Quand on était « en guerre contre le virus », Macron réunissait un « conseil de défense » pour décider des mesures dictatoriales qu’il fallait prendre contre les Français.
Voici le nouveau « conseil de défense ». Parce que la France est aujourd’hui en guerre contre… la pénurie énergétique.
Macron va donc réunir vendredi le premier « conseil de défense » sur l’approvisionnement en gaz et en électricité.
Au menu de celui-ci et sûrement des suivants, des mesures de privation de liberté et de contrôle des citoyens selon le modèle connu qui a fait ses preuves à la faveur de la « pandémie ».
Vous avez aimé la dictature sanitaire, vous allez adorer la dictature énergétique. Avec les médias toujours complices hyperactifs précédent même les actions de Macron et martelant aux Français que c’est pour leur bien.
Et il n’est pas garanti que la dictature énergétique ne se double pas d’une nouvelle dictature sanitaire. Car nombre de « sachants » amplifiés par les médias avertissent qu’il va y avoir une « huitième vague » de corona.
Bien sûr, en même temps qu’on annonce le nouveau conseil de guerre, Engie annonce qua Gazprom l'a informé de réductions supplémentaires et immédiates de ses livraisons de gaz « en raison d'un désaccord entre les parties sur l'application de contrats ». Histoire de faire monter la pression, pour que les Français acceptent les mesures qu’il va falloir prendre par la faute de Poutine… A moins que les Français commencent enfin à comprendre ce qui est en train de se mettre en place et réagissent comme il convient. En faisant la guerre à ceux qui leur ont déclaré la guerre.
L’autre volet de la question (le Dr Jekyll de Mr Hyde, ou seulement le bon flic après le méchant flic) est la grosse farce du « Conseil national de la refondation » qui va être lancé le 8 septembre pour définir en concertation avec les Français « les grands chantiers à venir ». Une farce soulignée par le fait que les réunions auront lieu au centre d'entraînement de l'équipe de France de rugby, à Marcoussis, afin de montrer qu’elles se tiendront dans « l'esprit collectif, l'esprit d'ouverture et les valeurs qui sont celles du rugby »… Mais Gérard Larcher a déjà fait savoir qu’il ne participerait pas à cette nouvelle mascarade. Or un « Conseil national » sans le troisième personnage de l’Etat, ça fait pschitt avant de commencer.