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  • L’obligatoire Guy Môquet…

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le ministère de l'Education déclare que la lecture dans les lycées de la lettre de Guy Môquet reste « obligatoire » le 22 octobre, et Claude Guéant souligne que les professeurs doivent « obéir ».

    Il s'agit, nous dit-on, de dissiper une ambiguïté dans une note de service du 24 septembre.

    Cette note évoquait des textes dont la lecture était « laissée à l'initiative de chacun ».

    Les professeurs ne doivent donc prendre aucune initiative. Et on leur fournit les autres textes qu'ils devront lire également ce jour-là.

    Il ne faut pas risquer de voir des professeurs lire des textes d'authentiques résistants patriotes qui ne seraient pas dans la ligne officielle, celle de la célébration de Guy Môquet.

    Faut-il rappeler que Guy Môquet ne fut pas arrêté pour fait de résistance, mais pour avoir distribué des tracts communistes, au temps du pacte germano-soviétique ?

    Errare humanum est. Perseverare diabolicum.

  • Gouvernance africaine

    Le prix 2009 de la Bonne gouvernance africaine est attribué à... personne.

    Les organisateurs de l'Ibrahim Prize for Achievement in African Leadership, doté de plus de 5 millions de dollars, ont annoncé lundi ne pas avoir trouvé d'ancien dirigeant suffisamment méritant cette année.

    Le jury était présidé par Kofi Annan.

    Créé en 2007 par le milliardaire d'origine soudanaise Mo Ibrahim, ce prix destiné à donner l'exemple aux dirigeants africains en exercice est doté de 5 millions de dollars sur dix ans, puis 200.000 dollars par an à vie.

    Il est vrai qu'il doit récompenser un dirigeant africain démocratiquement élu et ayant quitté le pouvoir dans les trois dernières années...

  • Le souvenir de Jerzy Popieluszko

    2009-02-27_multikino_popieluszko.jpgLech Walesa a marqué hier le 25e anniversaire de l'assassinat du père Jerzy Popieluszko en assistant à la projection d'un nouveau film sur le prêtre martyr, au Festival du film de Rome.

    En Pologne, le président Lech Kaczynski a accordé au vicaire de Saint-Stanislas Kostka la plus haute distinction polonaise : l'"Aigle blanc".

    Le film, « Popieluszko », sous-titré « La liberté est en nous », réalisé par Rafal Wieczynski, est présenté hors compétition au Festival du film de Rome, dans le cadre d'une première projection en dehors de la Pologne.

    Il y avait déjà eu « Le complot », d'Agnieska Holland, en 1988, un film honnête et émouvant mais qui était centré sur les dernières heures de la vie du prêtre et le procès de ses bourreaux.

    Rafal Wieczynski, 41 ans, est inconnu en France (sinon pour sa participation comme acteur dans le rôle titre du film de Woijciech Has « Les tribulations de Balthasar Kober »). « Popieluszko » est son quatrième film. Le précédent était un documentaire sur... Jerzy Popielsuzko.

  • La conquête de Rome par l’islam

    Lettre ouverte de sept islamologues (dont Marie-Thérèse et Dominique Urvoy) à l'ambassadeur d'Italie et au ministre italien de l'Intérieur sur le hadith de Mahomet concernant la conquête de Rome, remis en lumière par l'UOIF.


  • Mgr Burke

    Mgr Raymond Burke, ancien archevêque de Saint-Louis (Missouri), préfet du Tribunal suprême de la Signature apostolique, a célébré pontificalement la messe de saint Pie V, le 18 octobre, en la chapelle du Saint-Sacrement à Saint Pierre de Rome, accompagné de 70 prêtres, dont Mgr Guido Pozzo, président de la commission Ecclesia Dei. C'est un événement sans précédent qu'un chef de dicastère célèbre cette messe à Saint-Pierre de Rome.

    Deux jours plus tôt, le pape avait nommé Mgr Burke membre de la Congrégation pour les évêques. Une nomination dont Daniel Hamiche souligne l'importance sur son blog Americatho.

    C'est un début de réponse à mes interrogations sur le transfert de cet archevêque de son diocèse de saint Louis à ce qui pouvait paraître un placard doré au Vatican.

