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  • Une bonne nouvelle des Pays-Bas

    Les élections néerlandaises sont une relative défaite pour les partis du système : 41 députés pour les chrétiens démocrates qui perdent trois sièges, 32 pour le parti travailliste qui perd quant à lui dix sièges, et le parti libéral perd six sièges.

    En revanche, le « parti socialiste » fait une percée spectaculaire, obtenant 26 députés (+ 17). Et le parti de la liberté de Geert Wilders, solitaire dans le parlement précédent, aura 9 sièges. On note aussi la progression d’un petit parti protestant de droite, ChristenUnie, opposé à l'avortement et à l'euthanasie, qui gagne 4 sièges.

    Ce qui est intéressant est que le « parti socialiste », à l’origine d’extrême gauche, aujourd’hui qualifié de « populiste de gauche », comme le parti de la liberté, qualifié de « populiste de droite », sont tous les deux très anti-immigrationnistes et ont été tous les deux en pointe dans le combat contre la Constitution européenne.

    C’est une bonne nouvelle pour la véritable Europe, et une très mauvaise pour les fabricants de l’Europe antinationale du melting pot.

  • L’irresponsable monsieur Cukierman

    Communiqué de Louis Aliot, secrétaire général du FN

    Invité par la presse, monsieur Cukierman, président du CRIJF, s’est une nouvelle fois permis de diffamer le Front National en le comparant à un club antisémite.

    Ces propos irresponsables proférés à l’encontre d’un mouvement politique légal, qui obtient à chaque élection plusieurs millions de suffrages et dont le candidat s’était hissé au second tour de la dernière élection présidentielle, dénote un profond mépris pour la démocratie et pour la souveraineté du peuple.

    Amalgamant tout et n’importe quoi, notamment le fait de pointer d’antisémite toute critique politique de l’Etat d’Israël, le président du CRIJF ne sert pas les intérêts de ceux qu’il prétend défendre.

    Le Front National rappelle qu’il a toujours reconnu l’existence de l’Etat d’Israël et s’est toujours prononcé pour sa sécurité mais rappelle aussi qu’il est libre de critiquer l’impasse dans laquelle s’est engagé l’actuel gouvernement israélien.

    Enfin, le FN demande à ses compatriotes de confession israélite de ne pas tomber dans le piège de cette association communautariste dite représentative et les engage à se ranger derrière la bannière du candidat Le Pen seul à même de lutter efficacement contre l’insécurité, l’immigration, les dérives communautaires et la décadence économique.

  • Saint Clément 1er

    L’Itinéraire de saint Clément est le texte le plus abracadabrantesque de la vie des saints. La trame de la première partie du récit est l’histoire souvent déclinée de la famille qui se retrouve dispersée après un naufrage, dont chaque membre réduit à l’errance croit que les autres sont morts, et qui finit par se réunir miraculeusement en plusieurs étapes qui sont autant de coups de théâtre. Ici, l’histoire se déroule entre Rome, Athènes et Antioche, et les deux frères aînés de Clément sont devenus des disciples de Simon le Magicien, qu’ils ont quitté pour saint Pierre, lequel est en fait le personnage central… C’est un tel tissu d’invraisemblances que Jacques de Voragine, qui rapporte pourtant sans sourciller, dans sa Légende dorée, nombre de pieuses fictions comme des récits authentiques, s’arrête en plein milieu de la narration pour dire que là, ça dépasse les bornes… C’est au moment, il est vrai, où saint Pierre vient de demander (pour la deuxième fois) à un protagoniste de mentir… Pour la bonne cause, certes, mais tout de même, comme le remarque Jacques de Voragine, ça ne se fait pas. Cela dit il continue le récit comme si de rien n’était. Jusqu’au martyre de saint Clément, et ce qui s’est produit après : il fut jeté dans la mer attaché à une ancre, et ensuite, régulièrement, la mer se retirait jusqu’à l’endroit où il avait été jeté, où se trouvait un superbe mausolée de marbre, construit par les anges, contenant son corps.

