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Macron - Page 5

  • Ubu gentil

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    (J'avoue que je ne suis pas allé voir au-delà du titre, n'ayant guère envie de savoir ce qu'est ce mystérieux repas à 1 euro, et ne voulant pas risquer d'avoir à aller ensuite chez le psy...)

  • L’aveu d’un grand démocrate

    Il paraît que pour introduire une dose de proportionnelle dans les prochaines législatives (promesse de Macron), il aurait fallu que le projet de loi soit présenté ce mercredi en conseil des ministres. Mais le projet a été abandonné.

    Réaction de Christophe Castaner, le ministre de l’Intérieur qui aurait dû faire avancer le processus (il a eu tout le temps pour le faire) :

    « Je ne suis pas favorable à l’idée de faire rentrer 100 députés RN au Parlement. »

  • Un échec LGBT

    Etonnamment, Macron refuse que les dépouilles de Verlaine et Rimbaud soient transférées conjointement au Panthéon.

    L’« appel » au président de la République avait été signé par nombre d’intellectuels et universitaires, et tous les ministres de la Culture depuis 1981. Ce transfert aurait été un véritable triomphe de la cause LGBT.

    Mais il y avait aussi des opposants. A commencer par l’arrière petite nièce de Rimbaud, soutenue par son fils et ses petits-enfants, ulcérés qu’on fasse de la brève liaison de Verlaine et Rimbaud une occasion de propagande LGBT.

    Et Macron a tranché : « Je ne souhaite pas aller à l'encontre de la volonté manifestée par la famille du défunt. La dépouille d'Arthur Rimbaud ne sera pas déplacée. »

  • Liberticide

    Macron reste ferme sur son projet d’interdiction de l’école à la maison.

    Castex l’a en effet indiqué au Monde. Dans son avis alambiqué et confus, le Conseil d’Etat a dit que sur ce point le projet de loi « contre les séparatismes » n’est pas conforme à la Constitution en l’état, mais que le gouvernement peut restreindre le droit de faire l’école à la maison à des cas précis.

    Dans son annonce, Macron avait donné comme seule dérogation « l’état de santé ». Castex en ajoute trois autres : la pratique sportive ou artistique intensive, l’éloignement géographique d’un établissement, une situation particulière. Et il faudra l’autorisation expresse des « autorités académiques ». Bref le droit de faire l’école à la maison n’existera plus. C’est une liberté de plus qui disparaît, couplée avec l’obligation d’aller à l’école dès 3 ans.

    Et pendant ce temps-là on apprend aussi que trois décrets (qui n’ont pas été annoncés) permettent de ficher les citoyens quant à leurs opinions politiques, leur appartenance syndicale, leurs orientations sexuelles, leur pratique sportive, leur comportement religieux, leurs activités sur les réseaux sociaux…

  • Mgr Cattenoz contredit Macron

    L’archevêque d’Avignon a le courage de dire que le blasphème n’est pas un droit et d’expliquer pourquoi, dans un texte publié par Liberté politique et le Salon Beige.

    Une question me travaille depuis des semaines : le blasphème est-il vraiment un droit en démocratie ? Les caricatures blasphématoires sont-elles un droit en démocratie ? Malgré les affirmations du président de la République, je réponds non à cette question et je voudrais argumenter ma réponse.

    En terre d’Islam radical, le blasphème contre le prophète ou le Coran est passible de la peine de mort et dans certains cas par décapitation. Dans l’Église catholique, quand un tabernacle ou un ciboire contenant la présence réelle du Seigneur est profané, les chrétiens célèbrent des messes de réparations et de demande de pardon pour de tels actes de profanation.

    Après les attentats de “Charlie Hebdo”, tout le monde était “Charlie” ! Personnellement, j’ai toujours affirmé : “Je ne suis pas Charlie”, tout en condamnant avec force les auteurs de cet attentat barbare et odieux. Il était fondamental de condamner l’attentat, mais il était tout aussi fondamental de me dissocier d’un journal qui fait sa une de caricatures aussi blasphématoires les unes que les autres.

