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  • Credidit Abram Deo

    Credidit Abram Deo, et reputatum est ei ad justitiam. Et ideo amicus Dei factus est. Fuit autem justus coram Domino, et ambulavit in viis ejus. Et ideo amicus Dei factus est.

    Abram crut Dieu, et sa foi lui fut imputée à justice. Et pour cela il a été fait l’ami de Dieu. Il fut juste, en effet, devant le Seigneur, et il marcha dans ses voies.

  • Rome et la communion dans la main

    6acb911b1dd81d548b44e2ab1e966869.jpgMgr Albert Malcolm Ranjith, secrétaire de la Congrégation pour le Culte Divin, considère qu’il est temps de reconsidérer la pratique de la communion dans la main.

    Dans la préface qu’il a rédigée pour un livre de Mgr Athanasius Schneider (évêque du Kazakhstan) publié il y a quelques jours par les éditions du Vatican, il souligne que « l’eucharistie, pain transsubstantié dans le corps du Christ et vin transsubstantié dans le sang du Christ – Dieu au milieu de nous – doit être reçu avec crainte révérencielle et dans une attitude d’humble adoration ». Le concile Vatican II, souligne-t-il, n’a jamais autorisé les fidèles à communier dans la main, pratique qui a été « introduite de façon abusive et précipitamment dans certaines sphères », et autorisée seulement par la suite par le Saint-Siège.

    Les liturgistes qui ont encouragé cette pratique ont dit qu’elle reflétait davantage la plus ancienne pratique de l’Eglise. « Il est vrai que si l’on communie sur la langue, on peut aussi communier dans la main, puisque ces organes du corps ont une égale dignité », concède-t-il. Mais la pratique de recevoir la communion dans la main a coïncidé avec « le début d’un affaiblissement graduel et croissant de l’attitude de révérence envers les espèces eucharistiques sacrées ». « Je crois que le temps est venu d’évaluer cette pratique et de la revoir, et si nécessaire, de l’abandonner. » « Maintenant, plus que jamais, il est nécessaire d’aider les fidèles à renouveler une foi vive en la présence du Christ dans les espèces eucharistiques, dans le but de renforcer la vie même de l’Eglise et de la défendre au milieu des dangereuses distorsions de la foi. »

    Les « bonnes feuilles » du livre (en italien) de Mgr Schneider, intitulé Dominus est : méditations d’un évêque d’Asie centrale sur la sainte Eucharistie, ont été publiées dans l’Osservatore Romano. Mgr Schneider dit notamment que si un catholique croit vraiment en la présence réelle de Jésus dans l’eucharistie, il doit s’agenouiller en adoration et révérence quand il reçoit la sainte communion. Il doit être, ajoute-t-il, comme un bébé dans les bras de la personne qui le nourrit : de même que le bébé ouvre la bouche pour recevoir la nourriture que lui donne sa mère, de même le catholiques doit ouvrir la bouche pour recevoir la nourriture qui lui vient de Jésus.

    Dans une très intéressante interview accordée à l’agence Fides en novembre dernier, à propos du motu proprio, Mgr Ranjith disait déjà :

    « La réforme postconciliaire n’est pas entièrement négative ; au contraire, il y a même de nombreux aspects positifs dans ce qui fut réalisé. Mais il y a aussi des changements introduits abusivement, qui continuent et se poursuivent, malgré leurs effets nocifs sur la foi et sur la vie liturgique de l’Eglise. Je parle ici, par exemple, d’un changement effectué dans la réforme, qui ne fut proposé ni par les Pères ni par la Constitution Sacrosanctum Concilium, je veux parler de la Communion dans la main. Cela a contribué d’une certaine manière à une baisse sensible de la foi en la Présence Réelle du Christ dans l’Eucharistie. Cette pratique, et l’abolition des balustrades dans le Sanctuaire, des agenouilloirs dans les églises, et l’introduction de pratiques qui obligent les fidèles à rester assis ou debout pendant l’Elévation du Très Saint Sacrement, diminuent la signification authentique de l’Eucharistie, et le sens de la profonde adoration que l’Eglise doit adresser au Seigneur, le Fils Unique de Dieu. »

    On rappellera aussi que dans une interview à La Croix, en juin 2006, dans laquelle il évoquait à demi-mot la possibilité d’un geste du pape en faveur de la messe de saint Pie V, il disait :

    « Aujourd’hui, les problèmes de la liturgie tournent autour de la langue (vernaculaire ou latin), et de la position du prêtre, tourné vers l’assistance ou tourné vers Dieu. Je vais vous surprendre : nulle part, dans le décret conciliaire, on n’indique qu’il faut que le prêtre désormais se tourne vers l’assistance, ni qu’il est interdit d’utiliser le latin ! Si l’usage de la langue courante est consenti, notamment pour la liturgie de la Parole, le décret précise bien que l’usage de la langue latine sera conservé dans le rite latin. Sur ces sujets, nous attendons que le pape nous donne ses indications. »

    Mgr Ranjith, ancien évêque de Ratnapura au Sri Lanka, a été l’un des premiers prélats nommés par Benoît XVI à la Curie.

