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Ecole - Page 9

  • L’école trop blanche et trop britannique

    L’école de Market Rasen, localité rurale du Lincolnshire, région encore préservée de l’immigration massive et musulmane, pensait obtenir le label « excellent » à la suite de la nouvelle inspection académique. L’école était déjà passée de « satisfaisante » à « bonne » lors de la dernière inspection. Mais le troisième et dernier échelon lui a été refusé, pour deux ou trois raisons mais surtout parce que l’école ne correspond pas aux exigences de l’idéologie multiculturaliste obligatoire :

    « L’immense majorité des élèves sont des Britanniques blancs. Très peu sont d’autres groupes ethniques, et actuellement il n’y a aucun élève qui parle anglais comme langue supplémentaire. L’école doit développer la compréhension des élèves de la diversité de la Société Britannique moderne, en créant des opportunités d’interaction personnelle avec leurs homologues de différents milieux au-delà de leur voisinage immédiat. »

    « C’est le politiquement correct devenu fou », a réagi le député local, Sir Edward Leigh.

    Pourtant récemment les élèves avaient visité une usine et une mosquée, dit la directrice, qui cherche désormais à établir un partenariat avec une école d’une ville pleine d’immigrés…

    Le mois dernier, une école chrétienne a été menacée de voir sa note dégradée pour ne pas avoir encore invité « un responsable d’une autre religion » à ses réunions, et même de fermeture si elle ne faisait pas la promotion active de la diversité.

  • Une campagne de parents d’élèves à Paris

    Affiche de la FCPE dans une école du 17e arrondissement de Paris, pour les élections des représentants des parents d’élèves :

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    (Novopress)

  • La Ligne Azur enfin bannie des écoles

    Le Conseil d’Etat a suivi l’avis du rapporteur public et a décidé d’annuler la décision du ministre de l’éducation nationale invitant les recteurs à relayer la campagne de communication de la Ligne azur, « pour non respect de la neutralité du service public de l’Education nationale ».

  • La « Ligne Azur » enfin sur la sellette

    Le rapporteur public du Conseil d’Etat considère que certains aspects de la « Ligne Azur » sont « pour le moins critiquables », en contradiction avec « les principes de neutralité de l'école et de liberté de conscience ». Il cite aussi une brochure intitulée Tomber la culotte, qui était téléchargeable sur le site, qui « fait l'éloge du sado-masochisme, du libertinage (...) dans des termes que nous ne saurions reprendre dans cette enceinte ». En conséquence, « on ne peut que s'étonner de la légèreté du ministre de conseiller à des enfants » de consulter ce site. Bref, si le Conseil d’Etat suit les conclusions du rapporteur, il pourrait annuler la circulaire de Vincent Peillon qui faisait la promotion de la Ligne Azur.

    Ma première réaction est de constater l’hallucinante incompétence de la Confédération nationale des associations familiales catholiques (CNAFC), qui a demandé au Conseil d’Etat d’annuler la circulaire ministérielle du 4 janvier 2013 parce que celle-ci demandait aux recteurs de lutter contre l'homophobie et, pour ce faire, de « relayer avec la plus grande énergie la campagne de communication relative à la Ligne Azur ».

    La formulation même de la circulaire montre que la campagne en question existait déjà. On voit ici que les AFC découvraient subitement la Ligne Azur en 2013…

    On n’ose pas imaginer que les AFC n’aient pas crié avant parce qu’elles ne voulaient pas mettre en cause le gouvernement Sarkozy porté par les bons bourgeois cathos… On supposera seulement qu’elles n’ont pas bougé parce que ceux qui dénonçaient l’intrusion de la Ligne Azur dans les écoles étaient d’affreux extrémistes… Comme on le sait on ne peut pas paraître d’accord avec ces gens-là. Il faut attendre quelques années pour reprendre, trop tard, ce qu’ils disaient quand il était encore temps d’agir.

