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Antiracisme - Page 32

  • Pas assez juif : la discrimination permise

    Un juge de la Haute cour de Londres a considéré hier « totalement légitime » la politique d'inscription pratiquée par une école juive de Londres, accusée d'avoir refusé d'admettre un enfant de 11 ans parce qu’il « n’est pas un juif certifié », au motif que sa mère n’est pas née juive.

    Le juge a estimé qu'il n'y avait eu aucune discrimination illégale directe ou indirecte de la part de cette école juive financée par des fonds publics.

    Le père de l’enfant, à l'origine du recours en justice, s'était dit « consterné » que son fils ait été déclaré « pas assez juif » pour intégrer cette école.

    L'organisation United Synagogue, tout en admettant que le père de l'enfant était juif, n'a pas reconnu la judaïté de la mère, une Italienne catholique qui s'était convertie au judaïsme avant la naissance de son fils.

  • Le gendarme européen antidiscrimination a pondu son rapport

    L’Agence des Droits Fondamentaux de l’Union européenne, sise à Vienne avec toutes ses majuscules, tonne, dans son premier rapport annuel (elle a été créée en 2007) que les violences racistes, antisémites, ou relevant de l’extrême droite (?), et les comportements discriminatoires, augmentent dans l’UE et sont insuffisamment sanctionnés (sic), sauf au Royaume-Uni…

    L’Agence semble s’intéresser particulièrement aux « discriminations » nationales à l’emploi, c’est-à-dire à ce qui peut rester de préférence nationale, notion honnie par dessus tout et qui doit être fermement réprimée.

    Ainsi, l’Agence se félicite que « le Royaume-Uni possède la législation anti-discrimination la plus efficacement appliquée de toute l’UE » et qu’avec « 95 sanctions sur la période 2006-2007, il a prononcé plus de sanctions que tous les Etats membres réunis. » (Ce n’est pas sans rapport avec la galopante dhimmitude britannique.)

    A l’inverse, l’Agence s’étrangle devant ce qu’elle voit en Irlande ou en Belgique : « des offres d’emploi discriminatoires énonçant que les étrangers doivent s’abstenir de les postuler ».

    Et il est intolérable que dans 12 pays de l’UE aucune sanction n’ait été appliquée, alors que des procédures ont été engagées. Ces affreux sont la République tchèque, l’Allemagne, le Danemark, l’Estonie, la Grèce, l’Espagne, Chypre, la Lituanie, le Luxembourg, la Pologne, le Portugal et la Slovénie.

    La France fait partie des pays qui « ont mis en application une législation relativement efficace », mais où « les condamnations demeurent rares en comparaison avec le Royaume-Uni »...

  • Le marketing contre la « diversité »...

    Voici l’essentiel d’une dépêche de l’AFP qui révèle un curieux état de fait.

    « J'ai demandé à l'agence des blacks pour notre prochain défilé mais il n'y en a pas », dit Mario Lefranc, de la jeune griffe Lefranc-Ferrant. « Il y en a marre des Russes blondes ! » ajoute-t-il.

    « En ce moment, il faut vraiment faire un effort. Il n'y a pas de blacks sur le marché, les agences n'en envoient pas, ça devient l'invasion des filles d'Europe de l'Est, de ces canons de beauté », dit-on de même dans l'entourage de Jean-Paul Gaultier, pourtant apôtre de la « diversité ».

    Pour l'historienne de la mode Lydia Kamitsis, « aujourd'hui où la diversité est promue, beaucoup plus acceptée », la logique voudrait que « ça se traduise immédiatement sur les podiums, or c'est exactement l'inverse ».

    Dans les années 60, explique-t-elle, il y avait « une sorte d'uniformité et de prégnance de la race blanche ». Il y a eu une « rupture radicale » dans le milieu des années 60, qui « a été d'utiliser des mannequins noirs en cover girls mais aussi en défilés ». Dans les années 80, « c'est une explosion de diversité », avec « des mannequins de toutes cultures, de tous formats, et puis tout ça progressivement disparaît pour assister à cette uniformité et cette prégnance blanche aujourd'hui ».

    Des couturiers comme Azzedine Alaïa et Jean-Paul Gaultier ont voulu « casser le moule des canons de beauté ». Aujourd'hui, « il y a une tendance générale à vouloir au contraire se fondre dans une certaine uniformité, une neutralité », ajoute-t-elle. Le champ d'action des créateurs est « très restreint par les stratégies de marketing », la « logique de produit » et « une prise de risque zéro ».

