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  • Exposition de Bordeaux : nouvelles mises en examen

    Stéphanie Moisdon-Tremblay et Marie-Laure Bernadac ont été mises en examen pour « diffusion de messages à caractère pornographique ou violent ou attentatoire à la dignité humaine pouvant être vu par un mineur », et « diffusion d’images à caractère pornographique d’un mineur ». Elles étaient les deux commissaire de l’ignoble exposition « Présumés Innocents. L’art contemporain et l’enfance », présentée à Bordeaux en 2000, pour laquelle Henry-Claude Cousseau, son organisateur, a déjà été mis en examen. Les défenseurs de la pourriture « artistique » et du droit à salir les enfants vont pouvoir de nouveau crier à l’atteinte à la liberté d’expression, suivis comme de bien entendu par le ministre de la Culture…

  • L’anniversaire du traité de Rome

    Un comité chargé d’animer les événements qui marqueront le 50e anniversaire du traité de Rome (25 mars 1957) a été lancé hier au ministère des Affaires étrangères. Le comité est présidé par Maurice Faure, signataire du traité, et ses membres les plus éminents sont Jean-François Deniau et Jean-François Poncet, qui participèrent à la négociation du traité, ainsi que l’inévitable Jacques Delors. A remarquer ce propos de Catherine Colonna, ministre des Affaires européennes : « La tâche du comité n’en sera que plus difficile dans un contexte de campagne électorale où les sujets européens ont encore à gagner leur voix au chapitre. » N’en sera que plus difficile : après le référendum sur la Constitution européenne, en effet, il est difficile d’enthousiasmer les foules… Quant aux sujets européens dans la campagne, qu’on donne donc la parole à Jean-Marie Le Pen. Lui en tout cas a des choses à dire sur la question. Notamment que les autres candidats ne sont candidats qu’à un poste de gouverneur de l’Union européenne ­– et c’est pourquoi ils n’en parlent guère, car l’Europe, de ce point de vue, ce n’est guère valorisant. Une deuxième raison de donner la parole à Jean-Marie Le Pen : lui aussi est un témoin et un acteur, puisqu’il vota… contre le traité.

  • Déchristianisation

    Selon un sondage de la BBC , seulement 44% des enfants britanniques savent que Noël est la fête de la naissance de Jésus.

    Mais le sondage a été effectué dans l’ensemble du Royaume-Uni. Et en Irlande du Nord, ils sont 71% à le savoir.

  • L’injustice de la Cour de Justice

    La Cour de Justice de Luxembourg vient d'infliger à différentes fédérations d'éleveurs une amende record de 12 millions d'euros dont 9 millions pour la seule FNSEA.

    Jean-Marie Le Pen réagit :

    « Quel crime inexpiable ont-elles commis ? Défendre le revenu des éleveurs qui s'effondrait en s'entendant sur un prix minimum, au moment de la terrible crise de la vache folle en 2001-2002.

    « Nous pensons qu'il y avait légitime défense alors que la Commission européenne, responsable de la situation pour avoir supprimé les contrôles aux frontières, en particulier sanitaires, parle de distorsion de concurrence.

    « Les Français apprécieront la manière dont Bruxelles défend notre agriculture ou plutôt veut la faire disparaître pour le plus grand profit des pays agricoles de l'hémisphère sud.

    « Je propose un contrat de confiance entre le monde rural et les Français pour sauver notre agriculture et notre industrie agro-alimentaire avant la date fatidique de 2013 qui marquera la fin des subventions agricoles. »

  • Marine Le Pen défend les chauffeurs routiers

    Un décret paru le 23 novembre au Journal Officiel dispose que le code du travail français est désormais « applicable aux entreprises de transport aérien au titre de leurs bases d’exploitation situées sur le territoire français ».

    Cette règle de bon sens vient à point réaffirmer l’illégitimité de la règle du pays d’origine et étendre son interdiction au transport aérien notamment dans les compagnies à bas prix, constate Marine Le Pen dans un communiqué. (Le décret vise notamment Ryan Air qui emploie en France une soixantaine de personnes sous contrat irlandais.)

