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Europe - Page 266

  • Paisley et McGuinness

    Assurément, il serait passé pour un fou, celui qui aurait dit il y a quelques années à des militants protestants et à des militants catholiques d’Irlande du Nord que le chef des activistes « loyalistes » et un chef de l’IRA dirigeraient un même gouvernement.

    C’est pourtant fait, en ce jour véritablement historique pour l’Irlande du Nord. Ian Paisley est devenu Premier ministre d'un gouvernement partagé entre catholiques et protestants. Son vice-premier ministre est Martin McGuinness.

    Co-fondateur et actuel « modérateur » (c’est-à-dire président) de l’Eglise presbytérienne libre d’Irlande du Nord, fondateur du brûlot anticatholique Protestant Telegraf, président fondateur du parti unioniste démocrate (DUP) qui a toujours été violemment opposé à tout accord avec les catholiques (milices à l’appui), Ian Paisley, 81 ans, est depuis toujours, peut-on dire, l’âme et le moteur de l’activisme protestant le plus sectaire (justifiant sans ambages les incendies d’églises), et il faut être allé sur place pour comprendre ce qu’est la haine « anti-papiste ». Les députés européens en eurent une illustration lors de la visite de Jean-Paul II à Strasbourg, où l’on entendit Paisley crier, à plusieurs reprises : « Je te dénonce, anti-Christ ! »

    A ceux qui évoquaient les très injustes discriminations dont souffrent les catholiques en matière de travail et de logement, il répondait qu’il préférait être Britannique que juste, et il disait que les catholiques « se reproduisent comme des lapins et se multiplient comme la vermine ».

    Voici donc que l’extrémiste Ian Paisley, qui n’était guère plus en odeur de sainteté à Londres que chez les catholiques, devient Premier ministre, flanqué d’un authentique ancien dirigeant de l’IRA… (élu à l’éphémère parlement nord-irlandais de 1982 il fut interdit de séjour en Grande-Bretagne au nom de la loi anti-terroriste).

    Les prestations de serment ont eu lieu au parlement de Stormont, où s'étaient rendus pour l'occasion les Premiers ministres britannique Tony Blair et irlandais Bertie Ahern, qui ont beaucoup travaillé, ensemble, pour régler le dossier.

    Paisley et McGuinness ont promis de « servir tout le peuple d'Irlande du Nord de manière égale », et de « promouvoir l'intérêt de toutes les communautés pour un avenir partagé ».

    Peu avant son investiture, Ian Paisley avait salué un « nouveau départ » pour l'Irlande du Nord, et invité les Nord-Irlandais à « relever le défi ». « Nous entamons un chemin qui va ramener la paix et la prospérité », a-t-il ajouté.

    Martin McGuinness s'est dit « de plus en plus confiant que tout ça va marcher. Mon expérience de travail avec Ian Paisley a été très bonne ».

    Le ministre britannique à l'Irlande du Nord Peter Hain a déclaré : « L’Irlande du Nord est à l'aube d'un nouveau futur démocratique. Il y aura des hauts et des bas sur le chemin mais je pense que cela va tenir et je pense que cela va fonctionner. » Et d’ajouter : « J'ai vu une alchimie (entre Paisley et McGuinness) surtout que jusqu'à il y a quelques semaines ils n'avaient jamais échangé un mot. Leur affinité personnelle est très bonne et j'ai été extrêmement impressionné par leur approche digne du monde des affaires pour réellement se mettre au travail comme jamais auparavant. »

    Le sénateur américain du Massachusetts, Ted Kennedy, qui avait fait le déplacement en raison de ses racines irlandaises et de son engagement pour la paix en Ulster, a salué « l'extraordinaire courage politique » des dirigeants nord-irlandais et parlé d'une « victoire sur les bombes et les balles ».

    Les institutions nord-irlandaises étaient suspendues depuis quatre ans et demi.

