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Europe - Page 249

  • Le groupe ITS est sauvé

    Alessandra Mussolini annonce sur son site internet qu’elle quitte le groupe ITS (Identité, Tradition, Souveraineté) du Parlement européen, que préside Bruno Gollnisch. Et elle s’en prend avec encore plus de violence aux Roumains en général et à « tous les hommes politiques roumains » en particulier...

    Les députés roumains du Parti de la Grande Roumanie , qui avaient annoncé qu’ils donneraient hier leur démission en raison des déclarations d’Alessandra Mussolini, restent donc dans le groupe.

    Si ces cinq députés avaient quitté le groupe, celui-ci aurait disparu ipso facto, puisqu’il passait en dessous de la barre des 20 membres.

    Après la démission d’Alessandra Mussolini, le groupe ITS comprend 22 députés de sept pays.

  • Les Belges financent leur islamisation

    Le roi des Belges a signé lundi dernier l'arrêté de reconnaissance de 50 imams officiant dans les 43 mosquées reconnues par la Région wallonne. Ils bénéficieront, de ce fait, d'un traitement versé par l'Etat (le ministère de la Justice !), au même titre que les prêtres, les conseillers laïcs, les pasteurs protestants ou les rabbins.

    Tout comme les communes couvrent le déficit budgétaire des paroisses catholiques, les provinces sont appelées à compenser celui des 43 mosquées reconnues. Les autorités wallonnes l'ont évalué à 703.000 euros par an.

    D'autres mosquées devraient être reconnues : au moins cinq à Bruxelles, et 7 ou 8 en Flandre. Les experts estiment que d'ici deux ou trois ans, quelque 250 imams pourraient être rémunérés par l'Etat.

    Le problème du cumul, pour les imams turcs (qui sont des fonctionnaires de la République de Turquie), n’a pas été réglé. Pas plus que celui de la formation des imams...

    (source, via Bafweb et l'Observatoire de l'islamisation)

  • La tromperie européenne

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    La semaine dernière, le président de la République faisait allégeance au gouvernement des Etats-Unis d’Amérique. Il a été immédiatement suivi par Mme Merkel. Dimanche, il a célébré un 11-Novembre européiste, reprenant la tromperie qui a déjà beaucoup servi d’une construction européenne ayant apporté la paix et la garantissant pour l’avenir. Aujourd’hui, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel, revenant tous deux de Washington, se retrouvent ensemble à Berlin avec leurs ministres respectifs.

    L’édification d’un super-Etat européen inféodé aux Etats-Unis d’Amérique, opérée à marche forcée sans demander l’avis des peuples, n’est certainement pas un gage de paix.

    La paix ne se construit pas contre les peuples, comme l’exemple yougoslave l’a montré, mais par une libre coopération entre nations, et des liens d’amitié, dont la condition sine qua non est le respect des souverainetés et des identités.

  • Négationnisme : l’Espagne fait marche arrière

    Le Tribunal constitutionnel espagnol a déclaré anticonstitutionnelles les peines de prison prévues par le code pénal pour sanctionner le négationnisme.

    Le code punissait de peines de un à deux ans de prison la diffusion « d’idées ou de doctrines qui nient ou justifient les délits » de génocide. Le Tribunal a jugé inconstitutionnelle et nulle l’inclusion du mot « nient ».

    De ce fait, le Tribunal constitutionnel espagnol rejette le texte européen (non contraignant) d’avril dernier, qui harmonise le droit européen en prévoyant des peines de un à trois ans de prison pour la négation de crimes contre l’humanité.

    C’est une décision de bon sens (et en l’occurrence le bon sens n’est donc pas français, ni évidemment bruxellois). On s’oppose à la négation d’un crime contre l’humanité par une argumentation, pas par un procès. En revanche, on peut en condamner l’apologie en justice.

  • Manifestation contre le traité européen

    Communiqué de Roger Holeindre

    Le Front National invite ses membres et sympathisants à se joindre à la manifestation du 11 novembre 2007 à 15h place de l'Opéra à Paris pour manifester contre le soi-disant " mini-traité " européiste de Sarkozy.

    Cette manifestation aura lieu en présence du 1er Vice-Président du Front National, Président du Cercle National des Combattants, Roger Holeindre.

  • Le groupe ITS risque de disparaître

    Les cinq députés du Parti de la Grande Roumanie faisant partie du groupe ITS au Parlement européen, que préside Bruno Gollnisch, ont annoncé qu’ils allaient présenter lundi leur démission du groupe, à cause de propos tenus en Italie par Alessandra Mussolini sur les Roumains. Après le meurtre sauvage d’une Italienne par un Tzigane roumain, Alessandra Mussolini aurait déclaré : « Face à une telle bestialité, il faut inviter immédiatement l’ambassadeur roumain à quitter notre pays et considérer tout citoyen roumain comme un citoyen indésirable... Les Roumains ont fait de la délinquance un mode de vie... »

    « Nous ne voulons pas que, tout en bénéficiant de notre appui de manière indirecte, un porte-voix de la xénophobie, de l’intolérance, et du racisme de type fasciste se fasse écouter en Europe », a réagi Corneliu Vadim Tudor, président du parti de la grande Roumanie, qui n’hésite donc pas à utiliser le vocabulaire de l’adversaire alors qu’il est connu pour ses propos assez peu « corrects » concernant les Tziganes...

