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  • La messe à la basilique Sainte-Marie Madeleine

    Il y a désormais la messe en « forme extraordinaire » à la basilique Sainte-Marie Madeleine, au centre de Saint-Maximin, chaque dimanche à 17h. Sous le regard de Dom Gérard...

    C’est le 12e lieu de messe dominicale de saint Pie V dans le diocèse de Fréjus-Toulon. Un record qui n’est hélas pas près d’être égalé. (D’autant qu’on doit ajouter trois lieux de messe en semaine, et un lieu de messe mensuelle.)

    Autre bonne nouvelle : le 6 février, Mgr Dominique Rey a été nommé consulteur du Conseil pontifical pour les laïcs. Mais son nom a été malencontreusement effacé de la liste des nominations dans le bulletin VIS en français…

  • Pour protester contre l’agression de l’Eglise par l’ONU

    Une pétition que je trouve bien faite, sous forme d’une lettre à Mme Sandberg, présidente du comité des droits de l'enfant des Nations Unies.

  • Un an après : prier pour et avec Benoît XVI

    Il y a un an, le 11 février 2013, Benoît XVI annonçait qu'il renonçait au pontificat, décision qui prendrait effet le 28 février à 20h.

    Pour cet anniversaire, le blog La Vigna del Signore a lancé l’idée d’une « journée de prière pour le pape Benoît, avec Benoît », le 28 février. Chacun peut s’y associer à sa façon. Le blog recommande de dire le Te Deum à 20h « en action de grâces pour le don de Benoît ».

    Un autre blog, Il Papa emerito, a rebondi en proposant une neuvaine préparatoire à cette journée, du 19 au 27 février.

    Benoît et moi a traduit le (beau) livret de cette « neuvaine à Marie Mère de l’Eglise pour le pape émérite Benoît XVI ».

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  • Apparition de la Bienheureuse Vierge Marie Immaculée

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    Lorsqu'on montra à Bernadette un livre contenant une série de représentations de la Sainte Vierge, l'icône de Notre Dame de Grâce de Cambrai fut la seule où elle trouva une ressemblance avec l'apparition. Parce que les icônes canoniques sont forcément "ressemblantes". Dommage que le livre n'ait pas comporté d'autres icônes, qui auraient permis d'affiner la ressemblance...

    Te dícimus præcónio,
    Intácta Mater Núminis,
    Nostris benígna láudibus
    Tuam repénde grátiam.

    Sontes Adámi pósteri,
    Infécta proles gígnimur ;
    Labis patérnæ néscia
    Tu sola, Virgo, créderis.

    Caput dracónis ínvidi
    Tu cónteris vestígio,
    Et sola glóriam refers
    Intaminátæ oríginis.

    O gentis humánæ decus,
    Quæ tollis Hevæ oppróbrium,
    Tu nos tuére súpplices,
    Tu nos labántes érige.

    Serpéntis antíqui potens
    Astus retúnde et ímpetus,
    Ut Cǽlitum perénnibus
    Per te fruámur gáudiis.

    Jesu tibi sit glória,
    Qui natus es de Vírgine,
    Cum Patre et almo Spíritu,
    In sempitérna sǽcula. Amen.

    Nous vous célébrons dans nos chants, Immaculée Mère de Dieu ; répondez avec bonté à nos louanges, en nous donnant votre grâce.

    Postérité coupable d’Adam, nous sommes engendrés enfants de corruption ; vous seule, ô Vierge, n’avez point connu la tache de notre premier père : la foi nous l’enseigne.

    Votre pied écrase la tête du dragon jaloux, et seule vous avez la gloire d’une origine sans souillure.

    Honneur du genre humain, vous qui effacez l’opprobre d’Ève, protégez-nous, nous vous en supplions et relevez-nous dans nos chutes.

    Vierge puissante, confondez les ruses et les attaques de l’antique serpent, afin que, grâce à vous, nous partagions les joies éternelles des habitants des cieux.

    Gloire soit à vous, ô Jésus, qui êtes né de la Vierge, ainsi qu’au Père et à l’Esprit vivificateur, dans les siècles éternels. Amen.

