Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 12

  • Google minable

    google.jpg

    Il aura donc fallu que Google ponde une petite crotte homocratique pour « célébrer » l’ouverture des JO d’hiver. Un soutien aux gentils homosexuels persécutés par le méchant Poutine.

    Avec des jeux aux couleurs de l’arc-en-ciel (mais Google ne sait pas que l’arc-en-ciel a 7 couleurs), et la phrase de la Charte sur le sport « sans discrimination ».

    Mais les Jeux Olympiques, c’est aussi le sport sans idéologie. C’était, du moins. Avant que les homosexuels imposent partout leur propagande.

  • Une image de la France pays de la liberté

    Au second semestre 2013, les demandes de suppression de contenu reçues par Twitter émanaient pour 87% de la France.

    Sur 365 demandes du monde entier, 306 venaient de France, et Twitter a effectivement retiré 144 textes.

    Ainsi la France est-elle concrètement le seul pays au monde à exiger la censure des messages sur Twitter.

    Mais ce qui est très curieux est que, selon Twitter, « plus de 300 demandes », donc toutes, ou presque toutes, émanaient d’un seul organisme, qualifié par Twitter d’« advocacy association », autrement dit d’un lobby, sans autre précision qu’il s’agissait de « contenu discriminatoire illégal en France ».

    Il s’agit sans doute de SOS Homophobie. Autrement dit de la dictature homosexualiste.

  • Pendant la « magie », le massacre continue

    Le Centre d’Etudes et de Conservation des Œufs et du Sperme humains (Cecos) du CHU de Rennes vient de se doter d’une nouvelle technologie : suivre par une caméra le développement des embryons. Le but est de sélectionner le plus "performant" pour l’implanter et éviter les échecs de grossesse et les grossesses multiples.

    Cette technologie, baptisée Time Lapse, consiste à suivre le développement des embryons à l’aide de quatre caméras qui les filment en continu. Après la ponction, les ovocytes et les embryons sont mis en culture 48h à 6 jours avant le transfert. Le parti pris du CHU est de ne transférer qu’un embryon. Il faut donc choisir le meilleur, capable de s’implanter de poursuivre son développement normalement. Jusque là, l’embryon retenu était sélectionné "à l’œil nu" selon des critères morphologiques moins fiables.

    Pour Ouest France, cette technologie est "quasi magique" car "on peut observer les premières étapes de la vie". Ce qui n’implique en aucune manière une quelconque avancée du respect de la vie, puisqu’on continue de tuer les embryons moins bons. Et ces meurtres ne sont même pas de la discrimination…

  • Location du terrain de la mosquée : 15 € par an

    Le maire de Metz, Dominique Gros, et le président de l’Union des associations cultuelles et culturelles des musulmans de Metz, Raymond Beller (qui porte le nom du co-fondateur de l’ordre de la merci pour le rachat des captifs des musulmans…) ont signé hier le bail emphytéotique du terrain où sera construit la grande mosquée. « Le bail conclu, pour une durée de 99 ans, sera assorti d’une redevance annuelle de 15 €uros. »

  • Pakistan : encore une jeune chrétienne enlevée

    Hier, la famille de Samariya Nadeem, soutenue par des associations et par l’Eglise catholique, a manifesté devant le Club de la presse de Lahore, réclamant que les autorités fassent en sorte que leur fille revienne.

    Il y a trois semaines, alors qu’elle se rendait à son école, Samariya Nadeem, 16 ans, a été enlevée par un riche propriétaire terrien qui s’est « marié » avec elle après l’avoir « convertie » à l’islam.

    Sa famille a porté plainte, mais les enquêteurs n’ont pas été en mesure de parler avec la victime présumée et donc la police n’a rien fait. Parce que, comme d’habitude, le musulman est un personnage influent. Et aussi parce que, ainsi que le souligne un imam, « il n’est pas illégal (selon la charia) d’enlever et de convertir des non-musulmans ».

  • Emouvant

    SRI_LANKA_(F)_0206_-_Anno_mariano.jpg

    La procession a duré cinq heures. Derrière le char de Marie, décoré de blanc et bleu, et plein de fleurs et de lumières. Avec huit arrêts à divers endroits du village, en disant le rosaire et chantant des cantiques.

    C’était le 4 février, dans la paroisse de Wewala, au Sri Lanka. Un village entièrement catholique. Le curé, le P. Sumith Kumara, avait voulu cette procession dans le cadre de l’année mariale organisée par le cardinal Malcolm Ranjith, archevêque de Colombo et président de la conférence des évêques du Sri Lanka.

  • Saint Romuald

    Ami de Dieu, Romuald, que votre vie a été différente de la nôtre ! Nous aimons le monde et ses agitations ; c’est à peine si la pensée de Dieu traverse quelquefois nos journées d’un fugitif souvenir ; plus rarement encore est-elle le mobile de nos actions. Cependant chaque heure qui s’écoule nous approche de ce moment où nous nous trouverons en face de Dieu, chargés de nos œuvres bonnes et mauvaises, sans que rien ne puisse plus modifier la sentence que nous nous serons préparée. Vous n’avez pas entendu ainsi la vie, ô Romuald ! Il vous a semblé qu’une pensée unique devait la remplir tout entière, un seul intérêt la préoccuper, et vous avez marché constamment en présence de Dieu. Pour n’être pas distrait de ce grand et cher objet, vous avez cherché le désert ; là, sous la règle du saint Patriarche des moines, vous avez lutté contre le démon et la chair ; vos larmes ont lavé vos péchés, si légers en comparaison des nôtres ; votre cœur, régénéré dans la pénitence, a pris son essor d’amour vers le Sauveur des hommes, et vous eussiez voulu lui offrir jusqu’à votre sang. Vos mérites sont notre bien aujourd’hui, par cette heureuse communion que le Seigneur a daigné établir entre les plus saintes âmes et nous pécheurs. Aidez-nous donc dans la carrière de pénitence qui commencera bientôt ; nous avons tant besoin de mettre la faiblesse de nos œuvres à couvert sous la plénitude des vôtres ! Au fond de votre solitude, sous les ombrages de votre Éden de Camaldoli, vous aimiez les hommes vos frères, et jamais ils n’approchèrent de vous sans être captivés par votre aimable et douce charité : montrez-leur que vous les aimez toujours. Souvenez-vous aussi de l’Ordre que vous avez fondé ; fécondez ses restes vénérables, et faites qu’il soit toujours aux âmes que le Seigneur y appelle une échelle sûre pour monter jusqu’à lui.