  • Quinquagésime

    Après Adam (septuagésime), Noé (sexagésime), voici Abraham, avec son lot de nouvelles prophéties christiques.

    Cela commence par son « exode » personnel, préfigurant l’exode des Hébreux.

    Dieu demande à Abraham de quitter sa terre et sa parentèle et la maison de son père, pour aller dans une terre inconnue où il sera l’objet d’infinies bénédictions.

    De même Dieu demandera aux Hébreux de quitter l’Egypte pour se rendre dans une terre de bénédictions. Avant d’y arriver, ils passeront 40 ans dans le désert. Figure du carême de 40 jours, avant d’arriver à Pâques.

    Cet exode exige de faire confiance à Dieu. D'avoir la foi.

    Le Verbe de Dieu s’est incarné et est venu dans ce monde pour nous inciter nous aussi à l’exode. Il nous faut sortir de nous-mêmes, de la gangue du monde du péché, éliminer tout « retour sur soi » (le péché, c’est penser à soi), pour se diriger vers le Royaume : cette terre inconnue, mais débordante de bénédictions éternelles.

    Nous avons le Christ pour nous guider. Il nous a montré la voie. Il est la voie.

    Le carême nous rappelle que ce chemin passe obligatoirement par la croix : les épreuves, la mort physique, et d’abord la mort à soi-même.

  • Chez ces gens-là…

    Dans un texte publié par le site intitulé « Liberté Politique », Lionel Devic, avocat de son état, fait l’apologie de la décision 6 du rapport Attali, et critique ceux qui y discernent un danger majeur pour les libertés scolaires.

    Apologie, en effet. Le pire côtoie le meilleur, dit-il. « Au titre du meilleur, l’observateur attaché à la liberté scolaire ne peut que se féliciter des recommandations de la Commission Attali. » « C’est une surprise, (…) une révolution salutaire. Révolution, qui pour une fois, est susceptible de profiter non seulement aux parents, professeurs et directeurs d’établissements, mais surtout aux enfants et à la France », une « révolution très satisfaisante ». Ces propositions « peuvent contribuer à une juste réforme du système d’enseignement français », il faut « profiter de la force de ces propositions — et de leur dimension révolutionnaire — pour imaginer les voix [les voies, je suppose] et moyens nécessaires pour pousser l’avantage le plus loin possible dans le sens d’une véritable liberté scolaire »…

    Et face à cette merveille, deux groupes osent émettre des objections, et même de « lancer l’anathème ». L’un de ces groupes, ce sont les « défenseurs radicaux du système actuel », dont la FSU. L’autre groupe, ce sont « certains partisans attachés à la liberté scolaire d’une façon générale, et aux écoles hors contrat en particulier (en référence notamment à leur dimension catholique ou aux pédagogies alternatives qu’elles développent) ».

    Ce sont uniquement ces derniers que Lionel Devic va réfuter. Non sans les accuser de mêler leurs voix « à celles des jacobins et des idéologues co-gestionnaires du Mammouth », selon la pratique léniniste bien connue qui consiste à disqualifier son interlocuteur en l’accusant d’être un allié objectif de l’adversaire.

    D’ailleurs il n’y a pas d’interlocuteur. Lionel Devic ne cite personne. On ne saura pas qui sont ces malfaisants qui osent critiquer la merveille de la décision 6. Aucun nom, aucune référence. Impossible de vérifier si l’attaque est juste, impossible de se rendre compte par soi-même de ce qu’ils disent.

    Pourtant, à ma connaissance, ce groupe maléfique est composé de… deux personnes. Jeanne Smits et moi-même. Mais, sur le site intitulé « Liberté Politique », on ne pousse pas la liberté jusqu’à citer les noms de ceux que la pense unique diabolise comme des intégristes d’extrême droite. Ils sont infréquentables, il faut respecter la juste pariatude qui les frappe. Surtout ne pas dire leurs noms, surtout ne pas renvoyer à leurs écrits…

    Ainsi, Lionel Devic reprend ce que j’ai écrit. Il reprend mes mots et mes expressions, sans jamais les citer entre guillemets, pour ne pas avoir à citer mon nom.

    Ce n’est pas seulement de l’impolitesse. Cela, je m’en moque. C’est d’une flagrante malhonnêteté. Dans toute controverse honnête, on cite nommément et exactement celui auquel on s’oppose. Cela a toujours été un principe de la vie intellectuelle. Mais

    Chez ces gens-là, on ne vit pas, Monsieur, on ne vit pas, on triche.

