebdo, ma note sur la résolution de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe appelant à promouvoir l’islam en Europe, je m’aperçois que je n’ai donné aucun détail sur le vote.

    Cette résolution (qui n'a donné lieu à aucun communiqué, contrairement à l'habitude...) a été adoptée « à l’unanimité » des 83 parlementaires présents. Ils n’étaient que 83, sur 636 membres. Mais ce qui reste est l’unanimité. Il n’y a même pas eu une abstention.

    Il y avait quatre parlementaires français en séance. Qui ont donc voté en faveur de cette résolution. En faveur du droit au vote aux immigrés, en faveur de la construction de mosquées, en faveur de la promotion de l’islam à l’école, etc., en compagnie notamment des 9 parlementaires turcs présents.

    Tous quatre sont des parlementaires de « droite ». Trois d’entre eux font partie du groupe PPE/DC, à savoir parti populaire européen – démocratie chrétienne (sic). En France ils sont UMP. Il s’agit des députés Alain Cousin et Jean-Claude Mignon, et du sénateur Laurent Béteille. Le quatrième, du groupe ADLE (libéraux), est Denis Badré, sénateur MoDem-UDF, un des principaux lieutenants de François Bayrou.

    (En ce qui concerne la résolution sur l’avortement, le lendemain, ont voté pour : le sénateur UMP Jean-Guy Branger, le sénateur PS Michel Dreyfus-Schmidt, le député PCF Jean-Paul Lecoq, le député PS René Rouquet. Ont voté contre : les sénateurs UMP Laurent Béteille et Jacques Legendre, le député UMP Claude Greff, le député NC Françoise Rochebloine. S’est abstenu le député UMP Jean-Claude Mignon.)

  • Une fatwa du Conseil de l’Europe

    Le 16 avril, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a adopté une résolution pour le droit à l’avortement dans tous les pays membres (voir ma note précédente). La veille, la même Assemblée a adopté une résolution appelant les Etats membres à promouvoir l’islam (un islam compatible avec les droits de l’homme, la démocratie, etc., bien sûr...). Si certains voient dans cette coïncidence une volonté de remplacer les bébés européens par des musulmans d’importation, ils n’ont sans doute pas tort.

    Voici des extraits de cette résolution :

    « L’Assemblée parlementaire met en garde contre toute confusion qui pourrait être faite entre l’islam en tant que religion et l’intégrisme islamique en tant qu’idéologie. L’islam est la deuxième religion en Europe et une composante des sociétés européennes: dans certains Etats membres du Conseil de l’Europe, c’est la religion traditionnelle de la majorité de la population; dans d’autres, c’est la religion de la majorité des immigrés et des citoyens issus de l’immigration, qui représentent une proportion grandissante de la population. L’intégrisme islamique, par contre, est une idéologie extrémiste qui poursuit des objectifs politiques et promeut un modèle de société incompatible avec les valeurs des droits de l’homme et les normes de la démocratie; dans sa pire forme, l’intégrisme islamique préconise l’usage de la violence pour atteindre son but. »

    «Il appartient aux gouvernements européens en particulier de s’attaquer aux causes qui forment le terreau fertile de l’extrémisme – pauvreté, discrimination et exclusion sociale; de garantir le plein respect de la liberté de pensée, d’expression et de religion, telle qu’énoncée dans la Convention européenne des Droits de l’Homme, et de contribuer à instaurer un climat de respect de toutes les religions quelles qu’elles soient, ou de l’absence de religion. A cet égard, les Etats membres du Conseil de l’Europe doivent continuer à être vigilants dans leur action de prévention et de lutte contre le phénomène de l’islamophobie. »

    Parmi la longue liste de recommandations faites aux gouvernements, on note que l’Assemblée les invite « à promouvoir la cohésion sociale, l’intégration, la participation politique et civique des immigrés et des citoyens issus de l’immigration », en « accordant aux immigrés en situation régulière le droit de vote et d’éligibilité, au moins aux élections locales et régionales, afin qu’ils puissent avoir une influence sur l’administration publique et les autorités au niveau local », en « supprimant tout obstacle juridique ou administratif sans objet à la construction d’un nombre suffisant de lieux de culte adaptés à la pratique de la religion islamique », en « s’assurant que les manuels d’école ne donnent pas de l’islam l’image d’une religion hostile ou menaçante ».

