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  • Les partisans de l’avortement protestent

    L’arrêt de la Cour de cassation est un « scandale », un « dérapage juridique » qui va « donner un argument » aux opposants à l’avortement et ne peut que servir « le mouvement de régression en Europe sur l’IVG depuis quelques mois », dénonce Chantal Birman, vice-présidente de l’ANCIC (centres d’avortements).

    « On dérape dans une folie », déclare Maïté Albagly, secrétaire générale du Planning familial. « Je suis scandalisée. On respecte les familles, mais là on ouvre une brèche, on va finir par déclarer un embryon dès la conception, on monte quelque chose qui à la longue peut mettre en cause l’avortement. Tout cela est lié à des forces qui luttent pour revenir en arrière dans l’acquis des droits des femmes. »

    On ne sait pas trop à quelles « forces » fait allusion Mme Albagly, mais l’on constate qu’aucune d’entre elles n’a encore, à l’heure où j’écris, réagi à l’arrêt de la Cour de cassation.

    A leur décharge, on remarquera que c’est l’AFP qui a demandé leurs réactions à l’ANCIC et au Planning familial... mais que l’agence ne l’a pas fait (pas encore, du moins...) pour les organisations pro-vie.

    Rappelons que la Cour de cassation s’est contentée de lire l’article 79-1 du code civil, et que le problème n’est donc pas là.

     

    Addendum. L'Alliance pour les droits de la vie a publié un communiqué (dont l'AFP fait assez longuement état). Mais à côté du sujet, et commençant par une contre-vérité: la décision de la Cour de cassation ne "suit" pas du tout "l'évolution de la science qui reconnaît de plus en plus l'humanité du foetus", comme en témoigne sa jurisprudence pénale.

  • Le voile turc

    Le Parlement turc a adopté, à une majorité dépassant largement les deux tiers des voix, un amendement constitutionnel autorisant le port du voile à l’université.

    Le gouvernement a fait valoir que cette réforme vise à défendre les libertés individuelles des jeunes filles musulmanes, et qu’elle s’inscrit dans le processus d’adhésion à l’Union européenne...

  • La décision 211 enterrée

    Il a suffi d’une rapide et brève mobilisation de tous les professionnels concernés pour que le gouvernement abandonne immédiatement la « décision » 211 du rapport Attali.

    Aucun des professionnels concernés ne se mobilise pour demander l’abandon de la « décision » 6 du rapport Attali.

    Les chauffeurs de taxi sauvent leur peau, les responsables de l’école catholique attendent paisiblement la destruction de ce secteur « particulièrement cher à l’Eglise » (Benoît XVI).

  • Citation

    L’Europe, c’est le partage consenti d’une souveraineté. Et la souveraineté, c’est le peuple. A chaque grande étape de l’intégration européenne, il faut donc solliciter l’avis du peuple. Sinon, nous nous couperons du peuple.

    Nicolas Sarkozy, le 9 mai 2004 (vidéo, texte)

  • La Cour de cassation en pleine schizophrénie

    Dans trois arrêts identiques rendus hier, la Cour de cassation juge qu’un fœtus né sans vie peut être déclaré à l’état-civil, quelle que soit la durée de la grossesse.

    Il s’agissait de trois affaires similaires, concernant des accouchements de fœtus qui avaient entre 18 et 21 semaines et pesaient entre 155 et 400 grammes. Les parents avaient saisi la justice, parce qu’ils voulaient que leur enfant soit inscrit à l’état-civil (ce qui permet d’officialiser son nom, de bénéficier de certains droits sociaux, d’organiser des obsèques). En première instance puis en appel, les tribunaux ont jugé que ce n’était pas possible, car selon l’article 79-1 du code civil on ne peut faire une « déclaration d’enfant sans vie » que si le fœtus est né viable (plus de 500 grammes ou plus de 22 semaines de gestation, selon l’OMS).

