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Islam - Page 8

  • Instable

    Le 20 février dernier l’église du village de Dombås en Norvège a été incendiée. L’intérieur a entièrement brûlé. Le 20 mars a eu lieu une tentative d’incendie de l’église de Sel, à quelques kilomètres de là. La police a arrêté le coupable, qui a avoué les deux délits. Le tribunal de district a déclaré : « Comme raison de ses actes, il a expliqué qu’il était en colère et vexé parce qu’un Norvégien avait brûlé un exemplaire du Coran, sans que la police n’intervienne. »

    L’homme, jugé « mentalement instable », a été mis en prison pour quatre semaines.

  • Au Pakistan

    Saleem Masih, 22 ans, est mort à l’hôpital de Lahore le 28 février des suites de multiples fractures.

    Trois jours auparavant il se lavait dans un réservoir d’eau pour les cultures, appartenant à un influent propriétaire musulman. Un groupe survint qui le tira de là en le traitant de chouhra et en l’accusant de souiller l’eau. (Chouhra est le nom de l’ancienne caste – en fait d’intouchables - dont sont originaires la plupart des chrétiens pakistanais. Les chrétiens étant souvent cantonnés aux plus humbles travaux de nettoyage, et comme ils sont généralement de peau plus foncée, Chouhra a pris le sens de « sale ». Les chrétiens sont sales, a priori, et si ces sales chrétiens se lavent ils souillent l’eau.)

    Saleem Masih a été conduit dans un local où il a longuement été torturé avec des câbles électriques et une barre de fer rougie au feu, sur tout le corps. Puis il a été jeté dans un champ. Transporté à l’hôpital il y est mort trois jours plus tard de ses fractures. Son foie et ses reins étaient également éclatés.

    Deux musulmans ont été interpellés, puis relâchés. L’un d’eux a aussitôt déclaré que tout chrétien qui oserait retourner sur ce terrain aurait le même sort.

  • Au Pakistan

    Des chrétiens du village d’ouvriers agricoles répondant au doux nom de « 92/9-L », au sud de Sahiwal dans le Pendjab pakistanais, avaient entrepris de construire une chapelle sur un terrain (de… 21 m2) appartenant à l’un d’eux, Azeem Masih. Il y a 35 familles chrétiennes et 230 familles musulmanes dans le village. Les musulmans, apprenant qu’un chrétien construisait une « église », se plaignirent au commissariat local et au commissariat central de Sahiwal. Après enquête, la police ordonna d’arrêter cette construction. Alors Azeem Masih décida que ce serait une maison, et il en informa la police. Le 1er février, alors qu’il venait de terminer le mur extérieur de clôture et la porte, une quinzaine de musulmans firent savoir à la police que les chrétiens avaient repris la construction de leur église, et ils allèrent manifester leur colère aux chrétiens. Le ton monta, et la police vint séparer les deux parties. Elle arrêta 6 chrétiens et 6 musulmans. Les 12 hommes furent relâchés le lendemain, après avoir exprimé leurs regrets et promis qu’ils ne recommenceraient pas.

    Mais le soir-même, vers 11 heures, une trentaine de musulmans, toujours menés par les mêmes, attaquèrent les maisons des chrétiens, les insultant et les menaçant. « Ils nous appelaient chouhras, nous disaient que les kaffir devaient être des nettoyeurs de chiottes et qu’ils allaient violer nos femmes devant nous. » (Chouhra est à l’origine la caste à laquelle appartiennent la grande majorité des chrétiens, caste d’intouchables vouée au nettoyage, et devenue l’insulte habituelle visant les chrétiens.) Certains chrétiens furent traînés dans la rue. Quand Azeem Masih et son cousin Sajid sortirent de chez eux, des musulmans leur tirèrent dessus, et tous deux furent blessés à la tête. Un autre chrétien fut blessé à la jambe par un coup de hache. Les chrétiens ayant téléphoné à la police dès le début de l’attaque, la police arriva rapidement, et les chrétiens blessés conduits à l’hôpital tandis que les musulmans se dispersaient. Ce 26 février, plus de trois semaines après, Azeem Masih est toujours à l’hôpital, dans un état critique.

    L’enquête est, naturellement, au point mort, alors que tout le monde sait qui sont les meneurs.

