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Eglise - Page 99

  • Au Pérou

    Pedro Pablo Kuczynski, dit « PPK », est président du Pérou depuis le 28 juillet dernier. Le 21 octobre, il a consacré son pays au Sacré-Cœur.

    Voici la vidéo de l’ACI Prensa, l'agence de presse catholique hispanophone basée au Pérou.

    Et la vidéo de la télévision.

     

    Et la traduction du texte trouvée sur le Forum catholique :

    Moi, Pedro Pablo Kuczynski, Président de la République du Pérou, avec l'autorité qui m'est conférée, je fais un acte de consécration de moi-même, ma famille, ici présente et de ma femme, et la République du Pérou à l'amour et à la protection de Dieu Tout-Puissant, par l'intercession du Sacré-cœur de Jésus et du Cœur Immaculé de Marie.

    Je mets dans vos mains aimantes mon gouvernement avec tous les travailleurs et les citoyens qui sont sous ma responsabilité. Dieu Tout-Puissant, je vous offre mes pensées et mes décisions en tant que président afin de les utiliser pour le bien de notre pays et de toujours être conscient des Dix Commandements pour gouverner. Je demande à Dieu, par l'intercession du Sacré-Cœur de Jésus et du Cœur Immaculé de Marie, d'écouter et d'accepter mon acte de consécration et de couvrir notre pays d' une protection spéciale.

    En faisant cette prière, je demande le pardon de Dieu pour tous les péchés qu'on a commis dans le passé, tous ce qui a été fait dans le passé de la République et toutes les décisions qui ont été prises contre ses commandements et je demander son aide pour changer tout ce qui nous sépare de lui. Moi, Pedro Pablo Kuczynski, en tant que Président de la République du Pérou, je fais ce serment solennel devant Dieu et devant les citoyens de notre pays aujourd'hui 21 Octobre 2016.

    Il est assez remarquable que Pedro Pablo Kuczynski n’est pas le descendant d’une vieille famille catholique polonaise, comme son nom pourrait le laisser penser. Son père était un médecin juif allemand qui s’était installé au Pérou pour fuir le nazisme, avec sa femme, une française, Madeleine Godard, descendante d’une famille protestante dont est également issu Jean-Luc Godard, cousin germain du président péruvien…

    Cette consécration fait penser à celle de l’Equateur par son très catholique président Gabriel Garcia Moreno. C’était en 1873. Il fut assassiné deux ans plus tard, sans doute par la franc-maçonnerie qu’il avait interdite. Ce n’est pas ce qu’on souhaite à PPK…

  • Minable

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    Alors que les publications vraiment catholiques soulignent l’importance du livre du cardinal Sarah sur le silence, et que le cardinal sera notamment à Versailles dans quelques jours pour le signer, le site de la conférence des évêques de France, qui n’en souffle pas un mot, affiche à la une un… autre livre sur le silence, d’un certain Alain Corbin, paru le… 30 mars.

    Et c’est bien sûr un évêque qui fait l’article…

  • Quelques titres de News.va

    Attention au mauvais levain, l'hypocrisie, met en garde le Pape

    C’est çui qui dit qui est.

    Le Pape via Cor Unum fait un don de 100 000 dollars à Haïti

    Le pape pauvre de l’Eglise pauvre est donc riche. Ah bon, c’est pas ses sous ? Pourquoi le faire croire, alors ?

    Condoléances du Pape François aux Thaïlandais après la mort du roi

    Mais les Thaïlandais, presque tous bouddhistes, se moquent bien de ce que dit le pape. Et on ne voit pas l’intérêt d’en rajouter dans l’hystérie collective, à laquelle participe l’Eglise catholique : messes pour le roi (bouddhiste), son portrait affiché et révéré pendant 9 jours dans les églises et les écoles catholiques…

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    En revanche il n’y a pas un mot du pape pour la mort de Kigeli V, le roi du Rwanda. Ah oui, il n’était pas dans le sens de l’histoire, lui. Il avait été viré par les Belges, au nom de la démocratie : résultat : un génocide. Et puis il était catholique… Et en plus, dans son exil américain, il allait à la messe traditionnelle… Quelle horreur.