    Ce que l’on doit retenir de tout cela, c’est le symbolisme de l’eau, comme le fait magnifiquement la liturgie de ce jour, en faisant référence aux psaumes, à Isaïe et à l’Apocalypse (dont vient directement cet autre épisode du récit : l’agneau blanc sous les pattes duquel naît une source).

    Sans oublier que saint Clément, dont saint Paul dit (dans l’épître aux Philippiens) que son nom est inscrit au livre de vie, fut réellement un compagnon de saint Pierre, qu’il fut pape après saint Lin et saint Clet, qu’il fut condamné à l’exil sous Vespasien puis condamné à mort sous Trajan, et qu’il nous a laissé une belle épître aux Corinthiens.

  • La Halde fait sa pub

    La Halde va mener, du 27 novembre au 10 décembre, une massive et coûteuse campagne de publicité (presse écrite, audiovisuel, internet, dépliant, affichage urbain, pour un total de deux millions d'euros...), pour faire connaître ses missions et comment il faut faire pour la saisir. « Notre capacité d'action est limitée si on ne nous connaît pas », explique Louis Schweitzer, et « les gens ignorent souvent qu'ils sont discriminés ». Bref, les permanents de la Halde sont au chômage technique, et il faut trouver coûte que coûte des « discriminés » pour justifier leurs salaires.

    Mais attention. Le mot « discrimination » est une marque déposée de la pensée unique, une appellation contrôlée du politiquement correct. Inutile de vous adresser à la Halde si vous êtes victime d’une discrimination avérée en tant que chrétien ou en tant que sympathisant du Front national. Le recours à la Halde est strictement réservé aux groupes protégés par la… discrimination positive.

  • Après la manif des pompiers

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Si les débordements qui ont émaillé la grande manifestation des pompiers sont regrettables, il n’en demeure pas moins que ce mouvement exprime un véritable malaise. Les pompiers ont aujourd’hui des tâches de plus en plus diverses à remplir et ils ne bénéficient plus de la reconnaissance publique à laquelle ils ont légitimement droit.

    Les policiers et les gendarmes avaient manifestement reçu des ordres de fermeté qu’on ne leur donne pas en d’autres circonstances. Par exemple dans les banlieues, où ce sont précisément les pompiers qui se retrouvent les premières cibles des casseurs et des émeutiers.

    Quand la répression s’abat sur les automobilistes, les fumeurs, ou les pompiers, au lieu de viser les seuls vrais délinquants, c’est qu’une perverse volonté de brimer les Français prend le pas sur la véritable politique de sécurité, pourtant plus que jamais nécessaire.

  • Le Pen et les maires

    Au cours d’une conférence de  presse qu’il a voulu tenir au moment où se déroule le congrès des maires de France, Jean-Marie Le Pen a demandé aux maires « d'avoir le courage d'assumer la responsabilité que leur a confiée la loi », qui est de parrainer les candidats à l'élection présidentielle. Il faut que les maires « passent par-dessus leurs réserves ou leurs craintes, parce qu'il s'agit du sort du pays », et que « la tâche de chacun, c'est de faciliter l'expression du suffrage démocratique ».

    Jean-Marie Le Pen a également rendu public le contenu d'une lettre qu’il a envoyée la semaine dernière à Dominique de Villepin, dans laquelle il demande « l'inscription immédiate à l'ordre du jour de l'Assemblée nationale d'un projet de loi organique » confiant à un groupe de hauts magistrats le décompte des parrainages d'élus, qui resteraient ainsi confidentiels.

  • Démocratie, tolérance, non-discrimination, etc.

    Une partie de la rédaction du quotidien lyonnais Le Progrès a observé mardi un arrêt de travail symbolique de deux heures pour protester contre la tenue le jour même d'un "Face aux lecteurs" avec Jean-Marie Le Pen (qui doit paraître en fin de semaine). Selon le SNJ, l'arrêt de travail a été observé par « plusieurs dizaines de personnes » au sein de la rédaction. « Quelques journalistes ont observé ce débrayage », a estimé pour sa part le directeur-adjoint de la rédaction.

