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Ecole - Page 10

  • Sous la jupe, le mensonge officiel

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    A propos de l’opération « Ce que soulève la jupe ».

    Les mensonges du gouvernement (repris à leur compte par tous les médias de la pensée unique) deviennent vraiment surréalistes.

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    Ceci n’est pas l’Académie de Nantes.

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    Ceci n’est pas le ministère de l’Education nationale.

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    Et l’on est censé croire que ceci est un ministre ???

    Heureusement les réactions sont à hauteur de l’immondice.

  • La dictature homosexualiste : à l’école catholique aussi

    Une religieuse dominicaine, maître-assistant de théologie à l’université Saint-Thomas d’Aquin (Aquinas College) de Nashville, a « scandalisé » les élèves d’un lycée de Caroline du Nord, comme dit la presse locale, en faisant « des réflexions anti-homosexuelles ».

    Invitée à parler lors d’une assemblée d’élèves du lycée catholique de Charlotte, le 21 mars, sœur Jane Dominic Laurel, selon les élèves cités par le journal, « a critiqué les gays et les lesbiennes, en plus d’avoir fait des remarques subversives (sic) à propos des parents isolés ou divorcés ».

    On n’en saura pas plus. Car les propos de la religieuse sont beaucoup trop effroyables pour pouvoir être reproduits. Une pétition a été lancée sur internet, en dix points, nous dit-on. Mais la pétition a curieusement été retirée alors qu’elle allait atteindre les 5.000 signatures. On n’en connaît que ce que le journal avait reproduit :

    « Nous déplorons le fait qu’une large assemblée scolaire soit devenue une tribune pour mettre en avant la question de l'homosexualité après que le pape François a déclaré dans une interview à l'automne dernier que « nous ne pouvons pas insister seulement sur les questions liées à l'avortement, le mariage homosexuel et l'utilisation des méthodes contraceptives. » Nous sommes en colère parce que certains ont décidé qu'ils savaient mieux que notre Saint-Père et ont invité cet orateur. »

    Une fois encore, ou plutôt comme d’habitude, on remarque comment les propos du pape sont utilisés comme caution de la subversion (et comment le mot subversion est utilisé à l’envers).

    Une pétition a été lancée pour défendre la religieuse, et surtout la doctrine de l’Eglise sur ces sujets.

  • Pour ces choses-là il suffit de demander

    L’autre jour paraissait dans Le Monde une tribune réclamant « de toute urgence » le développement de l’enseignement de l’arabe dans les établissements scolaires.

    C’était le 11 février.

    Jeudi, le 14, Vincent Peillon a annoncé que des moyens allaient être mis en œuvre pour… le développement de l’enseignement de la langue et de la culture arabes.

    C’est une orientation culturelle, a-t-il ajouté, « mais elle est aussi, et ça chacun doit le comprendre, l’avenir de l’Europe et l’avenir de la France ».

    (Via Fdesouche)

  • Les effets de la rumeur

    Ce qui n’existe pas peut changer de place, démontrent les socialistes.

    Le livre pour enfants Tous à poil, qui se trouvait dans la rubrique “Outils pédagogiques” du l’ABCD de l’égalité, a été transféré dans une nouvelle rubrique : “Ressources complémentaires” (dans un document PDF qui est une pub de l’Académie de Grenoble pour tous les livres qui permettent de « bousculer les stéréotypes fille garçon »…).

    Autrement dit, Jean-François Copé avait tort mais il avait raison. Ça va devenir difficile à suivre.

  • « Il faut enseigner l'arabe dans le service public »

    Tel est le titre d’une tribune très militante publiée par Le Monde, rédigée par deux enseignants, et dont voici une partie de la conclusion :

    « Il faut aujourd'hui de toute urgence une politique claire qui mette les rectorats devant leurs responsabilités, pour développer sans faux-fuyants l'offre d'enseignement d'une discipline qui constitue la deuxième “langue de France”, et l'une de nos principales langues d'échanges économiques et culturels. »

    Il y a une erreur grossière dans ce propos, qui permet d’expliquer l’erreur qui sous-tend tout le texte et enlève toute force à son titre : l’arabe n’est pas du tout la deuxième langue de France. A supposer qu’il y ait véritablement davantage de locuteurs de ce que ces enseignants appellent « l’arabe » que de locuteurs des parlers occitans (par exemple), ou du corse, ou du basque, il ne s’agit pas de la langue arabe, mais d’un des patois maghrébins, qui sont si éloignés de l’arabe véritable que les Maghrébins du Maghreb comprennent beaucoup mieux leurs dirigeants quand ils s’expriment en français que quand ils font leurs discours officiels en arabe classique. Et en France, dans les banlieues, cela devient un véritable sabir.

    En réalité, l’apprentissage de l’arabe dit littéral ou classique (qui est l’arabe parlé au Machrek : Syrie, Liban, Palestine, Irak) sert uniquement, chez nous, à apprendre le Coran puis à s’endoctriner davantage dans l’islam, c’est-à-dire dans l’islamisme. Est-ce vraiment ce que veulent les enseignants français ?