    Ce qui est hallucinant dans ce texte est que les parlementaires se piquent de donner une leçon d’islam. On a vu qu’ils commencent par expliquer doctement qu’il ne faut pas confondre la religion islamique et l’idéologie islamiste politique (alors que Tariq Ramadan lui-même dit clairement que l’islam est une doctrine globale qui peut « difficilement » entrer dans la catégorie religion). Ou encore ils invitent les gouvernements « à lutter contre toutes les formes de discriminations et de violences (en particulier les mariages forcés, les mutilations sexuelles féminines, les crimes dits « d’honneur ») qui, au nom d’une interprétation erronée des textes religieux ou des coutumes, bafouent les droits fondamentaux des femmes et l’égalité entre les femmes et les hommes ».

    Car les parlementaires du Conseil de l’Europe savent ce qui est et n’est pas « une interprétation erronée des textes religieux ».

    Ce 15 avril 2008, le Conseil de l’Europe aura donc promulgué une fatwa...

    La résolution se termine par une série d’autres recommandations par lesquelles les parlementaires invitent « en outre » les « organisations, les dirigeants et les chefs d’opinion musulmans européens » à « encourager les jeunes musulmans européens à devenir imams », « à encourager les médias à rendre compte de façon équitable de la réalité musulmane et des opinions des musulmans, en veillant notamment à donner la parole aussi aux modérés », ou « à encourager le développement d’une intelligentsia laïque ». Sic. On voit qu’ils ont tout compris.

  • Il s’appelle Islam

    Les parents d’Islam Alaouchiche, 9 ans, de Colombes (Hauts-de-Seine) vont porter plainte pour discrimination parce que leur enfant n’a pas été retenu dans un jeu télévisé de la chaîne Gulli.

    Selon la mère d’Islam, une personne de la production lui a dit que son fils « ne pouvait pas garder son prénom » parce que « s’appeler Islam pour un garçon c’est comme porter le voile pour une fille », et que ce nom « représente une religion qui n’est pas aimée par les Français ».

    Fadela Amara, qui dans les journaux algériens est une musulmane algérienne convaincue, a réagi : « Ça me scandalise, je trouve ça dégueulasse, c’est une vraie violence faite à un petit bout de chou nié dans sa propre identité. »

    La première violence est d’appeler son fils Islam et de lui donner une telle « identité ». Rappelons simplement que Islam veut dire, pour faire court, « soumission totale et irraisonnée à Allah qui commande le jihad ».

    Addendum. Arnaud Lagardère a appelé la famille pour lui présenter ses excuses, il a demandé une enquête interne, et a proposé à Islam de venir comme candidat à une prochaine émission du jeu, indique un porte-parole de Gulli...

  • L’islamo-communisme à Villejuif

    Le 7 avril, le maire communiste de Villejuif, Claudine Cordillot, se félicitait que l’association des musulmans de Villejuif ait déposé une demande de permis de construire pour une mosquée « sur un terrain sis 132-134 boulevard Maxime Gorki, le long de la RN 7 et à proximité de la station Louis-Aragon ».

    Le lendemain, Le Parisien faisait connaître cette bonne nouvelle. Qui n’en était pas une notamment pour les coptes, lesquels ont une église située au numéro 138 du même boulevard : à vingt mètres de la future mosquée.

    Les coptes sont évidemment atterrés. Ils se retrouvent dans la même situation qu’en Egypte, où l’on construit systématiquement une mosquée à côté de chaque église. Ils demandent si l’on aurait l’idée de construire une mosquée près d'une synagogue...

    (via l'Observatoire de l'islamisation)

  • Fadlallah veut expliquer l’islam à Geert Wilders…

    Sayyed Mohammad Hussein Fadlallah affirme qu'il est « disposé à entamer un dialogue franc avec la droite néerlandaise, et notamment le député Wilders pour lui expliquer les vrais concepts islamiques concernant la violence ». Geert Wilders « porte un jugement sur toute une religion et sur le Coran sans le comprendre, sans même l'avoir lu, ou bien après avoir lu des traductions inexactes qui lui auraient été présentées », a-t-il affirmé à l’ambassadeur des Pays-Bas à Beyrouth.

    Le cheikh Fadlallah, apôtre de la révolution iranienne et de son « exportation », est l’inspirateur et le soutien d’un célèbre mouvement non violent intitulé Hezbollah (le parti de Dieu), dont le drapeau est orné d’une kalachnikov.