  • A Pampelune il y a un évêque

    Dans un discours sur l'Eglise espagnole et la politique, mis en ligne sur le site internet de son archevêché de Pampelune, Mgr Fernando Sebastian Aguilar déclare : « Aujourd'hui en Espagne, il y a certains partis politiques qui veulent être fidèles à la doctrine sociale de l'Eglise en sa totalité, comme par exemple Communion traditionaliste catholique, Alternative espagnole, Groupement catholique d'action politique, Phalange espagnole des Jons. Tous ces partis sont peu pris en considération. Mais ils ont une valeur de témoignage qui peut justifier un vote. »

    Mgr Aguilar constate que ces mouvements « n'ont pas beaucoup de possibilité d'exercer une influence effective sur la vie politique », mais « pourraient arriver à faire partie d'alliances importantes s'ils obtenaient l'appui suffisant des citoyens catholiques ».

    « Les grands partis qui régissent la vie sociale et politique sont tous aconfessionnels, certains radicalement laïques et clairement laïcistes », dit-il encore. L'Eglise catholique « ne peut dire de voter pour tel ou tel » parti mais peut dire « ne votez pas pour qui défend directement des actions clairement immorales (avortement, euthanasie, lois antifamiliales) ».

    Appel urgent à Benoît XVI : on en veut un comme ça, nous aussi !

  • L’Ecosse vers l’indépendance ?

    Le parti national écossais (indépendantiste) a gagné 20 sièges au parlement d’Aberdeen, passant de 27 à 47, et devenant de justesse la première formation politique devant les travaillistes qui en ont perdu 4, et perdent du même coup la majorité qu’ils détenaient depuis 50 ans.

    C’est une mauvaise nouvelle pour Gordon Brown, qui doit succéder à Tony Blair : Gordon Brown est écossais, et il a dit qu'il ne collaborerait pas avec des partisans d'une séparation de l'Union de l'Ecosse avec le Royaume-Uni, vieille de plus de 300 ans.

    Une mauvaise nouvelle qui se double d’une autre : en Angleterre, dans les élections locales, les travaillistes n’ont obtenu que 27% des voix, et les conservateurs, qui en ont obtenu 40%, ont gagné quelque 800 sièges.

    Au Pays de Galles, où les 60 sièges de l'Assemblée étaient soumis à renouvellement, les travaillistes ont perdu quatre sièges, au profit des nationalistes gallois du Plaid Cymru, mais ils restent le premier parti.

    Dimanche dernier, le journal News of the world avait publié un étrange sondage, selon lequel 41% des Ecossais sont favorables à l’indépendance de l’Ecosse, et… 56% des Anglais.

    Selon ce même sondage, la raison en est que les Anglais ne veulent plus payer pour les Ecossais, et n’acceptent pas que, depuis la dévolution de 1999, les députés écossais continuent de voter à Westminster les lois anglaises sur l’éducation et la santé alors que depuis la dévolution de 1999 ils votent leurs propres lois en Ecosse…

    Ils paraissent oublier qu’en perdant l’Ecosse le Royaume-Uni perdrait aussi son pétrole de la Mer du Nord. Mais il est vrai qu’il n’y en a plus beaucoup.

  • « Infécond », c’est homophobe

    Une affiche de l’UDC a soulevé une telle polémique dans le canton du Genève que le parti s’est cru obligé de la retirer.

    Dans le cadre de la campagne sur une votation concernant l’exonération fiscale des droits de succession des personnes pacsées, l’UDC avait choisi comme slogan : « Non à un bonus fiscal pour des pacsés inféconds et aisés ».

     L’UDC a adopté une « rhétorique homophobe et inadmissible », a dénoncé le parti radical (dit de droite), et une résolution dénonçant des propos « discriminatoires et méprisants » a été adoptée à la quasi-totalité du Grand Conseil de Genève.

    L’UDC s’est engagée à retirer les affiches et, regrettant que «l’utilisation du terme infécond ait pu choquer », comprend que « certains aient pu se sentir blessés par l’utilisation de ce mot dissonant ».

