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  • Une agence « matrimoniale » homosexuelle

    « AMGLB vous souhaite la bienvenue. Nous sommes la 1ère Agence Matrimoniale Gay-Lesbien en France, et nous sommes situés à Bordeaux (33). Notre Agence n’est pas un Club de rencontre Gay comme Meetic ou Jhlive , mais une vraie agence matrimoniale comme Unie Center sauf que nous nous adressons à un public homosexuel. »

    “Matrimonial” veut dire « relatif au mariage », ou « qui appartient au mariage ».

    Une agence matrimoniale, dit le dictionnaire, est un « établissement commercial qui met en rapport des personnes désireuses de se marier ».

    AMGLB est donc au sens propre une escroquerie, et son intitulé une publicité mensongère.

    (merci à e-deo)

  • Le « dossier Richard Williamson »

    « Le dossier, qui fait en ce moment le tour des hautes sphères de la curie romaine et que Il Riformista a réussi à se procurer, rapporte des dates et des faits et en arrive à supposer que, derrière le choix de la TV publique suédoise SVT de diffuser le 21 janvier une interview du prélat britannique qui a suscité tant de réactions négatives, il y avait une mise en scène occulte visant à discréditer Benoît XVI. »

    Lire ici.

  • Sarkozy à la droite nationale : l’hommage du vice à la vertu

    Communiqué de Bruno Gollnisch

    En termes convenus, médiocres, et que l'avenir démentira, M. Sarkozy s'est cru obligé de vilipender le Front national, qualifié par lui d'extrémiste.

    Pourtant, les seuls éléments positifs de sa prestation sont un hommage-hélas indirect et purement verbal- aux positions de la droite nationale, et d'elle seule :

    - Validité du Cadre national comme protecteur des citoyens,

    - Condamnation des abus de la fortune anonyme et vagabonde, circulant sans contrôle et sans limite;

    - Condamnation des délocalisations, même lorsqu'elles se produisent dans un pays de l'Union européenne ;

    - Nécessité de diminuer la fiscalité, et de supprimer l'inepte taxe professionnelle pesant sur les entreprises ;

    - Nécessité d'alléger la charge de l'Etat et de privilégier l'investissement sur le fonctionnement ;

    - Prise en compte de l'inadaptation de notre système éducatif ;

    - Nécessité d'associer le Travail aux fruits du Capital ;

    Rien en revanche sur l'immigration, la dénatalité, le vieillissement, la perte des valeurs...

    Le Front National, dans les domaines qu'il a évoqués comme dans les autres, a été le véritable laboratoire d'idées, où Nicolas Sarkozy puise pour faire croire que, comme Président, il peut faire le contraire de ce que lui-même et ses amis ont fait durant des années : inscrire la France dans l'Euro-mondialisme.

    Mais en réalité rien ne changera, tant que l'on ne renoncera pas au dogme en vigueur du brassage généralisé et obligatoire des personnes, des marchandises et des capitaux.

    Malgré cet hommage involontaire du Vice à la Vertu, la défense des identités qu'incarne la Droite Nationale est plus nécessaire que jamais.

  • Sarkozy : demain, vous allez voir…

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Nicolas Sarkozy est toujours en campagne électorale… Sans crainte d’être mis en difficulté par des journalistes qui n’étaient là que pour lui servir la soupe, il nous a expliqué une fois de plus ce qu’il faut faire pour résoudre les problèmes. Si l’on comprend bien, on reprend tout à zéro à cause de la crise…

    Et une fois de plus c’était : demain on rase gratis. Avec un grand luxe de précisions sur le rasoir, la mousse à raser, la taille de la serviette et la tenue du barbier.

    On a même eu les grands couplets, un peu usés, sur la TVA et sur la taxe professionnelle.

    Pour le reste, Nicolas Sarkozy se croit toujours président du Conseil européen, et il nous dit même ce qu’il « exigera » au G20 au nom de l’Europe…

    En vrai pro de la com', il a conclu par une séquence émotion sur la difficulté de sa tâche.

    Mais qui un tel discours peut-il convaincre ?

