Vladimir Poutine a nommé ambassadeur de Russie aux Etats-Unis Anatoli Antonov. Ancien vice-ministre de la Défense (2011-2016), puis des Affaires étrangères, Anatoli Antonov est sur la liste noire des personnalités interdites d’entrée dans l’UE depuis 2015 en raison de son « implication dans le soutien au déploiement de troupes russes en Ukraine ».
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Au Chili
La Cour constitutionnelle du Chili a rejeté hier les deux recours contre la loi sur l’avortement déposés par l’opposition. Elle considère donc que l’avortement est compatible avec l’article 19 de la Constitution qui stipule que « la loi protège la vie de ce qui est à naître »…
Dès que la présidente de la République Michelle Bachelet aura signé le texte, l’avortement sera donc légal au Chili en cas de viol, de non viabilité du fœtus ou de danger pour la vie de la mère.
C’est « une victoire importante pour les droits humains », a aussitôt salué Amnesty International.
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Wanted
Cet homme est dangereux. Plus dangereux que les terroristes : il veut qu’on les accueille sans condition et qu’on les aide, et il pose en principe que la sécurité des jihadistes passe avant la sécurité nationale...
Dans un texte répercuté dans le monde entier, il écrit que :
• « Tout immigré qui frappe à notre porte est une occasion de rencontre avec Jésus Christ, qui s’identifie à l’étranger de toute époque accueilli ou rejeté ». Je n’avais pas encore entendu dire que Jésus Christ fût un islamiste venant dans l’ancien Occident chrétien pour perpétrer des massacres et (ou) y faire régner la charia.
• « Le principe de la centralité de la personne humaine (…) nous oblige à toujours faire passer la sécurité personnelle avant la sécurité nationale. » La sécurité des jihadistes prime celle de leurs victimes. (Dans la parenthèse il y a une référence aussi absurde qu’hallucinante à Benoît XVI.)
• Les clandestins doivent avoir « la garantie d’une subsistance minimum vitale ». Ils doivent avoir « la liberté de mouvement dans le pays d’accueil, la possibilité de travailler et l’accès aux moyens de télécommunication ».
• « Dans le respect du droit universel à une nationalité, celle-ci doit être reconnue et opportunément assurée à tous les enfants à la naissance. »
• « Il faut reconnaître à la dimension religieuse sa juste valeur, en garantissant à tous les étrangers présents sur le territoire la liberté de profession et de pratique religieuse. » Il est impératif de construire partout des mosquées salafistes.
• Il faut favoriser « le regroupement familial – y compris des grands-parents, des frères et sœurs et des petits-enfants – sans jamais le soumettre à des capacités économiques ».
• Le processus d’intégration « peut être accéléré à travers l’offre de citoyenneté dissociée des capacités économiques et linguistiques ». Tout migrant doit obtenir la nationalité du pays où il se trouve même s’il ne parle pas la langue et n’a aucun moyen de subsistance.
Il n’y a manifestement pas que les Allahouakbar qui sont déséquilibrés…
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Octave de l’Assomption
Par un décret de la Congrégation des rites daté du 4 mai 1944, Pie XII instituait la fête du Cœur immaculée de Marie le 22 août. A savoir le jour de l’octave de la fête de l’Assomption. Comme s’il avait déjà décidé de supprimer cette octave, ce qu’il fera 11 ans plus tard.
Retrouvons saint Bernard, dans son quatrième sermon sur l’Assomption, dont les lignes suivantes étaient la lecture du deuxième nocturne des matines (ce sont en fait des extraits, bien choisis et agencés, de la deuxième moitié du sermon).