    Hymne des matines. On ne sait ni par qui ni quand cet hymne a été composé. On remarque que le deuxième vers est identique au deuxième vers de l’hymne des matines de la fête de l’Immaculée conception, également anonyme mais qui date du XVIIe siècle.

  • Moscovici, européiste frénétique

    Que faut-il faire face à la montée des partis eurosceptiques ? Il faut faire davantage d’Europe. On connaît le refrain. S’il y a des eurosceptiques ce n’est pas parce qu’il y a trop d’Europe mais parce qu’il n’y a pas assez d’Europe. Cet argumentaire ubuesque paraissait avoir du plomb dans l’aile, ces derniers temps. Mais Pierre Moscovici le reprend à son compte, dans une interview à l’agence Reuters, et en fait, pour la zone euro, une resucée flamboyante. La zone euro doit avoir un budget propre, un président permanent, etc. :

    « La montée des partis eurosceptiques ne doit pas constituer un frein à l'intégration et la construction de la zone euro. La zone euro doit être plus intégrée, la zone euro doit être plus forte pour que l'adhésion des citoyens à ce qui est leur monnaie unique se renforce encore. C'est le moment d'accélérer... »

    Accélérer la course à l’abîme, en se bouchant les oreilles pour ne pas entendre les peuples.

    On remarquera que cette interview est publiée dans la catégorie "Business News".

  • Il manque des milliers de médecins en Roumanie

    La Roumanie est confrontée à une crise sanitaire, parce qu’il lui manque des milliers de médecins. Des médecins qui existent, mais qui sont ailleurs. Le président de l’ordre roumain des médecins, Vasile Astarastoe, déclare au Guardian que le nombre des médecins hospitaliers est tombé de 21.400 à 14.400 depuis 2011, quand ils ont eu le droit de s’installer partout dans l’Union européenne…

  • Tiens, ça a disparu…

    J’avais signalé l’ignoble document de l’académie de Grenoble intitulé « Education à la sexualité en GS-CP ».

    Et j’avais donné deux liens : un qui donnait directement le tableau des cours de sexualité, l’autre qui renvoyait au document pédagogique.

    L’un et l’autre de ces liens renvoient désormais à une page : « Objet non trouvé ».

    Le site F.Desouche, qui avait attiré l’attention sur ce document, constate qu’il a été retiré. Mais il avait gardé le tableau, qu’on peut toujours consulter.

    Ces pourrisseurs ont donc honte de ce qu’ils font. A condition de leur faire honte. C’est une des meilleures fonctions d’internet.

  • La bonne et la mauvaise nouvelle

    La bonne nouvelle est que les Suisse ont voté pour la fin de l’immigration sans frein. Par 50,3%, alors que les sondages donnaient le non majoritaire (50% de non, 43% de oui, disait le dernier). Ainsi les Suisses ont-ils désavoué la quasi-totalité de la classe politico-médiatique inféodée à la pensée unique, et ont déjoué le chantage à l’apocalypse.

    Ce qui est le plus réjouissant est évidemment la déception, le ressentiment et la colère de toutes les institutions et de tous les porte-parole de la pensée unique en Europe, résumés dans le glacial communiqué aussitôt publié par la Commission européenne.

    La mauvaise nouvelle est que le même jour les Suisses votaient aussi sur la fin du remboursement de l’avortement (qui est une « affaire privée »), et qu’ils ont été 70% à dire non.

    On doit remarquer que les évêques n’avaient pas soutenu cette initiative (ni l’autre, évidemment), contredisant ainsi ouvertement l’enseignement de l’Eglise catholique tel qu’il a été fortement souligné par Jean-Paul II dans Evangelium vitae (n. 90).

    Dans le même temps, un sondage IFOP paraissait dans l’édition dominicale de Sud-Ouest, indiquant que « 75% des Français » sont favorables à l’avortement « sans restriction ».

    On est passé de 48% à 75% en 40 ans, dit l’IFOP, permettant à Sud-Ouest de se  féliciter de cette avancée spectaculaire de la culture de mort. Le Salon Beige fait remarquer que le même institut avait réalisé un sondage, en 2010, d’où il ressortait que 85% des Français étaient favorables à l’avortement. Ce qui fait donc, en réalité, une baisse de 10 points en trois ans.

