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Ecole - Page 11

  • A Huntington on ne se laisse pas faire

    Les parents d’élèves d’une école communale de Huntington, en Angleterre, ont reçu une lettre, datée du 20 novembre, leur indiquant que dans le cadre du cursus national d’éducation religieuse les élèves allaient suivre un « atelier » à l’université du Staffordshire qui leur donnera « l’opportunité de découvrir d’autres religions ». En clair de subir un cours d’islam. La lettre ajoutait que c’était obligatoire, et que ne pas permettre à l’enfant d’y participer entraînerait une sanction pour « discrimination raciale » indiquée dans le dossier de l’enfant tout au long de sa scolarité. De plus, toute absence pour soi-disant raison de santé fera l’objet d’une enquête pour vérifier la crédibilité du certificat médical…

    Je ne suis pas sûr qu’en France quiconque aurait bougé. Mais à Huntington la réaction a été très vive, et immédiate. Y compris de la part du conseil municipal. Au point que dès le lendemain la directrice de l’école envoyait une nouvelle lettre aux parents, s’excusant pour « l’erreur » qu’avait été l’envoi de la lettre précédente, et demandant de ne pas en tenir compte. Elle ajoutait que si « nous sommes une école majoritairement chrétienne », nous avons néanmoins « l’obligation de couvrir au moins une autre religion dans le cadre du programme national ». D’où la visite prévue, qui ne consiste en rien à prendre part à des pratiques religieuses, etc. De fil en aiguille le mauvais démon reprenait le dessus : « Nous avons des élèves et des enseignants qui appartiennent à l’islam et il est bon pour les enfants de comprendre et d’apprécier leur croyance autant que leur foi propre… »

    Un porte-parole du conseil du comté a déclaré qu’il était important que les enfants découvrent les différentes cultures, mais que les parents peuvent retirer leurs enfants de ces activités s’ils le souhaitent. Et « il est clair qu’il n’est pas approprié de faire des commentaires sur la discrimination raciale à ce propos ».

  • Au collège Louis Armand de Savigny-le-Temple

    Lu sur Afrik.com (via F.Desouche) :

    « Afrique subsaharienne, Maghreb… nos élèves sont originaires de toute l’Afrique, explique Frédéric Gay, principal du collège Louis-Armand, en Seine-et-Marne, cette immigration est d’ailleurs l’une des caractéristiques de l’établissement. » Difficile, dans ces conditions, d’oublier toute les saveurs du continent noir lors de la Semaine du Goût.

    La chose n’était pourtant pas gagnée d’avance. « Légumes anciens », « plats du Moyen-Age »… bien qu’intéressantes, les éditions précédentes de la Semaine du Goût se soldaient souvent par un échec, à Louis-Armand. « Je pense qu’on était complètement éloignés de la culture des jeunes », remarque Alexandra Molliard, assistante-gestionnaire du collège, qui en a beaucoup discuté avec les élèves.

    L’idée d’une semaine « à l’africaine » s’est donc mise en place. « Il s’agissait à la fois de parler aux élèves de leur propre culture, tout en leur faisant découvrir autre chose sur leur continent », raconte Alexandra Molliard. D’où l’idée d’un tour d’horizon de toute l’Afrique (…) ».

    On remarquera que le principal dit « nos élèves » (tous les élèves), que l’assistante parle de la culture de ces élèves qui est une culture africaine (dans un collège où ils seraient censés apprendre la culture française), et elle insiste sur le fait qu’il s’agit de leur parler « de leur propre culture »…

  • Athée, d’extrême gauche, enseignant, et parfait dhimmi

    Lu ici :

    « Je suis athée et anticlérical. Et cette année, je n’ai pas travaillé pour l’Aïd-el-Kébir. Non, je ne me suis pas converti à l’islam, j’ai seulement exercé mon droit à ne pas travailler (en demandant une journée) pour des raisons religieuses.

    « Enseignant en lycée professionnel, beaucoup de mes élèves, parfois la majorité, sont musulmans, de foi ou de tradition familiale. Je savais qu’ils ne seraient pas présents ce mardi, comme le permet la loi. (…)

    « En tant qu’enseignant soucieux d’égalité, je ne peux que défendre le fait que ce jour soit férié pour tous. (…)

    « On n’arrêtera donc jamais de fêter les religions ? Ce n’est pas mon souhait, mais pour cela, il est temps de se lever contre les injustices sociales, les dictatures coloniales, le capitalisme dévastateur qui sont le terreau des religions. »

  • L’idéologie du genre débarque à l’école

    C’est parti pour la déconstruction des stéréotypes de genre, à partir de la… maternelle. Sic. Et moi il me semble que « maternelle » c’est en soi un stéréotype de genre, et même une discrimination.