    Par ailleurs, « le marché de la mode, les marchés dits émergents comme la Chine et la Russie , les pays arabes, sont des sociétés qui ne sont pas particulièrement réputées pour leur mixité ou en tous cas pour l'acceptation de la mixité culturelle ». « Le mannequin blanc est sans doute le plus passe-partout pour atteindre ces clientèles-là. »

    « Il faut vendre », résume Renée Dujac-Cassou, directrice de l'agence de mannequins Crystal. Et « ce qui a toujours fait rêver les gens, c'est la blonde aux yeux bleus. C'est aussi bête que ça. La belle Africaine, ça ne fait rêver personne. Une princesse tibétaine, elle ne fait rêver personne aujourd'hui, une princesse chinoise non plus. » De ce fait, la proportion de mannequins non blancs sur les podiums « sera toujours extrêmement limitée »...

  • Agression

    Un jeune juif Loubavitch a été violemment agressé samedi soir rue Petit dans le 19e arrondissement. Les organisations juives, les lobbies « antiracistes » et le gouvernement, jusqu’à Nicolas Sarkozy qui se trouve en Israël, ont dénoncé à qui mieux mieux cette agression antisémite, comme si c’était l’événement du siècle.

    « Parler d’antisémitisme, c’est un peu gros. Des juifs, il en passe ici tous les jours sans incidents », déclare à l’AFP un habitant du quartier.

    « Tous les samedis, les jeunes se courent après autour de la mairie, on se zieute, on s’agresse par des jets verbaux et des coups d’œil et puis, la chaleur aidant, ça dérape », ajoute un autre.

    Le XIXe arrondissement abrite la plus importante communauté juive de France, c’est « l’une des plus grandes villes juives d’Europe », selon l’expression d’un conseiller municipal.

    Cette concentration, à ce point-là, est récente. Il y a aujourd’hui 16 synagogues dans l’arrondissement (dont trois Loubavitch), et de nombreuses écoles juives. La rue Petit se situe près du parc des Buttes Chaumont. Une amie qui habite dans ce quartier m’a raconté que lorsque son fils était petit, il était revenu en pleurs des Buttes Chaumont parce qu’on lui avait dit que les balançoires ce n’était pas pour les goys.

    L’autre nouveauté du quartier est, comme dans tant d’autres, l’arrivée massive d’Africains, notamment de Maghrébins. Selon une source policière tenant prudemment à rester anonyme, mais très « proche de l’enquête », le passage à tabac a été consécutif à plusieurs échauffourées entre groupes de jeunes gens juifs et d'origine africaine : l'agression serait à replacer dans le contexte d'escarmouches entre groupes de jeunes juifs et nord-africains, dont l'une se serait produite juste avant les faits.

    Voilà ce que l’on peut dire, en bref, de l’antisémitisme dans le 19e arrondissement.

    Addendum. Ce jeune homme avait été interpellé et placé en garde à vue, en compagnie de trois camarades, et d'un autre groupe de jeunes d'origine maghrébine, après des "incidents à caractère communautaire", le 9 décembre 2007, lors de la célébration d'Hanouka à Bercy. Lui et ses camarades avaient été trouvés porteurs de poings américains et "d'autres projectiles de défense". Une procédure judiciaire avait été ouverte, qui est toujours en cours.

  • Et voilà la confirmation

    Le tribunal correctionnel de Paris a débouté l’AGRIF qui avait assigné le directeur général de L’Oréal, Jean-Paul Agon, pour discrimination raciale.

    Il disait « assumer » le concept de discrimination positive, et précisait que dans son groupe, « un candidat qui a un prénom d’origine étrangère a plus de chance d’être recruté que celui qui porte un prénom français de souche ».

    Les magistrats ont jugé que Jean-Paul Agon montrait « plutôt une volonté de rétablir un équilibre qui se trouve compromis, en favorisant ceux qui sont ordinairement victimes de discriminations prohibées ».

    Voici donc désormais énoncée par la justice française la définition la plus injuste de la discrimination positive, et la plus immorale : la discrimination positive ouvertement ethnique, c’est-à-dire raciste, au motif qu’il s’agit de favoriser les allogènes afin de « rétablir l’équilibre » avec les souchiens.

