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Antiracisme - Page 36

  • A propos de la « diversité »

    Voici un communiqué de Publicis, diffusé par PR Newswire, qu’il faut lire intégralement et attentivement. (Merci à DF). PR Newswire se dit « le plus vaste réseau de diffusion d’information au monde »

     

    Londres, 18 Janvier

    Diffusé par PR Newswire pour Publicis Groupe Services

    PARIS, January 18 /PRNewswire/ -- L'Anti-Defamation League américaine (ADL) a distingué Maurice Lévy, Président du Directoire de Publicis Groupe, en lui décernant l'International Leadership Award 2008. C'est la quatrième fois seulement au cours de ses 90 années d'existence que l'ADL attribue cette prestigieuse distinction à un dirigeant international.

    Elle a choisi Maurice Lévy pour son exceptionnelle carrière professionnelle et son engagement permanent en faveur de la tolérance et de la diversité, tant en France qu'au Moyen-Orient et dans le reste du monde. Cette récompense lui a été remise le 17 janvier, lors d'un dîner de gala au Waldorf Astoria Hotel de New York. Deux des quatre précédents lauréats étaient présents lors de ce diner : Sir Lindsay Owen-Jones, Président de L'Oréal, et Neville Isdell, Président de Coca-Cola. Le discours d'inauguration de la cérémonie a été prononcé par Bernard Henri-Lévy. Abraham H. Foxman, Directeur national de l'ADL, a déclaré lors de la remise de ce prix : « Maurice a su mettre sa vision en pratique et faire de Publicis Groupe, non seulement un des grands groupes internationaux de publicité et de communication, mais également un leader dans la promotion de la diversité et du respect de la culture et de l'identité. » Dans son discours d'ouverture, Bernard-Henri Lévy a souligné avec éloquence les nombreux succès de Maurice Lévy, ainsi que son engagement envers l'apaisement des tensions au Moyen-Orient. « Maurice s'est toujours battu pour défendre ses idées. Il est un exemple pour nous tous », a affirmé Bernard-Henri Lévy.

    En recevant cette distinction, Maurice Lévy, Président du Directoire de Publicis Groupe, a déclaré : « Je suis extrêmement honoré de recevoir ce prix de l'Anti-Defamation League. Il me rend d'autant plus fier de ce que les réseaux et les agences du Publicis Groupe ont réalisé au fil des années. Nous avons intégré la diversité au cœur de nos politiques de recrutement et de fidélisation de nos employés, dans tout le Groupe, et dans le monde entier. « Viva la différence est notre devise depuis longtemps. Nous allons poursuivre dans cette voie pour que tous nos collaborateurs, qu'ils soient à Shanghai, à São Paulo ou encore à New York, sachent combien la diversité est un principe fondamental de notre Groupe. »

    Publicis Groupe (Euronext Paris : FR0000130577) est le 4ème groupe mondial de communication, le deuxième groupe mondial en conseil et achat media, ainsi que le leader mondial en communication digitale et dans la santé. Le Groupe est présent dans 104 pays sur les 5 continents et compte environ 44 000 collaborateurs. Site internet: http://www.publicisgroupe.com/.

    Anti-Defamation League (ADL) Depuis plus d'une centaine d'années, l'Anti-Defamation League (ADL) mène un combat sans faille contre le racisme, la bigoterie, l'intolérance et l'antisémitisme. L'ADL est aujourd'hui leader en matière d'éducation dans le domaine de la diversité au sein des écoles, diverses communautés et entreprises à travers les Etats-Unis.

  • L’« anti-discrimination » tous azimuts

    Hier, au conseil des ministres, Xavier Bertrand a présenté un projet de loi portant diverses dispositions d’adaptation au droit communautaire dans le domaine de la lutte contre les discriminations (il s’agit de l’application de trois directives).

    Au cours de ce même conseil des ministres, Rachida Dati a présenté une communication relative à la lutte contres les discriminations. Elle a fait le point sur les « pôles anti-discrimination » dont la création a été décidée le 11 juillet dans chaque tribunal de grande instance, et dont l’action est complémentaire de celle de la Halde. Un pôle a été mis en place dans les 181 tribunaux, et 108 délégués du procureur, ont été désignés. Ces délégués sont « issus du monde associatif », et Rachida Dati cite Boulevard des potes, l’UDAF, Sidaventure, le Mrap, la Licra.