    Lorsque “Charlie” a pu reparaître des mois plus tard, la une était toujours scandaleuse et m’a profondément blessé. Elle représentait le pape Benoît XVI sodomisé par le prophète ! Et la presse s’est réjouie de voir ce “journal” renaître de ses cendres. Quelques temps après, j’ai eu l’occasion, lors d’un repas à la préfecture d’Avignon avec le ministre de l’Intérieur de l’époque, et les représentants des cultes de poser au ministre la question suivante : le blasphème semble faire partie des gènes de “Charlie Hebdo”, mais ne pensez-vous pas que la liberté de publier blasphème et caricatures s’arrête là où je blesse gravement mes frères ? Et je lui ai dit combien j’avais été profondément bouleversé de voir ainsi bafouer le pape Benoît et même de voir bafouer le prophète à travers cette caricature. Il m’avait répondu à l’époque qu’au gouvernement, il y avait eu un débat, car un certain nombre de ministres condamnaient une telle caricature au nom même d’une limite à la liberté dans un monde où nous sommes invités à vivre en frères.

    Je dois avouer que j’avais pleuré devant une telle caricature qui blessait ma sensibilité de chrétien. Comment des journalistes peuvent-ils agir ainsi au nom d’un pseudo droit à une liberté totale et sans limites de caricaturer jusqu’à l’extrême et de s’en glorifier ? La démocratie ou le laïcisme n’ont rien à voir en cela.

    Je croyais – naïvement peut-être – que l’homme était fait pour vivre en société et que la République avait cru bon d’emprunter aux chrétiens le symbole de la “Fraternité” comme emblème de la République ! Si nous sommes appelés à vivre ensemble en frères, la liberté de chacun s’arrête là où je blesse mon frère. Je peux certes entamer le dialogue avec un frère qui ne partage pas mon point de vue, et user de tout mon pouvoir de persuasion, mais déclarer d’emblée que le blasphème et les caricatures, quelles qu’elles soient sont un droit en démocratie, cela n’est pas juste, cela n’est pas vrai.

    En même temps, cela ne justifie en aucune façon la décapitation d’un professeur d’histoire qui voulait réfléchir avec ses élèves sur la portée de telles caricatures et sur un tel blasphème remis au goût du jour dans une presse à scandale.

    Je dois avouer combien je suis resté sans voix devant les déclarations du président de la République, qui plus est parlant depuis le Liban, face à un tel acte. Il a justifié au nom même de la démocratie la liberté de dire et de publier tout et n’importe quoi, la liberté au blasphème sous toutes ses formes. Je croyais rêver !

    Je comprends qu’il soit de bon ton aujourd’hui de se moquer des religions et de les traîner dans la boue, mais les auteurs de tels comportements se rendent-ils compte qu’ils bafouent la liberté dans son vrai sens, son sens profond et authentique ?

    Au nom même de la fraternité, base de toute vie en société, je ne peux que redire : la liberté de chacun s’arrête là où je blesse gravement mon frère ! Il s’agit là d’une vérité fondement même de toute vie en société ou alors nous allons vers une dérive totalitaire qui ne dit pas son nom. En même temps, il nous faut condamner avec force les actes de violences et de barbarie qui prétendent répondre à cette conception erronée de la liberté.

    + Jean-Pierre Cattenoz, archevêque d’Avignon

  • Ubu dépassé

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    Le délire de la dictature « sanitaire » est tel qu’il rend impossible toute analyse. Plus exactement, je me refuse à perdre mon temps à l’analyser.

    Je pense seulement, en regardant autour de chez moi à la campagne, à ceux qui en pâtissent le plus, comme ces petites vieilles qui vont chez le coiffeur pour papoter en se faisant faire belles parce qu’elles ont un repas, un goûter, une sortie, un anniversaire… Une fois encore il n’y a plus de goûter ni de repas ni de sortie, et si ça continue il n’y aura plus de coiffeurs, ni de fleuristes, ni d’innombrables autres petits commerçants, etc. (Dans mon village, où il n'y a toujours pas eu le moindre "cas", le premier confinement a eu raison du dernier commerce qui restait...)