    La justice confirme ainsi le véritable sens de ce concept de « rééquilibrage », si souvent utilisé par les hommes politiques, au premier chef par Nicolas Sarkozy, mais qu’on était prié de considérer comme un rééquilibrage au profit des personnes défavorisées de certains quartiers, sans considération ethnique. Désormais, il est donc officiel qu’il s’agit de « rééquilibrer » au profit unique de ceux qui ont un nom d’origine étrangère.

    Ce jugement, qui est radicalement contraire à l’Etat de droit, mais qui anticipe la prochaine directive européenne sur le sujet, est conforme, d’autre part, à ce que l’on savait déjà des « rééquilibrages », notamment concernant la facilitation des constructions de mosquées, pour « rééquilibrer » la religion musulmane face à la religion catholique.

    Et cette idéologie anti-française et anti-chrétienne ne souffre aucune contestation. Non seulement l’AGRIF est déboutée, mais elle est condamnée à verser 2.500 euros de dommages et intérêts au directeur de L’Oréal pour poursuites abusives...

    Pour répondre à cette agression, adhérez à l'AGRIF.

    Addendum. L'AGRIF fait appel. 

  • La « discrimination indirecte » en action

    La Commission européenne a inventé le concept de « discrimination indirecte » et a imposé que les Etats membres de l’UE l’inscrive dans leur code pénal (ce qui vient seulement d’être fait en France, sous la menace d’une condamnation par la Cour de Justice). Il faut donc bien que ça serve. Voici un exemple, en Grande-Bretagne.

    La propriétaire d’un salon de coiffure « branché » de King’s Cross, à Londres, a été condamnée à 4.000 livres de dommages et intérêts pour « discrimination indirecte » envers une jeune femme dont elle a refusé l’embauche parce qu’elle portait un foulard.

    La jeune femme réclamait 34.000 livres pour « discrimination religieuse ».
    Le tribunal a reconnu qu’il ne s’agissait pas d’une discrimination religieuse, et qu’en effet le style de la postulante ne correspondait pas au style du salon. Mais il a jugé qu’il y avait discrimination indirecte, en rejetant l’autre argument de la propriétaire selon lequel employer une personne portant un foulard pouvait causer un risque grave à l’entreprise…

  • Les « Indigènes » inquiètent la police politique

    Lu sur Le Figaro :

    « Le Mouvement des indigènes de la République est désormais sous haute surveillance. Depuis peu, les services de renseignements ont accentué leur attention sur l'idéologie sulfureuse de cette association. (…) Les Indigènes font aujourd'hui l'objet d'une note confidentielle de plusieurs pages. » Brice Hortefeux s'est déclaré «très choqué, très heurté» par les propos de Houria Bouteldja sur les « souchiens, les Blancs » qu’il faut « rééduquer ». « Sans attendre, il a attiré la vigilance de la garde des Sceaux, Rachida Dati. «L'association doit savoir qu'elle ne doit plus franchir les bornes», prévient-on dans l'entourage du ministre. Sur Internet, les Indigènes, évoquant des «accusations mensongères» et sentant peut-être le vent du boulet, assimilent maintenant le vocable de «souchiens» à une «formule de dérision». Cela ne les empêche pas de dénoncer «le président de la République, élu pour casser la résistance indigène». Nouveau dérapage ? «En dépit de certaines similitudes, le MIR diffère de la Tribu Ka, en cela qu'ils ne commettent pas d'action violente », note un spécialiste. Groupuscule prônant la suprématie de la race noire, Tribu Ka avait été dissous par décret en juillet 2006 pour ses menées racistes et antisémites. »

    Voilà la différence. Les « Indigènes » sont seulement sous surveillance. La Tribu Ka, également raciste, avait été dissoute. Parce qu’elle était antisémite. Célébrer la « victoire de Dien Bien Phu », traiter les Blancs de sous-chiens à rééduquer et refuser « l’intégration par le jambon », ce n’est pas antisémite.

    Cela rappelle le procès qu’avait intenté Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur, contre un groupe de rap qui insultait la police de façon ignoble. Ce n’était pas pour ces propos qu’il s’en prenait au groupe de rap, mais pour une expression « antisémite » qu’il avait trouvée dans un de leurs textes…

  • Affaire classée

    Le parquet de Torun indique avoir classé l'affaire du père Tadeusz Rydzyk, directeur de Radio Maryja, poursuivi pour propos « antisémites ».

