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Islam - Page 8

  • Rendons hommage

    « Les autorités musulmanes ont-elles-mêmes dès le début du confinement décidé de garder les mosquées fermées jusqu’à la fin du ramadan. Donc elles ont pris leurs responsabilités et je voudrais vraiment rendre hommage aux autorités musulmanes de France pour cela, parce que c’était pour elles extrêmement coûteux, au moins autant que pour nous de renoncer au culte pendant la Semaine Sainte par exemple, mais eux ont choisi d’aller plus loin que ce qui était demandé par les services gouvernementaux c’est-à-dire de fermer vraiment les mosquées. Il faut que les autorités de l’Etat prennent en compte cette responsabilité des (…) musulmans en France. Après, s’il faut aider les musulmans (…) en acceptant de ne reprendre que tous ensemble pourquoi pas. Mais de toute façon le ramadan se finit le 25 mai. »

    Le propos est de Mgr de Moulins-Beaufort, président de la Conférence des évêques de France. Comme on l’avait déjà remarqué, c’est l’expression d’une parfaite dhimmitude. Mais cette dhimmitude, qui n’est pas contrainte de s’exprimer aujourd’hui de façon aussi servile, s’accompagne en outre d’un horrible blasphème. D’une part il est absurde de faire un parallèle entre l’idéologie totalitaire islamique et la religion catholique, mais surtout c’est une apostasie de prétendre que l’absence de prêches dans les mosquées (et de prières qu’on peut faire chez soi) est au moins aussi « coûteux » que l’absence des célébrations de la Semaine Sainte. Le président de la conférence des évêques de France ne croit donc pas à la réalité du mystère pascal, et il ne croit pas en l’eucharistie. Dont acte.

    (Les points de suspension entre parenthèses remplacent des mots que je n’ai pas réussi à comprendre.)

  • Les privilèges

    C’est officiel. Les fidèles de la religion d’Etat ont une dérogation pour célébrer le ramadan comme ils l’entendent. En famille. En tribu. Y compris dehors. Ramdam compris :

    « Sauf atteinte aux personnes ou atteinte grave aux biens (dégradations par moyen dangereux pour les personnes, de bâtiment, véhicule), il n'y a pas lieu d'intervenir dans les quartiers à forte concentration de population suivant le ramadan, pour relever un tapage, contrôler un groupement de personnes rassemblées après le coucher de soleil pour s'alimenter. »

  • Islam de France…

    Le gros problème des musulmans de France est la suspension des transferts des corps des défunts… Le président du CFCM déclare :

    « En temps normal, environ 80 % des défunts se font enterrer dans leur pays d’origine. »

    Moi qui croyais que l’islam était français et que les musulmans étaient aussi français que les autres…

  • L'autre virus

    Près de 40 mosquées des Pays-Bas, dont la Mosquée Bleue d'Amsterdam, doivent diffuser par haut-parleurs l’« appel à la prière », ce vendredi, a indiqué hier le « Conseil des mosquées marocaines de Hollande-du-Nord » (sic). Pour « soutenir notre communauté » « dans cette période difficile »…

    Rappelons que le maire de Rotterdam depuis 2009 est marocain.

  • Instable

    Le 20 février dernier l’église du village de Dombås en Norvège a été incendiée. L’intérieur a entièrement brûlé. Le 20 mars a eu lieu une tentative d’incendie de l’église de Sel, à quelques kilomètres de là. La police a arrêté le coupable, qui a avoué les deux délits. Le tribunal de district a déclaré : « Comme raison de ses actes, il a expliqué qu’il était en colère et vexé parce qu’un Norvégien avait brûlé un exemplaire du Coran, sans que la police n’intervienne. »

    L’homme, jugé « mentalement instable », a été mis en prison pour quatre semaines.

  • Au Pakistan

    Saleem Masih, 22 ans, est mort à l’hôpital de Lahore le 28 février des suites de multiples fractures.

    Trois jours auparavant il se lavait dans un réservoir d’eau pour les cultures, appartenant à un influent propriétaire musulman. Un groupe survint qui le tira de là en le traitant de chouhra et en l’accusant de souiller l’eau. (Chouhra est le nom de l’ancienne caste – en fait d’intouchables - dont sont originaires la plupart des chrétiens pakistanais. Les chrétiens étant souvent cantonnés aux plus humbles travaux de nettoyage, et comme ils sont généralement de peau plus foncée, Chouhra a pris le sens de « sale ». Les chrétiens sont sales, a priori, et si ces sales chrétiens se lavent ils souillent l’eau.)

    Saleem Masih a été conduit dans un local où il a longuement été torturé avec des câbles électriques et une barre de fer rougie au feu, sur tout le corps. Puis il a été jeté dans un champ. Transporté à l’hôpital il y est mort trois jours plus tard de ses fractures. Son foie et ses reins étaient également éclatés.

    Deux musulmans ont été interpellés, puis relâchés. L’un d’eux a aussitôt déclaré que tout chrétien qui oserait retourner sur ce terrain aurait le même sort.

  • Au Pakistan

    Des chrétiens du village d’ouvriers agricoles répondant au doux nom de « 92/9-L », au sud de Sahiwal dans le Pendjab pakistanais, avaient entrepris de construire une chapelle sur un terrain (de… 21 m2) appartenant à l’un d’eux, Azeem Masih. Il y a 35 familles chrétiennes et 230 familles musulmanes dans le village. Les musulmans, apprenant qu’un chrétien construisait une « église », se plaignirent au commissariat local et au commissariat central de Sahiwal. Après enquête, la police ordonna d’arrêter cette construction. Alors Azeem Masih décida que ce serait une maison, et il en informa la police. Le 1er février, alors qu’il venait de terminer le mur extérieur de clôture et la porte, une quinzaine de musulmans firent savoir à la police que les chrétiens avaient repris la construction de leur église, et ils allèrent manifester leur colère aux chrétiens. Le ton monta, et la police vint séparer les deux parties. Elle arrêta 6 chrétiens et 6 musulmans. Les 12 hommes furent relâchés le lendemain, après avoir exprimé leurs regrets et promis qu’ils ne recommenceraient pas.