  • La population locale

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    La ville de Marseille a fini par accepter la demande du RN de donner le nom du Colonel Arnaud Beltrame à une place du 14e arrondissement.

    La place a été inaugurée samedi dernier. Par les seuls élus du RN.

    Aucun autre élu, de quelque parti que ce soit, n’est venu.

    Parce que, pour tous ces élus, cela ne peut être perçu que comme une « provocation » par la « population locale » de ce « quartier populaire », comme l’avaient souligné les élus de gauche en 2018 pour que cette initiative soit rejetée.

    Difficile de montrer de façon plus claire la dhimmitude des élus français, qui vont jusqu’à se mettre à plat ventre devant le terrorisme islamique. Les terroristes les terrorisent donc, et ont donc gagné la partie : l’islam a un boulevard devant lui. Ce n’est qu’une confirmation de plus. Mais particulièrement spectaculaire.

  • Au Pakistan

    Une jeune fille chrétienne de 17 ans, kidnappée l’été dernier par un musulman, a pu revenir chez elle grâce à un tribunal correctionnel du Sindh, ce qui mérite d’être noté.

    L’histoire de l’enlèvement est d’une banale horreur pakistanaise. Un jeune musulman d’une famille puissante harcelait l’adolescente depuis des mois. Finalement il l’a fait enlever le 21 août, et conduire chez son oncle, où se trouvait déjà un imam. La mère de la jeune fille se rend chez cet homme avec d’autres chrétiens. L’oncle lui dit de revenir le lendemain. Et le lendemain il l’informe que sa fille s’est convertie à l’islam et s’est mariée avec le jeune musulman.

    La mère se rend immédiatement au commissariat de police, accompagnée du curé de la paroisse et de nombreux fidèles, et souligne que sa fille est mineure. Mais le policier refuse d’enregistrer la plainte.

    Le 25 décembre, la jeune fille réussit à téléphoner à sa mère. Elle est en larmes et implore sa mère de la sauver de sa vie d’esclave ménagère et sexuelle.

    Le 31 décembre, la mère saisit le tribunal correctionnel. Un juge ordonne à la jeune fille de comparaître le 2 janvier. Le kidnappeur, sans doute trop sûr de lui, la laisse aller. Elle est vêtue de vieux vêtements et elle est amaigrie. Elle dit qu’elle ne voulait ni se convertir ni se marier, mais que l’imam l’a obligée en la frappant et en lui disant que sa famille serait tuée si elle refusait. Elle n’avait qu’un repas par jour devait travailler toute la journée, et elle était violée toutes les nuits. Le tribunal a décidé de la rendre à ses parents.

    Depuis lors elle vit cloîtrée, dans la peur. Car son « mari » passe devant la maison tous les jours, cherchant le moyen de la reprendre. Et sa famille a acquis le terrain juste en face…

    N.B. Je relate cette histoire selon Asianews, l’agence de l’Institut pontifical pour les missions étrangères, à laquelle on peut généralement faire confiance. Toutefois, curieusement, je n’en trouve trace nulle part ailleurs.

  • Islamistes malins

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    En Indonésie, à Karimun, dans la province des Iles Riau, s’est déroulée le 6 février une violente manifestation islamiste devant l’église Saint-Joseph. Les manifestants, criant slogans et insultes, ont tenté d’entrer dans l’église et d’agresser le porte-parole de la paroisse.

    La raison de cette colère est que les catholiques veulent raser la vieille église pour en construire une plus grande, vu que le nombre de fidèles a augmenté.

    Ce n’est pas un problème religieux, disent les autorités, mais un simple problème de permis de construire. Alors que la paroisse a un permis en bonne et due forme depuis le mois d’octobre, suite à une recommandation des autorités du district datant de 2012…

    Finalement les autorités ont fait savoir que les deux parties ont accepté de ne rien faire en attendant le verdict du tribunal administratif…

    Mais les deux mouvements islamistes qui ont organisé les manifestations ont trouvé un argument pour le moins original : il ne faut pas détruire cette église, disent-ils, mais au contraire la préserver et la classer monument historique, parce qu’elle a été construite il y a 92 ans par les missionnaires néerlandais. Sic.

