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Islam - Page 6

  • Nous ne pouvons plus discuter

    A propos des associations islamiques qui refusent de signer la soi-disant « Charte des principes de l’islam de France », Darmanin a déclaré :

    « Nous ne pouvons plus discuter avec des gens qui refusent d'écrire sur un papier que la loi de la République est supérieure à la loi de Dieu. »

    On se souvient que Chirac avait réagi à l’encyclique Evangelium vitae en disant « Non à une loi morale qui primerait la loi civile ».

    Darmanin dit la même chose, mais en termes plus choquants encore parce que immédiatement plus précis.

    La loi de Dieu. En effet, la loi morale naturelle est d’origine divine. La soumettre à une autre loi, humaine et différente, est une révolte contre Dieu. Le propos est ouvertement satanique.

    Chirac disait « la loi civile ». Darmanin précise : la loi de la République. D’une cinquième république faisant suite à une quatrième qui faisait suite à une troisième. Une loi qui ne cesse de changer, et qui serait supérieure à l’immuable loi divine. Par principe. Par principe démoniaque : Non serviam. Auquel répond saint Michel : Quis ut Deus ?

    En effet, nous ne pouvons plus discuter.

    Si vraiment la Charte de l’islam officiel de la République française implique d’écrire que la loi de la République est supérieure à la loi de Dieu, on peut s’étonner que seules des associations très minoritaires aient refusé de signer. Cela montre l’importance de la taqyia.

    (Cela dit, on n’ose pas se demander combien d’évêques refuseraient de signer cette apostasie.)

  • Au Pakistan

    Imran Massih, chrétien de 37 ans, de Faisalabad, a été acquitté en appel par la Haute Cour de Lahore.

    Son « parcours » est parallèle à celui d’Asia Bibi. Elle fut mise en prison le 14 juin 2009, lui le 1er juillet 2009. Elle fut condamnée à mort en novembre 2010 pour blasphème envers Mahomet, lui avait été condamné à la prison à perpétuité dès janvier 2010 pour blasphème envers le Coran. (En nettoyant son magasin, il voulait se débarrasser de livres écrits en arabe, et il avait demandé à un voisin de les regarder pour savoir s’ils ne traitaient pas d’islam. Le voisin avait assuré que non, et Imran les avait brûlés. Puis le voisin avait porté plainte contre lui pour blasphème…)

    Asia Bibi a été libérée en novembre 2018. Lui vient seulement de l’être.

    La différence est que dans le cas d’Asia Bibi la Haute Cour de Lahore avait confirmé la peine de mort en 2014 après de multiples reports. C’est la Cour suprême du Pakistan qui l’acquitta, après un report de deux ans.

    Pour Imran Masih, entre la condamnation en première instance et l’acquittement en appel il y eut 70 reports d’audience… Pendant ce temps-là ses deux parents sont morts.

  • Cadeau

    TURCHIA_-_santa_sofia_e_erdogan1.jpg

    Erdogan vient d’offrir ce tableau à la « grande mosquée Sainte-Sophie ».

    C’est une calligraphie des versets 159 et 160 de la troisième sourate (qui montrent Mahomet pardonner aux chrétiens qui ne sont pas allés à la guerre avec lui…).

    En bas est écrit : « Le tableau est offert par Recep Tayyip Erdoğan à la grande mosquée Sainte-Sophie à l'occasion de sa réouverture au culte. »

    Il est installé près de la chaire à prêcher.

  • Au Pakistan

    Screenshot_2020-12-05 Rawalpindi, Christian girl murdered for refusing to marry a young Muslim.png

    Sonia, 24 ans, a été tuée par un musulman parce qu’elle ne voulait pas se marier avec lui.

    C’était le 30 novembre, à la sortie du quartier chrétien de Rawalpindi nommé « Air Force Colony ». Sonia se rendait à son travail de femme de ménage. Alors qu’elle traversait la grand route, Shahzad l’a tuée, d’un coup de pistolet, puis il est parti en moto avec son ami Faizan qui l’attendait. Le 2 décembre, Faizan a été retrouvé par la police, pas Shahzad.

    Cela faisait quatre ou cinq mois que Shahzad la harcelait pour qu’elle se marie avec lui. Sonia lui répondait qu’elle ne pouvait pas, parce qu’il n’était pas question qu’elle abjure sa foi. C’était « une vraie chrétienne », dit son père. Et c’est une martyre.