    En ce qui concerne la réfutation, je renvoie, quant à moi, au texte même de Lionel Devic.

    Il répond en trois points.

    Premièrement, le régime juridique des écoles hors contrat ne change pas. Donc il n’y a pas à s’alarmer pour ces écoles-là. Lionel Devic ignore qu’on peut marginaliser, voire supprimer des institutions, sans modifier leur régime juridique.

    Deuxièmement, il n’est plus question d’écoles sous contrat, mais d’écoles conventionnées. Or le contrat appartient à la catégorie plus large de la convention. On peut donc y voir, « malgré la mention d’un conventionnement strict, le signe d’une modification, dans un sens plus libéral, de la nature des rapports qui pourraient exister à l’avenir entre l’État et les établissements d’enseignement privés ». Sic.

    Troisièmement, si la laïcité fait partie des « valeurs de la République » auxquelles les écoles devront strictement se conformer, il faut voir qu’avec Nicolas Sarkozy il s’agit désormais d’une « laïcité positive », qui « devrait permettre aux établissements catholiques d’affirmer davantage leur identité, notamment dans le futur cadre “conventionné“ ».

    Mon grand ami M. de La Palice se contenterait de répondre qu’une école catholique n’est pas une école laïque, et qu’il n’y a donc pas lieu de ratiociner sur l’épithète qu’on accole à la laïcité : une école catholique qui respecte la laïcité n’est évidemment plus une école catholique.

    Mais le moment vient de préciser peut-être de ce dont on parle. La « laïcité positive » n’est que le nouveau nom de la « laïcité ouverte », concept hélas lancé par l’épiscopat français il y a plus de 50 ans, et qui a été peu à peu repris par tout le monde, y compris les laïcards. Même la Ligue de l’enseignement l’a reprise à son compte, et en commentaire du discours du chanoine de Latran, la tendance majoritaire au sein de la FSU disait que le syndicat « devrait appeler à constituer un large mouvement de défense d’une laïcité ouverte et vivante ». Mais oui. Ouverte et vivante. Je ne sais pas si Jules Ferry a utilisé l’expression, mais c’est en substance ce qu’il disait dans ses controverses avec les extrémistes du laïcisme. La « laïcité positive » n’est pas une garantie pour l’école catholique, c’est plutôt une menace. Pourquoi vouloir une école catholique, quand on enseigne les religions à l’école laïque, et qu’on permet à toutes les religions de s’y exprimer (car l’islam l’exige) ? D’autant que le « conventionnement strict » imposera la même chose aux ci-devant « écoles catholiques ».

    C’est une incohérence majeure de prétendre que la laïcité positive pourrait permettre aux écoles catholiques d’affirmer leur identité. La décision 6 dit explicitement le contraire. Et il ne s’agit pas seulement de la laïcité, mais de toutes les « valeurs » de la République : culture de mort, non-discrimination, culte de la « diversité », etc.

    Jacques Attali donne pour modèle l’exemple suédois. Jeanne Smits dit ce qu’il en est. En Suède, les écoles conventionnées « n’ont aucune possibilité de sélection, ni des familles, ni par rapport au dossier des élèves et encore moins en demandant leur adhésion à un projet religieux ». Elles « sont obligées de satisfaire sans faille aux objectifs de l’enseignement fixés par l’Etat », et les règles sont en train d’être encore durcies.

    En fait, Lionel Devic laisse percer çà et là quelques inquiétudes. Mais il s’en sort par des vœux pieux, et par un appel à la vertu théologale d’espérance (sic), comme si elle avait quelque chose à voir dans cette histoire. Le dessein est de dire au lecteur, comme un curé en chaire dans l’église qui est en train de s’écrouler : soyons confiants, mes frères, tout ira bien. Car

    Chez ces gens-là, on ne pense pas, Monsieur, on ne pense pas, on prie.

  • Purification de la Bienheureuse Vierge Marie

    Omnipotens sempiterne Deus, majestatem tuam supplices exoramus, ut, sicut unigenitus Filius tuus hodierna die cum nostrae carnis substantia in templo est praesentatus, ita nos facias purificatis tibi mentibus praesentari.

    Dieu éternel et tout-puissant, nous implorons ta majesté pour que, de même que ton Fils unique a été présenté dans le Temple avec la substance de notre chair, tu fasses que nous te soyons présentés l’esprit purifié.

    (Purification de la Sainte Vierge , Présentation de Jésus au Temple, Chandeleur... C’est aussi le jour de saint Siméon...)