    En janvier prochain, a annoncé le ministre du Droit des femmes (parce que c’est le droit des femmes que les hommes ne soient plus des hommes, quoique ce soit un droit de l’homme que les femmes ne soient plus des femmes), de la grande section de maternelle au CM2, les élèves se verront imposer « un programme de lutte contre les stéréotypes sexistes dès l'école appelé ABCD de l'égalité ». Il sera expérimenté dans dix académies, soit 600 classes, et doit être généralisé dès le printemps 2014.

    La dictature de l’idéologie du genre sévira dans un premier temps dans les académies de Bordeaux, Clermont-Ferrand, Créteil, Corse, Guadeloupe, Lyon, Montpellier, Nancy-Metz, Rouen, Toulouse.

  • Du taklif de Detroit aux écoles suisses

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    Ces photographies sont celles d’une cérémonie de « taklif » à Detroit, Michigan, Etats-Unis d’Amérique.

    C’était le 22 juin dernier. « Vingt-et-une fillettes ont eu le privilège de porter le voile islamique. Ce fut un moment de fierté et de bonheur pour les parents, les familles, les proches et les musulmans  de la région de Detroit », raconte le site de l’association Imam Mahdi de Marjaeya.

    Dans la traduction du texte réalisée par Poste de Veille, « taklif » est traduit par « âge des devoirs ». Ce qui est juste. On peut dire aussi « âge des obligations » : à partir de cette cérémonie la fillette devra obéir en tout à la charia (d’où le voile).

    Mais Poste de veille omet de traduire le titre du texte, qui parle explicitement d’une « fête de la puberté ».

    C’est à la puberté que commence le temps des devoirs, ou des obligations : le musulman est dès lors considéré comme entrant dans l’âge adulte.

    Et pour les filles, l’âge de la puberté, c’est… 9 ans.

    Parce que c’est l’âge qu’avait Aïcha quand Mahomet a consommé son mariage avec elle.

    Ces fillettes seraient donc bonnes à marier, si la loi américaine ne l’interdisait pas.

    C’est du moins un dogme chiite. De ce fait, les cérémonies comme celle de Detroit sont organisées par l’Etat en Iran : la loi dit que la petite fille devient femme à l’âge de 9 ans.

    C’est aussi ce qu’affirme l’une des quatre grandes écoles juridiques sunnites. (Deux autres considèrent que l’âge de la puberté est de 15 ans pour les filles comme pour les garçons, et l’école malikite considère que c’est 18 ans pour tout le monde.)

     *

    Hier 11 juillet, le Tribunal fédéral suisse a décidé qu’on ne peut interdire le voile islamique dans les écoles publiques que si le canton prend une loi pour l’interdire.

    En 1990, le même Tribunal fédéral avait décidé que la présence de crucifix dans des salles de classe où est dispensé l'enseignement primaire public à des élèves qui n'ont pas encore atteint la majorité en matière religieuse (16 ans) ne satisfait pas à l'exigence de neutralité confessionnelle…

    Bref, les petites filles de 9 ans ont le droit d’aller voilées à l’école et de manifester ainsi la religion selon laquelle elles sont pubères, mais le crucifix est interdit au nom de la neutralité.

  • La Marche pour tous porte plainte contre un directeur d’école

    Parmi les écoles catholiques qui prétendent interdire aux élèves le port du sweat représentant les silhouettes d’un homme, d’une femme et deux enfants, il y a le groupe scolaire Saint-Vincent-Providence de Rennes (école, collège, lycée). Le directeur a même envoyé une lettre aux parents d’élèves pour le leur signifier. Des représentants de la Manif pour tous (LMPT) ont décidé de rencontrer le directeur pour qu’il revienne sur sa décision. Celui-ci a refusé. LMPT a donc décidé de porter plainte pour discrimination et concurrence déloyale. Car la désormais fameuse silhouette de la famille est le logo de la marque LMPT, et il n'est pas légitime d'interdire le port d'un sweat-shirt LMPT plus qu'un sweat-shirt d'une autre marque commerciale…

    (Via Le Salon Beige)

  • Des écoles catholiques « haram »

    Le Conseil indonésien des oulémas (qui avait fait sensation au début de l’année en décrétant que l’excision était un droit de l’homme) a pris une fatwa déclarant les écoles catholiques du district de Tegal (Java) « haram » (interdites) et « moralement malsaines ».