    *

    Il y aussi parfois de bonnes nouvelles du Pakistan. Six balayeurs chrétiens avaient été accusés de blasphème le 25 novembre pour avoir jeté aux ordures des opuscules contenant le nom de Mahomet. L’affaire a d’abord été soumise au Conseil des oulémas de tout le Pakistan, qui a mené son enquête et a conclu que les six hommes, étant analphabètes, ne pouvaient pas être accusés de blasphème.

    Le Conseil des oulémas est présidé aujourd’hui par Tahir Mehmood Ashrafi. Lequel, dans une conférence de presse commune avec l’archevêque de Lahore Mgr Shaw, déclarait il y a quelques jours que plus de 90% des cas d’accusation de blasphème sont faux, et promettait qu’aucun faux cas de blasphème ne serait promu contre quiconque.

    Paradoxalement, il faudrait donc que les chrétiens accusés de blasphème demandent à la justice civile de passer d’abord par le Conseil des oulémas…

  • Persécutions

    En Egypte.

    Le 26 novembre, des groupes musulmans ont attaqué à coups de pierres et de cocktails Molotov l’église, des maisons et des magasins coptes à al Barcha, dans le gouvernorat de Minya. Certaines boutiques ont ensuite été saccagées. Une femme a été hospitalisée suite aux brûlures subies dans l’incendie de sa maison. Le prétexte était un texte d’un jeune copte sur Facebook, considéré comme offensant envers l’islam. Une centaine de personnes ont été arrêtées, dont… 35 coptes. Le gouverneur a aussitôt convoqué une de ces réunions de conciliation qui suivent immanquablement les attaques. Où assaillants et victimes sont mis sur le même plan et sermonnés de la même façon. On note toutefois que le gouverneur a demandé aux imams de prêcher sur les thèmes de la coexistence et de la tolérance…

     

    Au Pakistan

    Une jeune chrétienne, Sheeza Maqsood, 16 ans, de Bismillahpur (Faisalabad, Pendjab) a réussi à s’enfuir de chez son « mari » musulman pour rejoindre sa famille. Le 28 septembre, elle avait été kidnappée chez elle sous la menace d’une arme à feu, devant sa mère et sa jeune sœur, par trois musulmans qui l’avaient emmenée dans une maison isolée et l’avaient violée. Trois jours après elle avait été amenée à la mosquée, convertie à l’islam et « mariée » sous la menace d’une arme, et de voir tués son père et ses frères. Puis elle fut séquestrée chez son « mari », qui la violait tous les jours. Elle essaya plusieurs fois de s’enfuir, mais elle était chaque fois reprise. Jusqu’au jour où le « mari » oublia son téléphone portable. Sheeza appela aussitôt l’un de ses frères, et elle s’enfuit avec lui. Elle est retournée dans sa famille, qui demande la protection de la police parce qu’elle est l’objet de multiples menaces de mort…

     

    En Indonésie

    Quatre chrétiens ont été tués par des islamistes sur l’île de Sulawesi. Des hommes armés de sabres et d’armes à feu ont attaqué le village de Lembantongoa, ils ont mis le feu à plusieurs maisons, dont une où il y avait un rassemblement de prière. Un homme a été poignardé, un autre décapité, un autre égorgé, le quatrième brûlé vif dans sa maison. Selon les autorités, les responsables sont des membres des Moudjahidine de l’Est de l’Indonésie, un des groupes affiliés à l’Etat islamique.

  • Arzoo Raja est "libre"

    Coup de théâtre au Pakistan dans l’affaire de la jeune Arzoo Raja, 13 ans, enlevée par un musulman de 44 ans, aussitôt « convertie » à l’islam et « mariée ». La Haute Cour de Karachi a émis hier un jugement exactement contraire à celui qu’elle avait émis le 27 octobre… Elle avait donné raison au musulman, et voici qu’elle l’arrête…

    Arzoo Raja avait été enlevée le 13 octobre. Comme tant d’autres jeunes filles chrétiennes ou hindoues, elle s’était immédiatement « convertie » à l’islam et s’était « mariée » avec son ravisseur.