    Dom Guéranger

  • Quand le fœtus redevient humain…

    Le tribunal correctionnel de Tarbes vient de condamner un automobiliste qui avait renversé une femme enceinte, laquelle avait perdu son fœtus de six mois et demi.

    Le chauffard est condamné à trois ans de prison avec sursis pour homicide involontaire.

    Ce jugement est contraire à la jurisprudence, fixée par la Cour de cassation : « Le principe de la légalité des délits et des peines, qui impose une interprétation stricte de la loi pénale, s'oppose à ce que l'incrimination d'homicide involontaire s'applique au cas de l'enfant qui n'est pas né vivant. »

    Le parquet pourrait faire appel pour que le jugement corresponde à la jurisprudence. L’automobiliste est fondé à faire appel afin de ne pas être condamné pour homicide puisque la Cour de cassation dit qu’il n’y a pas homicide (et casserait donc immanquablement un arrêt de cour d’appel qui confirmerait l’homicide).

    Or le parquet ne fera pas appel. Et l’automobiliste non plus : il sait et il reconnaît, malgré la jurisprudence, qu’il est bel et bien coupable d’homicide involontaire. Et son avocate quoique « féministe » se dit d’accord avec ce choix.

    Malgré toutes les constructions juridiques, la mort d’un fœtus est la mort d’un être humain.

  • Manifestation pour la dissolution des Femen: samedi place Vauban

    L'Agrif communique:

    Manifestation pour la dissolution des Femen : ce sera place Vauban ce samedi à partir de 14h 45.

    Pour des raisons absolument pas crédibles, la préfecture de police de Paris est revenue sur l’attribution de l’esplanade des Invalides pour notre manifestation.

    Elle nous a fait d’autres propositions totalement inacceptables pour des raisons évidentes. Elle nous a finalement accordé la place Vauban avec promesse d’un élargissement d’horaires permettant à partir de 18h une dispersion qu’elle s’engage à pouvoir se faire sans difficulté.

    L’Agrif appelle donc tous les manifestants à se rassembler devant sa tribune dès 14h 45 ce samedi 8 février, place Vauban, Paris 7e.

     

    data=VLHX1wd2Cgu8wR6jwyh-km8JBWAkEzU4,VSpHDpdKaWTw6GNnT3wL94p3vb0yLT5gI53iL1f0KTGlDMRC6ymQWkMlxECA1wUyaNNBzS9SGd1t9hgirKeJxBj4dDC6R7xqNzg91iZ2_L2E-t-NebPob7D0d6gElnjE1bKwaJtQFAoqeBBfCnWOJSUGUf7dwBJY8DUKrEoNx0L3wquY4J.png

     

  • Saint Tite

    « Compagnon de saint Paul, apôtre Tite, prédicateur des mystères digne de louange, avec lui tu nous as annoncé la grâce divine, aussi nous te crions : Ne cesse pas d’intercéder pour nous tous ! »

    Ainsi chante le kondakion de la fête « du saint apôtre Tite, évêque de Gortyne en Crète », dans la liturgie byzantine.

    Dans le calendrier romain, la fête de saint Tite n’a été instituée qu’en 1854, par Pie IX, le premier jour libre après l’anniversaire de sa mort (4 janvier), donc après le 13 (octave de l’Epiphanie), et généralement en février, comme le remarquait dom Guéranger (à condition qu’on ne l’ait pas oubliée entre temps…). Saint Pie X la fixa au 6 février.

    Dom Pius Parsch rappelle que deux morceaux de l’épître de saint Paul à Tite sont utilisés dans les messes de Noël.

    Quant au bienheureux cardinal Schuster, il conclut ainsi sa notice :

    « Relevons une belle phrase de saint Paul, là où, dans la seconde épître aux Corinthiens, il parle de Tite, de Luc et de leurs autres compagnons ; il les appelle : Apostoli Ecclesiarum, gloria Christi [apôtres des Eglises, gloire du Christ]. Oui, à la vérité, le Rédempteur ne se complaît en aucune chose comme dans le zèle pour le salut des âmes, si bien qu’il n’y a pas d’état plus sublime que l’apostolat, par lequel on participe à la mission elle-même du Sauveur dans la rédemption du monde. C’était précisément cette vocation et cette parfaite correspondance à la grâce de la part de Tite qui le rendaient si cher au cœur embrasé et généreux de l’Apôtre. Paul le poussait bien à agir, mais Tite était encore sollicitior [plus empressé], comme il l’écrit justement aux Corinthiens ; en sorte que, quand le Docteur des Nations alla à Troas, il écrivit : ... propter Evangelium Christi, et ostium mihi apertum esset in Domino, non habui requiem spiritui meo, eo quod non invenerim Titum fratrem meum [… pour prêcher l'Evangile du Christ, quoique le Seigneur m'y eût ouvert une porte, je n'eus point l'esprit en repos, parce que je n'y avais pas trouvé Tite, mon frère]. »