    Rappelons qu'en mai le pape avait déjà nommé Mgr Burke membre de la congrégation pour le clergé et membre du conseil pontifical pour les textes législatifs.

  • Saint Jean de Kenty

    Saint Jean de Kenty est un des saints patrons de la Pologne . A la fin du XIXe siècle, des immigrés polonais fondèrent à Chicago une paroisse Saint Jean de Kenty. Aujourd'hui, dans cette paroisse, sont célébrées quotidiennement les deux formes du rite romain. Y chantent pas moins de cinq chœurs (dont la schola grégorienne), avec deux ou trois orchestres, en plus des grandes orgues.

    La paroisse est le port d'attache des Chanoines de Saint Jean de Kenty, qui ont pour mission de « restaurer le sacré ». Ils ont notamment réalisé un « tutoriel sur la forme extraordinaire du rite romain ».

  • La mosquée de Marseille

    La mairie de Marseille a délivré le permis de construire pour la future grande mosquée de cette ville et il sera remis à ses responsables le 6 novembre par le maire UMP Jean-Claude Gaudin, a-t-on appris lundi de source proche du maire.

    Cela mérite en effet une nouvelle cérémonie...

    Rappelons que la mosquée sera financée par des pays étrangers, dont l'Algérie, le Maroc et l'omniprésent Qatar.

  • Turcophile extrémiste

    Le commissaire européen Günther Verheugen a déclaré à une radio allemande que l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne était vitale pour l'UE : « Nous avons besoin de la Turquie plus qu'elle n'a besoin de nous. »

  • Vaclav Klaus déclare forfait ?

    Dans un entretien au quotidien Lidove noviny, Vaclav Klaus déclare :

    « Je ne considère pas que le traité de Lisbonne soit une bonne chose pour l'Europe, pour la liberté de l'Europe, ou pour la République tchèque. Cependant, au train où vont les choses, et il est allé si vite et si loin, il sera probablement impossible de l'arrêter ou de retourner en arrière, bien que beaucoup le veuillent. (...) Je ne peux pas attendre et je n'attendrai pas les élections en Grande-Bretagne, à moins qu'elles ne se tiennent dans les prochains jours ou semaines. »

    Il dit aussi : « Je n'ai jamais dit qu'il était nécessaire que ma note de bas de page soit ratifiée par l'ensemble des Etats membres, ce qui impliquerait que l'on recommence tout le processus de ratification de Lisbonne », et qu'il veut simplement un engagement « similaire à celui qui a été donné à l'Irlande ».

    Il contredit ainsi son conseiller politique Ladislav Jakl. Mais son chef de cabinet Jiri Weigl avait déclaré vendredi que Vaclav Klaus voulait une garantie du même type que celles qui ont été accordées à l'Irlande. Pourtant le président tchèque avait lui-même souligné l'inanité de ces « garanties ».

    Dans le même temps, le Premier ministre slovaque, Robert Fico, a déclaré que si la République tchèque obtenait une exemption à la Charte des droits fondamentaux pour se couvrir vis-à-vis des décrets Benes, la Slovaquie demanderait à son tour la même exemption.

    Si vraiment Vaclav Klaus baisse les bras (mais les Slaves sont imprévisibles), on ne lui jettera pas la pierre. Il restera comme le seul chef d'Etat qui a bataillé contre le traité de Lisbonne, seul contre tous.

    Addendum

    Déclaration de Robert Fico dans une vidéo sur son site internet, à propos de l'exemption :

    « Nous n’avons que deux options. Ou bien nous opposerons notre veto au Conseil de l’UE ou bien nous insisterons pour qu’elle s’applique également à la Slovaquie. »

  • « Démocratie » « afghane »

    Titre d'une dépêche de l'AFP :

    "Le résultat de la présidentielle afghane en cours de négociation".

    Explication :

    "Deux mois après une élection présidentielle controversée, les autorités électorales afghanes se querellent toujours sur la nécessité ou non d'un second tour, à propos duquel des négociations serrées se poursuivaient samedi entre les deux principaux candidats.

    "Selon des diplomates à Kaboul, politiciens afghans et représentants occidentaux négocient énergiquement depuis plusieurs jours afin d'éviter un second tour qui pourrait encore plus déstabiliser le pays, déjà fragilisé par une intensification de l'insurrection."