    En l’occurrence, puisque la famille de Arzoo portait plainte, le « marié » avait fourni aussitôt à la Haute Cour un « affidavit » signé de l’adolescente certifiant qu’elle avait 18 ans et qu’elle s’était convertie et mariée de son plein gré. Le musulman avait même fourni une vidéo où la jeune fille le disait de vive voix. Le 27 octobre, après une audience où les parents de Arzoo, empêchés d’entrer, ne purent qu’entendre leur fille pleurer et appeler sa mère, la Haute Cour concluait que la jeune fille avait longuement réfléchi et que c’est en toute connaissance de cause qu’elle s’était convertie et mariée. Peu importe son âge, puisque si la loi civile interdit de se marier avant 18 ans, la charia le permet à 13 ans…

    Il se trouve que le cas de Arzoo, emblématique, a fait le tour du monde et a suscité une énorme campagne au Pakistan. Le cardinal Couts, archevêque de Karachi, s’est personnellement impliqué, ainsi que Bilawal Bhutto Zardari, président du parti populaire, fils de Benazir Bhutto et du président Zardari. Le gouvernement du Sindh est lui-même monté au créneau contre ce jugement qui bafouait la loi civile, et la Haute Cour du Sindh a donc décidé hier de libérer la jeune fille et d’arrêter le ravisseur… Rejetant toute la responsabilité du premier jugement sur les enquêteurs qui n’avaient pas fait leur travail…

    Hélas, comme c’est toujours le cas, Arzoo Raja est loin d’être vraiment libre. Elle se trouve… au commissariat et sera « envoyée dans un foyer refuge pour sa protection ».

  • Sans surprise

    L’auteur du triple assassinat islamique dans l'église de Nice est un Tunisien clandestin que la justice italienne avait condamné à être expulsé. Comme l’auteur de l’assassinat du prêtre de Côme le mois dernier.

    On précise qu’il avait été repêché en Méditerranée par un de ces bateaux qui vont récolter les clandestins sur les côtes d’Afrique du Nord pour les installer en Europe. Il avait été pris en charge par la Croix Rouge à Bari le 9 octobre.

    Tous les immigrationnistes et tous ceux qui mentent sur l’islam (dont le pape et nombre d’évêques) sont responsables de ces meurtres.

  • Au Pakistan

    Arzoo Raja, 13 ans, catholique vivant à Karachi, a été enlevée, convertie de force à l'islam et contrainte à épouser un musulman de 44 ans dénommé Ali Azhar.

    Nasir Raza, militant des droits fondamentaux qui assiste la famille de la jeune fille, déclare à l'agence Fides : « Il s'agit du énième cas, une histoire qui se répète. Le 13 octobre, la jeune fille a été enlevé et, le même jour, convertie de force à l'islam et contrainte à un mariage islamique impunément. Arzoo Raja jouait chez elle. Elle est sortie pour aller dans un magasin et n'en est pas revenue. Après sa disparition, sa famille a déposé une plainte contre X devant les autorités de police, le 13 octobre aux alentours de 17h00 locales ».

    La police a classé l’affaire sans suite : dès le lendemain, le musulman a présenté le fameux affidavit signé par l’adolescente attestant de sa libre volonté de se convertir à l'islam et de se marier, un certificat de conversion à l'islam et un certificat de mariage.

    La loi pakistanaise interdit théoriquement le mariage des mineurs, mais la loi islamique le permet à partir de 13 ans pour les filles et 15 ans pour les garçons.

    Un millier de jeunes chrétiennes ou hindoues sont ainsi enlevées chaque année. Beaucoup de familles ne portent pas plainte, sachant que ça ne sert à rien sinon à attirer des menaces…

     

    Addendum

    L'affidavit présenté non par la jeune fille mais par le "mari" indique que Arzoo a 18 ans. Alors qu'il est certain qu'elle en a 13. Les avocats de la famille poursuivent donc la procédure. Mais il est déjà arrivé, et récemment, que la justice refuse de prendre en compte cette falsification... au nom de la loi islamique.

