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Antiracisme - Page 34

  • Marville : l’AGRIF se porte partie civile et poursuit le conseil régional

    Communiqué de Bernard Antony

    Une fois de plus, un nouvel acte de barbarie abominable contre le respect dû aux morts qui est un des fondements sacrés de toutes les grandes civilisations vient d’être commis avec les profanations et les destructions du cimetière Saint-Hilaire de Marville. Une fois encore il s’agit simultanément d’une manifestation de perversion nihiliste et de haine antireligieuse, en l’occurrence de haine antichrétienne.

    Nous sommes là encore en présence de ce que produit toute une culture nihiliste, une culture de  mal, de mort et de haine. M. le Procureur Alexandre de Bosschere a évoqué une action de vandalisme, de « profanation gothique ». Mais cela est bien insuffisant. On sait en effet que le terme de « gothique » est utilisé hélas aujourd’hui pour désigner un mode de mœurs et d’accoutrement, très souvent ouvertement sataniste et vaguement néo-nazi, ceci en raison peut-être du goût pour les belles lettres dites gothiques de la culture germanique. Mais il est affligeant de désigner comme « gothiques » tout comme nos splendides cathédrales un univers de délabrement psychique grave. Mais comment ne pas voir l’évidente convergence de morbidité et de perversion du néo-satanisme avec ce que l’on appelle « l’art contemporain » où l’on exalte toutes les formes de la culture de mort, de la haine antichrétienne et de la haine de la création.

    Comment ne pas constater que les opérations de nécrofolie en Lorraine et ailleurs vont de pair avec l’abjection de la très officielle exposition « L’infamille » au FRAC de Lorraine (entrée gratuite) exaltant le viol, l’inceste, l’acharnement sexuel sur les cadavres d’enfants, dans le délire du pire imaginaire sadien. Lorsque les morbides bobos fabriquent ou achètent une revue onéreuse avec un Mickey crucifié, avec l’affligeant contenu de la fascination pour la décréation, l’excrétion, la profanation et l’excrémentation d’un Jan Favre, comment s’étonner que des jeunes atteints de toutes les hallucinations chimiques et psychiques fassent somme toute de l’art contemporain dans les cimetières.

    L’AGRIF naturellement va se porter partie civile dans l’affaire du cimetière de Marville. Mais elle va aussi poursuivre le Conseil Régional de Lorraine pour la haine sadique non seulement de la culture française, de la culture chrétienne mais tout simplement de la dignité humaine qu’exprime son exposition financée avec l’argent pris à tous les contribuables.

  • Odieux

    Samedi dernier, on pouvait lire sur le blog de l’écrivain « antiraciste » et « anticolonialiste » Claude Ribbe, auteur des « Nègres de la République », le texte d’une lettre ouverte qui était aussi une pétition adressée au président de la République. Elle disait ceci :

    « Césaire est mort. Mais son œuvre est indestructible. Voici tantôt deux ans, Monsieur le Président de la République, vous avez tenu à rencontrer Aimé Césaire et il vous a offert, je crois, son Discours sur le colonialisme. (...) Vous aurez bientôt à célébrer une date importante, celle de l’abolition de l’esclavage et je ne doute pas un instant que cela vous préoccupe, vous qui avez refusé la "repentance. On dit que vous assisterez à la commémoration du 10 mai 2008. On dit aussi qu’elle pourrait se réduire à une singerie accommodée par des gens qui n’ont ni compétence, ni légitimité pour parler de l’esclavage et de ceux qui en sont issus. Alors plutôt que d’enterrer la loi du 10 mai 2001 par un ridicule spectacle de patronage, indigne de votre présence et qui irriterait l’Outre-mer, vous pourriez ce jour là honorer les descendants d’esclaves en accompagnant au Panthéon l’un des plus grands d’entre eux, l’auteur du Discours sur le colonialisme et de Toussaint Louverture. Ce serait pour vous l’occasion de rappeler au monde entier que la France, pays des droits de l’homme, n’a peur ni de son histoire ni de ses auteurs réputés dérangeants et peut se retrouver sans crainte au sein d’une mémoire partagée. J’ose solliciter de votre haute bienveillance, Monsieur le Président de la République, un décret pour que la dépouille d’Aimé Césaire, après des funérailles nationales exceptionnelles, soit transférée au Panthéon le samedi 10 mai 2008. »