    Dissonant ? Depuis quand la vérité est-elle dissonante ?

    Qu’un homosexuel soit infécond, c’est une vérité première.

    Mais, assurément, la vérité (sur l’homme et la famille) est « homophobe ».

  • La semaine de... 60 heures. En Autriche

    Alors que les candidats à la présidentielle française bavardent autour des 35 heures, le ministre autrichien du Travail annonce que les partenaires sociaux ont conclu un accord sur la flexibilité du travail, qui va permettre de porter la durée hebdomadaire de 40 à 60 heures, 24 semaines par an, avec une pause sans heures supplémentaires pendant 15 jours toutes les huit semaines.

    D’autre part, les travailleurs à temps partiel obtiendront 25% de salaire supplémentaire pour les heures travaillées au-delà de la durée inscrite dans le contrat.

    La loi devrait être votée en septembre prochain.

    La fédération des syndicats ÖGB s’est félicitée de cet accord, y voyant une occasion de revigorer les comités d’entreprise (l’augmentation de la durée du travail étant prise en concertation avec les salariés).

    L’Autriche a l’un des taux de chômage les plus bas d’Europe (4,4%), et un taux de croissance de 3%.

  • La filière de la femme enceinte

    medium_PictoAge.jpgL’émission « Les maternelles » sur France 5, le 1er mai, n’a pas dû être suivie par de nombreux téléspectateurs. Elle était pourtant intéressante : on s’y penchait sur le sort des femmes enceintes faisant partie des innombrables clandestins qui arrivent en Espagne par bateau.

    Chaque jour, nous disait-on, arrivent dans les hôpitaux, surtout en Andalousie, des femmes sur le point d'accoucher qui ne parlent pas un mot d’espagnol et ne peuvent donc pas s'exprimer... Pour pallier ce problème, les sages-femmes d'un hôpital de Cadix ont mis en place un système de pictogrammes. Des panneaux en arabe, avec des dessins pour les femmes qui ne lisent pas l’arabe... L’un montre une tarte avec des bougies (quel âge medium_Picto4.jpgavez-vous ?) et deux enfants d’âge et de sexe différent (combien d’enfants avez-vous déjà mis au monde ?), un autre une femme qui a une grosse couture sur le ventre (avez-vous eu une césarienne ?), un autre est censé demander aux femmes si elles ont des contractions, si elles ont perdu les eaux...

    On pourra remarquer au passage qu’il serait plus simple de regarder si la femme a déjà eu une césarienne, plutôt que de passer par un affreux dessin. Mais c’est qu’on ne regarde pas si facilement le ventre d’une femme musulmane...

    Depuis la mise en place de ces pictogrammes, les accouchements se passent medium_Picto2.jpgmieux, nous expliquait-on. « Les femmes se sentent rassurées, moins anxieuses et sont capables de collaborer avec les sages-femmes. Donc, tout le monde est content, à tel point que l'idée commence à faire son chemin dans les autres services des hôpitaux... »

    Car ce phénomène « a déclenché une nouvelle ligne de travail dans les hôpitaux publics, qui s'appelle "l'attention multiculturelle". Les professionnels de la santé publique se préparent depuis des années pour faire face aux nouveaux patients qui n'ont rien à voir avec notre culture. »

    C’est surtout le même phénomène qu’à Mayotte ou en Guyane : venir accoucher en Europe permet aux femmes entrées illégalement de rester medium_Picto1.3.jpglégalement... et de faire venir leur famille.

    On voit que non seulement on ne fait rien contre l’immigration illégale, mais qu’on l’encourage.

    Rappelons que faire des enfants, pour les femmes musulmanes, c’est participer au jihad, donc, en l’occurrence, à la reconquête musulmane de l’Andalousie (où nombre de panneaux de signalisation routière sont désormais aussi en arabe), et plus largement à la conquête de l’Europe. Car il faut aussi rappeler aux naïfs que l’Espagne c’est l’Europe sans frontières, donc c’est la France.