  • Peillon : «C’est bien l’égalité filles-garçons qui pose problème à ceux qui colportent les rumeurs»

    Non seulement le petit dictateur des écoles devient de plus en plus grotesque, mais le comble est que Libération fait un titre de cette insanité.

  • Tiens, ça a disparu…

    J’avais signalé l’ignoble document de l’académie de Grenoble intitulé « Education à la sexualité en GS-CP ».

    Et j’avais donné deux liens : un qui donnait directement le tableau des cours de sexualité, l’autre qui renvoyait au document pédagogique.

    L’un et l’autre de ces liens renvoient désormais à une page : « Objet non trouvé ».

    Le site F.Desouche, qui avait attiré l’attention sur ce document, constate qu’il a été retiré. Mais il avait gardé le tableau, qu’on peut toujours consulter.

    Ces pourrisseurs ont donc honte de ce qu’ils font. A condition de leur faire honte. C’est une des meilleures fonctions d’internet.

  • Il n’y a pas que le genre

    Il y a aussi le sexe. Voici les premières et les dernières lignes du tableau « objectifs par cycles » d’un document pédagogique de l’académie de Grenoble, intitulé « Education à la sexualité, en GS-CP »

    Les premières lignes concernent les enfants de « grande section » de maternelle, les dernières concernent les enfants de CM2 :

    « Identifier les ressemblances et les différences entre le corps des garçons et celui des filles
    - Nommer les parties du corps et notamment les OGE (organes génitaux extérieurs)
    - Découvrir les 5 sens et le plaisir qu'ils suscitent »

    « Identifier tous les changements liés à la  puberté chez la fille et chez le garçon
    - Exprimer son ressenti face à ces changements
    - Prendre conscience que les appareils reproducteurs deviennent fonctionnels et évoquer la contraception
    Planches anatomiques, serviettes et tampons, préservatifs, pilules »

    Telles sont les valeurs de la République selon Vincent Peillon. Objectif N°1 : pervertir les enfants dès le plus jeune âge.

    Mais c’est aussi une « rumeur », n’est-ce pas…

  • Quand Hoaxbuster est un « hoax »

    Je croyais que le site Hoaxbuster était fiable pour débusquer les canulars et fausses rumeurs qui circulent sur internet. Je m’aperçois que Hoaxbuster est au service du négationnisme des idéologues du genre, et donc du gouvernement, et d’abord des lobbies LGBT.

    Négationnisme : il nous explique, premièrement, que la théorie du genre n’existe pas, et deuxièmement, que personne ne veut imposer la théorie du genre (qui existe, donc) à l’école.

    Au service des lobbies (et du gouvernement) : ceux qui répandent ces rumeurs sont des homophobes.

    Conséquence : tout commentaire qui ne va pas dans le sens de la « vérité » hoax de Hoaxbuster est censuré.

    Cette page est un exemple.

    Un double exemple. Car on y voit aussi comment on fait une vérité (outragée) d’un gros mensonge de Vincent Peillon.

    Citation du ministre : "Lorsque cette notion a été introduite, certains ont fait exprès, a fortiori dans le climat que nous connaissons actuellement avec le mariage pour tous, de faire croire que la majorité avait la volonté d’imposer la théorie du genre à l’école."

    De quoi parle-t-il ? de l’amendement AC421 du "projet de loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la République". Hoaxbuster se garde bien de citer l’explication de l’amendement (en commission de l’Assemblée nationale, le 28 février 2013) : « Cet amendement a pour objet l’intégration dans la formation dispensée dans les écoles élémentaires d’une éducation à l’égalité entre les femmes et les hommes et à la déconstruction des stéréotypes sexués. Il s’agit de substituer à des catégories telles que le « sexe » ou la « différence sexuelle », qui renvoient à la biologie, le concept de « genre », qui montre que les différences entre les hommes et les femmes ne sont pas fondées sur la nature, mais sont historiquement construites et socialement reproduites. »

    Il s’agissait donc bien d’« imposer la théorie du genre à l’école », ou plutôt de le mettre dans la loi, puisque dans les faits on l’impose de plus en plus depuis quelques années.

    Cela dit, ils ont reculé sur le mot « genre », car sur de tels sujets il vaut mieux avancer masquer.

    L’amendement visait à inscrire dans la loi :

    « [L’école] assure les conditions d’une éducation à l’égalité de genre. »

    Finalement, le texte dit (article 31 du projet de loi, devenu article 45 de la loi) : « [L’école] assure l’acquisition et la compréhension de l’exigence du respect de la personne, de ses origines et de ses différences. Elle transmet également l’exigence du respect des droits de l’enfant et de l’égalité entre les femmes et les hommes. »

    Le « genre » est subtilement caché dans la conjonction des « différences » (d’orientation sexuelle) et de « l’égalité » (entre femmes et hommes).

    • D’autre part, je ne sais pas qui est derrière « Vigi-gender » mais ce que dit ce « collectif » est vrai et sans exagération, et j’ai signé la pétition, dont le titre est très bon : « Pas une rumeur ».

  • Ça va aller jusqu’où ?

    Deux lycéens ont été interpellés hier parce que l’un a pris une photographie de l’autre faisant une « quenelle ». Sur plainte d’une enseignante, ils sont poursuivis pour « apologie de crime contre l’humanité ». Sic.