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  • « Nous sommes au bord du précipice, nous allons faire un grand pas en avant »

    L’agence de notation Standard & Poor a de nouveau baissé la note de la France, de AA+ à AA.

    Extrait de son rapport  :

    « Cet abaissement traduit notre opinion selon laquelle il est peu probable que l'approche actuelle du gouvernement en matière de réformes budgétaire et structurelle dans les domaines de la fiscalité, du secteur des biens et services et du marché du travail améliore de manière substantielle les perspectives de croissance de la France à moyen terme. Nous estimons également que les hausses d’impôts initiées par les gouvernements successifs, qui accroissent une pression fiscale déjà élevée, ainsi que ce que nous percevons comme une incapacité du gouvernement à réduire les dépenses de l'Etat de manière significative limitent la marge de manoeuvre budgétaire du pays. »

    Réaction de François Hollande : « Je confirmerai la stratégie qui est la nôtre, le cap qui est le mien. » Sic.

  • Des Bonnets rouges à croquer

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    (Tweet, via Novopress)

  • Avis aux Africains : il suffit de se dire homosexuel

    Saisie par les Pays-Bas au sujet de trois demandeurs d’asile africains homosexuels, la Cour de Justice européenne décide que les homosexuels peuvent être considérés comme formant « un certain groupe social » persécuté qui leur permet d’obtenir le statut du réfugié. Car lorsqu’il y a une législation contre l’homosexualité, les homosexuels « constituent un groupe à part ».

    Cela dit, ajoute la Cour, pour qu’il y ait persécution, il faut qu’elle atteigne « un certain niveau de gravité ». Et l’existence d’une loi pénalisant l’homosexualité ne suffit pas. Mais… s’il est prévu une peine d’emprisonnement, cela suffit à constituer un acte de persécution.

    Or l’homosexualité est punie de peines de prison (quand ce n’est pas la peine de mort) dans la grande majorité des pays africains.

    Autrement dit tout(e) Africain(e), ou presque, se disant homosexuel(le), peut exiger le statut de réfugié dans le pays européen de son choix.

    C’est beau, la justice européenne, quand même.

    Addendum. Comme le rappelle un lecteur, la France applique cette jurisprudence depuis longtemps.

  • Un référendum pour détruire le mariage en Irlande

    Le gouvernement irlandais a décidé d’organiser en 2015 un « référendum sur le mariage homosexuel », et va « activement soutenir » le camp du oui.

  • Favoriser l’avortement

    Le Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes a remis au gouvernement le « volet 2 » de son « Rapport relatif à l’accès à l’IVG ». On se souvient que le « volet 1 » visait à lutter de façon urgente contre les sites internet qui cherchent à aider les femmes à ne pas avorter, et d’abord en créant un site gouvernemental de propagande pour l’avortement. Ce qui fut aussitôt réalisé. On peut donc supposer que le « volet 2 » sera lui aussi rapidement mis en œuvre.

    Il contient pas moins de 34 « recommandations » pour faire en sorte que l’avortement ne soit plus un droit « à part » mais devienne un « droit à part entière » (mais oui, on fait du style), et d’« améliorer » l’accès à l’avortement.

    La première recommandation vise à remplacer dans le code de la santé publique l’expression : « La femme enceinte que son état place dans une situation de détresse peut demander à un médecin l’interruption de sa grossesse », par : « La femme qui ne souhaite pas poursuivre une grossesse peut demander à un-e médecin de l’interrompre ». La situation de détresse remplacée par le simple « souhait » de tuer l’enfant à naître : il faut vraiment avoir atteint le dernier degré de la barbarie pour pouvoir écrire cela sans frémir.

    2- Il faut supprimer l’obligation du délai de réflexion de 7 jours entre les deux consultations (il ne faut pas permettre à la femme de réfléchir).

    3 - Il faut supprimer la clause de conscience des médecins (au motif qu’il existe une clause de conscience générale).

    Parmi les autres recommandations, on note l’interdiction de la fermeture d’avortoirs, l’obligation stricte de pratiquer des avortements dans tous les établissements disposant d’un service de gynécologie ou de chirurgie, et le faire jusqu’à 12 semaines, la permission de pratiquer l’avortement par aspiration dans les centres de santé et les centres de planification ou d’éducation familiale (sic), la gratuité totale de l’avortement et de tout ce qui va autour..