  • Analphabètes

    La chaîne de magasins britannique Woolworths a dû retirer de ses rayons un ensemble lit-bureau pour fillettes de six ans, qui sur son site internet portait le nom de Lolita, suite à une campagne menée par des mères de famille. Tout est parti d’une question d’une mère sur un site de conseils en éducation des enfants : « Suis-je particulièrement sensible ou bien est-ce que quelqu’un pense qu’il est de mauvais goût d’avoir un lit nommé Lolita ? »

    « Ce qui s’est passé, explique un porte-parole de Woolworths, c’est que le personnel en charge du site internet (de la chaîne) n’a jamais entendu parler de Lolita, et, pour être honnête, personne d’autre non plus. »

    Le roman, en anglais, de Nabokov, qui a fait l’objet de deux célèbres adaptations cinématographiques, a été vendu à plus de 50 millions d’exemplaires de par le monde. Mais chez Woolworths, « personne » n’en a entendu parler...

  • Le syndicat de la magistrature tel qu’en lui-même

    Le syndicat de la magistrature apporte son soutien à Marina Petrella, écrouée en Fresnes en attente de son extradition vers l’Italie.

    Ancienne activiste des Brigades rouges, Marina Petrella a été condamnée en 1992 en Italie à la prison à perpétuité pour avoir assassiné un commissaire de police et grièvement blessé son chauffeur, et pour séquestration d’un magistrat.

    Réfugiée en France, bénéficiant de la protection que François Mitterrand accordait à tous les terroristes qui disaient avoir rompu avec le terrorisme, Marina Petrella a été arrêtée en août dernier à Argenteuil, et, le 14 décembre, la cour d’appel de Versailles s’est prononcée en faveur de son extradition.

    Le syndicat de la magistrature dénonce « une procédure d’extradition qui ne tient aucun compte de l’ancienneté des faits et de l’évolution » de la coupable, devenue assistante sociale...

    Le syndicat s’élève contre cette « remise en cause de la doctrine Mitterrand », car Marina Petrella a « parfaitement respecté cet engagement moral à rompre avec l’activisme violent ».

    Je m’engage à ne plus séquestrer de magistrats et à ne plus tuer de commissaires, donc on n’a pas le droit de me mettre en prison...

  • Heurs et malheurs de l’ouverture

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Lors de la mise en place de la Commission Pochard sur l’avenir de la condition d’enseignant, j’avais proposé la candidature de Jean-Richard Sulzer, universitaire renommé et professeur titulaire à l’Université Paris Dauphine, pour représenter le Front National.

    Ma lettre était restée sans suite, car Monsieur Darcos et le Gouvernement n’avaient pas souhaité heurter Monsieur Michel Rocard, qui avait également été pressenti.

    On voit aujourd'hui les résultats de cette ouverture en trompe l’œil : Monsieur Rocard vient de claquer la porte de la Commission Pochard , laquelle s’est privée, pour rien, de l’expérience du Doyen Sulzer, pourtant éminemment représentatif des grandes traditions académiques françaises.

  • Reconquête N° 244

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    Reconquête N° 244

  • Une mission pour Wieviorka

    En effet, cela manquait : une « mission d’études sur la question de la diversité dans l’enseignement supérieur et le monde de la recherche ». Elle vient d’être créée par le ministre ad hoc, Valérie Pécresse. Et elle est confiée au sociologue Michel Wieviorka, directeur d'études à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS), directeur du CADIS (Centre d'analyse et d'intervention sociologiques du CNRS, président de l'Association internationale de sociologie...

    Auteur de nombreux ouvrages sur le racisme et l’antisémitisme, dont La France raciste (sic), Michel Wieviorka est aussi président du conseil scientifique du CRAN, le prétendu Conseil représentatif des associations noires. (Non, ce n’est pas raciste, c’est la défense d’une identité de victime...).

    Dans Le Monde du 4 octobre dernier, il concluait un article, intitulé La diversité à reculons, en indiquant ce que peut être la « vision de gauche » des statistiques ethniques, « les statistiques de la diversité », permettant de lutter contre les discriminations, opposée à la « vision de droite » qui peut « venir à l’appui des pires politiques, notamment en matière d’immigration ».

    Voilà le personnage auquel le gouvernement de Nicolas Sarkozy demande de pondre un rapport sur la « diversité » dans l’enseignement supérieur.

    On rappellera aussi que dans son livre La Tentation antisémite : haine des juifs dans la France d'aujourd'hui, Michel Wieviorka expliquait doctement que le Front national a repris à son compte le négationnisme, que l’antisémitisme violent qu’il exprime a servi de « facteur d’union » entre les différents courants de « l’extrême droite », que le « détail » de Jean-Marie Le Pen était prémédité et visait à renforcer la cohésion du parti et à augmenter son nombre d’adhérents... Cela ne s’appelle pas de la sociologie, mais du mensonge et de la diffamation. Il est vrai qu’on n’en attend pas moins d’un fonctionnaire de l’idéologie dominante.