Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Islam - Page 9

  • Ljubljana est tombée

    islamska-skupnost-4-1024x682.jpg

    Ljubljana était l’une des deux dernières capitales de l’UE à ne pas avoir de mosquée. C’est fini. La mosquée al-Iman (énorme, qui plus est) a été inaugurée vendredi dernier. Elle a été financée par le Qatar. On parle déjà de la prochaine : à Maribor.

    A ma connaissance il ne reste plus que Bratislava à ne pas avoir de mosquée. (Si on cherche sur Google on en trouve une, mais vérification faite c’est une simple plaque sur la porte d’un appartement. Pour l’heure la construction d’une mosquée serait illégale en Slovaquie.)

  • Au Niger

    Témoignage du P. Mauro Armanino, de la Société des Missions africaines. Après avoir relaté les dernières attaques islamistes en date dans le territoire Gourmantché, qui ont pour but de faire fuir les chrétiens, il écrit :

    Les djihadistes ont invité les habitants à pratiquer ce que, selon eux, affirme le prophète de l’islam : pas de fêtes, d’alcool, de tabac, de coupes d’arbres, d’écoles occidentales et de chrétiens. Les femmes revêtiront le voile et cela les protégera de tout abus et ainsi seront protégés les enfants. Seront épargnés de la destruction les centres sanitaires ou dispensaires dans la mesure où ils affirment qu’en soignant et nourrissant les enfants, se prépare l’avenir de l’islamisation.

    Une dictature appelée djihad s’est installée, laquelle reconfigure les styles de vie, les options, les choix quotidiens et surtout fait régner la peur comme condition pour atteindre l’objectif fixé depuis l’enlèvement du Père Maccalli : éradiquer la présence chrétienne du sol du peuple Gourmantché. Les djihadistes présents sur zone, d’ethnie Foulani, parlent le fulfulde, langue que tous comprennent au sein de la zone, qu’il s’agisse des agriculteurs ou des bergers, dans la mesure où ils ont eu des contacts et des conflits constants.

    En ce qui concerne l’Etat, peu visible dans les campagnes où vivent les pauvres paysans de seconde catégorie, il avait disparu avant même que tout cela n’arrive. Absent auparavant, absent maintenant, bien que les militaires ne soient pas loin des zones citées. Nous nous trouvons à un peu plus de 100 Km de Niamey, la capitale du pays, où se trouve la Cathédrale dédiée à Notre-Dame du Perpétuel Secours.

    Confirmation, si besoin était, qu’il s’agit bien de jihad et non de conflits tribaux comme le font croire les agences de presse.

     

  • Au Pakistan

    Huma Younus, une chrétienne de14 ans, a été enlevée chez elle le 10 octobre dernier. Elle s’est « convertie » à l’islam et s’est « mariée » avec son ravisseur, à 850 km de chez elle.

    Ses parents ont porté plainte. Ils n’ont pas obtenu gain de cause devant le tribunal. Ils ont fait appel. L’audience a été reportée plusieurs fois par le « marié » qui prétend non seulement que sa « femme » est consentante, mais majeure.

    Finalement l’audience a eu lieu le 3 février. Huma Younus n’était pas présente, parce qu’elle « craint pour sa vie ». Sic. La séance a duré cinq minutes. La cour a rappelé que selon la charia une jeune fille peut se marier à partir de ses premières règles, mais elle a demandé à la police de poursuivre son enquête pour déterminer l’âge de Huma. Alors que les parents ont donné toutes les preuves, et que le mari n’en a donné aucune (dans les papiers « officiels » du « mariage » il n’y a pas la carte d’identité de Huma).

    Une nouvelle audience est prévue le 4 mars.

    Il y a dans le Sindh une loi qui interdit le mariage des mineurs. Mais elle n’est toujours pas entrée en vigueur. Et de toute façon elle ne s’applique pas si le mineur (en fait la mineure…) a donné son consentement…

  • Rohingya

    Les Royingya ne sont pas tous musulmans.  Il y en a qui sont chrétiens. Et ils subissent le sort de tous les chrétiens là où les musulmans dominent.

    25 familles chrétiennes du camp de réfugiés de Kutupalong, au Bangladesh, à la frontière birmane, ont dû être transférés dans un camp de transit du HCR après avoir été attaquées lundi soir par des membres de l’Armée du salut des Royingya de l’Arakan (puissante milice responsable de l’exode des Royingya). Les cabanes et l’église ont été détruites. Il y a eu 12 blessés dont 8 hospitalisés, selon les chrétiens. Pour la police ce n’était qu’un « trouble ordinaire à l’ordre public », qui n’a fait que cinq blessés dont un musulman.

    Mais on sait que 444 familles hindoues ont déjà dû être transférées, les Royingya musulmans ne supportant pas d’autres religions dans « leurs » camps.

  • Massacres de chrétiens

    Au moins 36 personnes ont été tuées à la machette dans la nuit de mardi à mercredi près de Beni (République démocratique du Congo), dont au moins 30 dans un seul village. Le massacre est attribué à la terrible milice islamique dite « Forces démocratiques alliées ». Jeudi, de nouvelles attaques ont fait 24 morts.