    Aimé Césaire, 94 ans, a été hospitalisé le soir du 9 avril dans un état préoccupant. Mais samedi, s’il était toujours en soins intensifs, il n’était pas mort. Et ce lundi matin, son état est stationnaire. Il est particulièrement odieux de parler de la « dépouille » de l’écrivain qui n’est pas mort, et de se servir de sa notoriété, pour mener une petite opération de propagande médiatique « anticolonialiste ».

    Claude Ribbe a tout de même supprimé ce texte de son blog. Mais il figure toujours sur le site ipétitions, où il a été corrigé d’une façon tellement maladroite qu’elle ne fait qu’en accentuer le caractère odieux. Au lieu de « Césaire est mort », il commence par « Césaire est à l’agonie ». La dernière phrase a été supprimée, et après la demande de panthéonisation est ajouté : (si il venait à mourir d'ici là). Sic.

  • Actualité de l’Agrif

    L’Agrif, qui a condamné les profanations d’Arras et de La Rochelle , se porte partie civile dans ces deux affaires.

    Par un communiqué de Jeanne Smits, l’Agrif dénonce la prochaine exposition Jan Fabre au Louvre. L’affiche montre, sur fond de la Descente de Croix du Maître de la Saint-Barthélémy , un agneau en bronze doré… portant un chapeau de carnaval. L’œuvre est intitulée Sanguis sum. On voit aussi dans l’exposition « des mises en scène de crânes humains tenant entre leurs dents des animaux empaillés et entourés de croix renversées, des statues de bronze aux jambes lardées de jambon, ou encore une figurine de l’artiste, Je me vide de moi-même, dont le nez saigne en permanence. Et, dans la galerie Médicis qui présente vingt-quatre toiles monumentales de Rubens, un autre « auto-portrait » où Jan Fabre se présente comme Le plus grand ver du monde, lombric rose et obscène au visage de l’artiste, lové sur un gigantesque parterre de pierres tombales brisées. » La commissaire de l’exposition est Marie-Laure Bernadac, responsable en l’an 2000 de l’exposition « Présumés innocents », à Bordeaux...

    L’Agrif dénonce l’émission « Samantha oups » du dimanche 6 avril sur France 2, où le comédien, déguisé en Don Camillo, dit avoir un collier et des chips dans un sac : il s’agit d’un chapelet et d’hosties.

  • Persécution

    Le ministre belge de la Justice a demandé au Parlement européen la levée de l’immunité parlementaire de Frank Vanhecke, « afin de pouvoir le poursuivre sur la base de la loi contre le racisme », fait savoir le Vlaams Belang, dont Frank Vanhecke est l’ancien président.

    Frank Vanhecke fait l’objet d’une plainte émanant déposée par le maire socialiste de Saint-Nicolas, suite à la parution en avril 2005 d’une publication du Vlaams Belang évoquant un acte de vandalisme attribué à des étrangers.

    Frank Vanhecke, éditeur responsable de la publication, n’est pas l’auteur du texte. L’auteur s’est d’ailleurs présenté de lui-même au parquet.

    « Il est clair comme de l’eau de roche que l’Etat belge veut tirer profit d’un motif futile pour s’en prendre à l’une des figures de proue du parti de l’indépendance flamande », commente le Vlaams Belang.

  • La lutte contre les discriminations au Sénat

    Le Sénat a voté dans la nuit le projet de loi transcrivant les injonctions de la Commission européenne concernant la lutte contre les discriminations.

    Les sénateurs ayant voté des amendements, contre l’avis du gouvernement (!), le texte devra retourner à l’Assemblée nationale.

    Le gouvernement, représenté par Nadine Morano, a néanmoins obtenu le rejet de trois amendements identiques qui avaient pourtant été adoptés à l’unanimité en commission. Ils visaient à supprimer l’une des dérogations à la non-discrimination universelle, directe ou indirecte, etc., autorisant « l’organisation d’enseignements par regroupement des élèves en fonction de leur sexe ».