  • La religion des Albanais

    Fort intéressant article de Religiosope sur la religion (les religions) et l’identité nationale des Albanais (d’Albanie, du Kosovo, de Macédoine...). On y apprend des choses véritablement étonnantes, particulièrement sur le Kosovo, et l’on constate qu’on ne sait pas du tout quelles sont les proportions de musulmans et de chrétiens en Albanie. (via altermedia)

  • Amsterdam : les découvertes d’un travailliste

    « Une école primaire d’Amsterdam-Nord a décidé de ne plus enseigner la vie à la ferme. Plusieurs élèves ont commencé à démolir la salle de classe quand on a parlé du cochon. Apparemment c’est allé aussi loin que cela. Ces enfants, de 9 et 10 ans, n’ont pas reçu chez eux les règles les plus élémentaires leur permettant de savoir pourquoi ils doivent aller à l’école. »

    L’homme qui écrit ceci dans le journal De Volkskrant n’est pas un agitateur d’extrême droite islamophobe. C’est Lodewijk Asscher, qui est conseiller municipal travailliste, et le chef du parti travailliste à Amsterdam.

    Choqué par ce qu’il découvre, il veut lancer un sévère avertissement aux parents islamistes, avec menace de suppression d’allocations. Cela même qui a été récemment rejeté au Parlement par le ministre de la Famille. Il est vrai que la demande émanait alors du « xénophobe » Parti de la Liberté.

    Le travailliste Lodewijk Asscher veut aussi tailler dans forêt de subventions municipales dont bénéficient toutes sortes de « fondations » et d’organisations travaillant pour le « multiculturalisme », dont le total s’élève à 160 millions d’euros par an.

    Il faut vérifier ce qu’elles font, dit Ascher, qui donne l’exemple suivant : « Un Marocain a retiré de la rue 50 jeunes qui étaient une énorme nuisance. Maintenant ils collectent des chaises roulantes pour les handicapés au Surinam, au Maroc et en Turquie. Tout à coup on lui a adjoint une association d’assistance sociale, qui essaie maintenant de lui prendre les jeunes, parce que cet organisme toucherait alors entre 4.000 et 6.000 euros par jeune. Ils sont incapables de retirer ces jeunes de la rue, et maintenant ils les veulent sur leur carnet d’adresses à cause des subventions. Notre Marocain ne veut plus faire ce qu’il a fait. Je le comprends. »

    Le conseiller municipal se dit aussi choqué par l’impuissance des associations d’assistance sociale censées tenter de ramener les jeunes délinquants dans le droit chemin. Il a découvert que dans un district d’Amsterdam une mère de dix enfants, dont la moitié sont « connus des services de police » pour des affaires criminelles, est conseillée par 35 travailleurs sociaux, et chacun d’eux n’a aucune idée de ce que fait l’autre…

  • La Turquie entre islamisme et putsch militaire

    A la suite du premier tour de la présidentielle au Parlement turc, l’état-major de l’armée a lancé un sévère avertissement au gouvernement : « Le problème qui a récemment surgi dans l'élection présidentielle se concentre sur la question de la remise en cause de la laïcité », dit l’état major, qui énumère une série d'activités religieuses organisées récemment, en particulier pour des enfants et dans des écoles, qu'il désigne comme autant de tentatives d'éroder le système laïque. « Le problème est d'autant plus grave qu'une part importante de ces activités se sont tenues avec l'approbation et au su des autorités administratives qui sont censées les prévenir. Cet état d'esprit réactionnaire a pris courage avec certains développements et paroles survenus ces derniers jours et a étendu le champ de ses activités », qui « violent clairement le principe d'attachement (du futur président) au régime républicain non seulement en parole mais aussi dans la pratique. » « Les forces armées turques afficheront ouvertement leur position et leurs attitudes lorsque cela deviendra nécessaire. Personne ne doit avoir de doute à ce sujet », ont menacé les militaires, rappelant que les forces armées étaient « des protectrices déterminées de la laïcité ».