  • Saint Tite

    Tite, évêque de Crète, fut initié par les enseignements de l'Apôtre saint Paul aux mystères de la foi chrétienne ; et, préparé par les sacrements, il répandit une telle lumière de sainteté sur l'Eglise encore au berceau, qu'il mérita de prendre place entre les disciples du Docteur des Gentils. Appelé à partager le fardeau de la prédication, son ardeur à répandre l'Evangile et sa fidélité le rendirent si cher à saint Paul, que celui-ci étant venu à Troade, pour prêcher la foi dans cette ville, atteste lui-même qu'il n'y trouva pas le repos de son esprit, parce qu'il n'y rencontra pas Tite son frère. L'Apôtre, s'étant rendu peu après en Macédoine, exprime son affection pour ce disciple par ces paroles : « Dieu qui console les humbles nous a consolés par l'arrivée de Tite. »

    Envoyé à Corinthe par l'Apôtre, il sut s'acquitter de cette mission qui consistait principalement à recueillir les aumônes offertes par la piété des fidèles pour soulager la pauvreté de l'Eglise des Hébreux, avec tant de sagesse et de douceur, que non seulement il maintint les Corinthiens dans la foi du Christ, mais qu'il excita en eux des regrets accompagnés de larmes, et l'empressement le plus vif pour revoir Paul qui leur avait donné la première instruction. Après de nombreux voyages sur terre et sur mer, pour répandre la semence de la divine parole chez les nations les plus dissemblables par le langage et par la situation géographique ; après avoir supporté avec la plus grande fermeté d'âme mille soucis et mille travaux pour établir ainsi l'étendard de la Croix, il aborda à l'île de Crète avec Paul son maître. L'Apôtre le choisit pour remplir la charge d'Evêque dans l'Eglise qu'il fonda en cette île ; et il est certain que Tite y remplit ses fonctions de manière à devenir le modèle des fidèles dans les bonnes œuvres, et que, selon les conseils de son maître Paul, il brilla par la doctrine, par son intégrité et la gravité de ses mœurs.

    Semblable à un flambeau, il répandit les rayons du christianisme sur ceux qui étaient assis sous les ombres de la mort, dans les ténèbres de l'idolâtrie et du mensonge. Une tradition prétend qu'il serait ensuite passé chez les Dalmates, et qu'il aurait essuyé les plus rudes fatigues pour planter la foi chez ces peuples. Enfin, plein de jours et de mérites, âgé de quatre-vingt-quatorze ans, il s'endormit dans le Seigneur, de la mort précieuse des justes, la veille des nones de janvier ; et il fut enseveli dans l'église où l'Apôtre l'avait établi ministre de la parole.

    (bréviaire)

  • Parlement européen et kosovar

    Dans une résolution adoptée par 424 voix contre 133 et 24 abstentions, le Parlement européen demande que tous les pays de l’UE reconnaissent l’indépendance du Kosovo, et que la Commission européenne et les Etats membres aident le gouvernement de Pristina à assurer la gestion du pays et à améliorer la situation des Roms et des autres minorités.

    Chypre, la Grèce, la Slovaquie, l'Espagne et la Roumanie ont refusé jusqu’ici de reconnaître l'indépendance de la province serbe.

  • Le blasphème d’Aymeric Chauprade

    Le Point publiait hier sur son site internet la version longue d’un article paru ce matin dans l’hebdomadaire. Il s’agissait d’une dénonciation d’Aymeric Chauprade, professeur de géopolitique au Collège Interarmées de Défense. L’homme avait déjà un passé lourdement chargé, rappelle Le Point : il fut directeur de campagne de Philippe de Villiers aux européennes de 2004, il est « très réservé sur l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne », il a « planché en juillet 2007, parmi d'autres intervenants aux idées affirmées, lors des Universités d'été du mouvement Renaissance catholique sur le thème : "le nationalisme est-il un péché ?", et il s’est montré critique sur le récent Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale.

    Mais là où il franchit vraiment la ligne jaune, c’est qu’il ose mettre en doute la version officielle des attentats du 11 septembre.