Rien ne me charme, mais aussi rien ne m’effraie plus, que de parler des gloires de la Vierge Marie. Si je loue sa virginité, beaucoup de vierges se présentent à mon souvenir. Si je célèbre son humilité, il s’en trouve au moins quelques-uns qui, à l’école de son Fils, sont devenus doux et humbles de cœur. Si je veux exalter sa grande miséricorde, il y a eu des hommes et aussi des femmes qui ont exercé la miséricorde. Mais il est un point où Marie n’a eu, ni devancière ni imitatrice, c’est qu’elle a tout ensemble, et les joies de la maternité et l’honneur de la virginité. C’est là le privilège de Marie, il ne sera pas donné à une autre ; il est unique et par cela même il est ineffable.
Néanmoins, elle n’a pas que cela de particulier. A bien considérer toutes ses vertus, on trouve que celles-là même qui semblent lui être communes avec d’autres, lui sont spécialement propres. Quelle pureté, fût-ce la pureté des Anges, osera-t-on mettre en parallèle avec celle qui a rendu Marie digne de devenir le sanctuaire du Saint-Esprit, et la demeure du Fils de Dieu ? Et quelle admirable et précieuse humilité, jointe à une si grande pureté, à une parfaite innocence, à une conscience exempte de toute ombre de faute, et, pour mieux dire, à une si merveilleuse plénitude de grâce ! D’où vous vient cette humilité et cette humilité si grande, ô Vierge bienheureuse ? Elle était digne assurément des regards du Seigneur, c’est de sa beauté que le Roi a été épris, c’est son parfum très suave qui, attirant le Fils de Dieu, l’a fait sortir de l’éternel repos qu’il goûte dans le sein de son Père.
Nous vous avons accompagnée de tous les vœux possibles, quand vous montiez vers votre Fils, et nous vous avons suivie du moins à distance, ô Vierge bénie ! Que votre bonté fasse connaître au monde la grâce que vous avez trouvée auprès de Dieu : obtenez par vos saintes prières le pardon aux coupables, la guérison aux malades, la force aux âmes faibles, la consolation aux affligés, le secours et la délivrance à ceux qui sont en péril. O Marie, reine de clémence, qu’en ce jour de solennité et d’allégresse vos humbles serviteurs qui louent et invoquent votre très doux nom soient comblés des dons de la grâce par Jésus-Christ votre Fils, notre Seigneur, qui est le Dieu souverain, béni dans tous les siècles. Amen.
Dernier répons du deuxième nocturne (dans le bréviaire monastique, toujours) :
℟. Ista est speciosa inter filias Jerusalem, sicut vidistis eam plenam caritate et dilectione, * in cubilibus et in hortis aromatum. ℣. Ista est quæ ascendit de deserto, deliciis affluens. In cubilibus et in hortis aromatum. Gloria Patri. In cubilibus et in hortis aromatum.
Elle est belle parmi toutes les filles de Jérusalem, ainsi que vous l'avez vue pleine de charité et de dilection, dans les chambres et les jardins des parfums. C’est elle qui monte du désert, pleine de délices. Dans les chambres et les jardins des parfums. Gloire au Père… Dans les chambres et les jardins des parfums.
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Et Albert Pike ?
La frénésie de destruction de statues de méchants sudistes, notamment du général Lee, ne s'étend pas, curieusement, au général Pike, l'un des fondateurs du Ku Klux Klan...
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Oui, il y a un lien
« Il existe un lien très clair entre le fondamentalisme, le terrorisme et les principes de base de l’orthodoxie islamique. (…) L’Occident doit cesser de déclarer islamophobe la réflexion sur ces questions. »
Le propos est de Kyai Haji Yahya Cholil Staquf, secrétaire général du conseil suprême de la Nahdlatul Ulama (renaissance des oulémas), qui est la plus grande organisation musulmane indonésienne, et donc du monde (40 millions de membres).
La Nahdlatul Ulama accepte le syncrétisme indonésien et les soufis (son secrétaire général en est un) ; elle est concurrencée par la Muhammadiyah (30 millions de membres) qui rejette syncrétisme et soufis et veut purifier l’islam indonésien selon le Coran et la Sunna, mais selon un système éducatif « moderne ». En fait les deux organisations représentent le fameux islam indonésien modéré, qui est de plus en plus battu en brèche par l’islamisme.