    Messe à Sainte-Marthe- Comme les biscuits de nos grands-mères

    C’est la messe des p’tits Lu.

    Le Pape François : le chrétien est choisi, pardonné et en marche

    Pardonné. Toujours. En marche vers les périphéries. Toujours.

    Le Pape aux luthériens : déjà unis malgré les divisions persistantes

    « Ce qui nous unit est beaucoup plus fort que ce qui nous divise. » Parce que l’Eglise et l’Eucharistie, ça n’a pas d’importance. La confession non plus. Puisqu’on est tous pardonnés.

    Le cardinal Sandri au Mont Nebo à la rencontre des chrétiens d'Orient

    Il a dit que le Mémorial de Moïse qui vient de rouvrir est un lieu de « dialogue interreligieux ».

    Première rencontre pour promouvoir le dialogue chrétiens-taoïstes

    Ce qui nous unit est sûrement plus fort que ce qui nous divise.

    Cardinal Parolin : construire une Église qui annonce l'Évangile

    Alors ça c’est pas con comme idée.

    Migrants : l'Église a un rôle de sensibilisation à jouer

    Il semble qu’il y a déjà beaucoup de gens qui sont « sensibilisés » pour avoir eu « sensiblement » à pâtir de l’invasion. Et il y en aura beaucoup d’autres sans que l’Eglise ait besoin d’intervenir.

    Le cardinal Parolin appelle l’Europe à parler d’une seule voix

    « Bruxelles über alles ». Puis : « Allahou Akbar. »

  • Ça c’est la Pologne

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    Plus de 100.000 personnes se sont retrouvées samedi à Czestochowa pour un événement unique en son genre et peu propice à déplacer les foules : une journée de pénitence publique…

    Naturellement, alors que nos médias s'étendaient sur quelques milliers de furies en noir gueulant que leur corps leur appartient, ils n'en disent pas un mot.

    L’initiative émanait d’une petite fondation intitulée Solo Dios Basta (c’est le mot de sainte Thérèse : Dieu seul suffit), créée par un producteur et un réalisateur de films documentaires, fondation dédiée à l’évangélisation, à la lumière de l’enseignement de sainte Faustine.

    Elle disait ceci :

    Nous vous invitons à Jasna Gora à la Grande Pénitence pour tous les péchés commis en Pologne.

    C’est un événement qui concerne toute l’Eglise. Il rassemble toutes les formes de spiritualité, communautés et organisations. Considérez-vous tous invités.

    Le Peuple polonais est divisé, il y a beaucoup de méchanceté et de haine. Beaucoup vivent dans la peur, l’incertitude, les addictions. Ce sont les conséquences des pêchés que nous avons commis, nous et nos ancêtres.

    En faisant ensemble une « Grande Pénitence », nous pouvons changer le cours de l’histoire. L’histoire de chacun d’entre nous et celle du Monde entier. Voici venu le temps d’une puissante lutte de la civilisation de vie contre la civilisation de mort. Voici venu le moment exigeant une réponse rapide et claire de chacun de nous.

    La fondation avait invité le président de la conférence épiscopale, Mgr Gadecki, archevêque de Poznan. Que croyez-vous qu’il se passa ? Que dans le meilleur des cas l’archevêque a répondu que c’était sympathique et qu’il appuyait l’initiative, mais que son agenda ne lui permettait pas d’être présent ? Pas du tout. L’archevêque y est allé, avec d'autres évêques, il a célébré la grand-messe et il a prononcé un remarquable sermon sur le péché, soulignant que le péché était toujours personnel, mais qu’il y avait des péchés publics qui exigeaient une pénitence publique. On y retrouvait naturellement l’enseignement de Jean-Paul II sur les « structures de péché ».