    Je pense aussi aux enfants. Maintenant ce sont les petits qu’on va torturer avec un masque à l’école. Et certes on a vu à quel point le masque est efficace…

    Et pendant ce temps-là la République qui prétend prendre soin des plus fragiles alors qu’elle les assassine à petit feu (ou plus vite dans les EHPAD) continue allègrement le massacre des innocents, parce que c’est prioritaire.

    Le seul propos d’Ubu, concernant la Toussaint, a été de dire qu’on pouvait aller dans les cimetières. Car pour Ubu la Toussaint c’est l’hommage aux morts. Il est vrai que l’hommage aux morts est devenu un des exercices préférés de la République ubuesque. Et un hommage de plus, aux morts de Nice… Heureusement que cette attaque meurtrière dans une église n’a rien à voir avec l’islam. Foi d’évêque, d’Ubu et des médias.

    Les évêques sont fiers d’avoir sauvé la messe de la Toussaint. Il ne leur est pas venu à l’esprit qu’ils pouvaient aussi sauver les messes de commémoraison des défunts, en montrant au ministre de l’Intérieur que cela faisait partie d’un tout… Le 2 novembre, on ferme. Vous n’avez qu’à prier chez vous pour vos défunts, vous avez tout le temps puisque vous êtes confiné. Ah, ah, ah.

    Addendum

    Le décret, qui vient d'être publié, stipule que la messe est interdite à partir du 3 novembre. (C'est grâce aux fleuristes, semble-t-i, que la messe des morts a été maintenue.)

  • Terribles Gribouilles

    Pour libérer Sophie Pétronin, 200 jihadistes ont été libérés. Des terroristes qui vont immédiatement reprendre les armes. Contre qui ? Contre les soldats français.

    Pour libérer qui ? Une femme qui dit ceci :

    « Pour le Mali, je vais prier, implorer les bénédictions et la miséricorde d'Allah, parce que je suis musulmane. Vous dites Sophie, mais c'est Mariam que vous avez devant vous. Appelez-les comme vous voulez, moi je dirais que ce sont des groupes d’opposition armés au régime. »

    On ne sait pas combien la France a donné d’argent pour la libération de « Mariam ». Mais il y avait aussi un missionnaire italien parmi les quatre otages libérés, et l’on dit que le Vatican a versé 10 millions d’euros.

    C’est sympathique de la part de François :les jihadistes vont pouvoir se réarmer sans puiser dans leur cagnotte…

  • Renforcement de la dictature scolaire

    Macron :

    « Dès 2021, l'instruction à l'école sera obligatoire pour tous dès 3 ans (...) L'instruction à domicile sera réservée aux élèves ayant des problèmes de santé. »

    Il a aussi annoncé que les écoles hors contrat seraient davantage contrôlées notamment à propos du « parcours des personnels », du « contenu pédagogique des enseignements » et de « l'origine des financements ». Il y avait déjà la loi Gatel de 2018. Mais on va faire pire. Au nom de la République. Contre les « séparatismes »…

    Rappel :

    « Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d'éducation à donner à leurs enfants », Déclaration universelle des droits de l’homme, art. 26-3.

    Mais, par principe, les droits de l’homme ne s’appliquent pas dans une dictature.

  • La photo qui annule

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    Emmanuel Macron expliquant à grands renforts de tambours et trompettes médiatiques comment il va lutter contre l’islamisme… juste à côté d’une femme qui viole de façon provocatrice la loi sur le port du voile…

  • Forte baisse du chômage

    En pleine campagne des municipales.

    C’est un miracle.

    (Et malgré le miracle, c’est encore plus de deux fois plus que dans sept pays de l’UE, dont l’Allemagne ou la Pologne, qu’au Royaume-Uni ou aux Etats-Unis…)