    Mais le soir-même, vers 11 heures, une trentaine de musulmans, toujours menés par les mêmes, attaquèrent les maisons des chrétiens, les insultant et les menaçant. « Ils nous appelaient chouhras, nous disaient que les kaffir devaient être des nettoyeurs de chiottes et qu’ils allaient violer nos femmes devant nous. » (Chouhra est à l’origine la caste à laquelle appartiennent la grande majorité des chrétiens, caste d’intouchables vouée au nettoyage, et devenue l’insulte habituelle visant les chrétiens.) Certains chrétiens furent traînés dans la rue. Quand Azeem Masih et son cousin Sajid sortirent de chez eux, des musulmans leur tirèrent dessus, et tous deux furent blessés à la tête. Un autre chrétien fut blessé à la jambe par un coup de hache. Les chrétiens ayant téléphoné à la police dès le début de l’attaque, la police arriva rapidement, et les chrétiens blessés conduits à l’hôpital tandis que les musulmans se dispersaient. Ce 26 février, plus de trois semaines après, Azeem Masih est toujours à l’hôpital, dans un état critique.

    L’enquête est, naturellement, au point mort, alors que tout le monde sait qui sont les meneurs.

  • La population locale

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    La ville de Marseille a fini par accepter la demande du RN de donner le nom du Colonel Arnaud Beltrame à une place du 14e arrondissement.

    La place a été inaugurée samedi dernier. Par les seuls élus du RN.

    Aucun autre élu, de quelque parti que ce soit, n’est venu.

    Parce que, pour tous ces élus, cela ne peut être perçu que comme une « provocation » par la « population locale » de ce « quartier populaire », comme l’avaient souligné les élus de gauche en 2018 pour que cette initiative soit rejetée.

    Difficile de montrer de façon plus claire la dhimmitude des élus français, qui vont jusqu’à se mettre à plat ventre devant le terrorisme islamique. Les terroristes les terrorisent donc, et ont donc gagné la partie : l’islam a un boulevard devant lui. Ce n’est qu’une confirmation de plus. Mais particulièrement spectaculaire.

  • Au Pakistan

    Une jeune fille chrétienne de 17 ans, kidnappée l’été dernier par un musulman, a pu revenir chez elle grâce à un tribunal correctionnel du Sindh, ce qui mérite d’être noté.

    L’histoire de l’enlèvement est d’une banale horreur pakistanaise. Un jeune musulman d’une famille puissante harcelait l’adolescente depuis des mois. Finalement il l’a fait enlever le 21 août, et conduire chez son oncle, où se trouvait déjà un imam. La mère de la jeune fille se rend chez cet homme avec d’autres chrétiens. L’oncle lui dit de revenir le lendemain. Et le lendemain il l’informe que sa fille s’est convertie à l’islam et s’est mariée avec le jeune musulman.

    La mère se rend immédiatement au commissariat de police, accompagnée du curé de la paroisse et de nombreux fidèles, et souligne que sa fille est mineure. Mais le policier refuse d’enregistrer la plainte.

    Le 25 décembre, la jeune fille réussit à téléphoner à sa mère. Elle est en larmes et implore sa mère de la sauver de sa vie d’esclave ménagère et sexuelle.

    Le 31 décembre, la mère saisit le tribunal correctionnel. Un juge ordonne à la jeune fille de comparaître le 2 janvier. Le kidnappeur, sans doute trop sûr de lui, la laisse aller. Elle est vêtue de vieux vêtements et elle est amaigrie. Elle dit qu’elle ne voulait ni se convertir ni se marier, mais que l’imam l’a obligée en la frappant et en lui disant que sa famille serait tuée si elle refusait. Elle n’avait qu’un repas par jour devait travailler toute la journée, et elle était violée toutes les nuits. Le tribunal a décidé de la rendre à ses parents.

    Depuis lors elle vit cloîtrée, dans la peur. Car son « mari » passe devant la maison tous les jours, cherchant le moyen de la reprendre. Et sa famille a acquis le terrain juste en face…

    N.B. Je relate cette histoire selon Asianews, l’agence de l’Institut pontifical pour les missions étrangères, à laquelle on peut généralement faire confiance. Toutefois, curieusement, je n’en trouve trace nulle part ailleurs.

  • Islamistes malins

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    En Indonésie, à Karimun, dans la province des Iles Riau, s’est déroulée le 6 février une violente manifestation islamiste devant l’église Saint-Joseph. Les manifestants, criant slogans et insultes, ont tenté d’entrer dans l’église et d’agresser le porte-parole de la paroisse.

    La raison de cette colère est que les catholiques veulent raser la vieille église pour en construire une plus grande, vu que le nombre de fidèles a augmenté.

    Ce n’est pas un problème religieux, disent les autorités, mais un simple problème de permis de construire. Alors que la paroisse a un permis en bonne et due forme depuis le mois d’octobre, suite à une recommandation des autorités du district datant de 2012…

    Finalement les autorités ont fait savoir que les deux parties ont accepté de ne rien faire en attendant le verdict du tribunal administratif…

    Mais les deux mouvements islamistes qui ont organisé les manifestations ont trouvé un argument pour le moins original : il ne faut pas détruire cette église, disent-ils, mais au contraire la préserver et la classer monument historique, parce qu’elle a été construite il y a 92 ans par les missionnaires néerlandais. Sic.