    La Cour de cassation juge que la cour d’appel a, en fait, violé l’article 79-1 alinéa 2 du code civil, qui « ne subordonne pas l’établissement d’un acte d’enfant sans vie ni au poids du fœtus, ni à la durée de la grossesse » ; la cour d’appel a « ajouté au texte des conditions qu’il ne prévoit pas ».

    La Cour de cassation a parfaitement raison. Il n’y a donc rien de nouveau dans son arrêt. Elle ne fait que rappeler ce qu’est la loi.

    Les tribunaux de première instance et d’appel avaient manifestement mal lu l’article 79-1. Le premier alinéa dispose que « lorsqu'un enfant est décédé avant que sa naissance ait été déclarée à l'état civil, l'officier de l'état civil établit un acte de naissance et un acte de décès sur production d'un certificat médical indiquant que l'enfant est né vivant et viable et précisant les jours et heures de sa naissance et de son décès ». Mais il y a un second alinéa :

    « A défaut du certificat médical prévu à l'alinéa précédent, l'officier de l'état civil établit un acte d'enfant sans vie. Cet acte est inscrit à sa date sur les registres de décès et il énonce les jour, heure et lieu de l'accouchement, les prénoms et nom, dates et lieux de naissance, professions et domiciles des père et mère et, s'il y a lieu, ceux du déclarant. L'acte dressé ne préjuge pas de savoir si l'enfant a vécu ou non ; tout intéressé pourra saisir le tribunal de grande instance à l'effet de statuer sur la question. »

    Il est clair que cet « acte d’enfant sans vie » est délivré quel que soit le stade de développement du fœtus, puisqu’il peut être délivré précisément lorsque n’a pas été établi un certificat médical indiquant que l’enfant est né vivant et viable.

    Jusqu’ici personne n’avait relevé cette possibilité, parce qu’elle est en totale contradiction avec l’idéologie officielle sur l’avortement, et donc « incompréhensible », et en conséquence idéologiquement inapplicable : on ne « peut » pas donner à des « parents » le droit d’inscrire leur « enfant » à l’état-civil quand cet « enfant » est un fœtus dont on nous explique par ailleurs que ce n’est pas un enfant, puisqu’il est licite de tuer cet objet non identifié dans le sein de sa mère.

    En soulignant ce que dit précisément l’article 79-1 du code civil, la Cour de cassation souligne du même coup la flagrante contradiction qu’il y a entre cet arrêt et les arrêts qu’elle délivre, au pénal, lorsqu’elle rejette l’incrimination d’homicide involontaire dans le cas de décès in utero consécutifs à un accident de circulation ou un accident médical. Dans ces cas-là, la Cour de cassation explique en substance que la « mère » ne peut pas obtenir de réparation parce qu’il n’y a pas homicide, ce qu’elle portait dans son ventre n’étant pas un enfant.

    Ainsi, au pénal, le fœtus, quel que soit son stade de développement (jusqu’à son terme) est infiniment moins qu’un téléphone portable ou une montre bracelet (car on peut obtenir réparation pour la perte de ces objets). Mais au civil, le fœtus, quel que soit son stade de développement (donc dès la neuvième semaine, voire avant) est une personne qui peut être déclarée à l’état-civil, porter un nom et avoir des obsèques (quoiqu’on puisse aussi bien l’avorter).

    Il faut rappeler que la majorité des juristes demande que la Cour de cassation modifie sa jurisprudence pénale. Mais elle reste ferme sur ce sujet. Tout en disant exactement le contraire au civil.

    L’intérêt de l’arrêt est donc de souligner cette contradiction, que les mouvements pro-vie devraient exploiter au maximum.

  • National Hebdo N° 1229

    « Sarkozy et la France… Un mariage et un enterrement ». L’enterrement étant celui de la France par le traité de Lisbonne. Dans mon édito j’insiste sur les dernières manifestations de la dictature européenne contre les nations.

    Topoline « se penche avec étonnement sur la circulation de l’argent », des champions de tennis à Carla Bruni-Tedeschi-Sarkozy (dont on apprend que son père n’est pas M. Bruni-Tedeschi mais un certain Maurizio Remmert… qui accompagnait Sarkozy en Roumanie…).