  • Les bons racistes

    Aujourd’hui il n’y a plus de directeurs du personnel dans les entreprises. Il y a des « directeurs de ressources humaines ». Je ne sais pas si le personnel se croit ainsi valorisé, mais en ce qui me concerne l’expression « ressources humaines » me fait penser à « ressources pétrolières ». Or en effet, en économie, on définit aujourd’hui deux sortes de ressources : les ressources naturelles et les ressources humaines. Ce qui met l’homme sur le même plan que les minerais.

    On ne dit même plus « directeur des ressources humaines », mais « DRH ». Un sigle qui finit de déshumaniser la « matière » dont il est question.

    Il existe une « association nationale des directeurs de ressources humaines ». Elle émet chaque année des « propositions ». Pour 2008, elle souhaite « la mise en place progressive d’un outil de mesure »... de l’origine des salariés.

    Il s’agit de la contribution des « DRH » au vertueux combat pour la « diversité ». Car l’ANDRH travaille à un « label diversité », notamment avec le ministère de l’Immigration et de l’Identité nationale. Mais pour que le « label diversité » puisse réellement promouvoir la diversité, il faut un instrument qui permette de « mesurer l’équité à l’égard des origines ». Car on ne peut pas demander aux entreprises de progresser si celles-ci n’ont pas de chiffres pour mesurer la discrimination, souligne la « déléguée générale adjointe » Catherine Tripon.

    L’instrument en question serait naturellement « placé sous l’égide de l’Etat, et (ou) de la Halde , et (ou) de la Cnil  ».

    L’ANDRH fait donc pression pour que des statistiques raciales et ethniques (car il s’agit bien de « couleur de peau » et de « consonance des noms ») soient élaborées Afin de pouvoir déterminer s’il y a assez de Noirs et de Mouloud dans les entreprises. Sur quels critères, selon quels quotas ? Cela on ne nous le dit pas.

    Mais le fait de se focaliser par exemple sur un Noir, parce que telle est sa couleur de peau, en évoquant son « origine » noire (!?) sans s’occuper de savoir s’il est français (éventuellement depuis de très nombreuses générations) ou étranger, s’il est plus compétent ou moins compétent qu’un candidat blanc, c’est ouvertement du racisme. C’est faire du Noir une ressource au sens le plus déshumanisé. On appelait cela, autrefois, le bois d’ébène.

  • Le racisme en France

    Le rapport annuel de la Commission nationale consultative des droits de l’homme sur le racisme en France a été remis aujourd’hui au Premier ministre.

    Il doit constater une baisse de 23,5% des faits racistes, xénophobes et antisémites (707 en tout, y compris les « menaces », c’est-à-dire les insultes de comptoir...).

    Je vous laisse imaginer les tableaux publiés (violences racistes, menaces racistes, actes d’antisémitisme, par régions, par départements...) avec plein de petites cases où est inscrit le chiffre zéro, malgré l’acharnement des autorités à débusquer partout un racisme inexistant.

    Ces dernières années, on se rattrapait sur le « sondage » : celui-ci était très inquiétant car il montrait qu’une proportion trop importante de Français avoue être « raciste ». Ou « un peu racistes »... Or voilà que 48% des Français se disent « pas du tout racistes », soit 4 points de mieux que l’an dernier.

    Cela n’empêche pas la commission de clamer que la tendance à une augmentation de la violence est « confirmée »... parce que les chiffres « restent plus élevés que ceux de la période 1990-2000 ».

    N.B. Le rapport est disponible sur internet. On constate que la CNCDH a abandonné ses tableaux avec toutes les petites cases pleines de zéros...

    On constate aussi que la CNCDH ne peut pas traiter du racisme anti-blanc ou anti-français puisqu'elle traite des actes ou des menaces "racistes et xénophobes", les deux mots étant judicieusement indissociables...

  • Le CSA et la « diversité »

    Le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) a annoncé la création d’un Observatoire de la diversité dans les médias, qui sera présidé par Rachid Arhab et composé de dix membres, dont un représentant de la Halde.