    Le garde des Sceaux a rappelé qu’elle a signé le 14 décembre une convention avec SOS Racisme et la Licra. « Ces conventions ont deux ambitions » : la première est de mobiliser les comités locaux des associations « pour qu’ils contribuent à identifier les pratiques discriminatoires » (c’est leur travail d’auxiliaires de police de la pensée), la seconde est d’ « animer des formations spécialisées au bénéfice des professionnels, magistrats et enquêteurs » ( la Licra et SOS Racisme sont promues professeurs de formatage des magistrats...). Les associations ont « un rôle fondamental à jouer » : « aider les pôles à constituer un réseau local de lutte contre les discriminations », « tenir des permanences d’information », « contribuer aux actions de sensibilisation dans les établissements scolaires et les universités », « accompagner les victimes dans leurs démarches »...

    Ce même 19 décembre, Louis Schweitzer, président de la Halde , a présenté le « guide pratique de lutte contre les discriminations, le racisme, l’antisémitisme, la xénophobie et l’homophobie » mis à la disposition des policiers, en application de la convention de partenariat entre la police nationale et la Halde signée il y a un an. Il s’agit d’un logiciel informatique qui doit permettre aux policiers de recevoir et traiter plus efficacement les plaintes pour discrimination. Il sera également utilisé dans le cadre de la formation initiale et continue des policiers.

    Demain vendredi, la gendarmerie nationale signera à son tour avec la Halde une convention, destinée à « étoffer » le dispositif de lutte contre les discriminations, avec un guide du type de celui remis aux policiers, la création d’un « comité de pilotage » devant « promouvoir les bonnes pratiques », et la mise en place d’un « référent de chacune des institutions » afin de « permettre un échange d’information continue ».

    Rappelons que le 17 décembre, Louis Schweitzer a présenté 17 propositions pour « l’égalité des chances ». Il recommande notamment que l’accord interprofessionnel relatif à la « diversité » dans l’entreprise, conclu en octobre 2006, « se concrétise avec des accords spécifiques par branches », ajoutant que le bilan social des entreprises devra intégrer un chapitre sur les actions prises contre les discriminations, ainsi que des actions d’information des salariés...

    Les entreprises où il n’y a aucun problème de ce genre devront donc inventer des « actions ». On comprend surtout qu’elles devront faire le point sur les « diversités » qu’elles auront nécessairement embauchées dans l’année, sous peine d’être condamnées pour discrimination.

    Car tout cela a essentiellement pour but de détruire l’identité française, en faisant accepter l’immigration sans frein, la discrimination positive (la seule légale), la stigmatisation de la préférence nationale, la promotion de l'homosexualité, etc.

  • 17 « propositions » pour « l’égalité des chances »

    Le président de la Halde , Louis Schweitzer, clôturant au Sénat l’année européenne de l’égalité des chances, a souligné qu’il ne suffisait pas « d’exprimer des intentions », mais qu’il « faut prendre des mesures concrètes ». « Il s’agit d’un combat pour une rupture », a-t-il dit, bien dans la ligne sarkozyste. Et il a soumis au gouvernement, représenté par Brice Hortefeux, 17 propositions.

    On retiendra surtout celle qui concerne les « discriminations » en matière d’emploi : il recommande que l’accord interprofessionnel relatif à la « diversité » dans l’entreprise, conclu en octobre 2006, « se concrétise avec des accords spécifiques par branches ». Et il ajoute que le bilan social des entreprises devra intégrer un chapitre sur les actions prises contre les discriminations, ainsi que des actions d’information des salariés...

    Les entreprises où il n’y a aucun problème de ce genre devront donc inventer des « actions ».

    On comprend surtout qu’elles devront faire le point sur les « diversités » qu’elles auront nécessairement embauchées dans l’année, sous peine d’être condamnées pour discrimination.

  • Le congé paternité des lesbiennes...

    L’affaire de la femme homosexuelle qui exige le droit à un « congé paternité » pour le fils de sa « compagne » est arrivée hier devant la cour d’appel de Rennes.

    L’assurance maladie, puis le tribunal des affaires de sécurité sociale, le lui avaient refusé, au motif très simple que le congé paternité est, comme son nom l’indique, réservé au père.

    A l’audience, le délégué juridique de la CPAM de Nantes a ajouté que la caisse doit appliquer « strictement » la législation,  car le père biologique, même s’il s’agit le plus souvent de cas d’insémination artificielle, pourrait lui aussi réclamer la prestation.

    Naturellement, l’avocat de la lesbienne invoque la Convention européenne des droits de l’homme et le traité de l’Union européenne (en attendant la Charte des droits fondamentaux...), qui condamnent les discriminations liées à "l'orientation sexuelle".