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Saint Charbel
Une statue géante de saint Charbel (23 mètres de haut sur un socle de 4 mètres, 40 tonnes) a traversé dimanche les rues de Jounieh et a été acheminée à Faraya, sur les hauteurs du Kesrouan.
Elle sera bénie le 14 septembre en la fête de la Sainte Croix.
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Dans l’octave de l’Assomption
Lecture des matines : début du quatrième sermon de saint Bernard sur l’Assomption.
C'est le moment de s'adresser à toute chair quand la Mère du Verbe incarné est enlevée dans les cieux, et la mortelle humanité ne doit point cesser de faire entendre ses louanges le jour où la seule nature humaine se trouve élevée dans la Vierge au dessus des esprits immortels. Mais si la dévotion ne nous permet pas de garder le silence aujourd'hui sur elle, notre intelligence paresseuse ne peut concevoir, et notre langue inhabile ne peut exprimer rien qui soit digne d'elle. Voilà pourquoi les princes eux-mêmes de la cour céleste, à la vue d'une chose si nouvelle, s'écriaient tout pleins d'admiration : « Quelle est celle qui monte ainsi du désert, pleine de délices (Cant. 8,5) ? » C'est comme s'il disaient en termes plus clairs : « Quelle est son importance, et d'où lui vient, puisqu'elle s’élève du désert, une telle affluence de délices ? On n'en trouve pas de semblables, même parmi nous, dont le cours impétueux du fleuve réjouit la vue dans la cité de Dieu (psaume 45), et qui, sous ses yeux, buvons à longs traits, dans un torrent de délices.
Quelle est cette femme qui vient de dessous le soleil, de là où il n'y a que labeur, douleur, affliction d’esprit (Ecclesiaste), et qui monte, comblée de délices spirituelles ? Pourquoi ne dirais-je point que ces délices, ce sont la gloire de la virginité, avec le don de la fécondité, la marque insigne de l’humilité, le doux rayon de miel de la charité, les entrailles de la miséricorde, la plénitude de 1a grâce, et le privilège d'une gloire unique ? Aussi, en s'élevant de ce désert, la Reine du monde, comme l'Église le dit dans ses chants, « est devenue belle et douce à voir dans ses délices » (antienne de l’office de la Sainte Vierge) même aux yeux des autres.
Qu'ils cessent pourtant d'admirer les délices de ce désert, car le Seigneur a répandu sa bénédiction, et notre terre a porté son fruit (Psaume 84). Qu'ont-ils à admirer Marie quand elle s'élève du désert de cette terre comblée de délices ? Ils ont bien plus de quoi admirer dans le Christ devenu pauvre, quand il était riche de la plénitude du royaume du ciel, car il me semble bien plus étonnant de voir le fils de Dieu descendre au-dessous même des anges (psaume 8) que Marie s'élever au dessus d'eux. Son dénuement a fait notre richesse, et ses misères ont fait les délices du monde. Enfin, quand il était riche, il s'est fait pauvre pour nous, afin de nous enrichir par sa propre pauvreté (II Cor. 8,9).
Troisième répons :
℟. Quæ est ista quæ procéssit sicut sol, et formósa tamquam Jerúsalem ? * Vidérunt eam fíliæ Sion, et beátam dixérunt, et regínæ laudavérunt eam. ℣. Et sicut dies verni circúmdabant eam flores rosárum et lília convállium. * Vidérunt eam fíliæ Sion, et beátam dixérunt, et regínæ laudavérunt eam. Glória Patri. * Vidérunt eam fíliæ Sion, et beátam dixérunt, et regínæ laudavérunt eam.
