Le Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes a remis au gouvernement le « volet 2 » de son « Rapport relatif à l’accès à l’IVG ». On se souvient que le « volet 1 » visait à lutter de façon urgente contre les sites internet qui cherchent à aider les femmes à ne pas avorter, et d’abord en créant un site gouvernemental de propagande pour l’avortement. Ce qui fut aussitôt réalisé. On peut donc supposer que le « volet 2 » sera lui aussi rapidement mis en œuvre.
Il contient pas moins de 34 « recommandations » pour faire en sorte que l’avortement ne soit plus un droit « à part » mais devienne un « droit à part entière » (mais oui, on fait du style), et d’« améliorer » l’accès à l’avortement.
La première recommandation vise à remplacer dans le code de la santé publique l’expression : « La femme enceinte que son état place dans une situation de détresse peut demander à un médecin l’interruption de sa grossesse », par : « La femme qui ne souhaite pas poursuivre une grossesse peut demander à un-e médecin de l’interrompre ». La situation de détresse remplacée par le simple « souhait » de tuer l’enfant à naître : il faut vraiment avoir atteint le dernier degré de la barbarie pour pouvoir écrire cela sans frémir.
2- Il faut supprimer l’obligation du délai de réflexion de 7 jours entre les deux consultations (il ne faut pas permettre à la femme de réfléchir).
3 - Il faut supprimer la clause de conscience des médecins (au motif qu’il existe une clause de conscience générale).
Parmi les autres recommandations, on note l’interdiction de la fermeture d’avortoirs, l’obligation stricte de pratiquer des avortements dans tous les établissements disposant d’un service de gynécologie ou de chirurgie, et le faire jusqu’à 12 semaines, la permission de pratiquer l’avortement par aspiration dans les centres de santé et les centres de planification ou d’éducation familiale (sic), la gratuité totale de l’avortement et de tout ce qui va autour..
Et bien sûr de multiples appels à renforcer la propagande pour l’avortement par tous les moyens (aussi chez les étudiants en médecine) et naturellement à débloquer toujours plus d’argent…
Commentaires
Et ce n'est pas fini. Jeanne Smits signalait le souhait de pédiatres belges d'euthanasier les enfants. La nazification totale de la société, à commencer par ces élites pourries. Comme disait mère Teresa "si nous tuons nos enfants, nous nous entretuerons".
Les évêques doivent être heureux (excepté une dizaine d'entre eux), depuis 1967, ils ont tout lâché, piétiné "Humanae Vitae", "négocié" la loi Veil (clause de conscience pour les médecins!!!), gardé le silence pendant des décennies sur les lois staliniennes suivantes, toutes promulguées par des mensonges éhontés.
Un chef de maternité-avortoir, catholique pratiquant, me disait: "l'avortement c'est moral puisque c'est légal". Niveau d'études BAC+12.
Son successeur FM me disait: "nous ne proposerons pas vos tracts d'aide aux futures mères car l'avortement est un choix politique de l'extrême-gauche et l'extrême-gauche est majoritaire dans mon service (1700 avortements pour 2400 naissances par an)". " Les médecins de mon service qui pratiquent les IVG font aussi des accouchements, autrement ce serait démoralisant (sic)" Niveau d'études BAC+12. Si on disait aux mamans qui vont accoucher que le médecin sort d'un avortement.
Je préfère l'attitude du second, logique avec lui-même, logique avec sa culture de mort.
L'indice de fécondité qui est autour de 1,4 pour les Françaises de souche va encore chuter,ce qui signe la mort de la nation France et son remplacement par les musulmans et les africains et asiatiques;parmi les catholiques français,certaines communautés religieuses comme celle de la Fraternité sont néanmoins très fécondes avec 7 ou 8 enfants par couple.
Le seul espoir de la France, ce sont les catholiques qui ont un taux de fécondité satisfaisant. Prions pour les catholiques français, qu'ils soient toujours plus nombreux, par la conversion ou par la multiplication des naissances. Combattons ce régime meurtrier par tous les moyens possibles et efficaces.