    Le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan a réagi aujourd’hui en affirmant que le peuple turc s'opposerait à toute tentative de déstabilisation du pays. Dans un discours devant le Croissant rouge turc, louant les efforts de cette organisation à combattre les désastres naturels, Erdogan a déclaré que « l'unité politique et la structure sociale (pouvaient aussi) parfois être victimes de désastres. « Cette nation a payé un prix élevé, douloureux quand les fondements de la stabilité et de la confiance ont été perdus. Mais elle n'autorise plus, et n'autorisera plus, les opportunistes qui attendent et ouvrent la voie au désastre », a-t-il ajouté.

    Outre les récriminations contenues dans le communiqué, il est manifeste que l’armée n’accepte pas laperspective de voir Mme Gül devenir la première dame du pays. On sait qu’elle milite activement pour le droit au port du voile dans les locaux publics. En 1998, elle avait mené une très médiatique opération à l'Université d'Ankara : suivie par une horde de caméras et arborant son voile, elle avait tenté de s'inscrire comme étudiante, se faisant refouler pour cause de foulard. Et elle avait porté plainte devant la Cour européenne des droits de l’homme. En 2004 elle a renoncé à sa plainte, officiellement pour ne pas porter préjudice à la carrière politique de son mari. Selon certains, c’est parce qu’elle était sûre de perdre. Un an plus tard, la Cour européenne des droits de l'homme, dans une affaire similaire, donnait en effet raison à l’Etat turc, estimant que l'interdiction du foulard islamique à l'Université n'était pas une violation du droit à la liberté de conscience, de pensée et de religion. Comme toute bonne fille d’islamistes turcs, la fille du couple Gül met une perruque sur son voile pour aller à l’université.

    Mme Gül serait la première femme d’un président turc à porter le voile. C’est à cela aussi que réagit l’armée, dont on note qu’elle n’a même pas attendu le résultat de la demande d’annulation du premier tour, déposée auprès de la Cour constitutionnelle par le principal parti d’opposition.

    L'armée turque ne menace pas en l’air. Elle a accompli trois coups d'Etat, en 1960, 1971 et 1980, et a contraint à la démission, en 1997, le premier chef de gouvernement islamiste de Turquie, Necmettin Erbakan, le mentor politique d’Erdogan et de Gül.

    L’affaire est donc assez sérieuse pour inquièter l’Union européenne, qui veut tant intégrer la Turquie. Le commissaire européen à l'Elargissement Olli Rehn a appelé l'armée turque à rester en dehors du processus électoral : « Il est important que l'armée laisse les prérogatives de la démocratie au gouvernement élu, et cela représente un test pour voir si les forces armées turques respectent la laïcité démocratique et l'organisation démocratique des relations entre civils et militaires. »

    Où l’on voit que les braves défenseurs des droits de l’homme et de la démocratie sont bien coincés. D’un côté, la Cour européenne des droits de l’homme donne raison au laïcisme turc, dont, en définitive, à l’armée. De l’autre, la Commission veut le respect de la démocratie, qui implique l’acceptation de l’islamisme au pouvoir…

    Quand la laïcité c’est le coup d’Etat militaire, et quand la démocratie, c’est l’islamisme, qu’est-ce qu’on fait ? Ce serait amusant de poser la question aux prétendants à l’Elysée.

  • Vive l’Europe...

    Les médias chantent les louanges de Renault, qui annonce la commercialisation prochaine de la nouvelle Twingo, censée relancer la marque dans toute l’Europe. Et l’on précise que cette nouvelle Twingo est entièrement montée dans l’usine Renault de Novo Mesto en Slovénie. Une usine qui construit également la nouvelle Clio.

    Voilà une nouvelle qui va enthousiasmer les salariés de Renaut à Flins (France), qui viennent d’apprendre que l’équipe de nuit fabriquant la Clio sera supprimée à partir du 21 juillet.