    Michel Limier fait le portrait de Daniel Bouton, « un banquier dans la panade ».

    Alexandre Martin se pose quelques « questions sur une banque au-dessus de tout soupçon », et dénonce par ailleurs la politique spectacle de Nicolas Sarkozy à Gandrange (l’aciérie d’Arcelor-Mittal où 600 emplois sont menacés).

    Georges-Eric Wolff nous donne, de Bogota, des nouvelles des FARC, et des institutions des « droits de l’homme » qui prennent la défense des terroristes et condamnent le gouvernement colombien…

    Béatrice Pereire nous conte « l’union sacrée » : le mariage de Nicolas et Carla, union de la droite du pognon et de la gauche des boîtes de nuit…

  • Commençons le temps de ce Carême lumineux

    Commençons le temps de ce Carême lumineux
    nous adonnant aux combats spirituels
    sanctifions notre âme et purifions notre chair
    de nourriture ne jeûnons pas seulement
    abstenons-nous aussi de toute passion
    cultivant les spirituelles vertus
    en elles persévérant fidèlement
    puissions-nous être dignes de voir
    la Passion du Christ notre Dieu
    et l’allégresse de sa sainte Résurrection.

    J’ai commis toutes sortes de péchés
    plus que tous j’ai failli
    où trouverai-je tant de larmes si je veux me repentir ?
    Si je continue dans l’insouciance, je mérite le châtiment
    mais, dans ton unique bonté
    relève-moi, Seigneur, et prends pitié de moi.

    (stichères 3 et 4 — voir hier)

  • La prière pour les juifs

    Communiqué de la Secrétairerie d’Etat :

    « En se référant aux dispositions contenues dans le Motu Proprio Summorum Pontificum, du 7 Juillet 2007, sur la possibilité d'utiliser la dernière rédaction du Missale Romanum, antérieur au Concile Vatican II, publié en 1962 avec l'autorité du bienheureux Jean XXIII, le Saint Père Benoît XVI a décidé que l'Oremus et pro Iudaeis de la Liturgie du Vendredi Saint contenu dans le Missale Romanum soit remplacé par le suivant texte :

    Oremus et pro Iudaeis. Ut Deus et Dominus noster illuminet corda eorum, ut agnoscant Iesum Christum salvatorem omnium hominum. Oremus. Flectamus genua. Levate. Omnipotens sempiterne Deus, qui vis ut omnes homines salvi fiant et ad agnitionem veritatis veniant, concede propitius, ut plenitudine gentium in Ecclesiam Tuam intrante omnis Israel salvus fiat. Per Christum Dominum nostrum. Amen.

    Ce texte devra être utilisé, à partir de l’année courante, dans toutes les Célébrations de la Liturgie du Vendredi Saint avec le Missale Romanum. »

    On peut traduire ainsi cette prière :

    Prions aussi pour les juifs, afin que notre Seigneur et Dieu illumine leurs cœurs, et qu’ils reconnaissent le sauveur de tous les hommes. (…) Dieu éternel et tout-puissant, qui veux que tous les hommes soient sauvés et viennent à la connaissance de la vérité, fais que, la plénitude des nations entrant dan ton Eglise, tout Israël soit sauvé.

    Voici cette prière telle qu’elle figurait jusqu’ici dans le missel de 1962 :

    Oremus et pro Judæis: ut Deus et Dominus noster auferat velamen de cordibus eorum; ut et ipsi agnoscant Jesum Christum Dominum nostrum. (…) Omnipotens sempiterne Deus, qui Judæos etiam a tua misericordia non repellis: exaudi preces nostras, quas pro illius populi obcæcatione deferimus; ut, agnita veritatis tuæ luce, quæ Christus est, a suis tenebris eruantur. Per eumdem Dominum nostrum (…).