Quelle est celle-ci qui s’avance comme le soleil, et belle comme Jérusalem ? (Cantique 8,5) Les filles de Sion l’ont vue et l’ont dite bienheureuse, et les reines l’ont louée. Et comme un jour de printemps, les roses l’entouraient, ainsi que les lys des vallées (Ecclésiastique 50,8). Les filles de Sion l’ont vue et l’ont dite bienheureuse, et les reines l’ont louée. Gloire au Père... Les filles de Sion l’ont vue et l’ont dite bienheureuse, et les reines l’ont louée.
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Dimanche dans l’octave de l’Assomption
En réalité, pour voir une mention du « dimanche dans l’octave de l’Assomption », il faut remonter non pas avant 1955 mais avant 1911. Et si le 20 août est la fête de saint Bernard, en ce dimanche on célébrait, depuis 1738, la fête de saint Joachim, fixée au dimanche dans l’octave de l’Assomption par Clément XII. Elle primait celle de saint Bernard (qui aurait primé le dimanche avant 1911 s’il n’y avait pas eu Joachim).
Depuis la réforme de saint Pie X, on fait aujourd’hui l’office et la messe du 11e dimanche après la Pentecôte (avec mémoire de l’octave de l’Assomption jusqu’en 1955 et mémoire de saint Bernard jusqu’en 1960).
Quoi qu’il en soit j’ai voulu garder l’octave de l’Assomption cette année sur mon blog parce que l’Assomption méritait son octave, et à cause de saint Bernard et de son sermon pour le dimanche dans l’octave de l’Assomption, jour qui est cette année celui de sa fête même si le calendrier de 1960 le passe sous silence.
Ce sermon est parfois intitulé « Les douze prérogatives de la bienheureuse Vierge Marie », ou « Le sermon des douze étoiles ». En voici la fin.
Quant au martyre de la Vierge qui est, comme vous vous le rappelez, la douzième étoile de sa couronne, je le trouve dans la prophétie de Siméon, et dans toute l'histoire de la passion de Notre Seigneur. En parlant de l'enfant Jésus, Siméon dit : « Cet enfant est destiné à se trouver en butte à la contradiction, » puis, s'adressant à Marie, il continue : « Et vous, votre âme sera percée d'un glaive. » On peut bien dire, en effet, qu'un glaive a percé votre âme, ô bienheureuse mère, car ce n'est qu'en passant par votre cœur qu'il pouvait pénétrer dans la chair de votre Fils. Et même quand votre Jésus, le vôtre par excellence, en même temps que le nôtre, eut rendu l'esprit, ce n'est plus son âme qu'atteignit la lance qui, n'épargnant pas même dans les bras de la mort, la victime à qui elle ne pouvait plus faire de mal, ouvrit son côté de son fer cruel, mais c'est votre âme elle-même qu’elle transperça. Car, pour lui, son âme n'était déjà plus là, mais la vôtre ne pouvait s'arracher de ces lieux. Sa douleur, comme un glaive violent, a donc transpercé votre cœur, et nous pouvons vous appeler, avec raison, plus que martyre, puisque, en vous, le sentiment de la compassion l'emporta si fort sur celui de la passion endurée par le corps.
N'était-ce point une parole plus pénétrante qu'un glaive, qui transperça, en effet, votre âme et atteignit jusqu’à la division de l'âme et de l'esprit, que celle-ci : « Femme, voici ton fils ? » Quel échange ! Jean substitué à Jésus, le serviteur au Seigneur, le disciple au maître, le fils de Zébédée au Fils de Dieu, un pur homme au vrai Dieu ! Comment ce langage n'aurait-il pas percé, comme d'un glaive, votre âme si aimante, quand son souvenir seul déchire nos cœurs de pierre ou de fer ? Ne vous étonnez point, mes frères, que Marie soit dite martyre en son âme, il faudrait pour en être surpris que vous eussiez oublié que le plus grand crime que saint Paul ait reproché aux Gentils c'est d'avoir été sans affection. Cette absence de sentiment était loin de se trouver dans les entrailles de Marie, puisse-t-elle être aussi étrangère à ses humbles serviteurs. Mais peut-être demanderez-vous si elle ne savait pas d'avance qu'il devait mourir ? Elle n'en doutait point ; si elle espérait qu'il ressusciterait peu de temps après ? avec confiance. Et, malgré cela, elle souffrit de le voir attaché à la croix ? énormément (1). Après tout, qui êtes-vous, mon frère, et à quelle source puisez-vous votre sagesse pour vous étonner davantage de voir Marie compatir que de voir le fils de Marie pâtir ? Il aurait pu souffrir la mort du corps, et elle n'aurait pu ressentir celle du cœur ? (2) Ce fut une charité en comparaison de laquelle nul ne saurait en avoir une plus grande qui fit endurer l'une au fils ; ce fut une charité aussi à laquelle on ne saurait en comparer une autre qui fit souffrir l'autre à la mère.
