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Macron - Page 6

  • Forte baisse du chômage

    En pleine campagne des municipales.

    C’est un miracle.

    (Et malgré le miracle, c’est encore plus de deux fois plus que dans sept pays de l’UE, dont l’Allemagne ou la Pologne, qu’au Royaume-Uni ou aux Etats-Unis…)

  • "Séparatisme"...

    Fin janvier, Macron avait annoncé une initiative « sur la lutte contre le communautarisme, le séparatisme dans l'Etat et les ingérences étrangères qui le nourrissent ». Hier, Sibeth Ndiaye a confirmé qu’il y aura en effet, et très bientôt, avant les municipales « une stratégie de lutte contre le séparatisme dans la République » :

    « Il y a un certain nombre d'endroits dans notre pays où il y a du repli communautaire, une volonté de se séparer de ce que sont les valeurs et les lois de la République. Dans ces endroits où il y a une volonté manifeste de certains -qui notamment usent de l'islamisme politique pour définir une forme d'alternative à la République, qui séparent un certain nombre de gens du reste de la République-, on doit être capables d'y répondre. »

    A priori il s’agit de « séparatisme » islamique. Mais on n’a jamais rien fait contre, et aujourd’hui c’est trop tard, en de nombreux endroits. En outre, le « séparatisme » est intrinsèque à l’islam. Car l’islam n’est pas une religion, mais une idéologie qui régit toute l’existence. Et qui se fout de la république.

    Donc, en dehors de deux ou trois actions symboliques, le plan ne servira à rien. Pour ce qui est de la lutte contre l’islamisme, qui restera forcément cosmétique aussi par peur de l’accusation d’islamophobie.

    En revanche ce sont des dispositifs qui pourront servir contre des Bretons ou des Corses, et surtout contre les écoles hors contrat et autres organisations catholiques pour les jeunes.

  • Choose France

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    The macronite Republic doesn’t speak french. For the third time.

  • Le Président salue les ennemis de la France

    Tweet d’Emmanuel Macron honorant les terroristes de la Toussaint rouge :

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  • Le plus riche

    Suite à la catastrophe Goulard, Macron a choisi Thierry Breton comme commissaire européen français. Le problème est que c’est cent fois pire : la Commission européenne est carrément cliente des sociétés de Thierry Breton, qui est donc un multiple conflit d’intérêts ambulant.

    Alors il a été décidé que Thierry Breton allait démissionner de la direction de son groupe. Or, au plus fort du scandale des « parachutes dorés », il avait promis qu’il n’en négocierait pas. De fait il ne l’a pas fait. Il est seulement détenteur de 508.000 actions de sa société, ce qui représente 34 millions d’euros. Ce qui devrait faire de lui le plus riche commissaire européen…

  • Le favori italien

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    Lundi, le Times of Malta a révélé que l’Italien Sandro Gozi, le conseiller Europe d’Edouard Philippe, est aussi consultant pour le gouvernement de Malte…

    Sandro Gozi, député italien depuis 2006, était secrétaire d’Etat dans les gouvernements Renzi et Gentiloni. En juin 2018 il s’est donc retrouvé au chômage, quoique devenu président de l’Union des fédéralistes européens. Il a immédiatement trouvé une place de consultant auprès du Premier ministre de Malte, Joseph Muscat (deuxième photo). Avec un juteux contrat de trois ans.

    Mais il était toujours bien en cour avec Emmanuel Macron, qu’il avait rencontré lorsque celui-ci était secrétaire général adjoint de l’Elysée, et, dit-on, ils ne se sont jamais perdus de vue… Aux européennes de 2019, Emmanuel Macron a donné une place sur sa liste à son ami italien. Il a été élu. Puis il a fait « chargé de mission » auprès du Premier ministre français celui que les Italiens jugent à juste titre un traître.

    Après l’affaire Sylvie Goulard, la révélation du Times of Malta fait tache. Car l’Italien Sandro Gozi était censé ne travailler que pour le gouvernement français.

    Mardi, le gouvernement de Malte a confirmé qu’en effet Sandro Gozi est « consultant auprès du cabinet du Premier ministre de Malte, dans un rôle similaire à celui qu’il a tenu et tient auprès de gouvernements et organisations européennes, qui est de conseil sur toutes les institutions et priorités européennes ».

    Depuis lors, Sandro Gozi bredouille qu’en fait il n’est plus consultant à Malte, qu’il a mis fin à son contrat en juillet dernier en accord avec le Premier ministre de Malte. Mais le gouvernement de Malte refuse de confirmer l’existence du courrier de Sandro Gozi… et de la réponse qui lui aurait été faite.

     

    Addendum

    Victime de "viles attaques", il démissionne...

    (Edouard Philippe lui avait demandé de fournir les preuves qu'il ne travaillait plus pour Malte.)

  • Insupportable

    Emmanuel Macron, qui n’a pas élevé d’enfants, nous explique que nous ne pouvons pas le faire tout seuls, « on ne naît pas parent, personne. Il faut répondre à l'appel de parents parfois démunis, terrorisés ». Sic.

    Par conséquent, les parents doivent s’en remettre à l’Etat. Macron installe une « commission d’experts » pour réfléchir à ce que doit être l’accompagnement des « mille premiers jours de l’enfant ».