    Et bien sûr de multiples appels à renforcer la propagande pour l’avortement par tous les moyens (aussi chez les étudiants en médecine) et naturellement à débloquer toujours plus d’argent…

  • Découverte

    Au hasard d'une dépêche de l’agence Fides, je découvre qu’il y a un « directeur des œuvres pontificales missionnaires » au Maroc.

    J’avoue ne pas comprendre à quoi ça sert dans un pays où il est interdit de mener quelque mission que ce soit…

    Mais c’est peut-être juste pour mettre des noms dans des organigrammes. Ce qui expliquerait qu’on apprenne aujourd’hui le nom du nouveau directeur nommé le… 8 avril.

  • Pas de chance

    Vu sur le Salon Beige : « Je suis une athée, mais plus j'entends parler du pape François, plus je l'aime », a écrit une femme sur Twitter.

    Tout le monde n’a pas la grâce d’être athée.

  • Sustinuimus pacem, et non venit

    ℟. Sustinuimus pacem, et non venit: quæsivimus bona, et ecce turbatio: cognovimus Domine peccata nostra: * Non in perpetuum obliviscaris nos.
    ℣. Peccavimus, impie gessimus, iniquitatem fecimus Domine in omnem justitiam tuam.
    ℟. Non in perpetuum obliviscaris nos.

    Nous attendions la paix, et elle n’est pas venue ; nous recherchions le bien, et voici le trouble. Nous reconnaissons, Seigneur, nos péchés. Ne nous oublie pas à jamais. Nous avons péché, nous avons agi de façon impie, nous avons fait l’iniquité dans toute ta justice ; ne nous oublie pas à jamais.

    Ce répons vient de Jérémie, 14, 19-20, dans une ancienne version latine. On remarquera l’emploi du verbe sustineo dans le sens d’attendre, comme dans les psaumes, alors que la Vulgate dit « exspectavimus ». Le verset vient quant à lui de Judith, 7, 19, dans une version allongée de la curieuse expression « iniquitatem fecimus Domine in omnem justitiam tuam ». Ce verset ne figure pas dans le texte grec de Judith, alors que celui-ci est plus long que le texte latin…

  • Leur démocratie

    Vincent Peillon sera tête de liste socialiste aux européennes dans la circonscription grand sud-est. On savait déjà qu’il serait candidat. Aujourd’hui il précise qu’il restera ministre.

    Autrement dit il se fera élire pour ne pas être élu.

    Et il croit se justifier, et même montrer son héroïsme, en soulignant qu’il aura Jean-Marie Le Pen en face de lui.

    Sauf que Jean-Marie Le Pen se fait élire pour défendre ses idées, et les intérêts de la France, à Strasbourg. Tandis que Peillon se fait élire pour démissionner...

  • Fontgombault défend le mariage

    Magnifique délibération du conseil municipal de Fontgombault :

    « Considérant qu'il existe une loi naturelle, supérieure aux lois humaines, d'après laquelle depuis les origines du monde aucune union n'a été célébrée officiellement entre deux personnes du même sexe au titre d'un "mariage" pour la raison que ces personnes, quelle que soit leur dignité d'être humain qu'il y a eu lieu de reconnaître par ailleurs, sont radicalement incapables de procréer un être humain qui soit issu de cette union et par conséquent de l'éduquer à titre de parents dans l'altérité et la complémentarité, qu'il ne peut donc s'agir d'établir entre eux aucun véritable "mariage".

    « Après en avoir délibéré,

    « Décide que le Maire et ses Adjoints ainsi que tous les Conseillers qui ont voté cette délibération à bulletins secrets [7 sur 10] démissionneront de leurs fonctions de Conseillers Municipaux dans le cas où ils seraient contraints de procéder à un tel acte de mariage qu'ils désapprouvent formellement. »

    Le journal local, qui n’informe pas mais fait acte de militantisme homosexualiste, s’étrangle de rage, et prétend que « les habitants de ce village de l’Indre s’insurgent » contre la délibération.

    Les habitants ? Tous les habitants ? Certainement pas. Puisque le conseil municipal est lui aussi composé d’habitants. Et puisqu’il y a sur la commune, entre autres, des habitants qui sont les moines de l’abbaye bénédictine et qu’à coup sûr ils doivent être fiers de leur municipalité…

    Naturellement, ce que le journal ne supporte pas, c’est la reconnaissance d’une « loi naturelle supérieure aux lois humaines ». Car à La Nouvelle République, on est du côté du tyran, pas du côté d’Antigone.

    (via Le Salon Beige)