    Aujourd’hui, en fin de matinée, Hervé Morin, ministre de la Défense, a déclaré (au Point, bien sûr) : « Quand j'ai appris cela mardi soir, j'ai donné pour consigne au général Desportes, le directeur du Collège interarmées de défense, de ne pas conserver ce monsieur Chauprade dans son corps enseignant. Il n'a absolument rien à faire à l'École militaire. »

    Le texte d’Aymeric Chauprade qui lui vaut d’être brutalement limogé sans autre forme de procès sont les pages 14 à 24 de son dernier livre Chronique du choc des civilisations, paru le 23 janvier. On en trouvera l’essentiel ici.

    Son « crime » est de rappeler que la thèse officielle se heurte à de nombreuses invraisemblances et que la thèse du complot n’est pas dénuée de fondements.

    Une fois encore, on constate que la liberté d’expression a disparu en France.

    (Merci au Salon Beige)

  • N.˙.Sarkozy

    635256.jpgLe Nouvel Observateur s’interroge sur les insolites et mystérieux trois points qui figurent sur la signature de Nicolas Sarkozy dans une lettre au bâtonnier Christian Charrière-Bournazel.
    L’Elysée dément que ce soit un signe maçonnique. De fait il est peu probable que Sarkozy soit franc-maçon.

    Serait-ce un signe de connivence avec une profession où la franc-maçonnerie est puissante ?

    Ce que je remarque quant à moi est que cette signature est très différente de celle que le Nouvel Observateur présente comme une signature témoin de Nicolas Sarkozy. (Les trois points correspondent aux lettres i c o.)

    Est-ce que la lettre à Charrière-Bournazel n’aurait pas été signée par un conseiller du Président imitant sa signature et l’ornant d’un sigle dont il a habituellement l’usage ?

  • République tchèque : il n’y a pas que le traité de Lisbonne

    La Chambre des députés tchèque a reporté hier, pour la quatrième fois, le vote sur la loi anti-discriminations. Ce report (peut-être au mois de mars…) a été voté par 193 des 194 députés présents.

    Le président Vaclav Klaus avait mis son veto à ce texte en mai dernier, le qualifiant de « redondant, contre-productif et de piètre qualité ».

    La République tchèque est le seul Etat des 27 à ne pas avoir une telle loi, alors que c’était théoriquement une condition de l’adhésion à l’Union européenne…

  • On le savait menteur, on le découvre lâche

    Communiqué de Bruno Gollnisch

    A bonne école avec M. Pasqua, dont il a été un disciple exemplaire dans les Hauts-de-Seine, Nicolas Sarkozy applique consciencieusement la leçon : les promesses n'engagent que ceux à qui elles sont faites.

    La solution promise il y a un an aux travailleurs de l'usine Arcelor-Mittal de Gandrange se résume aujourd'hui à quelques mots : fermeture, plan social et chômage ! Et on n'a même pas trouvé de place pour eux dans le plan de relance décidément bidon du gouvernement. A moins qu'ils ne soient reclassés dans la "rénovation des bâtiments de logement" aux Kerguelen, qui, elle, y figure !

    On ne peut s'empêcher de penser que rien de tout cela ne serait peut-être arrivé sans la complète soumission de nos gouvernants au système capitaliste financier mondial, leur acceptation servile de l'OPA hostile de M. Mittal, et de manière générale, leur renonciation à toute ambition et politique industrielles nationales et européennes.

    On attend avec impatience, aux côtés et en totale solidarité avec les travailleurs de Lorraine, que M. Sarkozy revienne en personne, pour l'anniversaire de son voyage de noces, annoncer la nouvelle !

    [Hier, jour anniversaire du déplacement de Nicolas Sarkozy à Gandrange, la CFDT a installé à l'entrée de l'usine une stèle où l'on peut lire, gravé en lettres d'or : « Ici reposent les promesses de Nicolas Sarkozy faites le 4 février 2008 à Gandrange : "avec ou sans Mittal, l’Etat investira dans Gandrange". »]