    On notera que la Halde a apporté son soutien à la plaignante, et a recommandé au gouvernement de « substituer à la notion de congé paternité fondée sur le lien de filiation, un congé d’accueil du jeune enfant ».

    On voit l’enjeu de ce procès très clairement idéologique : il s’agit d’imposer la notion de « genre », effaçant la distinction entre les sexes. Et la Halde va encore plus loin, demandant de supprimer carrément la notion de filiation, et donc de famille : l’enfant n’a plus de père, il y a seulement une personne indéterminée qui l’« accueille ».

    La cour d'appel doit rendre son arrêt le 30 janvier.

  • La SNCF renforce ses pratiques discriminatoires

    Anne-Marie Idrac, présidente de la SNCF , a lancé hier, en compagnie de 200 jeunes de ce qu’elle appelle (comme les trotskistes) les « quartiers populaires », une nouvelle opération de recrutement de jeunes « issus de la diversité ».

    « Sur les 20 mois, 1.034 recrutements ont eu lieu dans les quartiers populaires, au lieu de 500 auparavant », a-t-elle dit. Ce qui représente désormais 13% des embauches. On est donc pas loin de l’objectif des 15% que s’était fixé son prédécesseur Louis Gallois. Mais pour Anne-Marie Idrac, « c’est la limite basse de ce que nous devons faire ». Elle n’a pas précisé ce que serait la limite haute.

    Outre cette première réunion au siège de la SNCF , l’entreprise en organise d’autres, cette semaine, à Lille, à Villeurbanne et à la Plaine Saint-Denis. Chaque fois, des centaines de jeunes des « quartiers populaires » pourront avoir un entretien individuel afin d’entrer dans le circuit de recrutement de l’entreprise.

    C’est de la discrimination, dite positive, plein pot. Au nom de la lutte « contre toutes les discriminations », à laquelle s’est engagée la SNCF en signant en 2004 la « Charte de la diversité » élaborée par l’institut Montaigne.

     Anne-Marie Idrac prétend que la SNCF ne pas « faire de quotas ». En réalité elle impose un quota évolutif, dont le taux est « toujours plus », en organisant des réunions d’embauche exclusivement réservées aux jeunes « issus de la diversité ».

    On remarquera qu’Anne-Marie Idrac insiste sur le fait que la SNCF « ne fait pas de recrutements au rabais », et que le processus est « le même pour tous ». Sauf que les jeunes des quartiers « non populaires » devront attendre que l’entreprise ait fini son opération de recrutement de la « diversité » pour savoir si par hasard il reste des postes à pourvoir...

  • A propos des statistiques ethniques

    Un nouveau modèle statistique américain montre que le risque de cancer du sein chez les Noires de plus de 45 ans aux Etats-Unis est deux fois supérieur à celui évalué jusqu’à maintenant.

    Le modèle en cours, appliqué aux femmes noires, restait basé sur les statistiques de cancer du sein chez les femmes blanches.

    Le nouveau modèle a été élaboré exclusivement à partir de données de Noires.

    Ces statistiques sont notamment utilisées pour déterminer les femmes éligibles pour participer à des essais cliniques de nouveaux traitements anti-cancéreux, et aussi, naturellement, pour les soins préventifs.

    En France, un tel outil est impossible à concevoir et plus encore à utiliser, car les statistiques ethniques sont interdites.

    C’est une nouvelle preuve que l’antiracisme est raciste.

  • La Halde en veut toujours plus

    Le président de la Haute autorité contre les discriminations (Halde), Louis Schweitzer (l’homme qui est arrivé en tête des patrons aux plus forts revenus en 2006, avec une plus value de près de près de 11 millions d’euros sur une vente de stock-options) souhaite avoir des « moyens d’enquête » supplémentaires. Il se plaint que les agents de la Halde doivent avertir de leur visite les entreprises dans lesquelles qu’elles soupçonnent de discrimination. Il souhaite aussi que le testing (que la Halde a fait légaliser) puisse plus facilement servir de preuve dans les procès.

    En attendant, la machine inquisitoriale tourne à plein rendement : des testings sont en cours dans vingt grands intermédiaires de l’emploi (agences d’intérim) et dans les entreprises du CAC 40...