Et maintenant, ô mère de miséricorde, au nom de l'affection de votre âme très pure, la lune qui se tient à vos pieds vous invoque avec les accents de la plus grande dévotion comme une médiatrice entre elle et le Soleil de justice ; que dans votre lumière elle voie sa lumière, et que, par votre intercession, elle mérite la grâce du Soleil qu'elle a véritablement aimé par dessus tout, et qu'elle a orné, en le revêtant d'une robe de gloire, et en lui mettant sur la tête une couronne de beauté. Vous êtes pleine de grâces, pleine de la rosée du ciel, appuyée sur votre bien-aimé et comblée de délices. Nourrissez aujourd'hui vos pauvres, ô vous Notre Dame; que les petits chiens eux-mêmes mangent des miettes de la table du Maître, et, de votre vase qui déborde, donnez à boire non seulement au serviteur d'Abraham, mais encore à ses chameaux, Car c'est vous qui êtes, en vérité, la fiancée choisie et préparée pour le Fils du Très-Haut, qui est Dieu et béni par dessus tout dans les siècles des siècles. Ainsi soit-il.
(1) Sed forte quis dicat: Nunquid non eum praescierat moriturum ?
- Et indubitanter.
Numquid non sperabat continuo resurrecturum ?
- Et fidenter.
Super haec doluit crucifixum ?
- Et vehementer.(2) Ille etiam mori corpore potuit,
ista commori corde non potuit ? -
Le cardinal Parolin en Russie
Communiqué de la salle de presse du Vatican :
Le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’État du Vatican, se rendra en visite dans la Fédération russe, sur l’invitation des autorités du pays, du 21 au 24 août 2017. Il sera accompagné par Mgr Visvaldas Kulbokas, conseiller de nonciature, officiel de la Section pour les Relations avec les États de la Secrétairerie d’État.
Le but de la visite est de rencontrer les plus hautes autorités civiles et les dirigeants de l’Église orthodoxe russe. Ce sera aussi l’occasion de manifester la proximité spirituelle du pape à la communauté catholique locale.
Au cours des divers entretiens, outre les thèmes relatifs aux questions d’intérêt bilatéral, figurent les questions concernant la situation internationale et, en particulier, la recherche de solutions pacifiques aux conflits en cours, avec une attention principale aux aspects de caractère humanitaire.
Le programme de lundi 21 août prévoit une réunion du cardinal avec les évêques catholiques du pays et, en soirée, la messe dans la cathédrale de l’Immaculée Conception de Moscou, suivie d’un moment convivial avec les représentants du clergé et des laïcs. Le même jour est prévu un entretien avec le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département pour les Relations étrangères du Patriarcat de Moscou.
La journée du mardi 22 août sera consacrée à une session de travail avec le ministre des Affaires étrangères Sergey Lavrov et, dans l’après-midi, à la visite au patriarche Cyrille de Moscou.
Mercredi 23 août, le Secrétaire d’État se rendra à Sochi pour une rencontre avec le président Vladimir Poutine.Le cardinal Parolin rentrera à Rome dans la matinée du jeudi 24 août.