    On lira ci-dessous la lettre de Mgr Gadecki, traduite par un lecteur de mon blog, qui est également le traducteur du texte de Solo Dios Basta, et qui m’écrit ceci :

    Ce qui m’intéresse dans l’événement (au delà de certains aspects «pastoraux «  à la mode qui m’agacent de plus en plus et auquel je ne peux me contraindre à participer) c’est la lettre de Mgr Gadecki dans le contexte de lutte politique intense auquel la Pologne fait face actuellement… et le fait de voir une foule aussi énorme (100.000 personnes) se déplacer un jour d’octobre de gens de toutes conditions, souvent très modestes, prêts à affronter les intempéries pour rester des heures en plein air aux pied des murailles du monastère pour témoigner leur refus de la civilisation de mort et leur foi qu’une foi encore la Vierge de Jasna Gora nous sauvera. Ce qui m’enthousiasme c’est de voir les queues immenses qui se forment  devant les dizaines de prêtres venus pour confesser les pélerins en plein air, face à face, le plus souvent debout.

    Je trouve que c’est une excellente réponse au cirque des résolutions du Parlement, de la Commission européenne, de la Plate-forme civique et autres comités de défense de la démocratie. En ce 38e anniversaire de l’intronisation de Jean-Paul II, les choses sont claires : de quel côté êtes-vous ? Que faites-vous de l’enseignement du Saint Pape polonais ?

    Je venais de lire la lettre des évêques de France appelant les « habitants » a retrouver le sens du politique »… et le soutien de la conférence des évêques de Pologne à une telle initiative m’a regonflé le moral. Je crois vraiment qu’une bataille se mène ici et va s’accentuer.

    N.B. Il est formellement déconseillé, pour le moral, de comparer les deux lettres. Je décline toute responsabilité en cas de dépression nerveuse ou de crise d’angoisse.

    Varsovie le 6 septembre 2016

    Cher Monsieur,

    C’est avec une grande joie, que j’ai reçu l’invitation qui m’a été faite à participer à l’initiative de Grande Pénitence organisée par la fondation Solo Dios Basta le 15 octobre de cette année au sanctuaire de la Sainte Mère de Dieu de Jasna Gora à Czestochowa.

    La célébration du 1050e anniversaire du baptême de la Pologne cette année nous invite tout d’abord à remercier Dieu pour le don de la Foi et les bienfaits spirituels, culturels et sociaux qui en découlent pour notre Patrie. C’est justement la Foi en Jésus Christ qui a constitué les fondations sur lesquelles, pendant des siècles, des générations de Polonais ont créé l’histoire d’un peuple qui malgré son histoire dramatique a gardé son identité, uni autour des valeurs découlant de l’Evangile. La dignité inaliénable de la personne humaine et le droit à la vie qui en est la conséquence, la solidarité, l’entraide, la liberté et enfin, l’amour et le pardon, voici seulement quelques idées qui assurent le développement sur tous les plans de la société, la paix et la sécurité.

    Bien que la fidélité au Christ, à la croix et à l’évangile soit un trait caractéristique de nombreuses générations de Polonais, on peut remarquer ces dernières années une montée de l’indifférence religieuse dans certains groupes sociaux. Cette tendance apparaît non seulement dans notre Patrie mais aussi dans beaucoup de pays d’Europe. La décision du Saint Père François de déclarer un Jubilé exceptionnel de la Miséricorde apparaît donc providentielle en cette année où le devoir de l’Eglise est de monter encore davantage le visage miséricordieux du Père, témoigner de la miséricorde et faire preuve de miséricorde. Car la découverte de la miséricorde c’est le début de la conversion.

    L’initiative de la  Grande Pénitence s’inscrit parfaitement dans ce processus. A travers le sacrement de pénitence et de réconciliation, l’homme peut faire l’expérience d’une miséricorde complète, du regard de Dieu qui pardonne et qui, en Jésus Christ, prend sur lui le péché et la mort qui en découle afin de ramener l’homme à la vie.