    Il reste qu’il est littéralement terrifiant de constater que la très grande majorité des gens, en Europe occidentale, juge qu’on doit être totalement libre de massacrer les enfants sous la seule condition qu’ils ne soient pas encore nés.

    Il est d’autre part spécialement affligeant de constater dans le dernier sondage que 53% des personnes qui s’affirment catholiques sont favorables à un droit à l’avortement sans restriction…

  • « Foi »

    L’histoire a été racontée dans le Daily Mail le 5 février (avec d’émouvantes photos), puis reprise par LifeNews, et par Gènéthique à travers l’article en français de RTLinfo.be.

    Jessica Martin était enceinte de 17 semaines quand on lui apprit que le bébé qu’elle portait était atteint d’encéphalocèle : la boîte crânienne avait une ouverture, par laquelle sortait une partie du cerveau, dans une poche, à l’arrière du crâne. Et ce qui sortait était notamment ce qui commandait la respiration. Autrement dit, l’enfant ne pourrait pas respirer, et il ne fallait pas compter sur les médecins pour tenter de réanimer à la naissance un bébé qui n’avait quasiment aucune chance de survivre, ou alors avec de très graves problèmes neurologiques. En bref, il fallait avorter.

    Jessica (20 ans) et Aaron (21 ans) Martin ont dit non. Pas question d’avorter. Il faut lui donner une chance de vivre, même si elle est minime.

    Lorsque le bébé naquit, par césarienne, il cria une première fois. Puis une deuxième fois. Pas besoin de le réanimer. Il vivait, avec sa poche derrière la tête. Très douloureuse, et qui augmentait de volume. Le bébé a été opéré. Son crâne est aujourd’hui normal. Et tout le reste aussi. « Elle fait tout ce qu’un bébé de trois mois est censé faire et elle mène une vie tout à fait normale », dit sa mère.

    Le nom que Jessica et Aaron Martin ont donné à leur bébé dit tout : elle s’appelle Faith : Foi.

  • Les évêques du Nigeria refusent d’être "gay-friendly"

    L’agence Fides avait diffusé la condamnation, par la Conférence des évêques d’Afrique du Sud, des nouvelles lois du Nigeria et de l’Ouganda contre l’homosexualité. Dans Présent de samedi, Yves Chiron fait remarquer que l’agence (qui est l’organe officiel des Œuvres pontificales missionnaires, dépendant de la congrégation pour l’évangélisation des peuples) a délibérément omis de signaler la réaction des évêques du Nigeria. Parce qu’elle est diamétralement opposée : la signature de cette loi par le président Goodluck Jonathan, dit la conférence épiscopale, est « un bon pas dans la bonne direction pour la protection de la dignité de la personne humaine », et elle loue le président pour cet « acte courageux », accompli malgré « les pressions de certaines communautés internationales ».

    Mgr Ignatius Kaigama, archevêque de Jos et président de la conférence épiscopale, a même écrit au président pour le féliciter : « Votre décision et celle de votre gouvernement, en collaboration avec l’Assemblée fédérale, de ne pas céder à la pression internationale visant à promouvoir des pratiques contraires à l’éthique et immorales d’unions de même sexe et autres vices qui y sont liés, est assurément une décision courageuse et une claire indication de la capacité de notre grand pays à garder la tête haute dans la protection de nos cultures les plus précieuses nigérianes et africaines relatives à l’institution du mariage et à la protection de la dignité de la personne humaine. »

    Et il insiste : « Nous vous félicitons pour cette décision courageuse et sage et nous prions le Seigneur pour qu’il continue de vous bénir, vous guider et vous protéger, vous et votre gouvernement, face à la conspiration du monde développé pour faire de notre pays et de notre continent le dépotoir de la promotion de toutes les pratiques immorales, qui continuent d’avilir le projet de Dieu pour l’homme dans le domaine de la création et de la moralité dans leurs propres pays. »