    Les FDA sont accusées d’avoir tué quelque 300 personnes depuis novembre, plus d’un millier depuis octobre 2014. La situation paraissait s’améliorer depuis que l’armée congolaise avait annoncé avoir pris le QG des FDA et tué cinq de leurs six chefs. Les récentes attaques paraissent donc être une vengeance, alors que les autorités avaient demandé aux paysans de reprendre les travaux dans les champs repris aux FDA…

    Au Burkina Faso, dans la province de Soum, des attaques de jihadistes ont fait plusieurs dizaines de morts les 20 et 25 janvier. Dans un village, les jihadistes ont tué les hommes et contraint les femmes à fuir. Depuis 2015, il y a eu plus de 750 morts et 560.000 déplacés.

    Si les agences de presse se laissent aller parfois à qualifier les assaillants de « jihadistes », ou à rappeler que les FDA sont « d’origine musulmane », elles ne disent jamais que les victimes sont des chrétiens. Idem quand il s’agit de Boko Haram.

  • En Norvège

    Le parti du progrès (« populiste ») claque la porte du gouvernement norvégien, mettant ainsi celui-ci en minorité au Parlement.

    La raison (ou la goutte qui fait déborder le vase) : le « rapatriement » d’une « Norvégienne » d’origine pakistanaise membre du Front al-Nosrah puis de l’Etat islamique, après le « rapatriement » d’une autre femme jihadiste et de ses deux enfants.

    « La coupe est pleine… Nous nous sommes déclarés en permanence prêts à rapatrier des enfants innocents mais nous ne faisons pas de compromis avec des personnes qui ont rejoint des organisations terroristes et qui œuvrent activement à la destruction des valeurs sur lesquelles la Norvège s'est construite », a déclaré Siv Jensen, présidente du parti du progrès et jusqu’ici ministre des Finances.

  • Déséquilibré…

    Alors qu’elle sortait d’une église du Caire, le 13 janvier, Katren a été attaquée en pleine rue par un musulman qui lui a mis la main sur les yeux et lui a dit : « Allahou Akbar, je vais te tuer parce que tu ne couvres pas tes cheveux. » Il lui a fait trois profondes entailles dans le cou. Katren a été sauvée par des clients du café devant lequel la scène s’est produite (et a été filmée par la caméra de surveillance). Il a fallu 68 points de suture pour refermer les plaies.

    L’agresseur a été arrêté. Puis sa mère est arrivée avec un certificat médical attestant que son fils est un déséquilibré…

    Le même homme avait déjà tenté de tuer une chrétienne en 2017. Il n’avait pas été inquiété.

  • Le Jihad Roméo

    A l’issue de son assemblée plénière tenue à Cochin dans le Kerala, le synode de l’Eglise syro-malabar a notamment publié une déclaration par laquelle il s’inquiète du nombre grandissant de chrétiennes séduites par des musulmans pour les convertir à l’islam et servir dans des opérations terroristes. Une vingtaine de jeunes femmes du Kerala ont rejoint l’Etat islamique, et la moitié d’entre elles étaient chrétiennes.

    Le processus est celui que les musulmans appellent « Jihad de l’amour », ou « Jihad Roméo ». Le musulman se déclare follement amoureux de la chrétienne et la poursuit de ses persuasives assiduités jusqu’à ce qu’elle succombe et soit transformée en soldat de l’islam.

    Les évêques déplorent que le phénomène ne soit pas pris en considération par le gouvernement, et ils lui demandent de le traiter comme une question d’ordre public, et non religieuse.

  • Blasphème pakistanais

    Le 27 décembre dernier, deux musulmans qui en avaient après Shahbaz Masih, un chrétien de 40 ans bien connu de la communauté chrétienne de Lahore, l’agressèrent sur un marché et l’emmenèrent dans une décharge où il y avait de vieux papiers ; ils l’accusèrent d’avoir brûlé des pages du Coran. Sous les coups, Shahbaz criait, et ses cris furent entendu par un des amis musulmans, qui vint à sa rescousse. La bagarre attira l’attention de la mosquée voisine, et l’appel à tuer les blasphémateurs ne tarda pas à retentir. La police arriva et arrêta Shahbaz et son ami musulman. Ils sont en détention depuis lors, sous le coup d’une accusation d’offense au prophète Mahomet. On vient seulement de l’apprendre, la presse pakistanaise étant restée muette.

    Les deux familles ont dû fuir et se cacher, pour éviter que leurs maisons ne soient incendiées.

  • Massacres sans fin au Congo

    Au moins 13 personnes ont été tuées par des jihadistes de l’ADF/NALU dans le territoire de Beni, au Nord Kivu, RDC, le 5 décembre. Trois hommes ont été tués à l'arme blanche sur l’axe Oicha -Maleki vers 4h du matin, juste devant les dispositifs de lavage des mains dans le cadre de la lutte contre Ebola. Les jihadistes ont coupé la tête d’une victime et les mains des autres. Et une Bible a été trempée dans leur sang.

    Vers 14h, à Mantumbi, 10 personnes ont été tuées.

    Le nombre des victimes dans le territoire de Beni s’élève désormais à 141 depuis le 30 octobre (sans compter les disparus).