  • La photo qui annule

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    Emmanuel Macron expliquant à grands renforts de tambours et trompettes médiatiques comment il va lutter contre l’islamisme… juste à côté d’une femme qui viole de façon provocatrice la loi sur le port du voile…

  • Massacres non stop

    Les massacres en Ituri, en province du Nord Kivu, au nord-est de la République démocratique du Congo, se poursuivent dans l'indifférence générale et demeurent attribués aux ADF (forces démocratiques alliées). Selon ce qu'indique à Fides le Centre des Etudes pour la Promotion de la Paix, de la Démocratie et des Droits fondamentaux (CEPADHO), une ONG locale de défense des droits fondamentaux, du 7 au 9 février, plusieurs civils ont été massacrés, la majeure partie desquels se trouvaient dans leurs champs.

    Le 7 février, en particulier, 8 civils ont été égorgés par des hommes des AADF dans le village de Sibe, en localité Makusa. Le lendemain, 8 février, 12 autres personnes ont été tuées, toujours dans un village de cette même localité alors que 3 autres l'étaient dans le village de Toko-Toko. Le dimanche 9 février, les terroristes ont attaqué le village de Makeke dans lequel ils ont tué trois femmes et quatre hommes à coups de machette. L'un des assaillants ayant été capturé par la police, ses compagnons ont par suite attaqué le commissariat de police, parvenant finalement à le libérer. Par ailleurs, 9 autres civils ont été capturés et contraints à porter les biens dérobés au cours de la razzia.

    Suite à ces incursions, les populations des villages touchés se sont réfugiées dans la ville de Beni. Il s'agit de quelques 20.000 familles pour un total de plus de 200.000 évacués, une partie desquels a trouvé refuge près des membres de leurs familles ou d'amis, le reste étant contraint à camper dans des refuges de fortune.

    (Agence Fides)

  • Au Pakistan

    Sneha, 14 ans, élève du collège des franciscaines de Karachi, était l’objet des assiduités d’un musulman, Zeeshan. Comme elle refusait obstinément ses avances, Zeeshan l’a fait enlever par un groupe d’hommes, le 14 janvier dernier, qui l’ont rouée de coups et l’ont conduite en un lieu inconnu où ils ont continué à la battre et l’ont violée à plusieurs reprises. Puis ils lui ont demandé de signer des papiers, dont des feuilles blanches, un certificat de conversion à l’islam et un certificat de mariage. Comme elle refusait, elle a été torturée. Et ses ravisseurs menaçaient de faire subir le même traitement à ses sœurs, et à s’en prendre à sa famille en général.

    Le père de Sneha a signalé la disparition de sa fille à la police. Le tribunal a donné ordre à la police de la rechercher. Elle a été retrouvée le 19 et rendue à sa famille. Mais en raison des menaces que font peser les ravisseurs, qui n’ont pas été arrêtés et exigent le retrait de la plainte, la famille a été transférée en lieu sûr (ou supposé tel)…

  • "Séparatisme"...

    Fin janvier, Macron avait annoncé une initiative « sur la lutte contre le communautarisme, le séparatisme dans l'Etat et les ingérences étrangères qui le nourrissent ». Hier, Sibeth Ndiaye a confirmé qu’il y aura en effet, et très bientôt, avant les municipales « une stratégie de lutte contre le séparatisme dans la République » :

    « Il y a un certain nombre d'endroits dans notre pays où il y a du repli communautaire, une volonté de se séparer de ce que sont les valeurs et les lois de la République. Dans ces endroits où il y a une volonté manifeste de certains -qui notamment usent de l'islamisme politique pour définir une forme d'alternative à la République, qui séparent un certain nombre de gens du reste de la République-, on doit être capables d'y répondre. »

    A priori il s’agit de « séparatisme » islamique. Mais on n’a jamais rien fait contre, et aujourd’hui c’est trop tard, en de nombreux endroits. En outre, le « séparatisme » est intrinsèque à l’islam. Car l’islam n’est pas une religion, mais une idéologie qui régit toute l’existence. Et qui se fout de la république.

    Donc, en dehors de deux ou trois actions symboliques, le plan ne servira à rien. Pour ce qui est de la lutte contre l’islamisme, qui restera forcément cosmétique aussi par peur de l’accusation d’islamophobie.

    En revanche ce sont des dispositifs qui pourront servir contre des Bretons ou des Corses, et surtout contre les écoles hors contrat et autres organisations catholiques pour les jeunes.