    J’assure tous les organisateurs, comme les participants à cette initiative, de mon soutien et de ma prière avec l’intercession de la Vierge de Jasna Gora, en leur accordant ma bénédiction pastorale.

    Stanislaw Gadecki

    Archevêque de Poznan

    Président de la Conférence des évêques de Pologne

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  • Ils sont la famille

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    Le grand titre du bulletin d’automne de la paroisse Saint-Etienne de la cathédrale de Vienne est « Grandir dans l’amour ». La majeure partie de cette revue de 48 pages est consacrée à Amoris Laetitia, avec une présentation par le cardinal Schönborn bien entendu.

    On y trouve divers articles dont l’un explique qu’il n’y a pas d’amour sans érotisme : c’est signé par le grand « théologien moraliste » Pr Dr Martin Lintner, qui s’est déjà illustré comme propagandiste de l’homosexualité sur Radio Vatican.

    Et parmi les exemples de belles familles chrétiennes, il y a celle-ci. Constituée d’un ancien présentateur de la télé, pacsé avec un restaurateur, et « leur fils » sud-africain, baptisé à Saint-Etienne.

    « Famille arc-en-ciel, famille moderne, famille non conventionnelle… Il y a beaucoup d’appellations pour notre joli nid de sanctuaire (sic). Mais nous ne sommes pas si particuliers, nous, c’est-à-dire : papa Bernd, papy Georg, et notre fils Siya. Notre rituel du soir est toujours le même. Nous lisons un livre, prions, parlons de ce qui a été bien dans la journée, chantons des berceuses. Vraiment rien de spectaculaire. »

    Et ce charmant couple va bientôt avoir un deuxième fils. Lui aussi sud-africain.

    Avec la bénédiction du cardinal Schönborn, dont on connaît la tendresse particulière pour les invertis, et interprète autorisé de Amoris Laetitia.

    (Via LifeSite)

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  • Ils ont reçu leur récompense

    Le texte du conseil permanent de la Conférence des évêques de France « aux habitants de notre pays » a reçu l’approbation pleine et entière du Monde.

  • Le général Sosa

    Le P. Arturo Sosa Abascal a été élu 31e général des jésuites. C’est évidemment un hasard que ce soit un latino-américain. Je lis sur sa fiche Wikipedia qui vient d’être créée :

    « Il a essentiellement exercé des fonctions de recherche et l’enseignement dans le domaine des sciences politiques, en différents centres et institutions, notamment comme titulaire de la chaire de théorie politique contemporaine et de la chaire du changement social à l’Ecole des sciences sociales du Venezuela. Il a été chercheur à l’Institut d’études politiques de la Faculté des sciences politiques à l’Université centrale du Venezuela et, en la même université, professeur de l’Ecole d’études politiques au département d’histoire des idées politiques du Venezuela. En 2004 il a été professeur invité au Centre d’études latino-américaines de l’Université de Georgetown aux Etats-Unis, et il a été professeur au département de la pensée politique vénézuélienne de l’Université catholique de Tachira. »

    Il a beaucoup écrit sur ces sujets, nous dit-on, notamment un livre intitulé : « De la tyrannie libérale à la démocratie menacée ».

    Hum…

    Sinon, et Dieu dans tout ça ?

    Addendum.

    En 1978 il écrivait qu'une "médiation marxiste de la foi chrétienne" est non seulement "légitime" mais "nécessaire".

  • En Centrafrique

    Le camp de réfugiés chrétiens de l’évêché de Kaga Bandoro, au centre de la République Centrafricaine, a été attaqué et incendié mercredi par des miliciens musulmans de l’« ex-Seleka ». Bilan : au moins 30 morts et 47 blessés.