  • Sourds et aveugles

    Comme on pouvait le prévoir sans risque de se tromper, la réaction des évêques de France à l’assassinat du prof de Conflans est un exemple parfait d’apostasie, et en l’occurrence d’apostasie face à l’islam. En fait la « Conférence des évêques de France » se contente de renvoyer au communiqué de l’évêque de Versailles et de son auxiliaire, en disant simplement : « La Conférence des évêques de France exprime sa profonde tristesse. Les catholiques prient pour lui et sa famille. La fraternité est une urgence. »

    L’évêque de Versailles et son auxiliaire évoquent quant à eux les valeurs de la République, citent la si opportune encyclique laïque de François, précisément sur les valeurs de la République, et concluent à l’urgence du rassemblement, « tous ensemble, croyants de toutes religions ou non-croyants ».

    Et je suis censé être représenté là-dedans ?

    En fait il y a pire. Il y a la réaction de Mgr Blanchet, évêque de Belfort-Montbéliard : c’est une lettre au président de l’association islamique de Belfort, à ses « chers amis musulmans » : Je sais combien le drame d'hier vous atteint, comme nous tous en France. Vous êtes particulièrement fatigués de dénoncer ces actes de barbarie commis prétendument au nom de l'Islam. Et pourtant, il faut continuer. En ces heures difficiles pour tous les musulmans de bonne volonté, redoublons d'énergie pour toute œuvre d'éducation à la paix. Témoignons encore davantage de la fraternité qui nous unit. » Etc.

    Naturellement, les politiques ne valent pas mieux, même si les représentants de la République sont davantage dans leur rôle à exalter les « valeurs de la République ». Gérald Darmanin part en guerre contre les associations « ennemies de la République ». « Il faut combattre l'islam politique avec la même force que le terrorisme », dit-il. On dirait, une fois de plus, un propos du Père Ubu. L’islam est forcément politique et l’islam est le combat pour soumettre la terre entière à l’idéologie du Coran. Mais la connaissance de l’islam est le grand tabou de notre époque.

    Cet après-midi les sénateurs vont voter un texte concocté par Philippe Bas, le chef de la droite Bruno Retailleau et le chef centriste Hervé Marseille, visant à inscrire dans la Constitution que « nul individu ou nul groupe ne peut se prévaloir de son origine ou de sa religion pour s'exonérer de la règle commune ». En gardant le flou sur la signification de « règle commune ». Mais pour prendre un exemple simple, puisque le « droit à l’avortement » est un « droit fondamental », toute critique de l’avortement deviendrait donc contraire à la Constitution et sanctionnée comme telle.

    Le chef de la droite à l’Assemblée, Damien Abad, veut quant à lui « instaurer des cours sur les valeurs de la République et la laïcité et que ces cours soient sanctionnés par une épreuve obligatoire au brevet pour être certain qu'ils soient donnés ». Pour reprendre le même exemple, il faudra dire que l’avortement est un droit des femmes pour obtenir le brevet (sic, ça existe encore ?).

    L’objectif est de sacraliser toujours davantage la « République », dont ils nous rebattent les oreilles tous les jours. Mais ce n’est certainement pas en faisant de la République une idole, au lieu d’être un système de gouvernement, que les dirigeants obtiendront des musulmans qu’ils acceptent un minimum de laïcité non idéologique.

     

    Addendum

    Quant à Mgr Lebrun, évêque de Rouen, il s’est rendu « avec les responsables des autres cultes, notamment musulmans », « devant la Stèle républicaine pour la paix et la fraternité ». La Stèle majusculaire de la République laïque.

  • Terribles Gribouilles

    Pour libérer Sophie Pétronin, 200 jihadistes ont été libérés. Des terroristes qui vont immédiatement reprendre les armes. Contre qui ? Contre les soldats français.

    Pour libérer qui ? Une femme qui dit ceci :

    « Pour le Mali, je vais prier, implorer les bénédictions et la miséricorde d'Allah, parce que je suis musulmane. Vous dites Sophie, mais c'est Mariam que vous avez devant vous. Appelez-les comme vous voulez, moi je dirais que ce sont des groupes d’opposition armés au régime. »

    On ne sait pas combien la France a donné d’argent pour la libération de « Mariam ». Mais il y avait aussi un missionnaire italien parmi les quatre otages libérés, et l’on dit que le Vatican a versé 10 millions d’euros.

    C’est sympathique de la part de François :les jihadistes vont pouvoir se réarmer sans puiser dans leur cagnotte…