    Il s’agit d’une part de lutter contre le fait que de plus en plus de parents envoient leurs enfants dans les écoles catholiques, en raison de leur qualité, mais aussi et surtout, en l’occurrence, d’appuyer les pressions des autorités locales pour obliger les écoles catholiques à avoir des cours d’islam pour les enfants musulmans. Or les églises catholiques résistent aux injonctions des autorités locales.

    Mgr Julianus Sunarko, évêque de Purwokerto, a protesté contre la fatwa, appuyé par de nombreuses familles musulmanes…

    (AsiaNews)

  • Des écoles catholiques font la chasse aux insignes de la Manif pour tous !

    C’est ahurissant. Je vois coup sur coup, sur le Salon Beige, que des adolescents se sont fait exclure (temporairement) de leur lycée catholique à Toulouse parce qu’ils portaient un vêtement frappé du logo de la Manif pour tous (silhouette d’une petit famille, faut-il le rappeler), et que ce vêtement est formellement interdit au collège Saint-Martin de Tours.

    Au motif – c’est à hurler – qu’un établissement scolaire sous contrat n’a pas « à permettre la promotion d’idéologies ».

    Parce que le papa, la maman et deux enfants, c’est-à-dire la famille, pour la direction de ce collège, c’est une « idéologie ».

    Et en outre une idéologie que les enfants sont incapables de soutenir :

    « Les arguments des jeunes qui arborent les signes distinctifs dont il est question sont trop souvent contestables par manque de profondeur et d’analyse. »

    Je crains fort que la Genèse et l’Evangile manquent également de profondeur et d’analyse pour la direction de cet établissement catholique en pleine dhimmitude homosexuelle, qui insulte tranquillement ses élèves comme un vulgaire animateur de télévision insulte ses invités non conformes. Tel un troupeau de CRS de la République laïque socialiste mettant en garde à vue les passants qui passent.

    Durs et injustes envers leurs élèves. A plat ventre devant la pensée unique.

    Il est à craindre que cela ne soit pas limité à Tours et à Toulouse. Qu’en dit la direction de l’enseignement catholique ?

  • SOS Homophobie a de nouveau le label Education nationale…

    Le ministère de Vincent Peillon a de nouveau donné l’agrément national au lobby homosexualiste SOS Homophobie pour qu’il puisse librement faire sa propagande homosexuelle dans les écoles.

    Le ministre de Sarkozy Luc Chatel avait déjà donné l’agrément national à SOS Homophobie en 2009, mais il avait été annulé par le tribunal administratif de Paris en novembre dernier sur plainte de la Confédération nationale des associations familiales catholiques.

    On nous rappelle que le tribunal avait rejeté le « module de sensibilisation », au motif que la « formulation de certaines des réflexions de ce document est susceptible de porter atteinte aux convictions religieuses et philosophiques tant des élèves que de leurs parents ou des enseignants ».

    On suppose donc que la formulation a été revue de façon cosmétique…

    Mais il ne faut pas oublier que le jugement du tribunal était un  jugement de fond : les interventions de SOS Homophobie dans les écoles, affirmait-il, « méconnaissent les principes de neutralité politique et philosophique, de liberté de conscience, de laïcité et du droit des parents sur l’éducation de leurs enfants ».

    Ce sera toujours le cas. Mais le climat a tellement changé ces derniers mois que le même tribunal n’affirmerait sans doute plus cela. Et la dictature homosexualiste a atteint un tel degré que la CNAFC ne se hasardera sans doute pas à réitérer son action : elle pourrait bien être condamnée pour homophobie…

  • Garder les enfants à l’école à tout prix

    Dans le cadre du projet de loi de « refondation » de l’école, le Sénat a abrogé la disposition qui permettait (enfin, en 2011 !) l’apprentissage à partir de 14 ans. Cette disposition a déjà été abrogée par les députés (ça m’avait échappé).

    « Le collège est en souffrance. Nous devons le réformer non en excluant ceux qui s’y sentent mal mais en le transformant pour qu’ils s’y sentent bien », a déclaré Vincent Peillon.

    C’est-à-dire qu’il faut coûte que coûte garder les enfants à l’école le plus longtemps possible pour les formater aussi complètement que possible à la pensée unique.

    Et l’on appelle « exclusion » ce qui est légitime, voire salutaire orientation.

    Au passage, on constate que le ministre de l’Education nationale devrait apprendre à parler le français. Il arrive trop souvent qu’il y ait des colis en souffrance à la Poste. Mais on ne voit pas dans quel centre de tri le collège pourrait être en souffrance.