    Quatre « anciens membres de la Seleka » avaient entrepris de voler un groupe électrogène dans une station de radio locale. L’un d’eux a été tué. Les autres se sont vengés contre des réfugiés sans défense.

    (La Seleka a été officiellement dissoute en septembre 2013, ce qui n’a rien changé sur le terrain. Depuis juillet 2014 son nom officiel est « Front populaire pour la renaissance de la Centrafrique », et elle serait en train de se réorganiser…)

  • En Inde

    Trois enseignants hindous de l’école de la Sainte-Trinité (1.600 élèves) de Dewas, diocèse d’Indore, Etat du Madhya Pradesh, ont porté plainte contre la direction de l’école parce qu’ils ont été « blessés dans leurs sentiments religieux ». Et la Akhil Bharatiya Vidyarthi Parishad (ABVP), organisation étudiante affiliée au groupe extrémiste hindou Rashtriya Swayamsevak Sangh (RSS), a envoyé un mémorandum aux autorités éducatives du district pour demander une enquête criminelle contre l’école et le retrait de son habilitation. L’enquête a été ouverte.

    Ces enseignants reprochent à la direction d’avoir enlevé de l’école le portrait de la déesse Saraswati (déesse de la connaissance, donc des écoliers) et d’avoir interdit que soit entonné le chant à la déesse. Ils ajoutent ce grief que la direction (de l’école catholique) célèbre les fêtes chrétiennes avec ferveur mais montre peu d’intérêt pour les fêtes hindoues…

    En ce qui concerne ce dernier point, la principale, sœur Lucie, dit que ces professeurs n’ont jamais parlé de cela lors des réunions mensuelles, et qu’il y a davantage de fêtes hindoues que de fêtes chrétiennes célébrées dans l’école… Elle ajoute que l’une de ces enseignantes, il y a cinq ans, avait attaqué l’école pour « conversions forcées » et avait été déboutée, et que l’école aurait pu alors la licencier…

    En ce qui concerne le chant à la déesse, la direction fait valoir qu’il n’y a pas eu demande d’autorisation.

    Et pour ce qui est du grief principal, ce qui s’est passé est que le portrait de la déesse a été retiré du panneau d’affichage le 2 octobre pour être remplacé par celui de Gandhi, ce jour-là seulement qui est l’anniversaire de sa naissance, mais que la personne chargée de remettre la déesse le 3 a oublié de le faire…

    Sajan K George, président du Conseil global des chrétiens indiens (GCIC) déclare à l’agence Fides : « Les accusations faites par les enseignants font partie d’une manœuvre organisée à l’encontre des institutions d’instruction chrétiennes. En attaquant les institutions éducatives chrétiennes, ses auteurs cherchent à intimider la population chrétienne présente au sein de l’Etat du Madhya Pradesh. »

  • A Wenzhou

    L’évêque coadjuteur de Wenzhou, Mgr Peter Shao Zhumin, et le chancelier du diocèse, qui avaient été emmenés le 8 septembre « en voyage » par les autorités dans une lointaine province pour qu’ils ne participent pas aux funérailles de l’évêque qui venait de décéder, sont revenus chez eux au bout d’un mois de congés forcés, le 8 octobre.

    Mais Mgr Peter Shao Zhumin est sous stricte surveillance policière et ne peut pas exercer ses fonctions pastorales.

    Le 21 septembre, le Saint-Siège a publié une déclaration sur la mort de Mgr Vincent Zhu Weifang indiquant que « conformément au droit canon, l’évêque Peter Shao Zhumin, coadjuteur du même diocèse, succède au défunt prélat ».

    Il se trouve que Mgr Shao Zhumin est tenu en haute estime tant par les fidèles de l’Eglise officielle que de l’Eglise clandestine, ce qui a rapproché les deux communautés après une période de forte division. On craint maintenant que les autorités nomment un évêque de l’Eglise officielle… pour raviver les divisions et provoquer éventuellement des troubles qui permettraient la répression…