    En juillet 2007, les médias avaient fait un large écho d'une conférence donnée par le père Rydzyk à l'école de journalisme dont il est fondateur, dans laquelle il se prononçait contre  les dédommagements aux juifs. Il disait notamment : "Vous savez, il est question que la Pologne donne 65 milliards de dollars. Ils viendront vous voir et diront: rendez-moi ce manteau. Enlève ce pantalon! Donne les chaussures!"

    Les propos du père Rydzyk "ne contenaient pas d'éléments interdits par la loi", souligne le parquet dans un communiqué.

  • La Halde telle qu’en elle-même

    Le 13 février dernier, Louis Schweitzer annonçait, au cours d’une grande conférence de presse qu’il avait convoquée à ce propos, que les entreprises ont d’énormes progrès à faire pour réduire les discriminations à l’embauche, et que la Halde allait dénoncer nominativement les entreprises les plus coupables dans une enquête choc le mois suivant, à savoir en mars. On allait voir ce qu’on allait voir…

    Mais le mois de mars est passé, puis le mois d’avril, puis le mois de mai… Et l’on attendait toujours l’enquête choc sur les pratiques immondes des grandes entreprises.
    C’est seulement hier que Louis Schweitzer a présenté les résultats de son enquête. Qui n’a rien de choc.

    L’AFP en fait une dépêche laconique, signalant que la Halde a relevé des discriminations dans… trois entreprises, dont une seule à raison de l’origine, les deux autres à raison de l’âge, entreprises qui contestent vivement la méthodologie même de la Halde (dont les faux CV qui ne correspondaient pas au profil souhaité…).

    L’AFP signale aussi : « C'est la société Arirs qui a emporté l'appel d'offres pour réaliser les tests, pour un montant de quelque 570.000 euros. Elle est dirigée par le sociologue Jean-François Amadieu, également membre du comité consultatif de la Halde. » Une coïncidence qui ne passe pas inaperçue…

    Libération a publié sur le sujet un article savoureux :  « Phrases courtes et sourires crispés… Une enquête que Louis Schweitzer semblait  vouloir expédier… L’ancien PDG a voulu faire des exemples au cœur du  fleuron de l’entreprise française mais visiblement, sans les armes appropriées… Aucun chiffre précis n’a été rendu public… Au final, seules deux entreprises du CAC sont épinglées, mais sans chiffres : Accor sur l’origine des candidats et le Crédit agricole sur les seniors. Pour les autres, «soit il n’y a pas d’écart et donc elles ne discriminent pas, soit cet écart n’est pas assez significatif», explique Schweitzer… Bref, des résultats fantômes, pour une étude qui a manqué de trépasser à plusieurs reprises depuis son lancement. Lundi, 48 heures avant la sortie des résultats, une réunion entre des responsables des entreprises concernées et la Halde a, semble-t-il, manqué de tourner au pugilat : «La rencontre fut houleuse, rapporte ainsi Cathy Kopp, DRH d’Accor, toutes les entreprises ont contesté les données, même celles qui n’étaient pas mises en cause, comme Total ou Sanofi.» … Pour son premier grand testing, la Halde a manifestement raté sa cible. »

  • La Cour de cassation en pleine dérive antinationale

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    La Cour de cassation valide la préférence étrangère et la « discrimination positive ».

    Par un arrêt hallucinant, elle justifie le fait que des salariés du Synchrotron, de nationalité étrangère, bénéficient d’une prime dite d’expatriation, même s’ils vivent depuis toujours sur le territoire français.

    La Halde s’était émue de cette évidente discrimination anti-française. Mais la Cour de cassation renvoie la Halde à la seule occupation qui doit être la sienne : la chasse aux discriminations visant les étrangers.

    Car, pour la Cour de cassation, la discrimination anti-française que pratique la société Synchrotron est « pertinente », et n’est pas une « discrimination prohibée ».

    Par cette seule formule, la Cour de cassation édicte qu’il existe des discriminations légitimes : celles dont les Français sont les victimes.

    L’insupportable dérive antinationale des autorités de la République a donc atteint notre plus haute juridiction. Il n’y a plus d’institution pour protéger les Français en France.