    C’est-à-dire :

    Prions aussi pour les juifs afin que Dieu Notre Seigneur enlève le voile qui couvre leurs cœurs et qu'eux aussi reconnaissent Jésus, le Christ, Notre-Seigneur. (…) Dieu qui n'exclus pas même les juifs de la miséricorde, exauce nos prières que nous t'adressons pour l'aveuglement de ce peuple, afin qu'ayant reconnu la lumière de ta vérité qui est le Christ, ils sortent de leurs ténèbres.

    Et voici la prière telle qu’elle figure dans le missel de 1970 :

    Prions pour les Juifs : que le Seigneur notre Dieu qui les a choisis comme premiers parmi tous les peuples pour accueillir sa Parole, les aide à progresser toujours dans l’amour de son Nom et dans la fidélité à son Alliance. (prière en silence). Dieu tout puissant et éternel, qui a fait tes promesses à Abraham et à sa descendance, écoute avec bienveillance la prière de ton Église, pour que le peuple aîné de ton Alliance puisse parvenir à la plénitude de ta Rédemption.

    Lors de la publication du motu proprio, plusieurs organisations juives, comme le Centre Simon Wiesenthal, s’étaient émues que le pape permette l’ancienne prière pour la conversion des juifs, ce qui constituait un grave « retour en arrière » dans les relations entre juifs et chrétiens. L'Anti-Defamation League inscrivit même cette affaire sur une liste des « 10 questions affectant le plus les Juifs en 2007 », mettant ainsi le motu proprio du pape Benoît XVI sur le même plan que les diatribes anti-israéliennes du président iranien Ahmadinedjad.

    Le secrétaire d’Etat du Vatican, le cardinal Bertone, avait suggéré en juillet que l’on supprime purement et simplement cette prière, « ce qui résoudrait tous les problèmes ». Mais le mois suivant, on demandait à Mgr Angelo Amato, secrétaire de la congrégation pour la doctrine de la foi, s’il est « vraiment contraire à la lettre et à l’esprit du Concile de dire cette prière ». Il répondait : « Sûrement pas. A la messe, nous catholiques prions toujours, et en premier, pour notre conversion. Et nous nous frappons la poitrine à cause de nos péchés. Ensuite, nous prions pour la conversion de tous les chrétiens et de tous les non-chrétiens. L’Evangile est pour tous. »

    On voit que le pape a enlevé les mots qui aujourd’hui peuvent paraître blessants (voile, aveuglement, ténèbres), mais qu’il a conservé le sens de la prière : pour la conversion des juifs, en remplaçant excellemment « enlève le voile de leurs cœurs » par « illumine leurs cœurs », et en modifiant la suite de façon à renvoyer (là aussi excellemment) à saint Paul.

    Il ne reste plus à Benoît XVI qu’à changer aussi la prière du missel de 1970, c’est-à-dire la remplacer par celle qu’il vient d’imposer dans le missel de 1962. Car on voit qu’il juge normal de prier pour la conversion des juifs, or la prière de 1970 est déficiente, et d’une très grave ambiguïté, puisqu’elle sous-entend que les juifs sont fidèles à l’Alliance (dans laquelle ils doivent « progresser ») et qu’ils n’ont donc pas besoin de se convertir, alors qu’ils rejettent la (nouvelle) alliance qui est l’accomplissement, par le Fils de Dieu, de la précédente.

    La différence entre la nouvelle prière du missel de 1962 et la prière du missel de 1970 est parfaitement illustrée par la réplique immédiate du grand rabbin de Rome : cette prière « constitue un obstacle à la poursuite du dialogue entre juifs et chrétiens », le maintien de la formule demandant « de façon explicite » la conversion des juifs « remet en question des décennies de progrès ».

    Et ce n’est que la première réaction.

    Soutenons le pape par nos prières de Carême.

    Addendum

    Dans la soirée, l’assemblée des rabbins d’Italie, dans un communiqué signé de leur président Giuseppe Laras, dénonce la nouvelle prière et annonce qu’elle interrompt le « dialogue » avec l’Eglise.