  • La Cnil victime de l’antiracisme d’Etat

    La décision du Conseil constitutionnel d’interdire toutes statistiques ethniques met la Commission informatique et libertés dans une « position intenable », déclare le président de le Cnil, Alex Türk, dans une interview à Libération. « La première conséquence très concrète est que nous devions examiner une enquête sur la question des flux migratoires entre le Sénégal et la France », et que « j’ai décidé de la faire sauter de l’ordre du jour ». « Le pire serait que cette décision remette en cause, par ricochet, les enquêtes médicales. En matière dermatologique, par exemple, c’est important de savoir si la personne est noire ou blanche, tout le monde sait que les peaux ne réagissent pas de la même manière. »

    C’est toute la différence entre l’idéologie (les races n’existent pas) et la réalité (et pourtant elles existent).

  • Le Préfet préfère servir la soupe à l’extrême gauche

    Communiqué de Stéphane Ravier, tête de liste FN aux municipales de Marseille

    Stéphane Ravier condamne la décision du préfet d’interdire la distribution de soupe au lard aux SDF par les Jeunesses identitaires qui devait avoir lieu samedi soir.

    Il constate que le lobby de gauche pro-immigrés dicte sa loi à l’Etat de Sarkozy qui prétendait na pas céder à la rue.

    Il remarque que la préfet aux ordres du ministre interdit ce qui est un geste rare de solidarité de Français envers d’autres Français au moment où la discrimination positive établit une véritable préférence étrangère de fait dans notre pays.

    Il rappelle, en le déplorant, que le préfet ne manque jamais d’autoriser les manifestations de sans-papiers à Marseille et toutes autres manifestations tout aussi illégitimes des secteurs les plus variés de l’anti-France.

    Il indique que l’hiver rigoureux tue chaque année des SDF dans notre pays, que des SDF sont morts de froid dans notre ville même, et que la soupe au lard, vieille recette familiale française, est un plat très énergétique pouvant permettre à ces malheureux jetés à la rue par l’incurie des gouvernements successifs, de « tenir » un peu.

    Il demande au préfet de revenir sur sa décision et d’être plus efficace dans des domaines où les défaillances de ses services sont criantes, notamment la sécurité dans les foyers pour SDF devenus de véritables repaires où racket et trafics en tout genre se multiplient au détriment des vrais SDF qui, pour cette raison, sont acculés à dormir dans la rue.

    Il indique à tous ceux qui ne peuvent manger de porc que beaucoup d’associations grassement subventionnées pourvoient déjà à leurs besoins.

    Stéphane Ravier promet de soutenir les plus faibles de nos compatriotes et de défendre la préférence nationale et sociale totale au bénéfice des Français.

    Stéphane Ravier assure les Jeunesses identitaires de sa totale sympathie et salue leur bel exemple d’altruisme, le vrai, à des lieues de celui de la gauche qui aime le lointain pour mieux mépriser le prochain.

  • Le cochon xénophobe

    La préfecture des Bouches du Rhône interdit la distribution d’une soupe au cochon prévue samedi à Marseille par l’association Solidarité marseillaise. L’arrêté d’interdiction a été signé par le préfet délégué à la sécurité et à la défense, qui s’appelle Marx, « en raison des risques de troubles à l’ordre public et du caractère discriminatoire de cette initiative ».

    La préfecture a donc suivi le MRAP, qui avait demandé cette interdiction parce que « sous le couvert d’une action de solidarité, il s’agit en fait d’une initiative porteuse de tous les germes de la discrimination raciale ».

    La soupe au cochon a déjà été interdite à plusieurs reprises, notamment à Paris, à Strasbourg et à Nice. Le Conseil d’Etat avait même annulé une décision du tribunal administratif de Paris qui l’avait autorisée. Le tribunal administratif de Nice avait quant à lui confirmé le caractère « discriminatoire » et « xénophobe » de la soupe au cochon.

    On aimerait savoir sur quelle base juridique on peut se fonder pour décréter de telles interdictions. Il n’existe certainement pas de loi qui stipule que donner à manger du cochon serait discriminatoire et xénophobe.

    Du reste, si l’on entend par là qu’il s’agirait d’une discrimination envers les musulmans, ce serait contraire au principe de laïcité. La République ne connaît aucune religion. Le qualificatif de xénophobe est encore plus étonnant, car il désigne en outre les musulmans comme des étrangers, alors que nombre d’entre eux sont français.

    En réalité, la justice française ne pourrait que se référer à la charia pour interdire la soupe au cochon. De fait, les préfets et les juges obéissent à l’islam, et non au droit français. Peut-être est-ce la raison du qualificatif de « xénophobe » : le droit islamique que l’on applique est encore considéré comme un droit étranger...