    Par exemple, pardon de me citer, mais je vais au plus facile, la première fois que j’ai dénoncé la Ligne Azur et ses relais ministériels, c’était le 27 juin 2008, veille de la gay pride parisienne dont le slogan était «Pour une école sans aucune discrimination», c’est-à-dire pour une propagande homosexuelle obligatoire à l’école. Je rapportais les propos du ministre Xavier Darcos :

    « Pour la première fois, la lutte contre l'homophobie sera explicitement mentionnée dans la circulaire de rentrée 2008 afin que tous les personnels se sentent concernés. De plus, le numéro de la Ligne Azur, qui vient en aide aux jeunes homosexuels, sera systématiquement affiché dans tous les lycées et la brochure Homophobie savoir et réagir sera également mise à la disposition des élèves. »

    Promesse tenue. La circulaire de rentrée 2008 soulignait la nécessité de la « lutte contre l’homophobie ». Mais c’est la circulaire de rentrée 2009 qui en fera une véritable et explicite priorité, ajoutant que la campagne commencée dès la fin de l’année scolaire en cours « sera complétée par le dispositif d'écoute téléphonique “Ligne Azur” ». Les AFC n’y virent que du bleu…

    En mars 2010, le nouveau ministre Luc Chatel lance « une nouvelle campagne d’information sur la Ligne Azur dans tous les lycées et collèges ». Nouveauté : les collèges. Jusqu’ici c’était réservé aux lycées. Les AFC regardent ailleurs…

    En 2011, la « lutte contre l’homophobie » (la propagande homosexuelle à l’école) est plus que jamais une priorité, et le ministère de Luc Chatel annonce qu’il « s’associe de nouveau » à la « campagne de promotion du dispositif Ligne Azur », qui passe notamment par la distribution d’un « kit de communication du dispositif Ligne Azur comprenant affiches et cartes adressé aux collèges et aux lycées ».

    A partir de ce moment-là, il y a des affiches de la Ligne Azur dans tous les lycées et collèges, et il n’y a que les AFC pour l’ignorer. Elles vont attendre que Vincent Peillon, à son tour, relance la campagne, dans les mêmes termes, pour réagir. Pourquoi ? Parce que c’est un méchant socialiste ? Ou bien parce qu’on vient de se rendre compte que les affreux extrémistes avaient raison ? Ou bien parce qu’il a vraiment fallu la mobilisation de la Manif pour tous pour que des gens théoriquement spécialisés dans les questions d’enseignement prennent conscience de ce que les ministres martelaient depuis 5 ans ?

    Je n’arrive pas à y croire…

  • Disparition de la gaieté

    Je n’ai jamais employé le mot « gay » pour parler des adeptes de la sodomie, d’autant que je ne vois pas en quoi ce serait gai, certaines de leurs modalités de rencontre étant même particulièrement sinistres.

    Mais je me suis rendu compte en même temps que je ne pouvais plus employer l’adjectif « gai », sans que le mot soit immédiatement pollué par un détournement sémantique irrépressible.

    Je trouve sur le blog de Jeanne Smits une illustration de ce constat. J’aimerais la trouver amusante mais je n’y arrive pas. Car c’est la confirmation que le mot « gai » ne peut désormais qu’être rayé du dictionnaire.

    Il s’agit d’un exercice de CM1.

    Dans le texte suivant, mettre les mots soulignés au féminin :

    Nous mourions d’envie de voir notre nouveau maître. Notre instituteur était gai et gentil.

    Et cela donne :

    Nous mourions d’envie de voir notre nouvelle maitrésse. Notre institutriste était lesbiene et gentille.

    Les enfants sont de plus en plus nuls en orthographe, mais ils ont assimilé que « gai » veut dire « homosexuel » et rien d’autre. Ils ne savent rien, mais ils savent quand même que l’homosexuel féminin est une lesbienne (à coup sûr c’est un grand progrès de la civilisation, car je ne le savais pas au CM1, ni très longtemps après.)