    Bruno Gollnisch se dit étonné d’avoir été mis « devant le fait accompli », les Roumains n’ayant pas pris contact avec lui avant d’annoncer leur décision. « Nous n’avons pas la teneur exacte des propos de Mme Mussolini, a-t-il ajouté. Mais il n’y a aucune ambiguïté : nous ne confondons pas les agissements de quelques criminels avec le peuple roumain. S’il s’avérait que Mme Mussolini ait insulté le peuple roumain et ne rétractait pas ses propos, nous nous séparerions de Mme Mussolini. »

    Il faut au minimum 20 députés de cinq pays pour constituer un groupe. Le groupe ITS compte actuellement 23 députés de sept pays (il s’est enrichi en mars d’un député roumain libéral, et en mai de deux Bulgares). La défection des Roumains du parti de Tudor le condamnerait à mort.

    « Si le groupe repasse au-dessous du seuil minimum, cela ne changera pas notre combat politique. Mais il n’y aura que des perdants, dont les députés roumains », souligne Bruno Gollnisch.

    Des tractations sont en cours pour tenter d’éviter l’issue fatale.

  • La « carte bleue » de Bruxelles

    Les ministres européens de l’Intérieur ont examiné hier la proposition de la Commission européenne d’établir une « carte bleue » (comme la « carte verte » américaine), destinée à attirer en Europe les travailleurs les plus qualifiés.

    L’Allemagne et l’Autriche ont rappelé que « la gestion de l’immigration légale reste du ressort des Etats membres ».

    De même, la Suède et la Finlande ont souligné que « la politique de l’emploi est une politique nationale ».

    Le projet a reçu le soutien des Pays-Bas, des pays du sud... et de la France qui a rappelé qu’elle voulait promouvoir « une immigration choisie, ciblée »...

  • Faire voter les étrangers

    Le « Groupe des Européens » fait campagne pour inciter les resoortissants de l’Union européenne à s’inscrire sur les listes électorales en vue de participer aux prochaines élections municipales.

    Telle est la première action de ce groupe de députés (lancé par l’UMP, bien sûr), qui étaient 61 lors de sa constitution le 24 octobre, et qui sont aujourd’hui 70.

    La mise en œuvre de ce droit de vote et d’éligibilité des étrangers européens, disent-ils, « apparaît comme une avancée politique majeure et constitue l’occasion d’élargir et d’enrichir la démocratie locale ». Et surtout d’estomper un peu plus les appartenances nationales, en attendant le droit de vote pour tous les étrangers à toutes les élections.

    Mais la plupart des ressortissants de l’UE résidant dans notre pays savent qu’ils ne sont pas français et qu’ils n’ont pas à se mêler de la politique française. En 2001, ils avaient été un peu plus de 166.000 à s’inscrire, alors qu’ils sont environ 1,5 million.

    Le Groupe des traîtres a du pain sur la planche.

  • L’affaire Seselj : un procès contre-productif à la procédure douteuse

    Communiqué de Bruno Gollnisch

    Le procès de Vojislav Seselj, le président du premier parti politique de Serbie, vient enfin de s’ouvrir à La Haye.

    Il aura fallu plus de quatre ans et demi pour commencer à juger un homme qui s’était pourtant livré volontairement au Tribunal Pénal International.

    Sa détention préventive était donc absurde sur le principe mais aussi abusivement longue.

    En outre, le traitement de Vojislav Seselj est particulièrement scandaleux puisqu’on lui impose des avocats, alors que, professeur de droit, il veut se défendre seul, et qu’on lui refuse de disposer de documents d’instruction traduits dans sa langue.

    Quant à la publicité des débats, il va de soi que, comme pour le procès Milosevic, seuls les arguments de l’accusation seront médiatiquement relayés.

    En dépit de l’autosatisfaction officielle, le bilan du Tribunal Pénal International et de Mme Carla Del Ponte contribue surtout à maintenir ouvertes les plaies d’un conflit sanglant dans une région qui n’est pas à l’abri d’un nouvel embrasement, en particulier au Kosovo, et à empêcher la nécessaire réconciliation entre Serbes et Croates.

  • Le PS se renie

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Par le vote de son bureau national en faveur du traité de Lisbonne, le Parti socialiste a pris la très grave responsabilité de faire adopter la nouvelle mouture de la Constitution européenne par le Parlement.

    En effet, il avait la possibilité (qu’il s’interdit désormais) d’empêcher le gouvernement d’obtenir la majorité des trois cinquièmes lors du vote de révision constitutionnelle au Congrès. Le rejet de cette révision aurait obligé le président de la République à organiser un référendum. Or, tout au long de sa campagne présidentielle, Ségolène Royal s’était prononcée sans ambiguïté en faveur d’un référendum.

    Le parti socialiste se renie.

    « On ne peut pas lâcher le peuple », proteste Arnaud Montebourg.

    La preuve que si. Quand on est socialiste.