    « Miroir de la société, les médias se doivent de présenter un visage conforme à la France d’aujourd’hui. Le CSA souhaite inciter les opérateurs à mettre en avant la diversité dans les programmes audiovisuels, et à lutter contre les discriminations. »

    Comme chacun le sait désormais, la « mise en avant de la diversité » est l’appellation politiquement correcte de la discrimination positive en faveur des minorités raciales.

    La diversité ne s’étend évidemment pas à ceux qui ont des opinions religieuses ou politiques non conformes.

  • L’anti-discrimination jusqu’à l’absurde

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Les médias sont peu diserts sur le nouveau projet de loi contre les discriminations adopté hier soir par l’Assemblée nationale.

    Il convient de rappeler que la Commission européenne avait engagé trois procédures pour obliger la France à mieux transcrire dans son droit des directives de 2000 et 2002.

    Il s’agissait notamment de définir la discrimination indirecte (ce qui ouvre la voie à une chasse aux sorcières sans limites) et de préciser qu’il est interdit d’enjoindre à quiconque de pratiquer une discrimination...

    C’est la lutte contre la discrimination jusqu’à l’absurde. Au point qu’il faut ajouter une série de dérogations pour expliquer que certaines « différences de traitement » selon le sexe ne sont pas des discriminations...

    Ainsi va la dictature de Bruxelles, qui transforme les parlements en simples chambres d’enregistrement de ses ubuesques directives.

    Il n’y avait donc qu’une vingtaine de députés en séance pour avaliser cette humiliation.

    Mais par cette vingtaine de larbins, c’est la France qui est humiliée.

  • La folie anti-discriminations

    Comme prévu, l’Assemblée nationale a repris ses travaux par l’examen d’un projet de loi qui retranscrit trois directives européennes sur la lutte contre les discriminations.

    Il n’y avait qu’une vingtaine de députés en séance, alors qu’il s’agit d’un sujet qui mobilise en permanence toutes les forces du politiquement correct. Mais à quoi bon se déplacer quand le Parlement ne joue que le rôle de chambre d’enregistrement des diktats bruxellois.

    On se souvient que la Commission européenne exigeait notamment que la France définisse la discrimination indirecte et précise qu’il est interdit d’enjoindre à quiconque de pratiquer une discrimination.

    Voilà qui est fait, dès l’article premier :

     « Constitue une discrimination indirecte une disposition, un critère ou une pratique neutre en apparence, mais susceptible d’entraîner, pour l’un des motifs mentionnés à l’alinéa précédent, un désavantage particulier pour des personnes par rapport à d’autres personnes, à moins que cette disposition, ce critère ou cette pratique ne soit objectivement justifié par un but légitime et que les moyens pour réaliser ce but ne soient nécessaires et appropriés. »

    « La discrimination inclut le fait d’enjoindre à quiconque d’adopter un comportement prohibé par l’article 2. »

    On constate que le champ de la « discrimination indirecte » est tellement large qu’on est obligé d’ajouter une restriction : la discrimination n’en est pas une si elle est « objectivement » justifiée...

    Le texte des directives est tellement absurde qu’il faut ensuite ajouter, au chapitre des discriminations selon le sexe, une série de dérogations, indiquant que dans un certain nombre de domaines la « différence de traitement » selon le sexe peut être justifiée...

    Pour l’opposition, ce n’est pas encore assez. C’est une transcription a minima, un texte incomplet, etc.

    Le gouvernement était représenté par Valérie Létard, sous-ministre à la Solidarité , qui en fait s’est montrée d’accord avec l’opposition, car pour le gouvernement aussi, on n’en fera jamais assez contre les discriminations. Elle a souligné qu’« avec ce projet de loi le gouvernement n'a pas l'intention d'en rester là mais d'en faire son cheval de bataille », et elle a annoncé d’autres initiatives à venir : une loi sur le statut des beaux-parents, une loi sur l’égalité homme-femme, la ratification de la convention des Nations Unies sur les droits des handicapés, un sommet européen contre les discriminations...