    On remarquera toutefois cette chose extraordinaire que l’enfant, inconsciemment, écrit que la maîtresse lesbienne est une institu-triste

    Car ce n’est vraiment pas gai.

  • Une école islamique sauvage dans le Loiret

    Une école musulmane a ouvert ses portes lundi à La Chapelle-Saint-Mesmin, dans le Loiret.

    Ce n’est pas seulement la première école musulmane du Loiret, c’est une école ouverte dans l’illégalité la plus complète.

    « Le maire Nicolas Bonneau (PS) a constaté, ce lundi, l’accueil de public dans les locaux. Il a ensuite adressé un courrier aux services de l’Etat pour demander le passage d’une commission de sécurité. »

    On attend la suite avec intérêt. Mais elle sera sans surprise : on va discrètement régulariser tout cela. Sinon ce serait de l'islamophobie.

  • Un nouveau lobby homosexuel dans les écoles

    L’association Le Refuge, spécialisée dans l’aide aux jeunes homosexuels en rupture familiale (mais oui), a obtenu un agrément du ministère de l’Education nationale pour mener elle aussi ses « actions de sensibilisation » dans les écoles.

    En fait ce lobby intervient déjà depuis 2010 dans des lycées du Languedoc-Roussillon, plus récemment en PACA et en région parisienne.

  • Ils ont le bac avec mension

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    (Via FDesouche)

    Et je découvre que certains (et ce ne sont pas des cas isolés) ont non seulement une « mension » mais ont une moyenne qui dépasse les 20/20…

  • Sous la jupe, le mensonge officiel

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    A propos de l’opération « Ce que soulève la jupe ».

    Les mensonges du gouvernement (repris à leur compte par tous les médias de la pensée unique) deviennent vraiment surréalistes.

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    Ceci n’est pas l’Académie de Nantes.

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    Ceci n’est pas le ministère de l’Education nationale.

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    Et l’on est censé croire que ceci est un ministre ???

    Heureusement les réactions sont à hauteur de l’immondice.

  • La dictature homosexualiste : à l’école catholique aussi

    Une religieuse dominicaine, maître-assistant de théologie à l’université Saint-Thomas d’Aquin (Aquinas College) de Nashville, a « scandalisé » les élèves d’un lycée de Caroline du Nord, comme dit la presse locale, en faisant « des réflexions anti-homosexuelles ».

    Invitée à parler lors d’une assemblée d’élèves du lycée catholique de Charlotte, le 21 mars, sœur Jane Dominic Laurel, selon les élèves cités par le journal, « a critiqué les gays et les lesbiennes, en plus d’avoir fait des remarques subversives (sic) à propos des parents isolés ou divorcés ».

    On n’en saura pas plus. Car les propos de la religieuse sont beaucoup trop effroyables pour pouvoir être reproduits. Une pétition a été lancée sur internet, en dix points, nous dit-on. Mais la pétition a curieusement été retirée alors qu’elle allait atteindre les 5.000 signatures. On n’en connaît que ce que le journal avait reproduit :

    « Nous déplorons le fait qu’une large assemblée scolaire soit devenue une tribune pour mettre en avant la question de l'homosexualité après que le pape François a déclaré dans une interview à l'automne dernier que « nous ne pouvons pas insister seulement sur les questions liées à l'avortement, le mariage homosexuel et l'utilisation des méthodes contraceptives. » Nous sommes en colère parce que certains ont décidé qu'ils savaient mieux que notre Saint-Père et ont invité cet orateur. »

    Une fois encore, ou plutôt comme d’habitude, on remarque comment les propos du pape sont utilisés comme caution de la subversion (et comment le mot subversion est utilisé à l’envers).

    Une pétition a été lancée pour défendre la religieuse, et surtout la doctrine de l’Eglise sur ces sujets.