    Macron remet au goût du jour l’idéologie communiste antifamiliale. Votre bébé appartient à l’Etat. Par principe, selon le dogme énoncé par Macron, vous êtes incapable de l’éduquer. Une armée de psychiatres va donc décider à votre place.

    Et au bout des « mille jours » pendant lesquels ils vous auront pourri la vie, il faudra le mettre à l’école obligatoire.

    L’enjeu, dit clairement Boris Cyrulnik, le chef de la commission, est d’arriver à une « société plus égalitaire », vaccinée et bien en rangs.

    Dans « une démocratie comme la nôtre », le totalitarisme fait sans cesse de nouveaux progrès.

  • Tout et son contraire

    Emmanuel Macron et Giuseppe Conte se sont dit d’accord pour un « mécanisme automatique » de répartition des migrants, auxquels tous les pays de l'Union européenne devraient participer « d'une façon ou d'une autre », sous peine de « pénalités financières ».

    Paolo Conte était le Premier ministre d’un gouvernement populiste anti-immigration, il est maintenant le Premier ministre d’un gouvernement de gauche pro-immigration, qui ouvre les ports et « répartit » les clandestins. Mais l’important est d’être Premier ministre. Après on peut dire tout et le contraire pour le rester.

    Cela dit nous avons un président qui un jour tient un discours musclé contre le « laxisme » en matière d’immigration, et le lendemain veut obliger tout le monde à accueillir les clandestins.

    En filigrane, bien sûr, l’obsession de nuire aux gouvernements hongrois et polonais, et de les faire tomber. C’est mal barré : le dernier sondage en date en Pologne pour les prochaines législatives, dans un mois, donnent le PiS, l’un à 43%, l’autre à 47% (il avait obtenu 37,8% il y a quatre ans)...

  • Européisme macronien

    Le gouvernement français « propose » Sylvie Goulard comme commissaire européen. Autrement dit l’extrémisme européiste. L’archéo-européisme idéologique.

    Macron avait voulu faire de Sylvie Goulard un ministre de la Défense. Sans doute pour récompenser l’activisme européiste de la dame, et préparer la fameuse et fumeuse armée européenne. Cela dura un mois, parce que Médiapart avait décidé de virer Bayrou (pour faire court), et qu’elle fut une victime collatérale.

    Macron l’avait recasée comme « second sous-gouverneur » de la soi-disant « Banque de France ».

    Sylvie Goulard fut entre 2001 et 2004 « conseillère politique » du président de la Commission européenne Romano Prodi au moment de la préparation de « Constitution européenne ».

    Elle était un pilier du « Mouvement européen », dont elle sera présidente de la branche « française » entre 2006 et 2010, alors qu’elle est devenue député européen (2009-2017).

    Le Mouvement européen n’est rien d’autre qu’une marionnette de l’ACUE. L’ACUE est l’American Committee for a United Europe : Comité américain pour une Europe unie. L’ACUE fut fondé en 1949 pour recueillir des fonds secrets de la CIA et de fondations comme l’Institut Rockefeller pour financer le fédéralisme européen, en relation avec le Département d’Etat. Pour financer au premier chef le Mouvement européen.

    Dès 1950 l’ACUE appelait ses employés du Mouvement européen à créer un Parlement européen. En 1965 il poussait déjà à l’union monétaire mais demandait à ses agents du Parlement européen de ne pas en parler.

    En outre, elle a reconnu avoir travaillé entre 2013 et 2016 (pour 10.000 € par mois alors qu’elle était député européen) au Council for the future of Europe de l’Institut Berggruen en Californie.

    En 2013 elle fut l’invitée vedette de l’assemblée plénière des évêques à Lourdes, et « tous ont été sensibles aux élans volontaristes de l’intervention de Sylvie Goulard, en forme de plaidoyer pour la construction européenne », rapportait La Croix.

    En 2014 elle disait : « On ne peut pas avoir une Commission de vieux messieurs blancs ! »

    Mais elle peut difficilement passer pour une jeune noire…

  • Couac

    Le G7 en France, pour Macron, c’était une nouvelle opportunité de grenouille qui veut se faire chef du monde. Il avait mijoté un super-coup, qui a fait flop et pschitt. Comme la grenouille.

    Il avait secrètement invité le ministre iranien des Affaires étrangères, de façon à obliger le G7 à prendre une position commune sur l’Iran. Les dirigeants du G7, fit savoir une « source diplomatique française » peu avant l’arrivée du ministre, ont « convenu de mandater » Macron pour mener le dialogue avec Téhéran (sur les questions nucléaires).

    Première claque : quelques minutes plus tard, Donald Trump, sans même évoquer un quelconque « mandat » donné à Macron, déclare qu’il n’a pas discuté d’un éventuel message commun, et qu’il est trop tôt pour lui de rencontrer un responsable iranien. Macron doit alors reconnaître qu’il n’a pas eu de « mandat ».

    Deuxième claque. Au moment de l’arrivée du ministre iranien, une « source diplomatique française » laisse entendre que les Etats-Unis ont été prévenus. Démenti formel de la Maison Blanche.

    Troisième claque. L’Elysée fait savoir que des conseillers britanniques et allemands sont associés à la discussion avec le ministre iranien. Démenti d’Angela Merkel : la rencontre entre une délégation française et le ministre iranien ne fait pas partie du G7 et constitue un « événement parallèle ».

    Et, finalement, tout ça pour rien.