    Marine Le Pen s’étonne que cette disposition soit limitée au transport aérien. Elle demande son extension à tout le transport et notamment au transport routier : « Il est anormal que les petites entreprises qui emploient des routiers français soient financièrement pénalisées par rapport aux grandes sociétés du secteur qui exploitent, aux conditions des pays d’origine, une main d’œuvre venue notamment de l’est. » L’entreprise Norbert Dentressangle («  Norbert » dans le jargon routier) emploie des Polonais aux conditions polonaises (par exemple en ce qui concerne le double équipage : un chauffeur dort dans la cabine pendant que l’autre conduit ; en droit polonais, le chauffeur qui dort se repose ; en droit du transport français lorsque le deuxième chauffeur est dans un camion qui roule, il est considéré comme travaillant ; les camions avec équipage polonais peuvent donc rouler jour et nuit.)

    Marine Le Pen demande également aux routiers français de « ne plus faire confiance aux fédérations syndicales, prétendument représentatives, qui, en se taisant pour satisfaire certains gros de la profession et complaire au politiquement correct, bradent leurs intérêts en acceptant le maintien de règles qui leur seront fatales ».

  • Le mensonge sur la délinquance

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    L’étude de l’INSEE et de l’Observatoire national de la délinquance conclut qu’il y a eu plus de 12 millions de faits de délinquance en 2005, alors que les statistiques officielles font état de moins de 3,8 millions de crimes et délits.

    En effet, moins d’un quart des atteintes aux biens font l’objet d’une plainte, et plus d’un vol sur deux n’est pas déclaré. A quoi bon en effet porter plainte, quand on sait qu’il n’y aura pas de suite, et qu’on vous le fait savoir.

    Ainsi est mis en évidence, une fois de plus, le mensonge statistique, qui est en réalité un mensonge politique.

    Comment pourrait-on croire à la rupture dans le domaine de la lutte contre la délinquance, quand le prophète de la rupture est le ministre responsable de cet état de fait ?

  • Le Pen en visioconférence

    Le Front national continue d’être à la pointe du progrès technique en matière de communication. Il y a quelques jours on a appris que le FNJ avait monté un stand virtuel du FN sur Second Life. C’est le premier parti politique français à « exister » sur ce jeu qui passionne paraît-il les Américains et dont la version française est annoncée. Hier, Jean-Marie Le Pen a encore innové, en tenant une conférence de presse par visioconférence avec des journalistes de La Réunion. « Je suis le candidat de l’union patriotique, celui d’une grande France dont l’influence dépasse les océans. Je ne mets pas de distance sociale, raciale, et religieuse entre l’hexagone et ses régions ultra-périphériques », a-t-il souligné d’emblée, avant d’évoquer les problèmes spécifiques de La Réunion  (illettrisme, chômage) et de parler notamment de son projet de faire de l’ensemble de l’île une zone franche. D’autres rencontres de ce type auront lieu dans les prochaines semaines avec des journalistes des différents départements et territoires d’outre-mer.

  • Les fourriers de l’islam

    Une subvention de 610.000 euros a été votée à l’unanimité par le conseil municipal de Strasbourg à la future grande mosquée de la ville (ce qui représente 10% du coût total).

    A l’unanimité. Il ne s’est pas trouvé un seul conseiller pour contester que les impôts des Strasbourgeois servent à financer un centre d’endoctrinement islamique.

    Il y a eu une polémique, cependant. Entre les sourds et les aveugles.

    La subvention est assortie de « conditions ». Le maire UMP Fabienne Keller et le maire délégué Robert Grossmann les ont détaillées : absence de financement extra-européen, garantie d’une ouverture aux musulmans « de toutes sensibilités » (donc notamment à Al Qaïda), transparence de la gestion, prêches en langue française. Ces conditions s’inscrivent dans une « conception française et républicaine de l’islam, voire alsacienne ». La conception alsacienne de l’islam…

    Mais cela a suscité un tollé de l’opposition. L’ancien maire PS Roland Ries (qui avait conclu l’accord initial) a fustigé une attitude « discriminante et humiliante », des conditions « inutiles et vexatoires » qui « multiplient les obstacles et visent à empêcher la réalisation de la mosquée »…

    Or ces conditions n’en sont pas. Le financement d’Arabie saoudite sait très bien se faire français, et quand des prêches seront faits en arabe, on détruira la moquée ? Ou on poursuivra l’imam ? Mais quelle est la loi qui empêche de faire des discours en arabe ?