    Les rabbins soulignent que le nouveau texte substitue à l'expression sur « l'aveuglement des juifs » une autre « conceptuellement équivalente » en dépit d'une formulation « apparemment moins forte ».

    « Le fait le plus grave est qu'a été introduit un appel aux fidèles à prier pour que les juifs reconnaissent finalement “Jésus Christ sauveur“. Le pape est certes libre de décider ce qu'il juge le mieux pour son Eglise et ses fidèles, mais il n'en reste pas moins que l'adoption d'une telle formule liturgique contredit nettement et dangereusement au moins quarante ans d'un dialogue souvent difficile et tourmenté entre judaïsme et catholicisme, qui semble ainsi n'avoir donné aucun résultat concret. »

    Cette prière traduit « une idée du dialogue ayant pour finalité la conversion des juifs au catholicisme, ce qui est pour nous évidemment inacceptable ».

    Cette situation « nous impose pour le moins une pause de réflexion dans le dialogue avec les catholiques afin de comprendre vraiment quelles sont leurs intentions ».

  • Résistance nationale !

    A voir (en vidéo) et à lire, sur le site du Front national, les discours de Bruno Gollnisch et de Jean-Marie Le Pen lors de la manifestation de ce midi près de l’Assemblée nationale.

    Voici la fin du discours de Bruno Gollnisch :

    Quelle que soit l’issue de cette procédure, nous dénions par avance à ce texte toute légitimité ; nous ne l’acceptons et ne l’accepterons pas plus que nos pères n’ont accepté le honteux traité de Troyes qui, en pleine guerre de 100 ans, livrait la France à l’étranger, pas plus que les Etats-Généraux n’ont reconnu le traité de Madrid par lequel le roi prisonnier François 1er abandonnait la Bourgogne à l’Empereur Charles Quint, pas plus que les Alsaciens et Lorrains de Moselle n’ont accepté le traité de Francfort qui en 1871 les abandonnait à l’Allemagne !

    C’est pourquoi, la poignée de résistants que nous sommes ne craint pas de ramasser dans le caniveau où ils l’ont jeté le drapeau lacéré de la patrie.

    C’est pourquoi, dans la grande solidarité qui doit unir les patriotes et tous ceux dont les mêmes forces obscures menacent l’identité, nous allons édifier l’union des Patriotes, avec nos amis autrichiens, bulgares, italiens, britanniques, flamands et wallons, serbes et croates, russes et ukrainiens, et beaucoup d’autres encore.

    A bas la dictature masquée des Euro-mondialistes! Vive la Résistance nationale, Vive le Front National, et, dans une Europe libre des Nations libres, que Vive la France !

    Et voici la fin de celui de Jean-Marie Le Pen :

    Nous jurons, mes chers amis, dans un nouveau serment de Koufra, de nous battre tant que la France n'aura pas récupéré son indépendance bafouée, sa souveraineté confisquée, son identité menacée.
    Notre pays n'est pas militairement occupé ; mais il est mentalement asservi, moralement épuisé et, par-dessus tout, politiquement trahi par ses élites et par ses chefs.

    Le Front National aura l'audace et la force de l'action et de la réaction parce que nous sommes la vie, les vrais représentants du peuple, ce peuple de France, héritier de 40 Rois, de deux Empereurs et de cinq Républiques.
    Nous ne laisserons rien passer ! Ainsi, nul ne pourra dire demain, à l’heure des comptes, ils ont baissé les bras, ils ont lâché prise, ils nous ont abandonnés !

    Vive le Front National ! Vive le peuple français ! Vive la France !

  • Italie : Berlusconi le retour…

    Quatorze jours après la démission de Romano Prodi, le chef de l'Etat italien Giorgio Napolitano a fini par se résoudre à dissoudre le Parlement, ouvrant la voie à des élections anticipées qui se tiendront les 13 et 14 avril.

    Romano Prodi, qui aura gouverné deux ans, jette l’éponge. Le chef de la gauche sera le maire de Rome, Walter Veltroni. Les sondages donnent Berlusconi gagnant.