    Dans un communiqué, la section SNJ du Progrès a dénoncé l’attitude de la direction, qui a « franchi la ligne jaune en invitant à sa table un parti qui n'a rien de fréquentable », ce qui porte « une grave atteinte » à l'image du quotidien.

    « En déroulant le tapis rouge à Le Pen, nous ne faisons pas honneur à notre tradition républicaine », a commenté le délégué.

    Il s’agit de sa tradition républicaine à lui. De type soviétique. Hélas très répandue, car il s’agit aussi de celle du président de la République.

  • Le Pape et Pierre Gemayel

    Condamnant l’attentat contre Pierre Gemayel, Benoît XVI a déclaré, lors de son audience du mercredi : « Face aux forces obscures qui cherchent à détruire le pays, j'invite tous les Libanais à ne pas se laisser vaincre par la haine mais au contraire à consolider l'unité nationale, la justice et la réconciliation et à travailler ensemble pour construire un univers de paix. J'invite les responsables des pays qui ont à cœur le sort de cette région à contribuer à une solution globale et négociée des différentes situations d'injustice qui la frappent depuis trop longtemps. »

  • Pierre Gemayel : communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Jean-Marie Le Pen, en son nom personnel et au nom du Front National, exprime son profond chagrin de la mort du jeune Ministre Pierre Gemayel tombé au service de sa patrie libanaise, et présente au Président Amine et à Madame Gemayel, ses affectueuses condoléances.

  • Sainte Cécile

    Sainte Cécile, comme son nom l’indique, faisait partie de la grande famille romaine des Cecilii. Ce qui explique en partie l’autorité qui émanait de sa personne, transfigurée par la grâce, et qui conduisit à la conversion de son mari, de son beau-frère, du chef des gardes (tous trois martyrisés avant elle) et de 400 autres personnes. Une autorité qui illumine également son échange avec le préfet qui devait la condamner à mort, tel que le rapportent les actes de son martyre. C’est un superbe exemple de fierté chrétienne et de fermeté dans la foi : — Quelle est ta condition ?
    — Je suis libre et noble.
    — C'est au sujet de la religion que je t'interroge.
    — Ton interrogation n'était pas exacte, puisqu'elle exigeait deux réponses.
    — D'où te vient tant de présomption en me répondant ?
    — D'une conscience pure et d'une conviction sincère.
    — Ignores-tu quel est mon pouvoir ?
    — Ta puissance est semblable à une outre remplie de vent ; qu'une aiguille la perce, tout ce qu'elle avait de roideur a disparu, et toute cette roideur qu'elle paraissait avoir, s'affaisse.
    — Tu as commencé par des injures et tu poursuis sur le même ton !
    — On ne dit pas d'injure à moins qu’on n'allègue des paroles fausses. Démontre que j'ai dit une injure, alors j'aurai avancé une fausseté : ou bien, avoue que tu te trompes, en me calomniant ; nous connaissons la sainteté du nom de Dieu, et nous ne pouvons pas le renier. Mieux vaut mourir pour être heureux que vivre pour être misérables.
    — Pourquoi parles-tu avec tant d'orgueil ?
    — Il n'y a pas d'orgueil, il y a fermeté.
    — Malheureuse, ignores-tu que le pouvoir de vie et de mort m’a été confié ?
    — Je prouve, et c'est un fait authentique, que tu viens de mentir : tu peux ôter la vie aux vivants, mais tu ne saurais la donner aux morts. Tu es un ministre de mort, mais non un ministre de vie.
    — Laisse là ton audace, et sacrifie aux dieux.
    — Je ne sais où tu as perdu l’usage de tes yeux : car les dieux dont tu parles, nous ne voyons en eux que des pierres. Palpe-les plutôt, et au toucher apprends ce que tu ne peux voir avec ta vue.