    En fait, les socialistes veulent qu’il n’y ait aucun frein à l’islamisation. Et l’UMP n’en met aucun. La charia islamique aura donc très visiblement droit de cité à Strasbourg, grâce à un conseil municipal volontairement ignorant de ce qu’est l’islam.

  • Le Pen et l’avortement

    Jean-Marie Le Pen a précisé hier à l’AFP ce qu’il pense à propos de l’avortement, et ce qu’il ferait s’il était élu président de la République.

    « Nous conservons notre position de principe de défense de la vie », a-t-il dit, mais « on est bien obligé de faire une hiérarchie dans le projet », or l'avortement « n’est pas un sujet mobilisateur pour l’instant ».

    S’il est élu, Jean-Marie Le Pen envisage d’appliquer « pendant trois ou quatre ans des mesures incitatives » pour faire baisser le nombre des avortements, et ensuite de consulter le pays par voie de référendum : « Les Français diront eux-mêmes ce qu’ils pensent. »

    Les mesures incitatives sont notamment le salaire parental, qui permettra aux familles d’avoir un ou plusieurs enfants supplémentaires au lieu d’avoir recours à l’avortement, et l’instauration d’une « adoption prénatale » pour éviter que les enfants non désirés soient « mis à mort ».

    L’adoption prénatale est ainsi définie dans le programme du Front national : « La déclaration prénatale de consentement à l’adoption permettra à toute femme ne pouvant pas avoir d’enfant ou à tout couple stérile, d’adopter l’enfant à naître d’une autre femme qui ne désire pas le garder. Cette adoption conférera les droits de la naissance légitime à l’enfant adopté. Elle ne fera évidemment l’objet d’aucune contrepartie rémunérée. La future mère ayant consenti à l’adoption prénatale bénéficiera de l’ensemble des aides et droits attachés à sa condition, ainsi que de la possibilité de revenir sous un certain délai après l’accouchement sur son engagement si elle décidait en fin de compte d’élever elle-même son enfant. » En 1986, Michel de Rostolan avait déposé une proposition de loi en ce sens à l’Assemblée nationale.

    Parmi les mesures incitatives, on peut aussi suggérer que, à côté de l’adoption prénatale, soient aidées les futures mères en détresse, sur le modèle de ce que fait l’association SOS Mamans, à petite échelle mais avec une stupéfiante efficacité bien qu’elle n’ait que des moyens dérisoires. Son taux de réussite est très proche de 100% : c’est-à-dire que presque toutes les jeunes femmes aidées par SOS Mamans, alors qu’elles avaient réellement l’intention d’avorter, ont gardé leur bébé.

    On lira avec le plus grand intérêt les commentaires du Salon Beige, rédigés à partir de déclarations de Marine Le Pen rapportées par l’agence Reuters avant les propos de Jean-Marie Le Pen reproduits partiellement par l’AFP.

  • O Radix Jesse

    O Radix Jesse, qui stas in signum populorum, super quem continebunt reges os suum, quem gentes deprecabuntur, veni ad liberandum nos, jam noli tardare.

    Ô rejeton de la souche de Jessé, qui te tiens en étendard des peuples, devant qui les rois fermeront la bouche, et que les nations invoqueront, viens nous libérer, ne tarde plus désormais.

    (« Radix Jesse », littéralement la racine de Jessé, père du roi David, en fait celui qui est porté par la racine, la pousse ultime de cette souche: désigne le Messie dans la prophétie d’Isaïe, citée par saint Paul dans l’épître aux Romains : « Erit radix Jesse, et qui exsurget regere gentes, in eum gentes sperabunt » : Il y aura un rejeton de Jessé, et il se lèvera pour diriger les nations, et en lui les nations espèreront.)